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Blog - Page 138

  • Corona en Occitanie

    Numéro pour agglo toulousaine

     

    Le point à 23 h

    Sept nouveaux cas dont quatre dans l'Hérault - L’Agence régionale de santé Occitanie confirme ce soir sept nouveaux cas de coronavirus, pris en charge en Aveyron, dans le Lot et l’Hérault. A ce stade, la région Occitanie compte 36 cas confirmés (8 départements concernés). Les investigations habituelles de l’Agence régionale de santé et de la cellule régionale de Santé Publique France se poursuivent pour identifier et informer les personnes qui auraient été en contact rapproché et prolongé avec ces patients.

    En Aveyron, 2 nouveaux cas ont été confirmés ce samedi. Il s’agit de deux femmes âgées de 70 ans et et de 39 ans, domiciliées distinctement à proximité de Rodez. Hospitalisées au Centre hospitalier de Rodez, elles présentent ce jour un état de santé sans signe de gravité.

    Dans le Lot, le test réalisé auprès de l’époux de la personne hospitalisée jeudi soir a également été positif. Cet homme âgé de 67 ans et domicilié près de Cahors est pris en charge ce jour.

    Dans l’Hérault, 4 nouveaux cas viennent d’être confirmés ce soir. Ils concernent les cas de deux femmes domiciliées distinctement à proximité de Béziers (83 et 70 ans) et d’un couple domicilié à proximité de Montpellier (29 et 31 ans). Des précisions seront apportées ultérieurement sur leur prise en charge. La région Occitanie compte à cette heure 36 cas confirmés de contamination au coronavirus Covid-19.

    Des nouvelles rassurantes des cas déjà avérés en Occitanie - Dans le Tarn, les 2 personnes hospitalisées au Centre hospitalier d’Albi présentent ce jour un état de santé sans signe de gravité. Dans l’Aude, les 3 personnes concernées ont été testées dans le contexte d’un séjour récent en Egypte. Elles présentent à cette heure pas ou très peu de symptômes. Leur état de santé n’a pas justifié d’hospitalisation. Elles appliquent des consignes d’isolement à domicile.

    Dans le Gard et dans l’Hérault, les 3 nouveaux patients hospitalisés aux CHU de Nîmes et de Montpellier présentent ce jour un état de santé sans signe de gravité. En Haute-Garonne, la personne hospitalisée hier au CHU de Toulouse a pu regagner son domicile ce jour, son état de santé étant jugé satisfaisant, mais devant s’accompagner pour autant du respect de consignes d’isolement habituelles.

    https://www.midilibre.fr/2020/03/07

  • Fondant au chocolat… réalisé à la poêle

    Étonnant, n'est-ce pas? du temps de mes 20-35 ans, quand les ponctionnaires planqués de l'EDF*, faisant grève, nous coupaient l'électricité... fallait avoir de l'imagination pour faire des gâteaux aux enfants!!!

    Maintenant, vous savez pourquoi ces mauvais français coupent l'électricité, de ci, de là... quand votre tête de leur revient pas... enfin, parce que vous n'êtes pas dans le Camps du Bien....

     

    Pour 1 personne

    40 g de chocolat; 30 g de beurre; 20 g de cassonade

    10 g de farine (ce correspond à une cuillère à soupe arasée)

    10 g de maïzena; 1 œuf

    une pincée de sel et une noisette de beurre

    Dans une casserole inox, mettez le chocolat en carrés avec le beurre. Faites fondre en remuant constamment et à feu doux.

    Ajoutez la cassonade et l’œuf entier battu. Mélangez bien puis saupoudrez la farine mélangée à la maïzena tout en fouettant la préparation pour éviter les grumeaux.

    Dans une petite poêle à feu moyen avec une noisette de beurre, versez la pâte et laissez cuire 5 minutes.

    Éteignez le feu et laissez reposer le gâteau dans la poêle.

