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histoire - Page 11

  • Chichoulet à l'espagnole

    Photo: fèves sèches

    Je vous rappelle que le terme “chichoulet“, c'est moi qui l'ai inventé! because, contrairement aux toqués de la toque française, je ne veux pas jurer que le cassoulet était fait avec des fèves sèches avant que le haricot ne vienne ici (vers 1650); et pourquoi, on ne le faisait pas avec des pois chiches, hein?

    Faut qu'ils soient bien orgueilleux les chefs français pour  avancer qu'avant le haricot, le cassoulet était fait avec des fèves (et fraîches encore, berkkk, il était vert? mais non, coco, on peut le faire avec des fèves sèches qui deviennent brun foncé en séchant!);

    Donc, n'allez jamais manger un cassoulet fait par un chef -qui se la joue- en vous le cuisant avec des fèves fraîches: risible! Boycottez l'abruti!

     

    Heu… c'est encore tôt pour la saison mais c'est pour les grands apétits. D'ailleurs, vous pouvez le consommer un peu tiède (pas trop, sinon la graisse fige).

    Pour les quantités des poids chiches, aucune importance car il y a plus de viande que de chichoulet…. mais, bon, suivez les quantités mises sur le parquet.

    Faites tremper les pois chiches toute la nuit, DANS DE L'EAU EN BOUTEILLE, si vous voulez éviter les molécules pharmaceutiques de l'eau du robinet et autres chimiques, quoi qu'ils en disent.

    Par personne: 1 cuisse de canard confite (de préférence, pas en boîte), 80g de saucisse de Toulouse, 50g de chorizo piquant ou non, 1 carotte, 1 grosse tomate bien mûre, 20 g de couenne, 1 tranche de cansalade plate

    Pour l'ensemble du plat

    1,5 l de bouillon maison, ½ poivron rouge ou vert par personne, 2 ou 3 morceaux de sucre

    1 ou 2 oignons jaune, 1 petite boîte de concentré de tomate, ½ à plus cuillère à café de piment d'Espelette en poudre ou en larmes sèches

    2 brindilles de thym sec, une branchette de romarin sec, 1 feuille de laurier sec que vous trouvez ici:

    www.biotine-sep.com

    ce sont des plantes bio, sans irradiation (donc, il faut surveiller que des petites bêtes ne rentrent pas dans le sac au bout de quelques semaines, genre mites alimentaires.

    Les aromates, en général sont irradiées, justement pour tuer les petits bestiaux… (c'est la loi française qui l'oblige, au même titre que les crevettes qui, dès qu'on les sort de la mer, sont en voie de pourrissement rapide). En dehors de ceci, vérifiez que vos aliments ne soient pas irradiés… pour la santé parfaite de votre corps! (hein? vous ne le saviez-pas?)

    Si je vous dis de prendre des aromates secs, c'est que ces plantes sont plus aromatiques une fois séchées. Si vous avez du frais, mettez le double de plantes:

     

    Dans un sautoir (sauteuse à fond plat), dégraissez le confit dans le sautoir très chaud, à feu vif et faites-le rissoler dix mn en le tournant et retournant bien (mais oui, vous pouvez utiliser une fourchette à barbecue, pas de problème si en le piquant, vous faites sortir de la graisse, c'est même mieux).

    Dans le gras, sur feu vif aussi, faites revenir les tranches de cansalade et le chorizo coupé en rondelles, ajoutez la saucisse de Toulouse coupée en petits bouts, rajoutez les oignons coupés en petits cubes et les poivrons coupés en gros dés. Retirez le maximum de gras en penchant le sautoir, avec une cuillère inox.

    Une fois assez dégraissé, rajoutez les tomates coupées en gros cubes, les morceaux de sucre, les aromates et laissez cuire encore 10 mn; conservez à part.

    Dans la cocotte minute, faites d'abord blanchir les couennes, coupées en morceaux dix minutes dans de l'eau du robinet. Jetez l'eau pharmaceutique et faites cuire 1 h vos pois chiches dans du bouillon maison. (voir en fin de recette).

