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Blog - Page 149

  • Salade landaise à ma façon

    A réaliser juste avant de consommer

    200 g de salade verte, 1 tranche foie gras par personne, deux ou trois gésiers confits par personne et/ou deux ou trois cœurs confits par personne; quelques tranchettes de magret séché, huile de noix, 1 cuillerée de moutarde maison, vinaigre maison ou vinaigre de bon vin vieux. Par pitié, pas de vinaigre sucré qu'on vous vend sous le terme de vinaigre balsamique et que c'est une belle escroquerie très chère de surcroit.

    Quelques croûtons de pain à poêler dans la graisse de canard (aillés ou non, on les appelle alors pain tchintché si on ne les cuits pas mais on les arrose après les avoir aillés avec un filet d'huile d'olive).

    Lavez et épluchez la salade. Essorez bien à l'essoreuse à salade (si vous n'en avez pas, faites comme je faisais dans mon enfance: mettre la salade dans un torchon propre, attraper les 4 coins, sans serrer trop fort, et secouez votre torchon très fort par la fenêtre, sur la terrasse, dans le jardin…. Si vous avez trop de salade, rangez le torchon mouillé dans le réfrigérateur, elle se conservera trois ou quatre jours).

    Mettre votre salade dans un saladier en verre ou en terre cuite.

    Dans une poêle, faites sauter (sans rajouter de graisse bien sûr) vos cœurs et gésiers confits) cela va retirer la graisse de canard (s'il en reste, gardez pour faire des croûtons) avec des bouts de pain durs ou comme je fais, avec des petits pains grillés bio que j'achète en sachet (pour l'omelette au chèvre et croûtons ou pour la soupe toulousaine quand je n'ai pas de pain dur… toujours avoir une “poire pour la soif“!).

    Faites la vinaigrette dans un bol: moutarde, huile de noix, vinaigre (toujours être “mendiant“ pour le vinaigre… c'est-à-dire qu'on en met pratiquement pas);

    Je préfère tourner la salade, déjà, avec un peu de vinaigrette… puis, poser les gésiers confits, encore tièdes, les filets de magrets, les tranches de foie gras (revenu ou non à a poêle);

    Terminez par arroser du restant de vinaigrette et les croûtons. Servez de suite avec du pain aux noix ou aux lardons.

    Ce n'est pas dans la recette mais je rajoute des morceaux de noix coupés en brunoise et des rondelles d'oignons crus; vous pouvez aussi saupoudrer de persil haché frais (vitamine C et, de plus, il fait maigrir!).

     

  • Brochettes de canard aux pêches

    Repos : 1 h

    pour 4 personnes 2 magrets de canard

    3 pêches; 2 cuillère à soupe de miel toutes fleurs

    Huile de l’olive et du romarin frais

    Couper les magrets en lamelles. Dans un saladier, mettre les lamelles, le romarin, le miel et de l’huile d’olive. Laisser mariner 1 h.

    Couper les pêches en morceaux, puis réaliser les brochettes en alternant morceaux de canard et de pêche.

    Faire cuire les brochettes au barbecue entre 5 et 10 minutes (ou plus si les morceaux de viande sont gros), en les retournant de temps en temps.

  • Attention au poisson pas frais

    J'ai acheté dans un hypermarché du poisson censé être frais; il s'agissait de saumonette... Il fut emballé dans une poche qui se ferme et en principe, on peut le consommer 24 h après. A l'ouverture, aucune odeur nauséabonde (comme disent les bobos en parlant des mecs qui conduisent des diésel, la clope à la bouche!)

    Hélas, préparé au bain-marie comme je fais toujours, il avait un goût très désagréable et j'ai dû le jeter. Fort heureusement, nous n'avons pas eu de problèmes intestinaux.

    J'avais acheté deux pavés de saumon mis à congeler. Du coup, je me tâte. Donc, si vous achetez du poisson, consommez-le tout de suite: N'attendez pas!

    Mince alors, si on peut plus faire confiance aux supermarchés!

    Finalement, je crois que je vais, désormais, n'acheter que des poissons en boîtes ou surgelé (décongelez sans le plastique, bien sûr). Dommage, que l'on ne trouve pas sardines et pilchards en pots de verre car le bisphénol qui recouvre les parois des boîtes... ça me refroidi un peu.

    Astuce: en boîte, les poissons gras (thons, sardines, maquereaux) ne sont pas chers et représentent une bonne source d’oméga-3. Surtout si vous ne jetez pas l'huile des sardines....