    À l’aide d’une assiette posée sur la poêle, retournez le gâteau comme on le fait pour une omelette.

    Servez avec une boule de glace et/ou de la chantilly ou crème anglaise

  • Les céréales du déj'

    Dans les années 68-70, je m'intéressais, déjà, à la diététique et la nutrition. Je m'étais abonnée à un magazine relevant ce genre. J'ai appris des tas et des tas de choses qui me servent encore aujourd'hui et me permettent d'écrire des notes ici.

    Non, je ne vous donnerai pas le nom du magazine car il a changé le continu de ses articles et est devenu un nid à publicité plus ou moins “remarquables“. En fait, je me demande si internet ne l'a pas dégommé du paysage des kiosques….

    On parlait déjà du bien-être apporté par les céréales du matin (on disait; porridge). Depuis, des centaines de marques ont mis sur le marché des recettes le plus souvent “bidon“ au niveau diététique.

    Les seules céréales qui doivent figurer sur votre table du matin: les flocons d'avoines (nature), les corn-flakes nature surtout! et les céréales de la marque veetabix (je suis obligée d'indiquer le nom de cette marque puisqu'il n'en existe aucune de ce genre: sans trop de colorants, sucres, conservateurs, liants, etc…

    Vous trouvez que ce n'est pas sucré? ben, voila le sucre en poudre, à vous d'en rajouter mais, si vous ne voulez pas vous devenir diabétique, apprenez-à vous en passer!

    Voici une recette gourmande… supprimez le plus possible le sucre

    Ha oui! dernière astuce: en écrasant des petits paquets de Veetabix, vous pouvez vous en servir comme base de panure d'autres aliments... bien croustillant sera le beignet....

     

    Carrés de céréales fourrés à la fraise

    Pour 8 portions

    140 g de farine fluide; 80 g de  sucre cassonade

    140 g de céréales Veetabix; 160 g de beurre AOP (plus cher mais avec la certitude d'un vrai beurre de qualité et pas de mélanges industriels infects).

    200 g de fraises fraîches; 60 g de miel (à la lavande pourquoi pas?)

    Une poignée de pistaches

    Dans un saladier en verre, mélangez la farine, la cassonade, les céréales émiettées.

    Ajoutez le beurre coupé en petits morceaux et émiettez le mélange du bout des doigts pour obtenir une sorte de pâte sableuse.

    Répartissez la moitié du mélange dans un moule carré bien chemisé (de 20 cm) et pressez un peu. Couvrez avec les fraises en lamelles et ajoutez le reste du mélange sur le dessus

    Faites cuire dans le four préchauffé à 180°C environ 30 minutes. Laissez refroidir sur une grille puis recouvrez de quelques pistaches et coupez en carrés.

    Bien sûr, vous utilisez cette recette pour des myrtilles, framboise et autres.

  • Ça pique, mais c'est bon!

    La consommation de piment réduit considérablement le risque de mortalité cardiovasculaire et cérébrale

    Recoupant plusieurs espèces de plantes du genre Capsicum, le piment est connu depuis longtemps pour ses bienfaits sur la santé. Malgré diverses études ayant analysé ses propriétés, aucune n’a pu être suffisamment complète pour apporter de réelles preuves scientifiques de ces effets. Mais récemment, une nouvelle recherche portant sur un échantillon de plus de 20’000 personnes suivies pendant plusieurs années a clairement montré que la consommation régulière de piments réduisait significativement le risque de mortalité pour plusieurs pathologies.

    Le piment est un ingrédient commun dans les cuisines italiennes, et au fil des siècles, il a été salué pour ses vertus thérapeutiques supposées. Maintenant, une étude italienne montre que les personnes qui en consomment régulièrement ont un risque de mortalité, toutes causes confondues, de 23% inférieur à ceux qui ne le consomment pas.