    Mélangez avant de fermer la soupape, la boîte de concentré de tomate dans le bouillon. (Comment faire, facile: ouvrir la boîte ronde, versez-là dans un bol avec une louche du bouillon et remuez le tout avant de verser dans la cocotte minute). Rajoutez le piment d'Espelette.

    Au bout de ce laps de temps de cuisson, rajoutez tous les autres ingrédients, sans retirer les aromates, mélangez bien et posez votre confit sur le dessus; refermez la cocotte et remontez en vapeur; dès que la soupape tourne, éteignez le feu; laissez la soupape cela permet au contenu de cuire encore un peu (genre marmite norvégienne): plus c'est cuit, meilleur c'est. Et puis, tout reste au chaud jusqu'au moment du repas (retirez les aromates avant de servir, bien sûr!).

    En été, vous pouvez préparer et éteindre le feu sous  le chichoulet  une bonne heure à l'avance pour qu'il ne soit pas trop chaud.

    C'est meilleur le lendemain, donc, ceux et celles qui travaillent doivent le préparer la veille et le réchauffer le lendemain. Pour réchauffer, vous pouvez récupérer -pour la jeter- la graisse figée qui s'est formée sur le dessus du plat; il sera moins gras.

    Je vous conseille de mettre beaucoup de bouillon; sinon, faites cuire les pois chiches dans beaucoup d'eau en bouteille: vous pourrez conserver du bouillon dans un pot en verre à visser et le congeler pour une autre utilisation.

    Si vous êtes trop pressé-e, utilisez des pois chiches en verrine de verre. Vous démarrerez la recette plus vite, sans avoir à faire tremper les pois chiches. Pour avoir un bon bouillon, prévoir de cuire l'ensemble au moins 20 mn en cocotte mais, NE RAJOUTEZ LE CONFIT QUE 10 MN AVANT LA FIN (sinon, bouillie de viande). Pour du confit en boîte, attention, il est archi cuit, donc, ne le laissez pas longtemps dans le bouillon.

    Date limite de consommation: avant les autres!

     

  • Les arènes de Toulouse, la corrida

    Il y a eu des arènes à Toulouse. Et des corridas. Les arènes toulousaines étaient de propriété privée. Les propriétaires n'eurent pas les moyens de les entretenir.

    On laissa mourir la tradition toulousaine.

    Je me souviens d'avoir vu de mes yeux enfantins les arènes lorsque le bus passait à proximité. Leur dernière utilisation fut un match gala des Harlem Globe Troters...

    Sur leur démolition on a construit le Lycée des Arènes. Les jeunes qui s'y pressent savent-ils seulement cela?

    J'avoue que j'aurais aimé assister au moins à une féria... n'en déplaisent aux crétin-es anticorridas. Ce sont les mêmes qui dégustent une entrecôte le dimanche ou un poulet fermier ou du foie gras de chez nous, lors de leurs fêtes familiales...

    Ceux qui ne mangent pas de viande, de volaille, de poisson, d’œufs, ne sont pas bienvenus chez moi!

    Ces abruti-es privent les vers de terre d'un bon repas lorsqu'ils vont claquer et c'est pas gentil, ça!

    La pauvre maman ver de terre ne pourra pas nourrir convenablement ses petits vermisseaux. Méchant-es va!

     

    À cause d’un ministre qui a eu la mauvaise idée d’assister à une corrida, nous avons eu droit à des débats passionnés sur toutes les chaînes de télévision de France et de Navarre.

    De "beaux parleurs" se sont montrés "horrifié " par les tortures infligées à ce noble animal qu’est le taureau de combat.

    Je ne suis pas un fan de la corrida mais le taureau affronte l’homme, il se défend, attaque et succombe certes mais, quelquefois, c’est lui qui encorne le matador.

    J’ai assisté quelquefois à des corridas et il est vrai que le spectacle de ces picadors à cheval, brisant l’échine du taureau avec leur lance, est loin d’être plaisant, notamment quand le cheval est lui-même éventré.

