Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Cuisine Toulousaine et Occitane - Page 448

  • L'hymne Toulousain

    "Ô moun païs..."

    (La Toulousaine)

     Poésie Languedocienne de Lucien MENGAUD  (1844)

    Musique de  Louis Deffès (1845)

    O moun pays, O Touloso Touloso/ on aymí tas flous toun cel toun soulel d'or/ Al prep de tu l'amo se sent hurouso : / et tout ayssí me rejouis le cor.// Mengaud.

    Ô moun pays! ô moun pays ! ô Toulouso, Toulouso!

    Qu'aymi tas flous, qu'aymi tas flous, toun cel, tôun soulel d'or !

    Al prep de tu, al prep de tu l'âmo sé sent hurouso,

    E tout ayssi é tout ayssi ayssi réjouis le cor

    E tout ayssi , é tout ayssi me réjouis le cor .

    Ô moun pays ! ô moun pays! ô Toulouso, Toulouso !

    Qu 'aymi tas flous, toun cél, toun soulel d'or !

    Que you soun fiér de tas académios,

    Des mounumens qu'ornon nostro citat !

    Detoun renoum é dé tas pouésios

    E de toun cant despey loutens citat !

    Aymi tabès nostro lengo gascouno

    Que tant nous douno, que tant nous douno de gayetat !

    Oh ! qu'aymi pla da tas brunos grisettos

    Lé tin flourit, lé souriré malin,

    Lour pel lusén, lours poulidos manétos

    Lours poulits pès é lour regard taquin !

    En las bésén moun cor se rebiscolo

    Etpey s'enbolo, Etpey s'enbolo tout moun chagrin.

    A tous entours l'herbo semblo pus fresquo

    Le parpaillol a maytos de coulous,

    Tous fruits y soun douces coumo la bresquo

    E tous pradèls soun claoufidis de flous ;

    Dé tous bousquéts you récerqui l'oumbratgé

    E lé ramatgé é lé ramatgé des aouselous

    De tous guerriés doun la noblo benjenco

    Fasquec courber plega le froun des argousis

    argousis" est une variante proposée à la place du texte obsolète de Lucien Mengaud => "sarrasis":

    En effet Toulouse souffrit bien plus de Simon de Montfort et des Croisés venus du Nord, que des arabes venus d'Espagne

  • Pour les très, très grosses faims!

    En fait, c'est très simple:

    Cherchez ma recette de blanquette à l'ancienne, réalisez-là et rajoutez des marrons (surgelé ou en boîte) comme légumes supplémentaires, juste avant de mettre le riz.

    A savoir: le riz prend un couleur marron clair (bien sûr)

    La sauce devient plus épaisse. Pensez à mettre beaucoup de bouillon avec de faire la fameuse sauce blanche.

    Il faut, évidemment, aimer le goût du marron mais, cuits ainsi, il ne sent pas trop.

    Mais, croyez-moi, cela cale bien et peut vous aider lorsque vos hommes reviennent de la salle de sport ou pour bloquer une canine d'adolescent en super forme!

    La blanquette plus diététique, se réalise avec des salsifis à la place du riz; c'est vraiment un bon et excellent paliatif aux calories du riz.

     

     

  • Toujours des histoires de cassoulet.

    Ce matin, j'ai reçu un appel d'une journaliste de la 2: elle me demandait si je pouvais participer à une émission qui consiste à proposer à des familles de manger sainement en cuisinant elle-même des bons produits cherchés chez les producteurs directement et d'apprendre à s'impliquer dans la préservation de l'environnement.

    Petite erreur de casting: ce n'est pas à une vieille de mon genre que l'on apprend la bonne cuisine (faite avec des produits frais) d'une part, ni même la diététique et la bonne façon de recycler ses déchets.

    Comme je suis une bonne blagueuse, j'ai parlé de beaucoup de choses et je ne sais pas comment  je lui ai dit que le meilleur cassoulet à Toulouse se trouvait, il y a trois ans,  au restaurant La Régalade, fermé depuis pour cause de retraite.

