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Blog - Page 146

  • Bon pour les neurones

    J'ai commencé à m'intéresser à la nutrition dès 1970... à l'époque on disait que les meilleurs produits de bonne valeur biologique étaient dans l'ordre: l’œuf, le foie d'animal, les noix et autres fruits secs, l'ail et l'oignon cru... et voici les dernières avancées....

    D’après les études, le régime méditerranéen est l’une des meilleures alimentations pour maintenir un cerveau en bonne santé. Mais certains des aliments de ce régime ont plus d’effets que d’autres.

    La sardine

    La sardine est un poisson gras riche en oméga-3, plus précisément en DHA (acide docosahexaénoïque). Cet acide gras polyinsaturé est très important pour le bon fonctionnement du cerveau car il est très présent dans la structure des membranes des cellules… dont les neurones.

    Bien évidemment, à condition de ne pas jeter l'huile de la boîte qui contient énormément d'oméga-3.

    Rillettes de sardines

    Écrasez les sardines avec la moitié de l'huile, écrasez un fromage frais quelconque, mélangez bien le tout. Disposez sur des tartines de pain (entier, de campagne, etc.) Pour l'apéritif ou une entrée.

    L’ail

    Souvent considéré comme un "super aliment", l’ail contient de nombreux composés chimiques naturels qui ont des effets protecteurs sur la santé. En ce qui concerne le cerveau, l’ail aiderait à prévenir son vieillissement ainsi que certaines maladies neurodégénératives comme les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson.

    Miail

    Dans un mortier, écrasez deux ou trois gousses, ajoutez de la chapelure ou mie de pain sèche, écrasez, montez avec de l'huile, ajoutez épices et aromates. C'est une sorte de pesto dont vous trouverez facilement l'utilisation. Dans une soupe, il permet de l'épaissir comme toutes les sauces trop claires d'ailleurs. (c'est moi qui ai inventé cette astuce!).

    L’épinard

    Les épinards sont riches en de nombreux composés bénéfiques comme les vitamines A, B9, C et K mais aussi en pigments antioxydants comme la lutéine et la zéaxanthine. Des études ont montré que ce légume pouvait limiter le déclin cognitif. Vous n’aimez par les épinards? Pas de problème, ce sont tous les légumes verts à feuilles comme les salades, les choux ou encore les blettes qui ont cette propriété.

    Les épinards cuits à la cocotte-vapeur avec de la crème fraîche liquide, un peu de safran ou curcuma; cela passe très bien.

    Les noix

    La noix présente un grand intérêt pour le bon fonctionnement du cerveau. Riche en oméga-3, vitamine E, antioxydants, elle permettrait de prévenir le déclin cognitif.

    Vitamine E = vitamine de longévité.

    L’œuf

    L’œuf, et plus précisément son jaune, contient une vitamine souvent oubliée, la choline. Cette vitamine est essentielle pour la synthèse d’acétylcholine, un neurotransmetteur associé à la mémoire.

    Malgré ce que l'on a toujours, des études récentes indiquent que l'on peut manger des œufs tous les jours!

    Le thé vert

    Le thé vert fait partie des " super-aliments ". Riche en antioxydants très puissants, il permet de neutraliser les radicaux libres qui sont à l’origine du vieillissement cellulaire. Il aide ainsi à protéger le cerveau des lésions et améliore le flux sanguin cérébral.

    Vous le trouverez ici:

    www.biotine-sep.com

     

  • Le Nutri-score va devenir obligatoire sur les publicités

    L’Assemblée nationale vient d’adopter une loi visant à informer le consommateur du Nutri-score d’un produit alimentaire dont il est fait la publicité d'ici au 1er janvier 2021.

    Les aliments ultra-transformés ont envahi les étals de nos supermarchés et les espaces publicitaires. Une nouvelle loi vient d’être adoptée pour contraindre les industriels à mentionner le Nutri-score de leurs produits lorsqu’ils en font la promotion à la télévision, à la radio ou "par voie d’imprimés et de publications périodiques édités par les producteurs ou distributeurs de ces produits". Son but est d'« améliorer la qualité nutritionnelle des aliments et à encourager les bonnes pratiques alimentaires ». Cette loi  oblige par ailleurs les industriels de l'agro-alimentaire à transmettre à l'observatoire de l'alimentation les données relatives à l'étiquetage nutritionnel de leurs produits.

