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Lyon: un syndicat étudiant accusé d’islamophobie après un tract saucisson-vin-baguette
A Lyon, l’UNI a distribué un tract sur lequel sont célébrés le saucisson, le vin et la baguette. De quoi faire réagir au sein de l’université de droit, certains y voyant une référence islamophobe.
Moins d’écriture inclusive pour plus d’apéros saucisson et vin. C’est ainsi que peut être résumé le message d’un tract distribué à l’université Jean Moulin, à Lyon, par l’Union nationale inter-universitaire (UNI) […] le syndicat se réclamant de la "droite universitaire" y place deux combats en opposition: celui contre "l’écriture inclusive" (la plus grosse connerie de ces 50 dernières années N. de la Rédactrice) et les "assemblées générales" face à celui pour les apéros "franchouillards".
Certains y voient même un message islamophobe. Pour certains, avoir accolé du saucisson et du vin au-dessus d’un message de l’UNI dénonçant le " communautarisme " n’est autre qu’une façon de dire que le syndicat vise les musulmans.
[Le tract] a été distribué dans la ville même où un étudiant, Anas K., s’est immolé par le feu devant un Crous pour montrer son désespoir. Taxée d’indécence, l’UNI ne se démonte pas […].
[…] Mais que répond le syndicat aux critiques l’accusant d’islamophobie? "Il n’y a aucune arrière-pensée", assure son porte-parole Clément Marot.
"C’est juste notre côté franchouillard". Selon lui, l’alcool et le porc ne sont d’ailleurs pas une référence aux interdits alimentaires de l’islam mais un clin d’œil régional: "Ça se passe à Lyon, ou la culture gastronomique locale, c’est beaujolais et rosette".
LCI
… et à Toulouse, c'est le cassoulet, avec la Saucisse de Toulouse, le saucisson à l'ail, les couennes, l’andouillette, l'échine de porc, la poitrine de porc…. le cul d'un jambon cru parfois...
Non mais, hé! on va pas se laisser guider par des QI de betterave qui se prosternent le cul en l'air... et qui nous massacrent pour ce que nous sommes...
Vive la gastronomie française! au patrimoine mondial de l'UNESCO excusez du peu!
Royaume-Uni: à la demande d’étudiants vegans l’université de Cambridge fait retirer une peinture du XVIIe prêtée par un musée
Certains étudiants de l’Université de Cambridge auraient peut-être pu considérer comme un privilège de manger sous une peinture à l’huile du 17ème siècle. Mais pas si les élèves sont végétariens ou vegan, et que l’œuvre met en vedette des animaux destinés à la table du dîner.
The Fowl Market, de l’artiste flamand du 16ème siècle Frans Snyders, a été retiré de la salle à manger de Hughes Hall à la suite de plaintes selon lesquelles il dégoûtait de leur repas les non-consommateurs de viande.
Le tableau présente une collection d’animaux morts, dont un cygne, un sanglier, un cerf et divers gibiers à plumes.
Il avait été prêté à long terme par le Musée Fitzwilliam. […]
The Telegraph
Quand on est si désespéré de la vie, au point de martyriser son corps, à quoi bon vivre?
Pâtes au crabe
Pour 4 personnes: 400g de spaghettis, 400g de miettes de crabe (2 grandes boîtes), 250g de champignons de Paris, 200g de carottes, 2 gousses d'ail, 4 ciboules ou petits oignons verts, 2 cuilètes à soupe de coriandre ou de ciboulette hachée, 2 cuillère à soupe de sauce soja ou autres, 100 ml de bouillon (maison de préférence)
Faites cuire les spaghettis al'dente et réservez-les au chaud: en effet, les pâte refroidissent très vite.
Coupez les légumes en lanières. Dans une poêle noire bien culottée (ou dans un wok), faites revenir l’ail haché. Ajoutez les miettes de crabe et les légumes émincés et faites cuire 5 min à feux doux.