    Elle me dit: ha, non, le meilleur cassoulet est celui de Castelnaudary, j'y suis née. Comme elle ne possédait pas l'accent de l'Aude, je lui ai demandé d'où elle appelait, de Toulouse dit-elle. Je lui ai alors indiqué que le meilleur cassoulet n'avait pas de provenance, que le meilleur cassoulet est fait par les femmes de l'Aude comme ma grand-mère, née à Carcassonne et ma mère à Castelnaudary alors que moi, je suis née à Toulouse. Comme elle avait la prétention, puisque de Castel, de connaître la bonne recette, je lui ai posé deux ou trois colles... et j'ai gagné, of course.

    Par exemple, je lui ai expliqué que jamais dans la recette des femmes, on ne met de la chapelure. Elle ne le savait pas: mon papa en met. Ah bon! Un de la ville de Cassoulet, Dieu le père, qui met de la chapelure? Quelle hérésie, quelle honte!

    Je lui dit que le cassoulet a toujours été fait avec des haricots cocos blancs; il s'agit d'un haricot que l'on cultivait ici, dans le coin. Ce haricot a la fâcheuse manie de se désagréger en purée une fois bien cuit. Et c'est cela qui épaissit la sauce.

    Les cuisiniers qui se prennent pour des grandes toques et tous les toqués du même acabit ne savent même pas que le cassoulet ne se gratine pas. Ils sont, hélas, obligés de le faire car ils choisissent d'utiliser des haricots lingots qui ne se défont pas à la cuisson (ce qui présentent mieux qu'une certaine "bouillie" de haricots coco blanc). En utilisant des lingots, on a pu améliorer la présentation pour montrer au monde entier notre recette préférée et faire des photos présentables.

    Donc, si l'on vous présente un cassoulet avec chapelure, ricanez sous le nez du crétin pompeux qui se pavane. (Essayez de dire cette phrase à haute voix, cela doit être amusant!); tous les imbéciles heureux qui se pavanent avec "leur recette" me font rire. Ils vont racontant: la tradition veut que l'on craque 7 fois la croûte du cassoulet. Nul.

    J'en ai déjà parlé mainte et maintes fois. Quand on fait cuire plusieurs viandes différentes dans un bouillon, se forme une sorte d'écume. C'est elle qu'il faut "craquer". En fait, tout bêtement, on doit secouer le plat 7 fois au four; ce qui signifie que le cassoulet est un plat qui mijote, qui mijote, qui mijote, qui mijote, qui mijote, longtemps, très longtemps.

    Dans les campagnes, le travail des champs était dur sans les machines modernes. Les gens partait toute la journée aux champs, prenaient leur repas (dans une cabane s'il pleuvait) à midi, dans les champs. Et le soir, ils rentraient saoul de soleil et de fatigue et mettait les pieds sous la grande table familiale (dite parfois "monastère") où la ménine venaient leur servir le cassoulet.

    Car, une vieille femme qui ne va plus dans les champs faucher les foins où les blés, restait à demeure pour torcher les bébés et cuire la soupe. Il y avait de très grandes cheminées où l'on suspendait un énorme chaudron. Le feu était entretenu par la vieille femme qui versait dans le chaudron: une fois des haricots; une fois de la viande ou du confit selon besoin. Bien sûr, le cassoulet attachait au fond et même brûlait, cela faisait partie du "goût" du plat. Régulièrement, la marmite était récurée par une jeunesse et hop, la ménine reprenait son manège les jours suivants.

    Et alors, où elle est la chapelure dans cela? Nulle part. Le haricot coco se désagrégeait, il épaississait le bouillon; pourquoi mettre ces viandes à cuire si longtemps?

    ?

    ?

    Tout simplement parce qu'il n'y avait pas de dentiste avec fauteuil et instruments stérilisés!

    Les gens avaient des chicots de dents; donc, il leur fallait de la nourriture facile à déchirer...

    C'est tellement simple à comprendre!

