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  • La gauchiasse: fumistes et fumiers en un seul parti…

    Vente de parts de l’aéroport de Toulouse: quelle imposture, M. Montebourg!

    Arnaud Montebourg, candidat à la primaire du PS, a fait part, sur l’antenne Sud Radio et Public Sénat, de sa volonté de revenir sur la privatisation de l’aéroport de Toulouse en cas d’élection à la présidentielle 2017.

    Il a déclaré qu’il n’avait "pas accepté qu’on l’ait privatisé, […] qu’on ait donné la direction de cet aéroport à une entité privée, ce qui pose un problème. "En effet, l’État (donc le Gouvernement socialiste) avait vendu 49,99% de ses actions de la société Aéroport Toulouse Blagnac au groupe chinois Casil. M. Montebourg a d’ailleurs accusé Casil d’avoir "vidé la trésorerie" de l’aéroport.

    C’est ne véritable imposture de la part de M. Montebourg. Quel culot!

    Je tiens en effet à rappeler qu’en juillet 2014, lorsqu’il était ministre de l’Économie, c’est lui qui avait décidé, de concert avec son collègue Michel Sapin, de céder la participation de l’Etat au capital de la société Aéroport Toulouse-Blagnac!

    Emmanuel Macron avait ensuite procédé à la vente elle-même, aboutissement du processus lancé par Arnaud Montebourg.

    Maintenant que la vente a eu lieu, et sentant bien qu’il doit donner des gages à l’aile gauche du PS en vue de la Primaire socialo-socialiste, M. Montebourg prétend qu’il était contre. Il se déclare proche du peuple mais n’hésite pas à prendre les gens pour des imbéciles! A moins qu’il veuille nous faire croire que c’est sous la contrainte qu’il a avait cosigné le communiqué de presse reproduit ci-dessous:

    http://tmensemble.fr/2016/12/06/vente-de-parts-de-laeroport-de-toulouse-imposture-m-montebourg

    Je tiens à rappeler un message passé sous silence par le PS local et trop peu repris dans la presse: j’ai toujours dit que si j’avais été le ministre en charge, je n’aurais pas accepté cette vente des parts de l’État, que j’y étais opposé.

    Contraints de faire avec cette décision de "privatisation" prise par Arnaud Montebourg, nous nous étions unis entre collectivités locales dans un travail de discussion avec l’État, puis avec les candidats au rachat de ses actions, pour défendre les intérêts du territoire.

    Et nous avions réussi à obtenir des garanties pour que le nouvel actionnaire ne puisse pas avoir les mains totalement libres.

    Grâce à ce travail, aucune décision importante sur l’avenir de l’aéroport ne peut désormais être prise sans notre aval: nous disposons, depuis peu, d’une minorité de blocage sur les décisions stratégiques, ce qui n’était, pas le moins du monde, prévu par le Gouvernement…

    Il me semblait important de rétablir un certain nombre de vérités face à cette piètre pratique électorale mensongère. Arnaud Montebourg n’a pas su redresser notre économie; il est bien mal parti pour redresser sa crédibilité politique.

    Jean-Luc MOUDENC

    Maire de Toulouse

    Président de Toulouse Métropole

    Président de France Urbaine

  • Sécurité Haute-Garonne

    Cette page est accessible directement via l'adresse suivante: http://www.haute-garonne.gouv.fr/saip

    1) Les anciennes sirènes d'alerte du réseau national d'alerte (RNA)

    Sirène SAIP

    Les sirènes d'alerte implantées sur le territoire national qui sonnent pour essai le premier mercredi de chaque mois, à midi, sont héritées de l'ancien réseau national d'alerte (RNA) (environ 4 500 sirènes). Ce réseau a été mis en place à partir de 1948 pour faire face à une attaque aérienne.

    La fin de la guerre froide, le vieillissement du réseau et la multiplicité des risques ont nécessité une modernisation de l’alerte.

    C'est pourquoi le ministère de l'Intérieur procède actuellement au déploiement du système d’alerte et d’information des populations (SAIP).

    La mise en place de ce nouveau système a été l’occasion de revoir l’implantation des sirènes afin de mieux prendre en compte les nouvelles natures de risques et répondre de manière plus pertinente aux besoins actuels de la population.

    2) Qu'est ce que le système d'alerte et d’information des populations (SAIP) ?

    Le SAIP est un ensemble d'outils (dont font partie les sirènes) qui permet la diffusion d'un signal ou d'un message par les autorités lors d’un événement d’une particulière gravité ou en situation de crise (catastrophe naturelle et industrielle, attentat terroriste), aux personnes qui sont susceptibles ou sont en train d’en subir les effets.

    Son déclenchement est de la compétence du maire et du préfet, voire du ministère de l'Intérieur.

    Le SAIP mobilisera plusieurs vecteurs d'alerte et d'information de la population : sirènes, SMS, service de diffusion de l'alerte à des opérateurs relayant avec leurs propres moyens ces informations (notamment panneaux à messages variables et radios).