    En retour, l'observatoire doit remettre chaque année au 1er janvier un rapport au Parlement sur l’évolution de la qualité nutritionnelle de l’offre alimentaire. Ce rapport devant alors servir de base à l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) pour fixer "des objectifs de réduction en sel, en sucre et en acides gras trans pour les catégories de produits alimentaires identifiés comme contribuant significativement à l’apport de ces nutriments dans l’alimentation“.

    On pourrait se dire que c’est une bonne chose, une petite avancée dans le combat contre la malbouffe. Cependant, les industriels pourront se soustraire à cette obligation, moyennant finances. Et "l'obligation ne s'appliquera qu'aux messages émis et diffusés à partir du territoire français et reçus sur ce territoire".

    Un amendement précise que l'enseignement sur l'alimentation doit être nécessairement intégré à l'enseignement scolaire et reste optionnel pour les activités périscolaires.

    Si on peut se réjouir de voir les parlementaires s'emparer de cette question de santé publique, on peut aussi se poser la question des effets réels qu'elle pourra avoir sur le surpoids et l'obésité, à cause de ses limites en termes d'obligation et aussi parce qu'elle est basée sur le Nutri-Score, un indice extrêmement réducteur.

    Lorsque que j'étais à l'école publique, dans les années soixante, nous avions cours de cuisine; nous avions, nous les filles, la possibilité d'avoir un sujet au certificat d'études… cuisine ou couture.

    On devrait enseigner la nutrition et diététique dès le plus jeune âge aux enfants… savoir se nourrir bien est très important… et les parent actuels, n'ayant pas été informés sont de bien pauvres éducateurs… on ne peut enseigner que ce que l'on sait soit même, cela tombe sous le sens.

     

  • Pommes de terre sautées

    pour 3 personnes; 1kg de pomme de terre; 250g de cansalade, 30 g de graisse de canard; sel, poivre; 1 gros oignon jaune; des herbes aromatique: 30 g

    Cuire les pommes de terre avec de l'eau bouillante, salée, durant 20 minutes. Coupez-les en gros cubes;

    Dans un sautoir recouvert de céramique ou en fonte; mettre la graisse de canard et la cansalade coupée en lardons et faire brunir; ajoutez les pommes de terre, les herbes aromatiques entières ou des cœurs de laitue. Faites sauter un quart d'heure en remuant souvent.

    Si vous rajoutez un litre de bouillon, vous obtenez une soupe de patates à servir avec des croutons aillés et fromage râpé. Soupe complète donc.

  • Quand je fais de la blanquette...

    ou du pot au feu, ou autres plats mitonnés, je rajoute plus de bouillon que nécessite le plat. (sauf les cuissons avec du vin)...

    Comme j'ajoute toujours un os à moelle, je récupère ainsi, pour le congeler en pot de verre, du bon bouillon gélatineux à souhait dont je vais me servir plus tard pour faire une soupe toulousaine (du bouillon versé sur des croûtons de pain, avec un œuf dont le jaune est jeté sur le pain et le blanc cuit dans le bouillon; je rajoute en dernier ressort du fromage râpé).

    Finir avec du persil ciselé. Pour la diététique, saupoudrez de levure de bière dans le bol à soupe: on ne fait jamais cuire la levure de bière pour ne pas tuer ses bonnes propriétés thérapeutiques.

    Vous trouverez des gélules de levure de bière revivifiable (cela veut dire que la levure n'est pas morte: il m'est arrivé de l'utiliser pour un gâteau n'ayant pas de levure pour ce faire)

    les gélules bio sont ici:

    http://www.biotine-sep.com/gelules

     

    D'ailleurs, moi, je fais tous mes bouillons (et mon café) avec de l'eau en bouteille... plus chère peut-être que l'eau du robinet, mais au moins, il n'y a pas de chlore qui m'agresse les intestins...

     

     

     

  •  Comment conserver les radis ?

    Le radis se conserve très mal, il est donc préférable de consommer la botte tout de suite. Si ce n’est pas le cas, conservez-la dans le bac à légumes du réfrigérateur, mais avec ses fanes et ses racines.