    Dans le cassoulet toulousain, on rajoute de la tomate, juste une goûte. MAIS POURQUOI? Parce qu'en fin 19e, il y avait beaucoup de visiteurs anglais a Toulouse; ils dégustaient le cassoulet mais ne le trouvait pas si bon que cela. Hérésie! Pas bon notre cassoulet? Et ce sont les rosbifs qui font la fine bouche alors qu'ils mangent des haricots fluo? Un malin cuisinier toulousain à compris ce qu'il fallait faire: il a rajouté une petite boîte de tomate concentrée qui a donné une petite couleur au bouillon et, passez muscade, tout à coup, vl'à les anglais qui adorent notre plat gascon!

    Mais oui: Toulouse est à cheval sur les provinces Gasconne et Languedocienne. (C'est finit de critiquer? vous n'allez pas m'apprendre mon histoire de France locale tout de même!).

    Bien évidemment, tout à coup, des petits malins qui avaient déjà massacré le cassoulet à coup de chapelure sans même comprendre ce qu'ils faisaient se sont mis à nous bassiner la tête: mais vous n'y êtes pas, le haricot n'existe en France que depuis 1600 alors que des parchemins nous l'indiquent exister depuis bien longtemps avant. Ils se sont masturbés la cervelle et se sont dit: ben, avant, on mangeait des fèves dans le coin; et zou, v'là le cassoulet, le vrai de vrai que moi je suis le meilleur je le fais avec des fèves!

    Et moi, je regarde une émission sur Cuisine TV et je vois un abruti qui prépare un cassoulet réalisé avec des fèves fraîches: couleur vert fluo le cassoulet qu'il était.

    Et je vois se pavaner l'arrogant devant les caméras en nous présentant son invention miteuse.

    En voyant ce plat de viandes confites délicieuses gâtées par le vert printemps, je comprends aussitôt ce que je vous indique: les fèves, ben... on ne peut pas les garder fraîches longtemps. Et puis, autrefois, il n'y avait pas de réfrigérateur ni même de glacière dans les fermes gersoises, audoises, languedociennes. Les fèves sont mises à sécher et se gardent donc, comme les haricots... secs. On les appelle donc: févettes, ici, chez nous.

    Je n'ai pas encore eu l'occasion de goûter un cassoulet aux fèves (févettes) mais avec tout ce que je sais de son histoire, des févettes à la place du coco, suis pas contre. Mais, je n'en ferais pas: perso, trop réalisé de cassoulets aux cocos blancs. Déjà que l'on n'en trouve pas facilement des petits cocos blancs, alors des févettes...

    Mais, tout de même, puisque l'on s'imagine d'autres féculents, pourquoi n'a-t-on pas choisis les pois chiches? Ma marraine, d'origine espagnole, cuisinait ces pois chiches tellement bons que vous ne pouvez même pas le concevoir....

    La cuisine était l'affaire des femmes; les femmes aiment leurs enfants et leurs maris. La cuisine se fait avec amour. Beaucoup, beaucoup d'amour.  La plupart des grandes ou moyennes toques respectent tout juste leur critique gastronomique du Gault Rouge ou du Futé Michelin ou lycée de Versailles.

    Le premier ou la première qui me dit que j'ai tors dans ce dernier paragraphe n'a pas eu d'enfance heureuse, je le-la plaint de tout mon cœur et plus encore que vous ne croyez.

    NOTE pour mon banquier: non, cher ami, je ne vous donne pas ma recette. Coïncidence, mon banquier m'appelle juste après la conversation avec la journaliste. Cela fait je ne sais combien de temps qu'il me tarabuste pour que je lui donne ma recette: je lui explique et réexplique: invitez dix, douze, autant de personnes que vous voulez; je viens chez vous faire le cassoulet. Il y a énormément de recettes de cassoulet sur internet, ma recette n'est pas tellement différente des autres, ce qui fais la différence, c'est le "truc". Que j'ai parce que je réalise du cassoulet depuis toujours et j'ai bientôt 61 ans. Donc, forcément, j'ai une méthode de réalisation. Je montre à toutes les copines ou femmes de la famille: il faut le voir pour savoir comment se prépare un cassoulet, sinon, vous aurez un cassoulet "de boîte de conserve".

