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Recettes - Page 137

  • Dangers des marrons

    L’agence sanitaire met en garde contre les dangers des marrons toxiques

    Par  Journaliste Figaro Etienne Jacob 

    Et une de mes recettes en bas de la note

    Alors que l’automne débute, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES) alerte mercredi sur le risque de confusion entre le marron d’Inde, qui peut provoquer troubles digestifs et vomissements, et la châtaigne, parfaitement comestible.

    Attention à ne pas confondre châtaigne et marron d’Inde: si la première est comestible, le deuxième est toxique, alerte mercredi l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES). Pour sa mise en garde, l’établissement public se base sur une étude réalisée entre 2012 et 2018 avec les neuf centres antipoison de France. Et le résultat est sans appel: après les bulbes, parfois pris pour des oignons, la confusion marron/châtaigne est la deuxième plus fréquente concernant les plantes. En l’espace de sept ans, 174 erreurs ont été recensées et 45% d’entre elles ont été suivies de symptômes.

    Certes, ingérer cette graine n’est pas mortel, mais le phénomène requiert une attention particulière à l’approche de l’automne, époque à laquelle elle pousse. "C’est le même genre de confusions que l’on peut faire pour les champignons. Il est important pour nous de former et de communiquer à ce sujet", indique au Figaro le docteur Sandra Sinno-Tellier, responsable de la toxicovigilance à l’Anses.

    "En effet, même si on parle couramment de “marrons”, de “marrons glacés”, ou encore de “crème” ou “purée de marrons”, il s’agit en fait d’une variété de grosses châtaignes cultivées pour leur consommation", précise l’agence sanitaire. Comestibles, elles sont reconnaissables à leur bogue "brune, hérissée de nombreux et longs piquants". Elles contiennent "deux à trois châtaignes à la fois, plutôt petites, aplaties et triangulaires". Le marron d’Inde possède pour sa part une capsule "épaisse, verte, pourvue de petits pics espacés et courts, et contient généralement un seul marron, plus gros et arrondi".

    Des environnements différents

    Au goût, la différence est claire: les marrons d’Inde sont "irritants", assure Sandra Sinno-Tellier. D’après l’Anses, ils peuvent causer "troubles digestifs, douleurs abdominales, nausées, vomissements, ou irritations de la gorge". La mise en garde est d’autant plus importante que souvent, son arbre, le marronnier, est généralement planté en ville à titre ornemental, ou dans les cours d’écoles et les parcs, même s’il est possible de le trouver "ailleurs", note la spécialiste. "Souvent, ce sont des mamans qui appelaient car leur enfant ressentait une gêne ou une irritation après avoir croqué dedans", ajoute-t-elle. Connue pour ses propriétés médicinales - hémorroïdes, jambes lourdes -, cette graine ne doit pas être consommée, même cuite.

    La châtaigne, elle, est parfaitement comestible. Son arbre n’est pas le même ; il s’agit du châtaignier, et on le trouve le plus souvent dans les bois. La forêt de Montmorency, au nord de Paris, est par exemple connue pour être un "spot" de ce fruit très prisé. Quant aux vendeurs à la sauvette, omniprésents à Paris, ils s’approvisionnent en général auprès de grossistes, achetant des châtaignes - appelées marrons - venues du sud de l’Europe. "Notre message s’adresse à tout le monde mais concerne surtout ceux qui ramassent et ingèrent ces fruits", affirme Sandra Sinno-Tellier.

     

    Choux de Bruxelles aux “marrons“

    Recette des gens du Sud-Ouest.

    Pour deux ou trois: un kg de choux de Bruxelles, 1 pot en verre de marrons branche de thym frais, sel, poivre, une cuillère à soupe de graisse de canard et 100 g de cansalade en lardons.

    Faites tremper dix minutes les choux de Bruxelles dans de l'eau avec une cuillère de bicarbonate (si vos choux de Bruxelles ne sont pas bio)

    Pelez et coupez les petites feuilles jaunies des choux de Bruxelles (et coupez-les en deux si vous avez eu la bêtise d'acheter de gros choux de Bruxelles, ils sont gros et donc moins bons);

    Placez-les dans la cocotte minute avec un grand verre d'eau (direct, sans le panier, si vous avez mis de l'eau en bouteille, votre jus de choux de Bruxelles peut être utilisée pour une soupe). Ajoutez le thym, un peu de sel.