    Les radis peuvent être lavés à l’avance, coupez les feuilles et racines au ras, puis conservez-les dans une boîte hermétique en verre au réfrigérateur, ils peuvent se garder plus longtemps.

    Pour le radis noir, vous pouvez le conserver 1 semaine dans le bac à légumes du réfrigérateur.

    Il faut bien laver les radis et les fanes. Ensuite couper à ras les fanes et enlever les racines.  Ensuite couper les radis ou non, en fonction de la préparation.

     Pour le radis noir, lavez-le puis pelez-le avec un économe avant de le couper en fonction de la préparation.

     Le radis rose se mange en général cru, avec un peu de sel ou de beurre. Il faut éviter de le peler pour conserver le plus de micronutriments ainsi que ses saveurs. Rincez-le en laissant ensuite tremper dix minutes dans de l'eau bicarbonatée.

     Mais vous pouvez néanmoins le cuire. Il faut alors éviter les cuissons trop longues. Le mieux étant quelques minutes à la vapeur ou au wok.

    Attention ne jetez pas les fanes ! Vous pouvez les utiliser pour des sauces(pesto) ou des soupes par exemple. La soupe à, alors, un petit goût de noisettes.

    Les radis sont le plus souvent consommés très simplement avec du sel et du beurre, mais vous pouvez également faire une petite sauce à base de fromage blanc pour les accompagner.

    Dans une salade de crudités, les radis apportent du croquant et une couleur rose très appréciés.

    Cuits avec des haricots verts ou des pois gourmands, ils accompagnent à ravir un poisson ou une viande blanche.

    Les graines de radis peuvent aussi se manger germées, parsemées sur les salades ou les plats par exemple.

     

  • Rougeole: fake news, anti-vax et vraie flambée mondiale.

    Au moins 136 000 morts en 2018 dans le monde.

    Dépassons Val Thorens, la Savoie*, et gagnons Genève. On entend déjà les oukases des anti-vax radicaux. Mais, raisonnablement, quelle autre solution que la vaccination?

    Jeudi 14 février, l’Organisation Mondiale de la Santé a alerté: flambée de rougeole dans le monde – bond d’environ 50% des cas signalés l’an dernier par rapport à 2017. "Quand nous voyons les cas signalés augmenter de 50%, nous savons que nous nous dirigeons dans la mauvaise direction", a déclaré la Pr Katherine O’Brien, directrice du département "Vaccination et produits biologiques à l’OMS".  "Nos données montrent qu’il y a une augmentation substantielle [du nombre] des cas de rougeole, précise-t-elle. Nous le constatons dans toutes les régions. Nous observons des épidémies qui se prolongent et qui prennent de l’ampleur.

    L’AFP rapporte ces données. A la mi-janvier, près de 229 000 cas de rougeole (chiffre provisoire) avaient été signalés dans le monde pour 2018, contre environ 170 000 en 2017.  "Toutes les régions ont vu une hausse des cas l’an dernier", a souligné la Dr Katrina Kretsinger, responsable médicale du Programme élargi de vaccination de l’OMS.

    Épidémies en Ukraine, à Madagascar, en République démocratique du Congo, au Tchad et en Sierra Leone. " Dans la région Europe, environ 83 000 cas ont été signalés en 2018 jusqu’à présent, dont 53 000 en Ukraine " précise-t-elle.

    Et la Dr Kretsinger de rappeler que la rougeole, infection virale hautement contagieuse et pouvant être gravissime dans les pays sous-développés. Elle peut, depuis quelques décennies, être efficacement prévenue à l’aide de deux doses d’un vaccin "sûr et efficace". Et l’OMS de déplorer "la diffusion de fausses informations sur le vaccin" – "notamment dans les pays riches".

    Démocratie et contraintes

    Est-ce là un retour vers l’ancien monde? Selon l’OMS le nombre des cas de rougeole recensés dans le monde avait diminué jusqu’en 2016. " Nous reculons par rapport aux progrès réalisés et nous ne reculons pas parce que nous n’avons pas les outils pour empêcher cela, nous avons les outils pour éviter la rougeole. Nous reculons, car nous n’arrivons pas à vacciner les enfants" déplore la Pr O’Brien.