    C'est la mode de prendre des cours de cuisine: 70 euros les deux heures; moi, je vous demande juste une portion pour moi et une pour ma fille. Je viens quand vous voulez.

    Mais, comme cela fait plus de quatre ans que je le lui serine et qu'il n'a pas le temps....

     

  • Cassoulet halal

    Je constate que beaucoup de personnes viennent lire cette recette.

    Je l'ai inventé pour un chauffeur de taxi dont la femme est une "excellente cuisinière" dixit le monsieur.

    Bien évidemment, vous pouvez y mettre toutes les viandes que vous avez l'habitude de cuisiner.... vous utilisez des haricots coco, des fèves, des lentilles, des pois chiches, en fait la légumineuse que vous aimez mais c'est la méthode de cuisson qui fait le cassoulet...

    Longuement, très longuement mijoté...

    et comme déjà indiqué, il est meilleur réchauffé!

    Merci de votre confiance en ma recette... qui d'ailleurs peut servir à tout le monde...et qui est faite pour tous les gourmands qui l'utiliseront.

    En la relisant, j'en ai eu l'eau à la bouche... et pourtant, il n'est pas encore neuf heures du matin! mon anniversaire tombe en plein août: mais, croyez-moi, j'ai pratiquement tous les ans, mangé mon cassoulet... même en été donc!

    halala! on ne se refait pas quand on est Toulousaine de naissance!

    Mme Josyane JOYCE

     

     

  • Dans la série, on en apprends tous les jours!

    Des astuces sur le veau que je ne connaissais pas, trouvée dans un site sur les veaux des Pyrénées.

    Blanquette et sauté de veau:

    Les morceaux peuvent être braisés avant d'être cuisinés en sauce ou directement plongés dans un court bouillon puis cuisinés en sauce.

    Pardon, mais moi je cuisine tout en même temps!

    Tendron ou osso bucco comme disent les italiens!

    Jarret sans os ou morceau à braiser: braisé en cocotte puis cuisiné en sauce ou en ragoût avec des légumes. Les tendrons peuvent être marinés puis grillés au barbecue. La viande est cuite lorsqu'elle peut être transpercée avec un couteau sans rencontrer de résistance élastique.

    Pareil que pour la blanquette!

    Saucisse de veau:

    La saucisse de veau ne doit pas être piquée. Le temps de cuisson est moins long que pour la saucisse de porc. Elle peut être grillée l'été au barbecue, cuisinée l'hiver (coupée en petit morceau dans des plats de type lentilles ou potée) ou servir de base à des farces (cannellonis, lasagnes, bolognaises ou légumes farcis).

    Ben, moi, la saucisse de veau, savait qu'il y en avait…. mais, bon, c'est normal vu ce qu'on fait aujourd'hui en saucisse: avec du roquefort, du piment… bientôt, on va la trouver avec du chocolat… c'est peut-être déjà fait.

     A part la saucisse de Toulouse, la saucisse de foie, les merguez (que je connais depuis l'arrivée des pieds-noirs en 62 et les chipolatas (la saucisse des parigots?!) on n'avait que cela à se mettre sous la dent dans les années 50 et 60!!

    Il existe sans doute de la saucisse d'orang-outang, de kangourous, d'éléphant, de….. va savoir, Charles!

     

  • Salade de pois chiche - plat très complet

    Deux verres de pois chiche par personne ou des pois chiche cuits; 1 oignon rouge, un œuf dur par personne; 1 filet de poisson blanc par personne, 1 citron, 1 poivron rouge, huile d'olive, sel, poivre, deux gousses d'ail, câpres au vinaigre

    Faites tremper les pois chiche toute la nuit, jetez l'eau, les mettre dans la cocotte minute. Ajoutez poivre, cumin,  1 cuillère à café de curcuma, deux branches de thym, 1 de romarin frais et faire cuire 30 mn à chuchotement de la soupape. Après cuisson, ouvrir la cocotte, poser les poissons dans le panier dans la cocotte très vite et laisser cuire dans la fin de la vapeur un quart d'heure minimum

