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Cuisine Toulousaine et Occitane - Page 325

  • A tous ceux qui disent que l'immigration est une chance pour la France et qu'on doit bien les traiter...

    Voici la photo de la gamine de 11 ans (sourde, la pauvre enfant) première victime de l'enfoiré de Stockholm!

    Crève, maudit chien! et que ta race soit maudite dans les siècles des siècles jusqu'à la fin des temps!

     

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  • Cannellonis (Tubes ou makis comme on dit) de jambon aux pommes.

    Entrée fraîche et acidulée pour l'été

    4 tranches de jambon cru de Bayonne

    50 g de roquette, 1 pomme Granny Smith

    Un filet d'huile d'olive, de gingembre, sel et poivre du moulin

    Mélangez le gingembre et l’huile d’olive, salez et poivrez. Avec un vide pomme, taillez 4 tubes dans la chair et faites-les mariner dans le gingembre.

    Fourrez les tranches de jambon de roquette, de pommes et enroulez-les pour réaliser des cylindres que vous coupez ensuite en deux. Disposez sur une assiette 2 demi-tubes de jambon aux pommes. Décorez avec 1 trait de vinaigre balsamique

    Vous pourriez aussi par exemple faire une sauce au melon et au porto. Faites tremper la gélatine dans l’eau froide.

    Mixez la chair de melon avec un verre de porto (plus ou moins de porto selon la liquidité de la sauce souhaitée).

    Mettre dans une petite casserole un petite partie de l'écrasée de melon au porto et incorporez la gélatine quand cela commence à bouillir à petit feu. Etendre le feu;

    Rajoutez tout le restant de melon. Laissez refroidir au frais au minimum 1h.

    Servez dans des coupelles dans laquelle chaque convive va tremper son demi-tube de jambon avant de déguster.

     

     

  • Les apports conseillés pour 9 vitamines et minéraux.

    Nouveaux conseils

    • Vitamine B1: les apports conseillés sont de l’ordre de 2,2 à 2,4 mg par jour, mais cette vitamine peut manquer lorsqu’on consomme beaucoup de féculents et/ou de produits sucrés.
    • Vitamine B2: les apports conseillés vont de 1,5 à 1,6 mg. Dans l’étude Val-de-Marne, 14 à 31 % des femmes et 8 à 22 % des hommes ont des valeurs évoquant un risque élevé de déficit.
    • Vitamine C: selon nous, un adulte devrait s’en procurer 400 mg par jour. Ceci peut être réalisé en consommant 8 à 10 portions de fruits et légumes par jour. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez compléter en prenant un supplément minéro-vitaminique.
    • Vitamine D: entre octobre et mars dans l’hémisphère Nord, les doses de vitamine D optimales sont impossibles à atteindre par l’alimentation et l’exposition au soleil. Nous vous conseillons donc de vous procurer 1 000 UI de vitamine D3 par jour, ou plus selon dosages sanguins. Pour y parvenir, un complément est indispensable (d’origine animale ou végétale).
    • Vitamine E: dans l’étude Val-de-Marne, 40 à 90% des personnes sont en dessous des deux-tiers des apports nutritionnels conseillés, et jusqu’à 17 % en dessous du tiers, ce qui suggère que les déficits sont répandus. Il faudrait se procurer environ 15 mg par jour.
    • Magnésium: la plupart d’entre nous manquent de magnésium en particulier si le mode de vie expose au stress et au bruit. Il est alors conseillé de prendre un complément apportant 300 mg par jour,par exemple sous forme de citrate.
    • Potassium: pour atteindre le niveau que nous considérons comme optimal (plus de 5 g/j), vous pourriez envisager de consommer un supplément de citrate de potassium (1 à 2 g/j), si vous n’avez pas de problèmes rénaux.
    • Fer: dans l’étude Val-de-Marne, le déficit en fer touche 29 % des enfants de moins de 2 ans, 14 % des 2-6 ans, 15 % des adolescents et 10 % des femmes en âge de procréer. Dans SU.VI.MAX, 23 % des femmes ont des réserves de fer insuffisantes. On conseille de privilégier l’alimentation pour combler un déficit en fer, par exemple en recherchant des végétaux riches en fer, qu’on consommera avec des sources de vitamine C, ou des aliments d’origine animale comme la viande rouge, le boudin. Si cela ne suffit pas, on peut prendre un médicament à base de fer, ou un complément alimentaire comme la spiruline enrichie en fer.
    • Zinc: les apports conseillés vont de 8à 10 mg par jour. Dans l’étude Val-de-Marne, 18 à 25 % des enfants, 25 à 50 % des adolescentes et hommes adultes, et 57 à 79 % des adolescentes et femmes adultes ne reçoivent pas les deux-tiers des ANC.
  • Tout ce que l'on sait à ce jour de la grenade

    La grenade (Punica granatum), originaire des zones méditerranéennes, se présente comme un fruit rond, de la grosseur d'une petite orange, et recouvert par une épaisse peau ferme et brillante, de couleur rouge sombre à maturité.