    Pour cette spécialiste la principale raison de cet échec dans la vaccination des enfants est que ceux "qui en ont le plus besoin n’ont pas accès au vaccin".  De ce point de vue les chiffres de l’OMS sont le triste reflet de l’augmentation du nombre des "Etats fragiles, des urgences sanitaires et des réfugiés". "Les enfants qui ne sont pas vaccinés sont les plus pauvres, ceux qui vivent dans les communautés les plus marginalisées, cela peut être des enfants de réfugiés, de migrants" dit-elle.

    Il est aussi, d’autres enfants, dans les pays riches et démocratiques, dont les parents sont  (terriblement stupides) opposés à la vaccination. Des pays où les pouvoirs publics estiment ne pas avoir d’autres outils que le recours à l’obligation. Et où les fausses nouvelles galopent sur les réseaux sociaux.

     *C’est une "bouffée épidémique", un cluster rougeoleux qui fait tache, information virale peu banale. 8 février: 18 cas enregistrés. Le 12 février ont était passé à 26 cas. Et l’Agence régionale de santé (ARS) Auvergne Rhône-Alpes de sonner une nouvelle fois l’alerte. Une alerte reprise en chaîne par de nombreux médias: les vacances scolaires d’hiver viennent de débuter pour la zone B et Val Thorens va, comme chaque année accueillir de nombreux touristes skieurs, français et étrangers.

    jeanyvesnau.com

    Sur Wikipédia:

    Transmission et contagiosité

    Le virus de la rougeole se transmet directement par voie aérienne (les gouttelettes de salive en suspension dans l'air). Il peut également se propager par contact direct avec les sécrétions du nez ou de la gorge de personnes infectées. Le virus ainsi éjecté reste dangereux au moins 30 minutes et jusqu'à près de deux heures, en milieu aérien fermé (comme celui d'un cabinet médical)8, ou sur les objets et les surfaces.

    La période de propagation du virus commence 2 à 6 jours avant l'apparition de l'éruption cutanée. L'installation du virus dans l'organisme se fait au cours de la période d'incubation. Le virus est présent dans les sécrétions respiratoires dès la fin de l'incubation, jusqu'au 5e jour après l'éruption. Le risque de transmission diminue à partir du deuxième jour suivant l'apparition de l'éruption.

    On sait depuis le XIXe siècle que cette maladie est "hautement contagieuse". La période de contagiosité débute 5 jours avant et dure jusqu'à 5 jours après l'éruption. Le taux de reproduction de la rougeole (calcul du nombre moyen d'individus qu'une personne infectée peut contaminer tant qu'elle sera contagieuse) dans une population non-immunisée est estimé entre 12 et 18, ce qui en fait l'une des plus contagieuses7.

    Complications

    Les complications de la rougeole peuvent être de quatre ordres: respiratoire, neurologique, digestif et oculaire.

    Dans les pays développés, chez l'enfant, les complications les plus fréquentes sont l'otite moyenne aiguë (7-9% des cas), la diarrhée 8%, et la pneumonie 1 à 6%.

    Surinfections bactériennes

    Elles sont causées surtout par des streptocoques (Streptococcus pneumoniae et S. pyogenes), staphylocoque doré, et Haemophilus influenzae. Elles se manifestent au niveau ORL et pulmonaires, et peuvent être à l'origine de détresse respiratoires. Historiquement, avant l'ère des antibiotiques, elles étaient la première cause de mortalité de la rougeole. Elles restent toujours responsables de près de la moitié des décès par pneumonies au cours de la rougeole.

    Complications neurologiques

    La plus fréquente est l’encéphalite aiguë post-éruptive ou post-infectieuse qui survient 3 à 10 jours après l’éruption, dans un cas pour 1000. Elle n'est pas due à une multiplication du virus dans le cerveau, mais elle s'explique probablement par un mécanisme auto-immun. Sa mortalité est de 10%.

    L'encéphalite à inclusion survient chez les patients immunodéprimés, 2 à 6 mois après l'infection.