Ajoutez la sauce, le bouillon (c'est mieux de volailles) les spaghettis, et laisser cuire pendant 2 min. Saupoudrez avec les herbes hachées avant de servir chaud ou sur assiettes chaudes
Perso, je termine toujours par un filet d'huile de noix ou noisette: pour les oméga-3...
IDEE MAGGNIFAIQUE: remplacez le crabe par du thon entier ou émietté en conserve nature….
BIS REPETITAS
Pour avoir du bouillon de volailles: conserver tous les abats: tête, gésiers, ailes, gras et cou du bestiau et faire bouillir une demi-heure dans de l'eau en bouteille plate. Passez (filtrez), mettre dans un pot de verre qui se visse et congeler. Pensez à décongeler au moins trois heures à l'avance pour utilisation.
Pour d'autres bouillons; lorsque vous préparez du confit aux lentilles, de la blanquette, du pot au feu, etc… prévoyez de mettre beaucoup d'eau… une fois la cuisson du plat terminée, récupérez du bouillon dans des pots en verres avec couvercle et congelez. Et bien sûr, pensez à décongeler….
Il est parfois difficile de trouver le temps nécessaire pour faire le plein de produits frais et donc d'avoir un réfrigérateur toujours bien rempli.
Dans notre cuisine, nous avons -en général- 3 grandes catégories d’aliments:
- des produits frais: boucherie, charcuterie…
- des produits surgelés: qui peuvent être des produits achetés au rayon surgelés du supermarché, ou des plats réalisés par nous, que nous avons congelés nous-même afin d’en augmenter le temps de conservation.
- des produits d’épicerie: tous nos aliments secs, épices, semi-conserves, assaisonnements … qui se conservent à température ambiante.
Les aliments surgelés
Il faut discerner les plats préparés surgelés (déjà cuisinés) et les aliments surgelés avant cuisson (fruits, légumes, viande, poisson, herbes). Ces derniers sont manifestement les plus intéressants sur le plan nutritionnel.
Contrairement à une idée reçue, les légumes surgelés apportent autant, voire plus, de vitamines et minéraux que les légumes frais. En effet, les vitamines sont fragiles et sont en partie détruites à la lumière et par le stockage à l’air libre.
La surgélation est la méthode de conservation qui préserve le plus les qualités nutritionnelles et gustatives des légumes car ceux ci sont rapidement traités: récoltés, épluchés, lavés surgelés sur place à très basse température (-40°C).
Ce procédé industriel permet donc de limiter au maximum les déperditions vitaminiques et minérales. Ainsi, un légume surgelé peut apporter plus de vitamines et minéraux qu’un légume frais qui aurait passé plusieurs jours sur l’étalage d’un supermarché. De même, une viande ou un poisson surgelé cru -en mer, le plus souvent- conserve toutes ses qualités nutritionnelles.
Par ailleurs, tous ces aliments sont souvent vendus déjà “préparés“: épluchés, émincés ou en tronçons pour les légumes, en filets ou quartier préparés pour les viandes et poissons.
Donc, vous n'achetez pas de plats industriels mais bel et bien des sachets de légumes. Comme ils sont ensachés dans des sacs plastiques, afin d'éviter que la chimie industrielle de ces sachets relargue des poisons dans vos aliments, il faut les décongeler en les SORTANT du paquet plastique.
Ce qu’il faut avoir toujours dans son congélateur pour ne pas être prise au dépourvue (quand la bise fut venue!)
- les sachets de légumes surgelés: courgettes ou carottes en rondelles, brocolis ou choux fleurs en fleurettes, oignons en cubes, épinards en branches, poireaux en rondelles…).
- les herbes aromatiques ciselées surgelées, qui agrémentent de façon originale et goutteuse nos plats.
- les filets de volaille, de poisson, les sautés de dinde nature, steak hachés à 5% de matière grasse…
que vous cuisinerez de votre mieux en ajoutant des aromates.
Ce sont d’excellentes alternatives aux produits frais et ils présentent un gain de temps considérable pour les emplois du temps surchargés.
Des conserves; obligatoirement, des pots en verre
Comme pour les produits surgelés, on peut distinguer les conserves cuisinées et les conserves de légumes nature. Là encore, ce sont ces dernières qu’il faut privilégier.