    La recherche, publiée dans le Journal of the American College of Cardiology (JACC), a été menée par le Département d’épidémiologie et de prévention de l’I.R.C.C.S. Neuromed à Pozzilli, en Italie, en collaboration avec le Département d’oncologie et de médecine moléculaire de l’Istituto Superiore di Sanità à Rome, l’Université de l’Insubrie à Varese et le Cardiocentro méditerranéen à Naples.

    Consommation de piment: une réduction significative du risque de mortalité

    L’étude a examiné 22’811 citoyens de la région de Molise en Italie, participant à l’étude Moli-sani. En suivant leur état de santé pendant une période moyenne d’environ huit ans et en le comparant à leurs habitudes alimentaires, les chercheurs de Neuromed ont observé que chez les personnes consommant régulièrement du piment (quatre fois par semaine ou plus), le risque de mortalité par crise cardiaque était réduit de 40%. Et la réduction du risque de mortalité cérébro-vasculaire a été réduite de plus que moitié.

    Marialaura Bonaccio, épidémiologiste chez Neuromed, déclare: " Un fait intéressant est que la protection contre le risque de mortalité était indépendante du type de régime suivi par les personnes. En d’autres termes, quelqu’un peut suivre un régime méditerranéen sain, quelqu’un d’autre peut manger moins sainement, mais pour tous, le piment a un effet protecteur ".

    "Il est maintenant important que les futures recherches étudient les piments de manière sérieuse et précise, apportant rigueur et preuves scientifiques. De plus, comme déjà observé en Chine et aux États-Unis, nous savons que les différentes plantes de piment, bien que consommées de différentes manières à travers le monde, peuvent exercer une action protectrice sur la santé" déclare Licia Iacoviello, directrice du Département d’épidémiologie et de prévention à l’I.R.C.C.S.

    Cette étude semble donc confirmer ce qui était déjà supposé. Surtout, elle apporte des premiers résultats chiffrés, qui dépassent certainement les attentes des chercheurs et du public.

    Sources: Journal of the American College of Cardiology

     

    FAITES VOUS MÊME VOTRE HUILE PIQUANTE

    Ayant passé des vacances à La Réunion, ma fille m'a ramené trois tous petits pots de purée de piment de là-bas. En fait, ce sont surtout les graines et un peu de chair.

    J'avoue que j'utilise beaucoup de curcuma en cuisine dont je surmultiplie les propriétés thérapeutiques en rajoutant de poivre noir du moulin mais je trouvais cela un peu “fade“: oui, sic moi-même.

    Alors, j'ai retiré de la purée de graines de piment et je l'ai versée dans une bouteille qu'on dit “sirop“ en verre avec bouchon; tout bonnement, j'ai remplis d'huile d'olive. Tous les jours, j'ai secoué la bouteille.

    Au bout d'une semaine, j'ai pu utiliser cette huile piquante, bien plus que mon mélange curcuma-poivre noir et beaucoup moins qu'une qui n'a pas été élevée en cette île.

    J'en rajoute toujours dans ma moutarde maison -avec du gingembre- et cela "dégage" suffisamment pour moi!

     

  • Masques fabriqués à Toulouse

    Dans une autre vie, de 1967 à 1969, j'ai travaillé dans l'usine Mas (de Paul Boyé) qui se trouvait quartier Neygreneys à Toulouse. Nous étions plus de 250 à 300 salariées à l'époque. On réalisait des uniformes de gendarmes ou de l'armée, surtout des vestes... non, pas les képis et le reste de l'équipement

     

    Paul Boyé Technologies relance une ligne de production de masques de protection

    Spécialiste français de l’uniforme et des protections individuelles, Paul Boyé Technologies vient de relancer une ligne de production de masques de protection respiratoire sur son site de Labarthe-sur-Lèze (Haute-Garonne).