    La panencéphalite sclérosante subaiguë survient en moyenne 8 ans (9 mois à 15 ans) après l'infection aiguë, dans un cas pour 10 000 à 25 000 enfants ou 100 000. Elle se caractérise par une dégradation progressive des fonctions supérieures et motrices aboutissant au décès.

    Autres complications

    La pneumonie dite interstitielle à cellules géantes (par fusion des cellules infectées) se voit chez les enfants ayant un déficit immunitaire.

    Les kérato-conjonctives sont fréquentes et peuvent se compliquer de cécité, plus particulièrement dans les pays en voie de développement, en cas de déficit en vitamine A, avec près de 15 000 à 60 000 cas de cécités annuels dans le monde. S'en rapprochent l'otite moyenne aiguë et les cas de surdité.

    L'hépatite de la rougeole se voit surtout chez l'adulte.

    Les formes les plus sévères de la rougeole apparaissent chez le jeune enfant souffrant de malnutrition, surtout avec déficit immunitaire ou en vitamine A. D'autre part, la rougeole conduit fréquemment à la malnutrition par ses manifestations digestives (diarrhées, vomissements...).

    Rougeole et immunité

    Perçue comme une maladie bénigne chez un sujet en bonne santé dans les pays développés, la rougeole est en fait une maladie très grave chez les enfants sous-nutris ou vivant dans de mauvaises conditions d'hygiène: en 1980, 2 600 000 personnes, dans le monde, sont mortes de cette maladie.

    Chez nous:

    Selon les données de l'Institut de veille sanitaire, il y a eu 5 000 cas déclarés en 2010 (probablement davantage de cas non-déclarés), parmi lesquels 1 500 ont abouti à une hospitalisation, 9 ont été compliqués d'encéphalite infectieuse et 273 ont été compliqués de pneumopathie. Deux décès sont survenus à la suite d'une complication de la rougeole au cours de l'année 2010, l'un par encéphalite, l'autre par pneumopathie.

    Les données montrent que les taux d’incidence en 2010 ont plus que triplé chez les moins de 1 an et ont augmenté de près de 5 fois chez les adultes de 20 ans et plus par rapport à 2009. La tendance semble encore s'aggraver au début de l'année 2011. Cette année-là on y a notifié 15 000 cas; dont 651 pneumopathies graves, 16 cas d'atteintes neurologiques et 6 décès.

    Au total, de 2008 à 2012, la France subit une épidémie de rougeole avec 23000 cas et 10 décès.

    Celles qui ne font pas vacciner leurs enfants sont des mamans-assassines!

    La bêtise, c'est aussi de la sélection naturelle.

     

  • Paupiettes à la saucisse de Toulouse

    Pour 4:

    4 biftecks minces (ou escalopes de poulet, de dinde, de veau); une cuillère farine

    2 verres à moutarde de vin blanc sec, 100 g de chair à saucisse, 100 g de champignons du marché, 1 gousse d'ail, persil, laurier, ½ cuillère paprika, ½ citron, sel,

    du bouillon maison à décongeler

    Coupez les pieds sableux des champignons ou brossez-les si nécessaires, citronnez pour qu'il ne noircisse pas; mettre de côté les chapeaux pour l'instant; prenez les pieds et hachez-les avec du persil et éventuellement une échalote coupés en brunoise.

    Mélangez avec la chair à saucisse, ajoutez du paprika et du sel.

    Disposez un peu de farce que chaque morceau de viande, roulez en paupiette et ficelez en croix.

    Farinez et faites les dorer dans une cocotte avec de l'huile et tournez bien pour faire rôtir de tous côtés à feu vif et huile très chaude. Mouillez avec du bouillon très chaud (celui que vous avez congelé parce que vous l'avez fait vous-même et donc la recette est ici) et le vin blanc. Ajoutez du thym, laurier et mélangez.

    Portez à ébullition ce qui permet de retirer l'acidité du vin et fermez et faite cuire 50 minutes à feu moyen, (surveillez) ou 35 mn à la cocotte-vapeur.

    Dans une petite poêle ou casserole, faites sauter vivement les têtes de champignons avec du beurre; salez et poivrez; couvrez pour conserver la chaleur.

    Quand vous servez, les paupiettes, n'oubliez pas de rajouter les têtes de champignons et d'arroser avec la sauce.