En effet, d’après l'INRA, les teneurs en vitamines, minéraux et antioxydants, sont équivalentes quels que soient les procédés de préparation, que les légumes soient frais cuisinés maison ou prêts à l'emploi en conserve. Cela s’explique par le fait que les légumes frais ne sont pas consommés tout de suite mais souvent stockés (déperdition vitaminique par oxydation) puis cuits (déperdition vitaminique par la chaleur).
Avec les procédés de mise en conserve, il s'écoule moins de 5 heures entre le moment où le légume est récolté et celui où il est conditionné. De plus, les légumes sélectionnés sont cueillis à maturité, ce qui garantit une teneur optimale en vitamines et minéraux.
Ainsi, les conserves de légumes telles que: haricots verts, lentilles, maïs, petits pois, champignons, tomates concassées, cœurs d’artichaut, asperges, poireaux, etc. sont des basiques à avoir toujours dans ses placards.
Personnellement, je mélange un bocal de chevriers ou flajolets avec un bocal d'haricots verts.
Ou un bocal de petits pois avec un autre qui contient petits pois et carottes; en effet, pour deux personnes, un bocal c'est juste. S'il vous en reste, vous pourrez les transformer, le lendemain, en soupe en ajoutant un litre d'eau, un peu de crème fraîche, des croustets (croûtons de pain) saupoudrée de persil frais ou congelé.
Pour congeler du persil découpé: achetez une botte de persil frais (c'est mieux le persil frisé, il se détaille plus vite avec vos ciseaux -spécial fines herbes) passez sous l'eau. Au dessus d'un bol en verre épais, pliez les branches de persil frisé et taillez à coups fins de ciseau à branches fines et pointues…. puis, mettre votre bol au congélateur: vous n'aurez qu'à plonger la main pour récupérer une poignée de persil.
ATTENTION: le persil ainsi ciselé se décongèle rapide; laissez le bol dans le congèle et prenez juste le nécessaire; sinon, tout le bol se décongèle en trois minutes!.
Dans la catégorie des poissons: les conserves de thon, de sardines, maquereaux, hareng sont intéressantes aussi. Ce sont des poissons gras, riches en vitamines liposolubles et en acides gras mono-insaturés. Choisissez-les de préférences au naturel, au citron ou à la tomate pour éviter qu’ils ne soient trop riches en graisse (à l’huile).
Là, on est bien obligé-e d'acheter en boîte car on ne les trouve pas en verrine de verre; hormis quelque fois, la soupe de poisson, une salade de moules…
Des pâtes, riz, légumes secs, semoule
Ces féculents (riz, pâtes, semoule, légumes secs…) sont une excellente source de glucides complexes, indispensables pour une alimentation équilibrée. Ils sont simples à stocker, à préparer, et font partie des principaux aliments à avoir toujours dans les placards de nos cuisines.
Vous pouvez aussi privilégier les plus complets: riz brun, pâtes à la semoule complète, quinoa...
Des produits déshydratés et lyophilisés
La probable déperdition vitaminique engendrée par le processus de fabrication est bien souvent compensée par un enrichissement en vitamines.
Les épices, herbes et aromates
Leur intérêt est multiple: ils permettent d’agrémenter efficacement les plats et préparations les plus basiques.
Par exemple: un plat de pâtes au coulis de tomate en boite peut être agréablement assaisonné d’origan ou d’herbes de Provence, un riz blanc de curry en poudre, un saumon en boite d’aneth…
Des huiles, vinaigres en bouteille de verre: autant de façon d’assaisonner ou de préparer de façon variée ses plats. Ainsi, en ayant toujours ces aliments chez soi, il n’est plus indispensable de ressortir au marché ou supermarché, quand on rentre le soir fatigué(e) après une journée de travail.
