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occitanie - Page 11

  • Boire les plantes!

    Vin d’armoise

    L’armoise doit son nom à la déesse Artémis qui prenait soin des femmes et veillait sur les accouchements. Il faut dire que cette plante, connue aussi sous le nom d’herbe de la Saint-Jean, est fameuse pour améliorer certains troubles féminins.

    Antiseptique et fortifiante, ses propriétés sont connues depuis fort longtemps : les centurions romains en garnissaient, dit-on, leurs sandales pour maintenir les plantes – sans mauvais jeu de mot – de leurs pieds en bon état !

    Armoise

    Nos ancêtres prêtaient à cette herbe des propriétés dont certaines se sont en effet trouvées, bien plus tard, confirmées par la science : fortifiante, mais aussi digestive, elle stimule l’appétit et les fonctions digestives, tout en améliorant l’assimilation des aliments.

    Le vin d’armoise, à raison d’un petit verre avant chaque repas, offre une excellente manière de profiter des propriétés de cette cousine de l’absinthe.

    Laissez macérer 50 g de sommités fleuries macérées pendant 30 jours dans 1 litre de vin.

    Puis filtrez.

    VIN DE CASSIS

    Vous l’apprécierez pour ses vertus apéritives, mais pas seulement…

    Cassis

    Faites bouillir un litre de vin blanc, de type vermouth puis jetez-y une grosse poignée de baies de cassis et quelques morceaux de cannelle.

     Laissez tiédir, filtrez et mettez en bouteille.

    Pour ouvrir l’appétit : un petit verre à liqueur avant les repas.

    VIN DE GROSEILLIER SAUVAGE

    Le groseillier sauvage, appelé aussi groseillier des Alpes, est un petit arbuste qui ne dépasse pas 1,5m0, et qui se plaît dans les bois clairs, les sous-bois et les sols calcaires. Ses fruits ne sont pas très savoureux, mais les propriétés de ses jeunes pousses, en revanche, sont intéressantes. Elles aussi se prêtent bien à la préparation d’un vin apéritif.

    Groseillier

    Ajoutez 100 g de jeunes pousses de groseillier sauvage à un litre de vin bouillant. Laissez macérer pendant 20 minutes, puis passez.

    Pour ouvrir l’appétit : 1 verre avant le repas

    À NOTER… Les vins, sont en général à préparer à l’avance, et à conserver dans des flacons bien bouchés. Et, bien sûr, ces apéritifs sont à consommer avec modération !

  • Tradition!

    image générée par moi avec une I.A.

  • Œufs en rose

    Pour les enfants ou pour un apéro chic ou une entrée colorée.

    pour 4 personnes

    4 œufs dur; 250 ml de jus de betterave; 100 ml de vinaigre de cidre

    1 c. à soupe de sucre; 1 c. à café de sel

    1 gousse d’ail (optionnel); 1 feuille de laurier

    Dans un bocal, mélangez le jus de betterave, le vinaigre, le sucre, le sel, l’ail et le laurier. Plongez les œufs durs écalés dans la marinade et laissez reposer au réfrigérateur pendant 24 à 48 heures.

    Plus vous attendez, plus le rose pénétrera

    Servez coupé en deux avec une pointe de crème fraîche et d’herbes fraîches.

  • Lapin sauté aux pruneaux

    6 personnes

    1 Lapin,Farine 1 c à s, Echalotes 4

    100 g lardons de cansalade, Champignon de Paris 200 g

    10 Pruneau dénoyautés; 20 cl vin blanc sec, Bouillon de volaille 35 cl

    2 c à c Beurre, d' estragon

    Huile d'arachide, Sel, Poivre

    Salez et poivrez le lapin sorti du réfrigérateur 1 ou 2 heures avant. Dans une cocotte assez grande, versez un fond d'huile et faites dorer les morceaux sur toutes les faces à feu vif pendant 15 minutes environ. Ajoutez la farine, mélangez puis réduisez légèrement l'intensité du feu. Couvrez et laissez cuire ainsi pendant 10 minutes en retournant le lapin de temps en temps.

    Epluchez et hachez les échalotes. Ajoutez-les dans la cocotte et laissez-les cuire environ 5 minutes à feu doux sans les laisser brûler. Plongez les lardons 20 secondes dans l'eau bouillante pour les blanchir, puis égouttez-les. Lavez les champignons. Ajoutez dans la cocotte les champignons, les lardons et les pruneaux. Couvrez et laissez cuire à feu doux 5 minutes.

    Versez le vin de Riesling dans la cocotte. Faites-le bouillir, couvrez et laissez mijoter 5 minutes. Ajoutez le bouillon et laissez cuire encore 30 minutes. Sortez la cocotte du feu, incorporez au jus de cuisson le beurre et l'estragon en mélangeant le tout avec une cuillère en bois. Servez chaud.

  • Les pires aliments pour le cerveau

    Le sucre est à éviter, comme l'explique Max Lugavere : "Le sucre interagit avec les gènes dans le cerveau, ce qui a pour effet de diminuer la neuroplasticité et de nuire aux fonctions cognitives." Manger moins de sucre, en particulier les sucres cachés (présents dans les aliments transformés), est également une mesure à prendre pour protéger son cerveau.

    Dans l'organisme, les sucres favorisent la glycation des protéines. Ce mécanisme "survient lorsqu’une molécule de glucose s’associe à une protéine proche ou à la surface d’une cellule et provoque des dégâts, explique Max Lugavere. Toute nourriture qui provoque une augmentation de la glycémie peut potentiellement accroître la glycation, et les protéines exposées au glucose sont vulnérables." Pour ces raisons, il vaut mieux éviter les aliments à IG (index glycémique) élevé.

    La glycation conduit à la formation de produits de glycation avancée (AGE, pour advanced glycation end-products). Les AGE sont associés à l’inflammation et au stress oxydatif dans l’organisme. "La formation des AGE étant plus ou moins proportionnelle au taux de glucose sanguin, le processus est d’autant plus rapide chez les diabétiques de type 2 et joue un rôle majeur dans leur tendance au développement ou à l’aggravation de maladies dégénératives comme l’athérosclérose et la maladie d’Alzheimer, dit Max Lugavere. Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, un cerveau atteint est littéralement envahi de cette toxine du vieillissement et contient trois fois plus d’AGE qu’un cerveau sain."

    Méfiance aussi avec le fructose, présent notamment dans les sodas. Dans une étude menée à l’université de Californie à Los Angeles, on a donné à des rongeurs la quantité de fructose équivalente à la consommation d’une bouteille d’un litre de soda par jour (9). Après 6 semaines, ils ont commencé à présenter des troubles classiques : taux croissants de sucre dans le sang, de triglycérides et d’insuline, et dégradation de la cognition. Ils mettaient aussi deux fois plus de temps à trouver la sortie d’un labyrinthe que des rongeurs qui ne consommaient que de l’eau.

    Conclusion : bien nourrir son cerveau

    En conclusion, l'alimentation bénéfique à la santé cérébrale est riche en vitamines, minéraux, antioxydants, fruits, légumes, bonnes graisses (oméga-3 des poissons gras et des noix), choline des œufs... Elle évite les sucres, les aliments ultra-transformés et à IG haut.