    Quand on coupe la grenade en deux, on découvre une multitude de graines sombres, rangées dans des "loges" délimitées par des cloisons épaisses. Chacune de ces graines est entourée d'une épaisse couche moelleuse, d'un rose translucide. C'est cette pulpe qui constitue la partie comestible de la grenade (elle représente environ 55 % du poids total du fruit).

    La saveur de la grenade, douce et légèrement acidulée, est la résultante d'un équilibre harmonieux entre deux de ses constituants: les glucides ou sucres, d'une part, et les acides organiques, d'autre part. On y trouve environ 14 g de glucides aux 100 g, constitués en proportions sensiblement égales par du fructose et du glucose. Et selon les variétés et le degré de maturation, entre 1 et 2 g d'acides organiques, essentiellement sous forme d'acide citrique, de saveur nettement acidulée (l'acide malique, de saveur moins acidulée, représente à peine 20 % du total des acides organiques).

    La grenade fournit en moyenne 62 kcalories pour 100 g de partie comestible, ce qui la situe au niveau de la figue fraîche ou de la mangue. Cette énergie est fournie surtout par les glucides : les protéines ne dépassent pas en moyenne 1 g aux 100 g, et les lipides 0,4 g.

    Les fibres atteignent 3,5 g aux 100 g, et sont constituées presque en totalité par les fibres insolubles formant le tégument des graines.

    L'apport vitaminique de la grenade est dominé par la vitamine C, qui atteint 20 mg aux 100 g (une teneur très supérieure à celle de la plupart des fruits frais). Les vitamines du groupe B sont également bien représentées, en particulier la vitamine B3 (0,3 mg), la vitamine B5 (0,6 mg) et la vitamine B6 (0,2 mg). La provitamine A n'apparaît qu'en petite quantité (0,04 mg aux 100 g). Quant aux minéraux, assez abondants (700 mg aux 100 g), ils sont dominés par le potassium (250 mg). Phosphore, calcium et magnésium sont présents, de même que de nombreux oligo-éléments, parmi lesquels figurent à des taux non négligeables le fer, le zinc, le manganèse et le cuivre (respectivement 1 mg, 0,4 mg, 0,13 mg et 0,12 mg aux 100 g).

     

  • TOULOUSE-OCCITANIE: DANGER ROUGEOLE

    Les autorités alertent sur l'épidémie de rougeole, à Toulouse et en Occitanie

    Alors qu'une épidémie de rougeole sévit en Europe, de nombreux cas ont été signalés à l'Agence régionale de santé d'Occitanie... qui alerte sur le risque de recrudescence. Détails.

    Selon l'Agence régionale de santé, la recrudescence de la rougeole est renforcé par une "couverture vaccinale insuffisante".

    Les autorités tirent la sonnette d’alarme. Alors que l’épidémie de rougeole sévit en France et en Europe (où 559 cas de rougeole ont été recensés depuis janvier, selon l’Organisation mondiale de la Santé), l’Occitanie n’est pas épargnée. L’Agence régionale de santé met ainsi en garde contre un risque de recrudescence de cette maladie contagieuse, risque qui pourrait être "renforcé en raison d’une couverture vaccinale insuffisante".

    La majorité des cas survenus dans l’agglo toulousaine

    De son côté, la mairie de Toulouse souligne que "la rougeole étant très contagieuse, on craint une recrudescence de la maladie au cours du printemps, notamment dans les régions où la couverture vaccinale à deux doses n’est pas bonne; c’est le cas en Occitanie où la majorité des cas sont survenus dans l’agglomération toulousaine chez des personnes non vaccinées".

    Repérer les symptômes

    La rougeole se caractérise par l’apparition de plaques rouges, souvent précédée d’un épisode de forte fièvre (jusqu’à 39-40°C) avec toux, d’une grande fatigue, de rhinite et de conjonctivite. Ces signes avant-coureurs durent environ trois à quatre jours avant l’éruption cutanée, rappelle l’Assurance maladie sur son site. Si elle est majoritairement bénigne, cette maladie, toutefois très contagieuse, peut entraîner des complications (environ 30 % des cas) chez les nourrissons, les adolescents ainsi que les femmes enceintes (pneumonies, encéphalites, etc.)