    Allumez le feu (comme dirait Johnny) et baissez dès que la soupape tourne fort, laissez cuire ensuite 5 minutes avec la soupape qui chuchote). Éteignez le feu et NE RETIREZ PAS LA SOUPAPE (car les choux continuent de cuire tant qu'il y a de la vapeur).

    Attendre encore 5 mn, puis, sortez les choux et retirez l'eau. Dans un sautoir, faites rissoler à sec la cansalade; quand elle a rendu du gras, mettre une cuillère de graisse de canard et rajoutez les choux, faites les sauter pour qu'ils deviennent bruns et rajoutez les châtaignes du bocal en verre, déjà cuites.

    (Sinon, faites une incision en croix et rajoutez-les dans la cocotte durant que cuisent les choux de Bruxelles mais il faut en tout 10 mn pour cuire les châtaignes).

    Vous pouvez ajouter l'eau des choux de Bruxelles pour que les châtaignes réchauffent dans votre sautoir mais pas trop, sinon vous devrez attendre que l'eau s'évapore.

    Goûtez pour rectifier l'assaisonnement.

    Servez votre poêlée, bien chaude, avec une cuisse de canard confite ou du magret (on est Toulousain ou on ne l'est pas, macarel).

     

    Différence entre sauteuse et sautoir? la sauteuse est à fond plat.

    Le sautoir est à fond bombé

  • Petites seiches au vin blanc

    Pour 4 personnes

    400 g de petites seiches, 3 gousses d'ail,

    1 bouquet de d’herbes (persil, coriandre, ciboulette,…),

    1 petit piment rouge doux, sel, poivre.

    100 ml de vin blanc, (cela correspond à un verre à moutarde), 1 cuillère à soupe d'huile d'olive,

    Nettoyez les petites seiches en les lavant à grandes eaux. Les sécher sur du papier absorbant.

    Faites  revenir l'ail haché et le piment doux émincé dans de l'huile d'olive, ajoutez les seiches et le vin blanc dans une sauteuse ou un sautoir, inox ou intérieur céramique.

    Laisse mijoter 10 min à feu doux, ajoutez les herbes une fois le feu éteint, goutez et assaisonnez au goût.

    Servir avec des pâtes, du riz;  Servir chaud.

    Si vous n'aimez pas l'alcool, remplacez le vin blanc par du bouillon fait maison.

  • C'est très chou!

    Les variétés de choux se succèdent au fil des saisons, pendant toute l'année. Le chou se cultive sous pratiquement tous les climats et il est originaire de diverses régions de France.

    La présence de dérivés soufrés (responsables de flatulences) et de fibres (plus ou moins fermes) rend parfois les choux difficiles à supporter pour les intestins sensibles. Pour une meilleure tolérance, il faut effectuer d’abord une première cuisson de quelques instants, à grande eau, casserole non couverte. Cela permet aux dérivés soufrés volatiles d’être en grande partie éliminés. On poursuit ensuite la cuisson dans une autre eau, ou à la vapeur;

    Ou bien, râper les choux aussi finement que possible quand on les consomme crus. On peut aussi les blanchir quelques secondes dans l’eau bouillante salée, ce qui attendrit la cellulose; ou encore les assaisonner quelques minutes avant de les consommer;

    Il faut choisir dans tous les cas des choux suffisamment jeunes, dont on ôtera les feuilles extérieures trop coriaces et le "trognon" souvent trop fibreux.

    Le chou doit être lourd et dense, les feuilles doivent être craquantes et bien serrées entre elles avec une couleur brillante et franche. Le chou est un légume dit rustique, il se conserve très bien au frais, dans le bac à légumes du réfrigérateur, pendant 1 semaine environ.

    Sa préparation est assez simple: En fonction de sa taille, le couper en deux ou en quatre.

    Enlever les feuilles abimées ainsi que le trognon dur et blanc de chaque partie découpée.

    Le laver rapidement à l’aide d’eau et de vinaigre blanc puis l’égoutter.

    Dans la mesure où l'on cuit le chou, il se produit obligatoirement des pertes vitaminiques et minérales. Ces pertes sont habituellement plus abondantes avec une cuisson à l'eau qu'avec une cuisson à la vapeur. Elles dépendent aussi, bien entendu, de la durée totale de la cuisson, et du "taillage" plus ou moins important du légume (les pertes sont plus élevées si la cuisson se prolonge, et si le légume est coupé en plus petits morceaux).

