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occitanie - Page 193

  • Sucettes de magret aux pêches

    Mélange sucré salé pour l'apéritif.

    Enrobez de miel une plaque, saupoudrez de romarin cisaillé Disposez les lamelles de magret sur ce tapis et laisser mariner 1 h après avoir retourné au bout de 30 mn, si vous pouvez, mettre au froid.

    Couper les pêches fraiches (pas en boîte) après les avoir mises à réfrigérer durant trois heures; en morceaux et enrobez chacun d'une lamelle de magret mariné, piquez sur de piques à brochettes et plantez comme vous le feriez d'une sucette ronde que vous connaissez bien. (Plantez dans un fromage rond, genre hérisson) et servez en amuse bouche.

    Vous pouvez remplacer les pêches par des billes de melon

     

  • Salade landaise à ma façon

    A réaliser juste avant de consommer

    200 g de salade verte, 1 tranche foie gras par personne, deux ou trois gésiers confits par personne et/ou deux ou trois cœurs confits par personne; quelques tranchettes de magret séché, huile de noix, 1 cuillerée de moutarde maison, vinaigre maison ou vinaigre de bon vin vieux. Par pitié, pas de vinaigre sucré qu'on vous vend sous le terme de vinaigre balsamique et que c'est une belle escroquerie très chère de surcroit.

    Quelques croûtons de pain à poêler dans la graisse de canard (aillés ou non, on les appelle alors pain tchintché si on ne les cuits pas mais on les arrose après les avoir aillés avec un filet d'huile d'olive).

    Lavez et épluchez la salade. Essorez bien à l'essoreuse à salade (si vous n'en avez pas, faites comme je faisais dans mon enfance: mettre la salade dans un torchon propre, attraper les 4 coins, sans serrer trop fort, et secouez votre torchon très fort par la fenêtre, sur la terrasse, dans le jardin…. Si vous avez trop de salade, rangez le torchon mouillé dans le réfrigérateur, elle se conservera trois ou quatre jours).

    Mettre votre salade dans un saladier en verre ou en terre cuite.

    Dans une poêle, faites sauter (sans rajouter de graisse bien sûr) vos cœurs et gésiers confits) cela va retirer la graisse de canard (s'il en reste, gardez pour faire des croûtons) avec des bouts de pain durs ou comme je fais, avec des petits pains grillés bio que j'achète en sachet (pour l'omelette au chèvre et croûtons ou pour la soupe toulousaine quand je n'ai pas de pain dur… toujours avoir une “poire pour la soif“!).

    Faites la vinaigrette dans un bol: moutarde, huile de noix, vinaigre (toujours être “mendiant“ pour le vinaigre… c'est-à-dire qu'on en met pratiquement pas);

    Je préfère tourner la salade, déjà, avec un peu de vinaigrette… puis, poser les gésiers confits, encore tièdes, les filets de magrets, les tranches de foie gras (revenu ou non à a poêle);

    Terminez par arroser du restant de vinaigrette et les croûtons. Servez de suite avec du pain aux noix ou aux lardons.

    Ce n'est pas dans la recette mais je rajoute des morceaux de noix coupés en brunoise et des rondelles d'oignons crus; vous pouvez aussi saupoudrer de persil haché frais (vitamine C et, de plus, il fait maigrir!).

     

  • Brochettes de canard aux pêches

    Repos : 1 h

    pour 4 personnes 2 magrets de canard

    3 pêches; 2 cuillère à soupe de miel toutes fleurs

    Huile de l’olive et du romarin frais

    Couper les magrets en lamelles. Dans un saladier, mettre les lamelles, le romarin, le miel et de l’huile d’olive. Laisser mariner 1 h.

    Couper les pêches en morceaux, puis réaliser les brochettes en alternant morceaux de canard et de pêche.

    Faire cuire les brochettes au barbecue entre 5 et 10 minutes (ou plus si les morceaux de viande sont gros), en les retournant de temps en temps.

  • Alerte à la maladie du "dragon jaune"

    Oranges et citrons européens

    L'Anses confirme un " risque élevé " d'introduction de la maladie du huanglongbing dans les cultures d'agrumes. Elle recommande la plus L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a confirmé mercredi un " risque élevé " d'introduction de la maladie du huanglongbing dite " du dragon jaune " dans les cultures d'agrumes en Europe, et recommande aux voyageurs la plus grande prudence dans le transport et l'importation de ces végétaux. " Le climat favorable, la présence des agrumes, le potentiel adaptatif des bactéries et la capacité d'établissement des insectes vecteurs en dehors de leur zone d'origine " sont autant de facteurs qui permettent à l'Anses de conclure un rapport publié mercredi par une " probabilité élevée d'établissement et de dissémination de la maladie " en Europe.