    Pelez et videz le poivron rouge, émincer l'oignon; faites cuire les œufs 12 mn puis écalez les vite après les avoir refroidis dans l'eau glacée. Zestez le citron et conservez le zeste

    Dans le saladier, faire la vinaigrette assez aromatique avec huile, jus de citron, du basilic ciselé, l'ail pelé et écrasé ou réduit en purée; de la moutarde si vous aimez, du raifort si vous aimez… goûtez et rajoutez des câpres au vinaigre selon quantité souhaitée.

    Versez les pois chiches rincés à l'eau froide; mélangez, rajoutez le poivron en brunoise, mélangez, rajoutez l'oignon émincé, mélanger, rajoutez les œufs écrasés, mélangez, rajoutez les zestes, mélangez, rajoutez le poisson détaché en miettes, mélangez.

    Mélangez, mélangez, goûtez, assaisonnez selon le goût, mettre à rafraîchir et dégustez après avoir rajouté un filet d'huile d'olive pimentée ou à l'ail ou au thym.

     

  • Cela se passe dans ma belle Ville Rose!

     Kubb : Le mini PC toulousain qui veut embellir le bureau; Le Kubb vise le créneau du luxe, le dernier créneau pour un PC fabriqué en France.

    Le Kubb vise le créneau du luxe, le dernier créneau pour un PC fabriqué en France.

    Depuis le 9 décembre, la société toulousaine Bleujour commercialise le mini PC Kubb. Si ce petit ordinateur de bureau, personnalisable à souhait, est livré avec Windows 8.1, il devrait être disponible sous d'autres systèmes d'exploitations très prochainement.

    Imaginé sur les bords de la Garonnes, le Kubb de la société Bleujour se présente comme un ordinateur de bureau de forme cubique tirant vers luxe. Ancien directeur marketing de l'importateur informatique Bacatá, Jean-Christophe  Agobert, le PDG de la jeune entreprise, fait le pari du design sur celui des performances. Cela fait près de deux ans que le dirigeant y réfléchit. Deux années nécessaires pour trouver 10 associés et lever 500 000 euros de fonds. Équipé d'une batterie de secours en plus des habituels composants micro (puce Intel Core i5 ou i7), ce PC sans fil (souris et clavier Bluetooth) est annoncé à un tarif commençant à 700 euros. Pour l'instant livré avec Windows 8.1 et Windows 7 Professionnel, il sera bientôt possible de l'acheter avec une distribution Linux, voir même sans OS.

     

     000000042780.jpg

     

     

     

     

     

     

    Une version pro

    Vous habitez à Revel ? (heu... non, j'ai déménagé de ST Félix il y a 8 ans, dommage -NDLRédactrice)

    Enrichissez-vous des meilleures pratiques IT au cours de la Matinée Débats organisée le 2 décembre à Toulouse par la rédaction du Monde Informatique   La start-up travaille également sur la version professionnelle de son poste de travail : " Nous pensons à nous associer avec des sociétés de GED ou CRM pour fournir des outils prêt à l'utilisation et crée pour ". Le design sera personnalisable et l'objet pratique, modulable et nomade : " Nous travaillons avec une clinique qui veut équiper ses services avec des Kubb, ils seront aux couleurs de la clinique ".

    La société garde bien sûr un œil sur toutes les innovations du secteur  : " Nous allons intégrer une technologie qui permet de verrouiller l'accès à l'ordinateur depuis son smartphone, il sera réactivé seulement si le smartphone est posé à coté de l'ordinateur ". Le Trentotto,  le premier magasin où le Kubb sera commercialisé se situe à Toulouse. Là, l'ordinateur se retrouvera au milieu de meubles et produits designs. Avec une capacité de production maximale - en France - de 1 500 machines par mois, Bleujour espère vendre entre 4 000 à 6 000 pièces par an afin d'atteindre l'objectif de 4,5 M€.