    Par exemple, pertes de

    pour la cuisson à l'eau:

    50 à 60% de vitamine C, 45% de vitamine B1, 35% de vitamine B2, 15% de provitamine. A

    pour la cuisson en autocuiseur:

    20 à 30% de vitamine C, 15 à 20% de vitamine B1, 15% de vitamine B2, 25% de provitamine. A

    Si possible, cuire le moins longtemps possible car il perd beaucoup de ses vitamines à la cuisson. Utilisez le mode vapeur ou en crudités (choux râpés).

    Il existe des tas de petites astuces afin qu'il ne “parfume“ pas trop la maison.

    www.nos18ansenmai68.com

    www.tradi-cuisine.com

    Personnellement, j'utilise plutôt du chou chinois: il n'a pas d'odeur et on n'a pas l'impression de manger du chou mais un simple légume vert sans saveur ni odeur: pourtant, on bénéficie de ses vertus.

    Dans mon enfance, nous avions très souvent la fameuse soupe au chou avec un morceau de plat de côte de bœuf. (c'est une viande riche, moelleuse et goûteuse, à essayer d'urgence et surtout, elle n'est pas chère du tout). Ne jamais oublier l'os à moelle, bien sûr!

     Quand on y mettait le farci, il n'était JAMAIS enveloppé dans des feuilles. On le cuisait comme une omelette dans une poêle, une dizaine de minutes des deux côtés, on ajoutait une grosse louche de bouillon et ensuite, il était glissé dans le saladier (ou la soupière), posé dessus… ou bien, on le mettait sur un plat à gâteaux et on coupait ce dernier comme on le fait d'une galette.

    Quand au plat-de-côte, on le coupait en gros cubes, arrosé d'une bonne vinaigrette et d'un hachis d'ail, persil, poivre et sel et des câpres et cornichons. Une anthologie orgiaque à lui tout seul… le plat-de-côte de bœuf cuit dans la soupe au chou.

    Quand au bouillon, faites en le plus possible pour en garder au congélateur pour une autre préparation ou à utiliser pour tremper la soupe (avec du fromage râpé) et ainsi récupérer le pain dur ou pour faire un excellent vermicelle!

     

  • Bientôt la saison des mitonnages...

    Les conseils pour faire un gratin dauphinois parfait

    La pomme de terre ne doit pas partir en miettes... Prenez de la Monalisa, de la Charlotte qui -elle- forme une liaison très moelleuse lors de la cuisson dans la crème.

    Evitez surtout les pommes de terre dites "à purée". Surtout, ne les lavez pas après les avoir épluchées, elles perdraient l'amidon qui sert à créer la cohésion du gratin. Mais, vous les frottez avec un torchon propre si vraiment elles sont très sales (du jardin?).

    Les pommes de terre devront ensuite être coupées en tranches très, très fines, appelées taillons comme disent les toqués de la toque. Il est très important d’avoir des tranches très fines. On doit -presque- voir à travers!

    Pour le reste, il n’y a en réalité pas des tonnes d’autres ingrédients: le lait, la crème et le sel. Voire le poivre et l’ail. Les recettes d'autrefois étaient sans muscade, ni d’ail, et pas de poivre non plus. Bref, la muscade ou l’ail font donc partie de la diversité des interprétations du gratin.

    Ceci dit, certains mettent une pointe d’ail. L’important, c’est de bien doser pour que le plat soit équilibré.

    Par contre, il est clair qu’on ne met ni fromage, ni œufs dans le vrai gratin dauphinois.  Les puristes du coin disent  que, surtout, n'ajoutez pas d'œufs ni de fromage. Sinon ce n'est plus le gratin dauphinois. Les œufs privent le gratin du moelleux et de l'onctueux qui sont ses caractéristiques, en y laissant des caillots qui en gâtent l'aspect et la finesse. Le fromage enlève la délicate saveur du lait crémeux.

    Avec du fromage, ce serait un gratin savoyard… peut-être excellent, mais ce n’est pas la vraie recette. Mais sûrement pas le saupoudrage de fromage râpé. Comme le disait Robuchon, “demandez à 100 dauphinois leur recette du gratin… Vous aurez 100 recettes différentes". Les variantes de la recette sont tout à fait acceptées, mais avec l'intransigeante constance des deux ingrédients interdits. (voir ci-dessus)

    Pour la cuisson, il y a plusieurs écoles. D’abord, la façon de faire typique du Vercors, qui consiste à faire cuire les pommes de terre avant la cuisson au four, pour un résultat extra-moelleux.