    Mais le reste du spectacle, ce ballet entre le toréador et le taureau, ces passes virevoltantes, à quelques centimètres des cornes puissantes et dangereuses, c’est envoûtant!

    Cet homme à genoux, offrant sa poitrine devant les naseaux fumants de l’animal coléreux, et on le comprend, cela atteint le sublime!

    Et puis arrive l’instant de la mise à mort et c’est à ce moment que le sublime peut devenir "écœurant".

    Ou le matador, du premier coup de son épée sacrifie l’animal, qui succombe aussitôt, avec, mais il s’agit là, sans doute, de mon imagination, un regard reconnaissant vers celui qui l’a vaincu, et que lui n’a pu vaincre.

    Ou, celui que l’on ne peut plus appeler un " matador ", martyrise et torture son noble adversaire sans parvenir à le sublimer dans la mort et l’on assiste à ce spectacle révoltant de ce combattant qui ne paraît pas comprendre qu’on le fasse souffrir autant, après qu’il se soit battu avec fougue et dignité sous un soleil brûlant.

    Voilà pour la corrida!

    Or, je n’ai pas entendu un seul de ces "beaux parleurs", ces défenseurs des animaux, réclamer l’interdiction de l’Aïd el-Kébir parce qu’on égorgeait vivants des millions de moutons de par le monde!

    Ces moutons ne peuvent ni se défendre, ni attaquer. Ils subissent leur massacre en silence, dans l’ombre.

    Les moutons doivent être égorgés "avec dextérité" par le sacrificateur. (Selon la législation française) mais c’est bien loin d’être le cas partout dans le monde musulman où l’on assiste à des tueries sanguinaires, dans la fête et la joie, quand le couteau tranche la gorge de l’animal sans défense.

    N’est-ce pas également "avec dextérité" que le toréador doit mettre à mort le taureau? Avec, en plus, le respect dû à un adversaire qui lui a opposé une brillante résistance?

    A-t-on assisté une seule fois à l’attaque d’un sacrificateur par un mouton?

    Il faut un courage certain pour se placer debout face à un taureau de 600 kilos qui pénètre dans l’arène et fonce sur son adversaire.

    Est-ce que le sacrificateur du mouton aurait ce courage d’affronter un taureau?

    Il aurait fallu aussi un certain courage pour oser s’opposer publiquement à ces rites religieux qui imposent leur bestialité, leur violence et leur goût pour le sang répandu, dans ses lois et même dans ses "fêtes"!

    Il ne s’agit pas de criminaliser uniquement cette religion, bon nombre d’entre nous, quelle que soit leur religion, et même s’ils n’en ont pas, font preuve d’autant de sauvagerie.

    Ce courage, pas l’un d’entre vous, messieurs les "beaux-parleurs", ne l’avez présenté.

    On ne peut que s’en désoler!

    Il est vrai que vous préféreriez tous affronter un mouton bêlant qu’un taureau de combat!

    Manuel Gomez

    https://ripostelaique.com/les-militants-anti-corridas-sont-bien-silencieux-quand-il-sagit-de-laid-el-kebir.html

  • L’alcool et la caféine ont créé la civilisation

    L’alcool a permis à la civilisation de démarrer et a certainement contribué à aider l’humanité à surmonter sa détresse pendant les périodes de pauvreté. Mais ce fut la caféine qui nous aida à entrer dans une histoire de prospérité.

    Par Chelsea Follett.

    Un article du Cato Institute

    Aucune drogue n’a eu plus d’influence sur la civilisation humaine que l’alcool et la caféine.

    La nature les a créés pour tuer des êtres vivants bien plus petits que nous : les plantes sécrètent de la caféine pour empoisonner les insectes prédateurs, et la levure produit de l’éthanol afin de détruire les microbes concurrents.