    La maladie du huanglongbing (HLB) constitue l'une des menaces les plus importantes pour les cultures d'agrumes dans le monde, puisqu'elle provoque des pertes importantes de rendement, une diminution de la qualité des fruits et peut conduire à la mort des arbres, selon l'Anses. La région reste l'une des seules exemptes de cette maladie qui touche de nombreux pays producteurs en Asie du Sud-Est, en Amérique et en Afrique, également présente en outre-mer dans les Antilles et sur l'île de La Réunion. "Il n'existe aucune mesure efficace pour l'éradiquer", écrit l'Anses dans son rapport.

    Respecter la réglementation européenne

    Le psylle Trioza erytreae, l'un des deux insectes vecteurs de la bactérie Candidatus Liberibacter spp., à l'origine de la maladie, est "d'ores et déjà présent au Portugal et en Espagne et pourrait disséminer la maladie", analyse l'agence. Elle explique que la maladie peut apparaître plusieurs années après l'établissement de l'insecte vecteur dans une région donnée, comme en Floride où la bactérie a été détectée sept ans après.

  • Crépettes à la cansalade et au râpé

    Pour servir de support à des amuse-bouche ou accompagner d'autres plats

    Photo: boudin à l'oignon que l'on trouve dans les charcuteries toulousaines

    Riche avec 3 œufs et de la crème fraîche ou plus légeres

    2 œufs à température ambiante

    150 ml lait; 100 g farine; 100 g de cansalade en très fins lardons

    Paprika, curcuma, thym ou basilic séché, sel et poivre au goût

    1 cuillère à soupe huile d’olive

    45- 50 g fromage râpé ou plus (comté, chèvre ou au goût

    Faire revenir les lardons avec ou sans huile (au goût) mais bon, comme ils sont très gras, il n'y a pas besoin d'huile... au fait, en faisant ainsi, vous les faire dégorger leur graisse et donc ils sont moins caloriques... (à moins que vous n'ayez besoin de cette graisse pour cuire autre chose).

    Mettre dans un saladier de verre, versez la farine, les aromates: battre les œufs en omelette et rajoutez; remuez bien; ajoutez la farine en pluie, remuez longuement encore et finissez par un peu d'huile d'olive.

    Laissez reposer un peu au réfrigérateur. Puis faire de petites crêpes plus ou moins rondes à la poêle et servir comme vous le souhaitez, chaud ou tiède.

    Support d'amuse bouche: écrasez du fromage frais ail et fines herbes (ou autres) mélangé ou pas avec de la moutarde et tartinez bien chaque crépette; posez un mouchoir (morceaux déchirés) de jambon cru, cuit ou des mouchoirs de saumon fumé, de magret fumé, de chorizo sauté à la poêle, des anchois à l'huile, des rondelles de saucisse toulousaine grillées, etc. etc… vous pouvez aussi mettre des rondelles de boudin grillées et/ou des rondelles d'andouillettes (cuites ou grillées).

    Le boudin à l'oignon se mange tout simplement avec du bon pain ou découpé en portion de 150 à 180g, tourné et retourné rapidement, dans un peu d'huile ou de graisse de canard dans une poêle en fer et servi avec de la purée maison ou sur des légumineuses (lentilles, haricots blanc, pois cassés...). Cela remplace la viande rouge ou la volaille et c'est extrêmement économique. Pas cher du tout, vraiment!

    Non et NON: à Toulouse, on ne mangeait jamais du boudin avec des pommes... c'est bien une idée de nordiste, ça!

    Au fait, le boudin contient beaucoup, mais alors-là, beaucoup de fer.... plus que les épinards.

     

     

  • Attention, danger!

    Photo: ail des ours

    Après la mort d'un sexagénaire, l'Anses alerte sur les risques d'intoxication aux plantes

    L'Anses met en garde contre les dangers, potentiellement mortels, de la cueillette. Avec les beaux jours, attention à ce que vous cueillez dans la nature et mangez, recommande l'agence sanitaire.

    Au mois de mai, les centres antipoison du Grand Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage.

    Au mois de mai, les centres antipoison du Grand Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage.

    L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) a recensé plusieurs cas d'intoxication grave ces dernières semaines en France. L'agence alerte donc, lundi 1er juillet sur les risques de cueillir et de manger des plantes non comestibles. Récemment encore, un homme est mort à cause d'une erreur de jugement : un sexagénaire qui croyait ramasser du persil tubéreux dans son jardin, l'a mangé. Il s'agissait en fait d'une plante toxique, l'oenanthe safrané, qui ressemble beaucoup au persil tubéreux. La confusion est courante.