    Les gens du Dauphiné font un mélange de crème à 35% et de lait, moitié-moitié. Ils font bouillir ce mélange, et ajoutent les lamelles de pomme de terre. Laissez cuire sur le feu tout doucement, avec juste un frémissement, pendant 45 min. Ensuite, rajoutez un peu de crème dans le fond d’un plat à gratin, puis les pommes de terre avec la crème et le lait. Remettre alors encore un peu de crème par dessus et je mets au four à 180°C, pendant 30 minutes environ.

    Votre plat va colorer doucement. La crème, en cuisant, va gratiner et dorer bien joliment, et ce, sans un gramme de fromage. C’est ça le miracle du gratin dauphinois: cela reste hyper moelleux.

    En revanche, si l’huile se sépare du reste pour rester à la surface, c’est très mauvais signe. Votre crème devait avoir un petit problème…

    Ou bien, mettez directement les pommes de terre dans le plat à gratin en terre ou en grès ou en verre. Beurrez généreusement le plat. Frottez-le avec une gousse d’ail. Remplissez le plat avec les 1,5 kg de pommes de terre en lamelles, au fur et à mesure salez, poivrez, et ajoutez un peu d’ail. Recouvrez de 600 g de crème et 800 g de lait. Et faites cuire 1h30 à 140/150°C.

    Il faut cuire lentement, doucement, tranquillement, pour que la crème imprègne bien les patates et que le résultat soit fondant et doux au palais.

    Certains sont partisans du gratin cuisiné avec uniquement de la crème. D'autres, avec uniquement du lait sans une goutte de crème... On peut aussi le préparer la veille, et le faire saisir le lendemain. C’est valable pour beaucoup de recettes traditionnelles, cela permet d’avoir beaucoup plus de moelleux.

     

    Ma recette du gratin dauphinois

    Ingrédients (pour 4 personnes)

    1 kg de pommes de terre; 40 cl de crème entière

    40 cl de lait; Une gousse d’ail; Sel, poivre

    Préchauffez le four à 150°C.

    Épluchez les pommes de terre et coupez-les en très fines tranches, avec une mandoline de préférence.

    Beurrez un plat à gratin et frottez-le avec la gousse d’ail.

    Disposez une couche de pommes de terre, salez, poivrez. Puis une autre, salez et poivrez de nouveau. Après la dernière couche de pommes de terre, recouvrez tout ça avec la crème et le lait. Encore un peu de sel et de poivre, et c'est le moment d'enfourner votre gratin, pour environ 1h30 de cuisson.

    Vous pouvez plantez un couteau dans le gratin pour vérifier la texture des pommes de terre. Et le plat doit être parfaitement doré avant de sortir du four.

     

  • Le tourin vous fait un super cerveau!

    Ben, une preuve encore de notre French paradox, comme disent les angliches et autres amerloques….

    Après le vin (riche en anti-oxydants de toutes sortes, surtout le revestreratol) la graisse de canard (qui a les mêmes propriétés que l'huile d'olive (hé oui) voici quelques infos sur les ingrédients qui entrent dans notre Tourin toulousain:

    L’œuf

    Le jaune d'œuf est riche en choline, une quasi-vitamine qui est essentielle à la production d’acétylcholine, le neurotransmetteur associé à la mémoire. La plupart des habitants des pays occidentaux manqueraient de choline. Or une carence en acétylcholine est liée à la maladie d’Alzheimer et à la démence. Pendant la grossesse, la choline est essentielle au développement normal du cerveau du fœtus.

    Recommandé de manger 0 à 5 œufs par semaine. Rassurez-vous si vous en mangez plus: chez la plupart d’entre nous, le cholestérol sanguin ne varie pas lorsqu’on mange beaucoup d’œufs (jusqu’à trois par jour), mais dans 30 à 40% des cas, le cholestérol sanguin augmente. Ce cholestérol doit-il inquiéter? Non. Selon une méta-analyse de 2013, les personnes qui consomment 1 œuf et plus par jour n’ont pas plus de maladies cardiovasculaires que celles qui mangent un œuf au plus par semaine.

    L’ail

    L'ail est parfois considéré comme un "super-aliment" à cause des composés organosulfurés qu’il contient, comme l’allicine, qui ont des effets antioxydants et anti-inflammatoires. L'ail est traditionnellement utilisé pour ses effets sur le système cardiovasculaire mais il pourrait aussi être bénéfique au cerveau.