    En phase avec ses origines toxiques, l’alcool tue 3,3 millions de personnes par an. Ceci représente 5,9 % de l’ensemble des décès et 25 % si l’on s’en tient aux personnes âgées de 20 à 39 ans. L’alcool provoque des maladies du foie, de nombreux cancers et bien d’autres altérations sanitaires et sociales dévastatrices.

    Mais d’un autre côté, des recherches scientifiques récentes semblent montrer que l’alcool pourrait avoir contribué au développement de la civilisation humaine.

    Les bienfaits de l’alcool

    La consommation d’alcool pourrait avoir favorisé la survie des premiers Homo sapiens. À une époque où l’on ne savait ni purifier l’eau ni préparer la nourriture dans de bonnes conditions d’hygiène, le risque d’ingérer des microbes dangereux était si élevé que les caractéristiques antiseptiques de l’alcool rendaient sa consommation plus sûre que celle de produits alternatifs sans alcool ; et ce malgré les risques propres liés à l’alcool.

    Il est fort possible que nos ancêtres primates aient aussi consommé de l’éthanol dans des fruits en décomposition. Robert Dudley, le chercheur à l’origine de l’hypothèse du " singe ivre ", pense que les abus d’alcool contemporains proviennent d’un décalage entre l’environnement préhistorique et celui que nous connaissons aujourd’hui.

    Au départ, les humains obtenaient de l’alcool à partir de plantes sauvages. Le vin de palme, toujours en vogue dans certaines régions d’Afrique et d’Asie, date très certainement de l’an 16 000 avant JC. Une boisson alcoolisée chilienne concoctée à partir de pommes de terre sauvages remonterait à 13 000 avant JC. Les spécialistes considèrent maintenant que le désir de disposer d’un approvisionnement stable en alcool a pu motiver les débuts de l’agriculture et la sédentarisation.

    Découverte du vin de riz

    Des résidus découverts sur une poterie excavée sur le site archéologique de Jiahu en Chine prouvent que l’humanité a bu du vin de riz depuis au moins 7 000 avant JC. Le riz fut domestiqué en 8 000 avant JC, mais les habitants de Jiahu se mirent à l’agriculture plus tard, à peu près au moment où l’on sait qu’ils buvaient du vin de riz.

    "La domestication des plantes était motivée par le désir d’avoir de plus grandes quantité de boissons alcoolisées, " soutient l‘archéologue Patrick McGovern. On considère généralement que les hommes ont cultivé le blé pour avoir du pain et que la bière en fut un produit dérivé. Aujourd’hui, certains chercheurs comme McGovern pensent que ce pourrait bien être l’inverse.

    L’alcool nous accompagne depuis le début, mais l’utilisation de la caféine est plus récente. La consommation chinoise de thé caféiné remonte à 3 000 avant JC au moins, mais la découverte du café, dont le contenu en caféine est nettement plus fort, semble avoir eu lieu au Yémen au XVème siècle.

    L’introduction du café en Europe

    Avant le siècle des Lumières, les Européens buvaient de l’alcool à tous les moments de la journée. Puis, suite aux échanges commerciaux avec le monde arabe, les comportements se mirent à évoluer : le café, riche en caféine, donc stimulant, se répandit sur le continent et remplaça l’alcool dont les effets sont dépresseurs.

    Comme le disait l’écrivain Tom Standage, "L’impact de l’introduction du café en Europe au cours du XVIIème siècle fut particulièrement perceptible, étant donné que les boissons les plus répandues à l’époque, même au petit-déjeuner, étaient des petites bières et des vins à faible teneur en alcool. Toutes deux présentaient moins de danger que l’eau qui risquait d’être contaminée… Le café… apportait une alternative nouvelle et sûre aux boissons alcoolisées. Ceux qui se mirent à boire du café à la place de l’alcool se retrouvaient alertes et stimulés dès le matin, plutôt que relâchés et en état de légère ébriété. La quantité et la qualité de leur travail s’en trouva grandement améliorée. L’Europe de l’Ouest commença à émerger du brouillard d’alcoolémie qu’elle avait connu pendant des siècles. "

    Un créateur de lien social

    Les cafés (coffeehouses) devinrent rapidement des lieux importants de la vie sociale où les clients débattaient politique et philosophie. Alors qu’il travaillait sur La Richesse des Nations, Adam Smith fréquentait le British sur Cockspur Street et le Turk’s Head.