    La production monte en cadence. "D'ici trois à quatre mois, nous serons en capacité de produire 10 millions de masques par mois", précise Jacques Boyé, président de la société Paul Boyé Technologies. Spécialisée dans la confection d’uniformes et d’équipement de protection individuelle (EPI), la société Paul Boyé Technologies a décidé en tout début d'année 2020 de relancer une ligne de production de masques de protection respiratoire de niveau FFP2 sur son site de production de Labarthe-sur-Lèze (Haute-Garonne), près de Toulouse.

    Cette ligne de production avait été mise en service dans le cadre du plan national de prévention contre la grippe aviaire de 2006, avec un pic d'activité à partir de 2009 pour répondre au grand plan de sécurité mis en place lors de l'épisode de l'épidémie liée au virus H1N1. "Nous avons produit près de 350 millions de masques entre 2007 et 2012, avant de mettre en sommeil cette activité", souligne le chef d'entreprise.

    Aujourd'hui, face à l'épidémie de coronavirus et au risque de ruptures de stocks à l'échelle mondiale sur les masques de protection respiratoire, la société a remis en route la production. "Nous faisons partie des industriels concernés par la commande de 200 millions de masques officialisée par le Premier ministre", se félicite Jacques Boyé.

    Après quelques réglages et compléments d'équipements, la ligne très automatisée - qui a été maintenue en conditions opérationnelles pendant sa mise en stand-by - est déjà en capacité, après un mois et demi de remise en route, de fournir un peu plus de trois millions de masques. Une équipe dédiée est en cours de structuration pour une production en 3X8.

    L'activité pourrait occuper très vite une cinquantaine de personnes sur le site de Labarthe-sur-Lèze, alors que l'entreprise doit déjà faire face à la montée en charge du contrat remporté en 2018 auprès du ministère de l'Intérieur pour l'habillement des 270 000 gendarmes et policiers français sur la période 2019-2022. Un marché de 248 millions d’euros sur quatre ans.

    Paul Boyé Technologies emploie 257 salariés en France, répartis sur ses deux sites de production de Labarthe-sur-Lèze (où sont implantés le siège de l'entreprise et ses installations logistiques) et de Bédarieux (Hérault). La société a réalisé un chiffre d'affaires de 90 millions d'euros en 2019.

     

  • On peut l'attraper 2 fois!

    Les scientifiques chinois annoncent que le virus peut s’attraper une seconde fois et devient alors plus meurtrier.

    https://www.taiwannews.com.tw/en/news/3876197.

    Bien sûr on pourra se poser des questions à ce sujet. Pourquoi plus meurtrier? Parce qu’on n’a pas réussi à faire des anticorps et que le virus est plus malin que nous? Ou parce qu’il revient sur des organismes déjà affaiblis" Ou toute autre réponse. Pour l’instant on n’en sait rien.

    La seule chose que l’on sache, c’est que les Chinois, comme les Iraniens, mentent à leurs populations sur l’ampleur de l’épidémie, et qu’en Chine, ô horreur, des malades mourants ont été brûlés vifs sans attendre leur décès pour faire de la place dans les hôpitaux.

    https://rahunew.blogspot.com

    D’autre part le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que  la "fenêtre d’opportunité" pour endiguer la propagation du virus est en train de se refermer.

    https://www.theguardian.com

    Cette déclaration ayant été faite avant les nouvelles contagions en Italie de cette semaine, et surtout en Iran qui s’évertue à cacher la réalité du problème, on peut se demander si la fameuse fenêtre est aujourd’hui refermée. Cela signifierait que la propagation du virus ne peut plus être endiguée. En France, bien que cela soit caché aux populations et que les informations restent strictement locales, il n’y a pas une seule ville, grande, moyenne ou petite, qui n’ait son ou ses cas de gens infectés. Le virologue australien Paul Hunter vient de déclarer que nous atteignons "le point de non-retour". Mais en tout état de cause, le virus est maintenant partout. Et en France dans toutes nos villes.

    La troisième information a été donnée aujourd’hui: le coronavirus a infecté un chien paraît-il.

    Affirmation à suivre bien sûr. Mais qui pose de nombreuses questions.