    Selon une étude américaine parue dans PLOS One, il permettrait ainsi de prévenir le vieillissement du cerveau et des maladies comme Alzheimer et Parkinson grâce à un composé appelé FruArg.

    Si vous consommez une petite gousse d'ail tous les jours pendant une semaine avant d'entrer à l'hôpital pour intervention chirurgicale, vous devriez être protégé-e d'une maladie nosocomiale…. prenez une petite gousse, pelez-là, bien sûr, et coupez-là en quatre pour l'avaler comme un cachet. En une ou deux fois dans la journée.

    N'oubliez pas que l'ail entre dans la composition de l'aïgo boulido: de l'eau, de l'ail et, parfois, une noisette de graisse de canard. Le petit déjeuner de nos ancêtres!

    De manière générale, les condiments, herbes aromatiques et épices semblent bénéfiques au cerveau (et à la santé générale). N'hésitez pas à en abuser.

    Dans les études ce sont surtout des extraits d'ail vieilli qui sont utilisés mais consommer chaque jour 1 à 2 gousses d'ail (écrasées ou coupées en morceaux) peut déjà avoir un effet protecteur.

    Vous trouvez des gélules d'ail noir BIO sur mon site

    www.biotine-sep.com

    On peut ajouter dans la recette du fromage râpé et vous connaissez les bienfaits du fromage, vitamine D, calcium, etc… du persil frais coupé au dernier moment avec un ciseau (vous mettez du persil dans un verre à moutarde et vous coupez avec le ciseau à bouts fins). Le persil est le légume qui contient le plus de vitamine C… oui, presque personne ne le sait…

     

    Je vous rappelle MA recette perso

    (que nous consommons une fois ou deux par mois). Voire plus: elle réchauffe le cœur et le corps!

    Je fais chauffer dans une grande casserole inox un litre de bouillon maison (pour deux ou trois personnes), je monte en ébullition et je verse le blanc d'un œuf. On peu rajouter une ou deux gousse d'ail pelées et coupée en morceaux. Une lichette d'huile d'olive.

    Je coupe du pain sec dans un saladier (en verre non coloré) en croûtons, je mets le jaune de l'œuf (donc, il est cru).

    Quand le blanc est bien cuit, je trempe mon tourin avec le bon bouillon. Je rajoute le râpé et je mélange bien; je saupoudre de persil frais haché finement; parfois, je ne mets pas d'huile d'olive dans le bouillon maison (s'il est un peu gras) mais je rajoute une lichette d'huile de noix ou noisettes au moment de servir. Pour les oméga-3

    Pour encore plus diététique, saupoudrez de levure de bière en paillettes. (toujours rajouter au dernier moment et pas trop si vous avez acheté de la levure maltée, qui est amère).

    Le bouillon maison? quand je fais de la blanquette, du pot-au-feu, de la soupe au chou, bref les bons plat mitonnés à l'ancienne, je prévois toujours large en bouillon; ainsi, j'en récupère dans un pot en verre blanc à vis, et je congèle une fois refroidi… ainsi, j'ai toujours du bouillon d'avance (ne pas oublier, cependant, de le sortir du congélateur le matin pour le soir, au minimum).

     

  • Faut-il laver ou éplucher les fruits et les légumes avant de les consommer?

    Photo ci-dessus: brunoise de légumes

     

    Bien sûr, même s'ils sont bio…. on ne sait pas la propreté des mains qui les ramassent ni dans quels cageots ils ont voyagé, sans compter sur les manipulations de mains sales qui tâtent ces derniers sur les étals.

    Afin d’enlever les micro-organismes issus de la terre ou du sable dans laquelle les légumes ont poussés, des bactéries pathogènes (Salmonella, Listeria...), des parasites comme par exemple le toxoplasme (véhiculé par les chats), responsable de la Toxoplasmose (maladie très dangereuse pour le fœtus), des traces de pesticides, fongicides ou herbicides utilisés dans l’agriculture, des germes amenés par toutes les personnes qui ont été en contact avec ces fruits ou ces légumes, sans compter les vers, les insectes, les saletés, la poussière..., il est fortement conseillé de laver les fruits et les légumes avant de les consommer. N'oubliez pas que si vos légumes viennent du jardin, il est impératif de les laver DANS LA DERNIERE EAU de rinçage avec une cuillère à café de vinaigre pour tuer les petites bêtes.

    Mais on dit également que leur peau, si elle se consomme, contient des vitamines, des minéraux et des antioxydants. Cette dernière contient également des fibres insolubles qui lorsqu'elles sont consommées en grande quantité, provoque des irritations du tube digestif.