    Après l’affaire du Boston Tea Party, la plupart des Américains privilégièrent le café sur le thé, augmentant ainsi leur consommation de caféine. Pour Thomas Jefferson, le café était " la boisson favorite du monde civilisé. " Encore aujourd’hui, les Américains consomment trois fois plus de café que de thé. Selon les mots de l’historien Mark Pendergrast, " la Révolution française et la Révolution américaine furent décidées dans des cafés. "

    Les Lumières et la Révolution industrielle se sont caractérisées par une explosion des innovations et des idées nouvelles. Les niveaux de vie ont augmenté en flèche. De nouvelles formes de gouvernement sont apparues. Plus récemment, la mondialisation a donné une nouvelle échelle à l’idée libérale classique de libre-échange pacifique, et a ainsi permis de réduire les inégalités dans le monde entier.

    Aujourd’hui, malgré la croissance de la population, de moins en moins de personnes vivent dans la pauvreté. Les hommes vivent plus longtemps, ils sont mieux éduqués, et ils sont de plus en plus nombreux à profiter des avantages de la démocratie libérale.

    La caféine est la drogue psychoactive la plus consommée dans le monde. L’alcool a permis à la civilisation de démarrer et a certainement contribué à aider l’humanité à surmonter sa détresse pendant les périodes de pauvreté implacable qui ont représenté la plus grande partie de l’histoire humaine. Mais ce fut la caféine qui nous donna les Lumières et nous aida à entrer dans une histoire de prospérité.

    Traduction de Nathalie MP pour Contrepoints

  • Intoxication à la salmonelle dans des lots de coppa

    Photo: cansalade plate

     

    Deux nouveaux cas en Haute-Garonne, 15 dans le Gers

    Dans le Gers, une quinzaine de personnes ont été victimes d'une intoxication alimentaire liée à la salmonelle, après avoir mangé de la coppa. Deux personnes ont été hospitalisées à Bouloc en Haute-Garonne.

    Dans le Gers, les personnes intoxiquées sont adhérentes de la fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA). Après un repas collectif, elles ont été prises de diarrhées et de vomissements, elles ont passé la semaine au lit, certaines ont dû être hospitalisées. Une personne est toujours sous surveillance à l'hôpital.

    Selon les derniers éléments de l'enquête, les convives avaient mangé de la coppa contaminée par des salmonelles.

    Selon France Bleu Occitanie, deux autres personnes, originaires de Bouloc en haute-Garonne, auraient été hospitalisées. Elles ont participé à un repas dans une école où deux autres personnes ont eut les mêmes symptômes sans pour autant être hospitalisées.

    Les lots retirés de la vente

     

    Et oui: la coppa, c'est pas de chez nous…. et en plus, c'est plus cher!

    Chez nous, on fait nos lardons avec la cansalade…. et, en plus, c'est moins cher!

    De plus, vous avez le choix: cansalade roulée (en forme de très gros saucissons) cansalade plate (dont on peu se servir de garnissage de cassole… mais bon, je n'ai jamais fais cela… chez nous, tout est cuit ensemble… l'entoilage à la cansalade, c'est un truc des toqués de la toque!

    La cansalade me sert de... sel pour mes plats... en effet, ayant été piquouzée durant des années à doses importantes de cortisone (ma fille aussi, a du l'avaler en quantité importantes en 91) nous avions -peine perdue pour le tour de taille- été obligée de supprimer le sel... ce qui fait que je ne sale pratiquement pas mes plats et donc, la cansalade me rend ce bon service.

    Si vous êtes comme nous, parfois, offrez-vous des œufs au plat avec du bacon (c'est britich) et c'est presque pareil que la cansalade, en moins salé!