    Achetez des pilchards (maquereaux à la tomate)... nous en consommons très souvent en été: c'est tout prêts, il n'y a qu'à ouvrir la boîte (après stase d'une heure au frigo)

    L'hiver, vous pouvez le "réchauffer" au bain-marie ou dans de l'eau bouillante, durant quelques minutes.

    Avec des pommes de terre bouillies: un régal, par cher. Il y a souvent des œufs dans le ventre des maquereaux femelle; j'adore cela!

    Voici un tableau qui compare les prix des poissons en conserve. Il est important de ramener le prix au kilo car les boîtes sont toutes de contenance différentes. Il est préférable de les choisir sans huile mais quand c'est le cas, préférer l'huile de colza, riche en acides gras poly-insaturés et bonne source d'oméga-3 ou l'huile d'olive, riche en acide gras monoinsaturés au lieu de l'huile de tournesol. Les maqueraux à la tomate sont les moins chers.

     

     

     

    Poissons en conserve

    Prix €/kg

    Thon naturel

    14,92

    Thon à l'huile d'olive

    13,2

    Thon à l'huile de tournesol

    10,7

    Maquereaux aux aromates

    9,1

    Maquereaux à la muscade

    12,7

    Maquereaux à la tomate

    8,28

    Sardines à l'huile d'olive

    18,78

    Sardines à l'huile de tournesol

    10,95

    Sardines à la tomate

    9,03

    Sardines au citron

    10,07

  • Salade de betterave au fromage de chèvre

    Recette de santé que je fais régulièrement avec mes ingrédients faits maison ou du jardin

     

    Un sachet de betteraves bio (c'est une semi-conserve, inutile de conserver au réfrigérateur en permanence… par contre, à réfrigérer une ou deux heures avant la préparation);

    fromages de chèvre (cabécou) ou une buchette bio

    Sel, poivre, persil haché frais (du jardin), 1 grosse cuillère à soupe de germes de blé (la boîte de germes se conserve au frigo car comme elle dure longtemps, les germes étant huileux, vous risquez de les voir rancir…), autant d'huile de noisette et vinaigre maison, 1 cuillère à café de moutarde maison

    Le goût sucré de la betterave se marie à merveille avec la saveur du chèvre dans cette recette. Transformez-la en repas principal en y ajoutant du quinoa cuit d'avance et refroidi.

    Coupez les betteraves en gros cubes, rajoutez le fromage émietté, la vinaigrette à la moutarde à l'huile de noisettes, parsemez de persil haché frais et de germes de blé.

    Les germes de blé “boivent“ la vinaigrette: rajoutez-là au dernier moment et soyez généreux-ses.

    Vous pouvez remplacer le quinoa par des épinards frais ou surgelés; les laver, les blanchir dans l'eau bouillante, les couper au couteau et rajoutez, quand ils sont froids, à la salade.

     

  • Macaronis au saumon frais au gratin

    600 ml de lait; 350 g de filets de saumon

    350 g de macaronis (ou de coquillettes); 50 g de beurre (+ pour beurrer le plat)

    1 cuillère soupe de farine; 250 ml de crème liquide

    125 g de petits pois (décongelés si surgelés)

    180 g de fromage râpé, 1 cuillère à soupe de persil plat haché; 125 g de chapelure

    2 cuillères à soupe d’huile d’olive; Sel et Poivre

    Dans une casserole, portez le lait à ébullition. Plongez le saumon et laissez cuire à feu doux pendant 6 à 8 minutes jusqu’à ce que la chair du poisson se défasse facilement. Retirez le saumon à l’aide d’une écumoire. Ôtez la peau et effeuillez les filets. Filtrez le lait dans un bol.

    Faites cuire les pâtes dans une casserole d’eau bouillante salée jusqu’à ce qu’elles soient al dente. Astuce: dès que la reprise du bouillon est faite, éteindre le gaz, couvrez la casserole et, de temps en temps, vérifiez pour votre consistance gustative.

    Pendant ce temps, faites fondre le beurre dans une casserole à feu doux. Ajoutez la farine, laissez cuire 2 minutes en remuant. Retirez du feu et versez le lait réservé auparavant, en fouettant. Remettez sur le feu et laissez frémir 2 à 3 minutes en remuant. Ajoutez la crème, les petits pois, le râpé et la moitié du parmesan. Salez et poivrez

    Égouttez les pâtes et remettez-les dans la casserole. Versez-y la sauce et le saumon, puis transvasez le mélange dans un plat beurré pour aller au four. Mélangez le persil, le fromage restant et la chapelure puis saupoudrez le plat de pâtes. Arrosez d’un filet d’huile d’olive et placez dans un four préchauffé à 220 °C pendant 10 minutes.