    Alors comment le faire correctement? Lavage, brossage, épluchage?

    Dans la mesure du possible, il est préférable de ne pas éplucher les fruits et les légumes. Un bon lavage à l’eau potable avec brossage est suffisant. Sans savon mais par contre vous pouvez utiliser du bicarbonate de soude (1 cuillère à soupe pour 1 litre d’eau) ou du vinaigre blanc ou de pomme (1 tasse à thé de vinaigre pour 1 litre d’eau tiède), après environ 10 minutes de trempage, bien rincer et essuyer avec un torchon propre.

    Cependant, certains fruits sont fragiles comme par exemple les framboises. Il est donc déconseillé de les laver à grande eau mais plutôt directement dans une passoire (ou avec une douchette) juste avant de les consommer.

    Les 10 fruits et légumes les plus contaminés par les pesticides sont: les fraises, les épinards, les pêches et les nectarines, les pommes, les poires, le raisin, le céleri, les tomates, les poivrons et les pommes-de-terre.

    Pour tout cela, je vous conseille fortement de n'acheter que des fruits et légumes cultivés en France: vous serez sûr ainsi que l'eau d'arrosage est bien de l'eau de pluie et pas de l'eau des égouts non traitée: j'ai vu un reportage à la télé une fois qui parlait de tous ces fruits et légumes venant de pays d'Afrique où il n'y a pas d'eau! Rien que d'écrire cela, j'ai envie de vomir….

    Au réfrigérateur, on sépare les végétaux cuits des crus. On les prépare avant: lavés, épluchés et mis dans des boîtes hermétiques EN VERRE; seuls, les couvercles sont en plastiques et qui, cependant, ne doivent pas toucher vos végétaux.

    Les légumes cuits, restes de repas, sont également mis dans ces contenants en verre et consommés au maximum DANS LES TROIS JOURS… perso, je ne les garde pas plus de deux jours. Les fruits un peu trop mûrs ou gâtés doivent être récupérés en marmelade.

    Coupez en petits cubes, mettre dans une casserole émaillée ou inox avec un demi-verre d'eau, de la cannelle, de la noix muscade (selon le fruit) de la vanille en poudre, du sucre (ou non). On fait cuir jusqu'à ce que les fruits soient translucides: feu moyen sous surveillance constante, environ 6 à 8 mn.

  • Paupiettes de dinde

     

    Pour 4 personnes

    4 petites escalopes de dinde de 100 g,

    4 fines tranches de jambon blanc (environ 25 g chacune),

    100 g de champignons de Paris frais ou en conserve,

    1 oignon,

    1/2 verre de vin blanc sec (50 ml environ),

    1 verre d'eau ou bouillon maison (100 à 150 ml),

    persil, sel et poivre.

    Frottez les champignons avec du papier, hachez les pieds avec la moitié de l'oignon.

    Faites revenir ce hachis 5 à 6 min dans une poêle en tôle, légèrement huilée. Salez et poivrez.

    Sur chaque escalope, disposez une tranche de jambon puis la purée de champignons. Roulez le tout et ficelez.

    Faites revenir les paupiettes dans la poêle sans matière grasse. Coupez grossièrement le reste de l'oignon. Rajoutez le vin et l'eau. Salez et poivrez, laissez cuire 45 min à couvert.

    Ajoutez la tête des champignons, puis laissez mijoter encore 20 min.

     

    COMMENT NETTOYER LA POELE NOIRE EN FER

    Entretien quotidien, après chaque usage

    Une fois “culotée“ la poêle noire ne doit pas attacher. En fait, il ne faut JAMAIS la mettre dans de l'eau savonneuse ni, bien sûr, dans le lave vaisselle.

    Faites-tremper à l'eau très chaude, passez une éponge (qui a été essorée à l'eau très froide) et nettoyez la poêle normalement.

    Rincez à l'eau très, très chaude; séchez avec du papier absorbant: commencez d'abord par l'intérieur et faites l'extérieur. Posez votre poêle noir sur la gazinière l'envers pour brûler l'intérieur; ce qui “culotte“ encore plus et désinfecte la poêle (puisque vous ne l'avez jamais lavée avec du savon).

    Si vous avez une poêle peu sale, juste avec de la graisse ou huile, passez directement le papier absorbant; une fois cela fait, brûlez-la comme d'habitude… on n'est pas obligé-e de faire la première partie: eau et éponge.