    Comment le virus se propage-t-il ?

    Le virus de la rougeole se propage très facilement par voie aérienne, en particulier lors de toux, d’éternuements, de mouchages ou par contact de mains qui n’ont pas été lavées. L’ARS estime même qu’il s’agit de la "plus contagieuse des maladies infectieuses", un malade pouvant contaminer 15 à 20 personnes à lui seul. L’ARS et la Ville de Toulouse rappellent, par ailleurs, qu’il n’existe pas de traitement contre la rougeole et que "seule la vaccination constitue une protection efficace".

    Le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole), s’il n’est pas obligatoire, est toutefois recommandé dès l’âge d’un an, mais aussi chez les adultes nés après 1980. Comme le rappelle la mairie sur son site :

    Les personnes nées après 1980 doivent avoir reçu deux doses et certains professionnels (santé, travail au contact d’enfant) nés avant 1980, une dose s’ils n’ont pas eu la maladie.

    http://actu.cotetoulouse.fr

  • Figurez-vous que la bière est plus toxique que vous ne le croyiez!

    Boire beaucoup de bière augmente l’exposition aux mycotoxines, selon une étude espagnole

    Je ne sais pas si cela fait partie des "recommandations de l’Anses pour bien supporter les fortes chaleur", encore que boire une petite bière soit parfois très agréable, mais selon une étude espagnole, "Boire beaucoup de bière augmente l’exposition aux mycotoxines"

    Des chercheurs de l’université de Valence ont analysé les mycotoxines produites par certains champignons microscopiques dans la bière et les fruits secs, comme les figues et les raisins secs, confirmant que ces produits répondent à la réglementation sur les denrées alimentaire. Seuls les gros buveurs de bière, qui boivent plus d’un litre par jour, la contribution à ce produit à la dose journalière n'est pas négligeable, approchant ou dépassant même le niveau de sécurité sanitaire.

    Les mycotoxines sont des métabolites toxiques produits par des champignons qui contaminent les fruits, les céréales et les produits dérivés. Des scientifiques de l’université de Valence ont analysé les mycotoxines du genre Fusarium dans 154 marques de bière présentes sur le marché européen.

    Les résultats, publiés dans la revue Food Chemistry, confirment que l’exposition du consommateur moyen à ces toxines est faible et qu’elle ne comporte aucun risque toxicologique associé. Même les deux plus abondantes mycotoxines, le déoxynivalénol ou DON, qui est présent dans près de 60% des échantillons, et le la toxine HT-2 présente dans 9% des cas, sont présents à " des niveaux qui ne peuvent pas être considérés comme élevé ", comme le rapportent à SINC, Houda Berrada et Yelko Rodríguez du département de médecine préventive de l’université de Valence et co-auteurs de l’étude.

    Les concentrations moyennes de DON et de HT-2 détectées dans les bières ont été proches de 30 µg/L. Il n’y a aucune limite maximale légale de mycotoxines dans ces boissons, mais en général, cette valeur est faible par comparaison avec la limite maximale de DON établie par la législation de l’UE pour les aliments à base de céréales et fixés à 200 µg de DON par kg.

    Ainsi, l’étude souligne que, chez les personnes qui boivent beaucoup de bière, la contribution de ces substances nocives à la dose journalière " n’est pas négligeable, approchant ou dépassant même les niveaux de sécurité sanitaire ". La dose journalière admissible (DJA) maximale établie provisoirement par le Comité scientifique sur les aliments, une organisation qui conseille la Commission européenne, est considérée comme une référence.

    "Considérant que la consommation d’une quantité d’un litre par jour des marques de bière qui ont montré les niveaux de contamination les plus élevés, l’apport de déoxynivalénol seraient équivalents à 60% de la DJA maximale, et le niveau de sécurité pour la toxine HT-2 serait dépassé", fait remarquer Berrada.

    La chercheuse insiste pour dire que ces types de consommateur sont exceptionnels, et même si quelqu’un boit un litre de bière par jour, "avant d’avoir des problèmes liés à la toxicité des mycotoxines, il ou elle aurait d’autres problèmes, comme des problèmes de foie“.

    L’étude révèle que la consommation de bière varie beaucoup entre les pays européens. Pour la population espagnole, la FAO constate qu’elle est 75,3 kg/an, comparativement à la moyenne européenne qui est de 70,1 kg/an (équivalent à environ 0,19 L/jour). Selon les chiffres de cette institution, l’Irlande est le pays où l’on boit le plus de bière (142,8 kg/an), suivie par la République Tchèque (136,6 kg/an) et l’Autriche (107 kg/an).