    Pour un craquant, parsemez de chapelure et parsemez le fromage à la fin.

     

  • Abricots secs à la crème de lait

    ATTENTION: uniquement des abricots secs!

    A préparer trois jours avant

    Dans un saladier en verre, mettre la quantité d'abricots secs souhaitée… recouvrez de lait entier et deux cm au dessus.

    Saupoudrez de vanille en poudre ou de vanille liquide et/ou d'un peu de cannelle en poudre.

    Mettre au réfrigérateur; patientez trois jours. Et vous avez le lait qui s'est transformé en crème.

    A consommer nature car les abricots rendent du sucre. Mais, bon, si vous êtes gourmand-es, pas diabétique et que les poignées d'amour ne vous font pas peur, ajoutez une lichette de miel de lavande.

    Du vrai, bien sûr. C'est à dire du miel de lavande en pot de verre Label Rouge. La fameuse étiquette AOP est souvent utilisée pour faire rentrer des miels frauduleux en France.

    En France, plus de 70% des miels en pots sont frauduleux c'est-à-dire que l'on vous dit qu'il vient de France mais c'est faux. La consommation a tellement augmentée ces dernières années et les pesticides ont tués tellement d'abeilles qu'on manque de miel français.

    Donc, prudence et vigilance en achetant des pots. UNIQUEMENT DU LABEL ROUGE!

    Bon ceci étant dit:

    faites des tartelettes avec ces abricots au lait gélifié.

    Achetez une pâte feuilletée AU BEURRE

    Prenez des pots de yaourt ou des moules en terre; renversez-les. Induisez de beurre, saupoudrez de sucre en poudre.
    Découpez des ronds de pate feuilleté et recouvrez l'envers du pot ainsi préparé. Au four à  180° durant un quart d'heure maxi.

    Une fois les tartelettes creuses cuites, déposez délicatement vos abricots à la crème. Voilà, c'est tout. Vous pouvez décorer avec des violettes cristallisées. De Toulouse, bien sûr!

    Pour faire des feuilles ou fleurs cristallisées

    Faites un sirop de sucre; trempez la feuille ou la fleur, secouez pour faire tomber le sirop en trop et faire sécher sur un tamis, au dessus d'une assiette.

    Heu… bien sûr, il vous faut des fleurs ou feuilles achetées pour être consommées.

     

  • ENFIN!!!! Vive la langue française

    MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d’autres langues, et avec trop d’autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l’hégémonie anglo-américaine.

    À l’occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s’adresse au Président de la République française.

    Au chef de l’État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l’exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

    Monsieur le Président de la République,

     La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l’anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d’oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d’une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d’un maître particulier.

     Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l’esprit de résistance.

     – Il est demandé au chef de l’État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l’exemple : en renonçant à l’emploi de l’anglo-américain à l’étranger, quand le français demeure l’une des deux premières langues d’usage d’une majorité d’organes internationaux ; en renonçant à l’utilisation peu digne de l’anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.

     – Il est demandé au chef de l’État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l’application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l’article 15 de la Loi du 4 août 1994.

     – Il est demandé au garant de la Constitution d’interrompre la marche suicidaire vers l’intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

    Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d’une résistance enfin consciente de l’enjeu.

    – Il est donc attendu du chef de file de l’OIF qu’il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l’organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l’égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l’installation au poste de secrétaire générale de l’OIF d’une personnalité rouandaise membre actif d’un régime politique détestable.

    – Il est attendu du chef de file de l’OIF qu’il défende l’usage de la langue française, non qu’il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l’anglo-américain comme « langue d’usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d’une majeure partie de l’Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d’usage » – le français – en vaudrait pourtant d’autres.

     Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l’État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d’État. Or il se produit très exactement l’inverse.

    Faute d’avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

     Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête.

    Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.

    Signataires

    Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

    Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d’Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l’antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

    Associations partenaires

    Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L’Heureux, Présidente de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l’Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

    Personnes privées

    Ilyes Zouari Président du Centre d’étude et de réflexion sur le monde francophone, France.Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard,auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c’est trop dur »), Louisiane, États Unis d’Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française, Paris, France.Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du « conseil des droits de l’homme » de l’ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada.Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice (« Mimi Cracra »), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d’anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada.Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l’AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l’organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz,artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l’Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l’ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada.Ralph Stehly, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault,conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l’association « Les amis de Bougainville », Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l’Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d’université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L’Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l’association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d’espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d’enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

    Avis au lecteur: il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l’ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd’hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

    http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

    Pour tout contact : langue-francaise2018@laposte.net

    06 76 24 24 01

    plus Josyane JOYCE, moi-même