D'autres soupes faciles et rapides? prenez une verrine de petits pois avec ou sans carottes, ou bien salsifis, champignons, haricots, etc, légumes non cuisinés, bien sûr, ajoutez un à plus de litre d'eau (ou bouillon congelé maison), un bouillon cube, faites cuire 5 m à feu fort, mixez dans le blender, ajoutez de la crème fraîche, remixez, servez sur des croutons et saupoudré de persil ou autres herbes fraîches.
Deux produits de nettoyage quotidiens ont engendré des émanations toxiques dans un restaurant, tuant un employé
Le gérant d’un restaurant Buffalo Wild Wings est décédé après avoir été exposé à des émanations toxiques générées suite au mélange de deux produits nettoyants ordinaires. D’autres employés (plus d’une dizaine) auraient également été affectés par les dégagements toxiques.
Le jeudi 7 novembre, un employé d’un Buffalo Wild Wings de Burlington, dans le Massachusetts, a commencé à nettoyer l’arrière du restaurant avec un produit nettoyant commun appelé “Super 8”. L’incident se serait produit peu de temps après.
La solution du Super 8 est à base d’hypochlorite de sodium, un agent désinfectant et de blanchiment (utilisé notamment sous forme d’eau de Javel). Son utilisation unique ne représente pas de danger. Cependant, à l’insu de l’employé, un autre nettoyant à base d’acide, le Scale Kleen, avait été répandu sur le sol peu de temps avant, selon NBC News.
Un mélange mortel
Le mélange des deux produits chimiques a généré une substance qui est “devenue verte et qui a commencé à faire des bulles”, a déclaré Michael Patterson, chef des pompiers de Burlington.
Le premier employé exposé a rapidement développé des brûlures aux yeux et commençait à rencontrer des difficultés respiratoires. Il a alors quitté les lieux. Le gérant du restaurant a pris le relais, essayant de racler le mélange, mais il a lui aussi développé de graves symptômes, le rendant incapable de continuer.
Le gérant, Ryan Baldera, âgé de 32 ans, est décédé peu de temps après à l’hôpital, selon le journal local NBC Boston. Treize autres personnes, également exposées aux émanations toxiques, ont été prises en charge.
Les produits de nettoyage courants peuvent être dangereux, voire mortels, lorsqu’ils sont mélangés de manière incorrecte. Par exemple, l’eau de Javel peut réagir avec l’ammoniac, les acides et d’autres nettoyants. Les réactions provoquées peuvent ainsi donner lieu à des émanations toxiques potentiellement mortelles.
Le potentiel responsable : du chlore gazeux
Lorsque l’eau de Javel est mélangée à un acide (comme du vinaigre ou des produits chimiques trouvés dans certains nettoyants pour vitres, drains et cuvettes de toilettes), du chlore gazeux est produit. L’exposition au chlore provoque habituellement une irritation des yeux, de la gorge et du nez, entraînant une toux et des problèmes respiratoires. D’ailleurs, il faut savoir qu’en raison de sa toxicité, le dichlore a été l’un des premiers gaz de combat employés lors de la Première Guerre mondiale.
À des concentrations élevées, le chlore gazeux peut causer de graves difficultés respiratoires et la production de liquide dans les poumons. À des concentrations très élevées, une forte émanation peut causer la mort.
Une équipe spécialisée en substances dangereuses a été convoquée pour traiter les locaux du restaurant, qui a été temporairement fermé par la ville. L’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) enquête également sur l’accident.
Rappel : les produits nettoyants à ne jamais mélanger
Javel (hypochlorite) et alcool ménager : production de chloroforme (provoque des dommages au système nerveux, poumons, reins, foie, yeux et à la peau)
Javel et ammoniac : production de vapeurs de chloramines (hautement toxiques et potentiellement explosives)
Javel et vinaigre : vapeurs toxiques engendrant des brûlures oculaires et des dommages aux poumons
Javel et d’autres produits de nettoyage: production potentielle de chlore gazeux (hautement toxique et mortel à forte dose)
Bicarbonate de soude et vinaigre: combinaison potentiellement explosive
Vinaigre et eau oxygénée: production d’un acide peracétique (peut irriter ou endommager la peau et les voies respiratoires)