    Plus de 250 cas d'intoxication par an

    Se tromper de plante provoque souvent des douleurs bénignes, abdominales, des vomissements, des diarrhées. Mais des symptômes plus graves peuvent également être constatés. Au mois de mai 2019, les centres antipoison du Grand-Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage. Là le risque est plus grand : vertiges, perte de cheveux, arrêt cardiaque ou même coma.

    Au total, les pouvoirs publics recensent plus de 250 cas d'intoxication par an à cause de telles méprises. Les confusions les plus fréquentes sont les suivantes : manger des bulbes de narcisses que l'on a pris pour un oignon, des feuilles d'arum confondues avec de l'oseille ou des épinards, de la vérâtre consommée à la place de gentiane, ou de la belladone au lieu de raisin.

    L'Anses conseille donc de ne surtout pas ramasser et consommer une plante, une fleur ou un bulbe si vous n'êtes pas sûr de vous.

    Le mieux encore est d'aller sur mon site de plantes bio

     

     

    par exemple: acheter des fleurs de plantes, ici "fleurs de sureau"

     

  • Bon à savoir...

     

    Pourquoi vous ne verrez plus "sans paraben" ou "sans silicones" sur les étiquettes de vos cosmétiques

    Les allégations "sans", qui ont une valeur marketing mais peu d'intérêt informatif, disparaissent des étiquettes des produits cosmétiques pour faire place à la liste des ingrédents qui les composent.

    A partir du 1er juillet, les allégations "sans..." sur les produits cosmétiques vont être interdites.

    Les étiquettes des cosmétiques vont être revues de fond en comble. À partir du 1er juillet, les mentions "sans paraben", "sans silicones", "sans sulfates" ou encore "hypoallergénique" disparaissent des bouteilles de shampoing et autres tubes de crème en France et dans toute l'Europe.

    La composition des produits ne change pas

    "Quand vous achetez des pâtes farcies, vous savez ce qu'il y a comme farce! s'exclame Anne Dux, directrice scientifique de la Fébéa, le syndicat de l'industrie cosmétique. C'est de la communication positive, donc il faut, quand vous achetez un produit cosmétique, que vous sachiez réellement ce qu'il y a dans le pot et il est temps d'apporter au consommateur de l'information réelle sur ce qu'il y a dans le produit."

     

    Cela implique des emballages qui vont communiquer sur ce qu'il y a dans le produit au lieu de communiquer sur ce qu'il n'y a pas.”

    — Anne Dux

    Un produit sans silicones n'a plus le droit de l'annoncer comme tel sur son emballage, mais ça ne signifie pas que des silicones seront réintroduits dans la composition du produit. "On va expliquer par exemple, qu'on met du karité pour adoucir la peau, détaille Anne Dux, tel ou tel conservateur pour éviter la prolifération bactérienne, qu'on met des filtres solaires pour que le produit soit efficace, ou pour son activité anti-rides, mais la composition des produits ne change pas."

    Une base de données accessible à tous

    Les mots-clefs rassurants pour les consommateurs, comme les expressions "sans paraben", "sans phtalates" ou "hypoallergénique" (qui reste autorisée mais dont l'utilisation devient très encadrée et difficile à obtenir). Les as du marketing vont devoir trouver de nouvelles formules, dont on ne sait pas encore si elles déclencheront l'achat.

    "Évidemment on ne va pas faire les mêmes allégations pour un produit capillaire que pour un produit de soin de la peau, affirme Isabelle Orquevaux Hary, directrice scientifique et réglementaire de L'Oréal. Il n'y a pas eu d'unicité dans le remplacement des allégations "sans". Il n'y a pas de retrait sur le marché donc, ce n'est pas un changement du jour au lendemain. Après on verra si on a effectivement plus de questions des consommateurs." Par manque de place, dans certains cas les ingrédients ne pourront pas tous figurer sur les emballages.

    ”On développe des sites des marques, le site 'Au cœur de nos produits', pour apporter des informations complémentaires pour le consommateur qui souhaite en avoir”

    — Isabelle Orquevaux Hary

    Les industriels de la beauté ouvrent une base de données dans laquelle 25 000 ingrédients sont répertoriés selon leur fonction, leur origine, et tout ce que la science sait sur ces composants. Cette base de données est accessible aussi bien aux professionnels et aux consommateurs pour informer, et pour redonner confiance aux clients.