    Reste à savoir si le virus va muter en se répandant, quel est son taux de mortalité, s’il y a des gens qui génétiquement ne peuvent le contracter, et si les scientifiques sont capables de mettre au point des traitements. Bref quelle est sa nature que l’on semble ignorer aujourd’hui. Mais les comportements auront aussi un rôle à jouer : entre autres éviter les regroupements et les lieux à forte densité de population ainsi que les contacts, car il n’y aura pas grand-chose à faire sinon attendre que ça se passe et faire ensuite le décompte des victimes.

     

  • Voici les principales rumeurs et fake news autour du coronavirus COVID-19

    Rappel: Un contact étroit avec une personne infectée augmente le risque. Selon le Centre de contrôle et de prévention des maladies, la transmission de personne à personne peut se produire à partir d'un mètre de distance.

    "Le sèche-main tue le coronavirus".

    Des rumeurs nées en Chine courent selon lesquelles en se séchant les mains pendant 30 secondes à l'air chaud du sèche-mains, on peut éliminer toute trace du virus. En revanche, l‘OMS conseille par précaution de se laver fréquemment les mains avec de l'eau et du savon ou un produit à base d’alcool. Une fois que vos mains sont propres, il faudrait les sécher soigneusement en utilisant des serviettes en papier.

    "Manger de l'ail protège de l’infection“.

    Sur les réseaux sociaux, on lit qu’il faut consommer de l’ail (Allium sativum L.) pour prévenir ou soigner une infection au coronavirus. Un post est devenu viral après avoir affirmé qu’en buvant de l’eau dans laquelle on a fait bouillir de l’ail on peut guérir du nouveau coronavirus.

    L'ail est un aliment sain qui peut avoir certaines propriétés antimicrobiennes, dit l'OMS, mais rien ne prouve que la consommation d'ail protège contre le nouveau coronavirus.

    Dans le détail, quelques études ont trouvé que in vitro l’extrait d’ail a une certaine activité contre les virus de la grippe A et B, les cytomégalovirus, les rhinovirus, le HIV, le virus de l’herpès, les rotavirus. Mais il n’existe pratiquement pas d’essai clinique chez l’homme pour le vérifier en conditions réelles. Une étude a suggéré un effet protecteur contre le rhume mais sa qualité laisse à désirer et elle n’a pas été confirmée.

    "L'huile de sésame empêche le coronavirus de pénétrer dans l'organisme".

    L’affirmation selon laquelle en frottant de l’huile de sésame sur la peau on fait barrière au virus, est née en Asie; normal: l'huile de sésame est un aliment de base de la cuisine asiatique.

    Mais c'est à peu près tout ce à quoi elle sert, et encore.... L’huile de sésame renferme majoritairement un acide gras de la famille oméga-6 (acide linoléique) et pas d’acide gras oméga-3. Elle est donc déséquilibrée, et je déconseille de l’utiliser régulièrement en cuisine.

    D'ailleurs, je n'en ai jamais acheté.

    "Les gargarismes préviennent l’infection"

    Certains produits utilisés sous la forme de gargarismes peuvent éliminer des microbes pendant quelques minutes. Toutefois, cela ne signifie pas qu'ils protègent contre l'infection au nouveau coronavirus, dit l'OMS.

    "Le chlorure de magnésium peut soigner ou prévenir l’infection à coronavirus"

    Cette rumeur fait suite à une précédente, publiée par la lettre Santé Nature Innovation, selon laquelle du chlorure de magnésium permettrait de guérir d’Ebola. Elle avait à l’époque été démontée par Thierry Souccar. Cette fois, c’est non seulement le chlorure de magnésium, mais d’autres sels de magnésium qui sont censés agir contre le virus.

    En réalité, si les suppléments de magnésium peuvent aider à corriger des déficits, s’ils peuvent soulager les états de stress (et donc indirectement soutenir l’immunité), il n’existe aucune preuve qu’ils ont d