    Pour ce qui concerne les sirènes, le déploiement du SAIP consiste à raccorder des sirènes existantes à ce système et à en installer des nouvelles.

    Dans le département de la Haute-Garonne, ce sont 135 sirènes (51 existantes et 84 nouvelles) qui seront raccordées au SAIP. Le déploiement est en cours.

    A cette occasion des essais sonores ont lieu à chaque raccordement d'une sirène au SAIP. La population est informée notamment par voie de communiqué de presse sur le site Internet de la préfecture.

    3) Quelles sont les caractéristiques du signal national d'alerte ?

    Deux catégories de sirènes sont à distinguer :

    Signal national d'alerte

    1- les sirènes du SAIP et les sirènes des exploitants industriels soumis à plan particulier d'intervention (PPI) :

    Le signal d'alerte : 3 séquences d'1 minute et 41 secondes, séparées par un silence

    Le signal de fin d'alerte : son continu de 30 secondes

    Les essais mensuels : 1 séquence d'1 minute et 41 secondes le premier mercredi de chaque mois à midi

    2- les sirènes « cornes de brume » des grands barrages (communes situées dans la « zone du quart d'heure » en cas de rupture de barrage :

    Signal d'alerte barrage

    Le signal d'alerte : 1 séquence de 2 minutes, son modulé d'une corne de brume

    Le signal de fin d'alerte : son continu de 30 secondes

    Les essais mensuels : 1 séquence de 12 secondes, son modulé d'une corne de brume, une fois par trimestre les premiers mercredis des mois de mars, juin, septembre et décembre, à 12h15

    Pour entendre le signal national d'alerte : http://www.iffo-rme.fr/sons

    Arrêté du 23 mars 2007 relatif aux caractéristiques techniques du signal national d'alerte

    4) Rappel sur les consignes générales de comportement en cas d’alerte :

     

    Au signal, il faut :

    Rejoindre sans délai un local clos, de préférence sans fenêtre, en bouchant si possible soigneusement les ouvertures (fentes, portes, aérations, cheminées....)

    Arrêter climatisation, chauffage et ventilation

    Se mettre à l’écoute de la radio

    Ce qu’il ne faut pas faire :

    Rester dans son véhicule.

    Aller chercher les enfants à l’école (les enseignants se chargent de leur sécurité)

    Téléphoner (les réseaux doivent rester disponibles pour les secours)

    Rester près des vitres

    Ouvrir les fenêtres pour savoir ce qui se passe dehors

    Allumer une quelconque flamme (risque d’explosion)

    Quitter l’abri sans consigne des autorités

    Des consignes spécifiques sont également applicables pour chaque risque : par exemple, en cas de risque de rupture de barrage, il faut rejoindre un point haut de la commune.

    Dans tous les cas, suivre les consignes des autorités.

    Liens utiles :

    http://www.interieur.gouv.fr/Alerte/Le-SAIP-en-4-clics

    Application mobile SAIP : http://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Lancement-de-l-application-mobile-SAIP

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/alerte

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/risquesmajeurs

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/pcs

    http://www.haute-garonne.gouv.fr/vigipirate

  • Restes de volailles?

    Bien sûr, on ne jette rien!

    Croquettes de volaille

    Hachez grossièrement (au couteau) les restes de volaille prélevés sur la carcasse.

    Préparez une purée de pommes de terre bien épaisse donc, rajoutez peu de lait et de beurre.

    Incorporez 2 jaunes d’œufs et le hachis de volaille, puis assaisonnez (sel, poivre, muscade, piment d’Espelette ou cumin en poudre).

    Laissez raffermir 2 h au réfrigérateur. (facultatif)

    Prélevez alors des cuillerées de la préparation et façonnez-les en forme de boulettes ou roulez en croquettes dans vos mains.

    Roulez-les dans la chapelure et plongez-les dans un bain de friture bouillant mais non fumant (175 °C) jusqu’à ce qu’elles soient dorées de tous côtés.

    Récupérez-les à l’écumoire et égouttez-les sur du papier absorbant.

    Servez chaud avec une salade verte ou une salade d’endives.

    Mon astuce: Si vous n’aimez pas la chapelure, battez 2 blancs d’œufs à la fourchette (mais pas en neige) et roulez-y les croquettes avant de les faire frire: cela les imperméabilisera et les empêchera de se déliter à la cuisson

    Vous pouvez les roulez dans des flocons d'avoines si vous avez des gros mangeurs attablés.

  • O mon dieu, “ils“ le déménagent!

    Cela me "la coupe"! Les puces, déménagent???? Ouf, c'est pour trois mois.....

     

    Le marché aux puces de Saint-Sernin déménagera sur les allées Jules-Guesde en janvier

    Suite à une concertation entre la mairie de Toulouse et les commerçants, le marché aux puces de Saint-Sernin déménagera sur les allées Jules-Guesde et Paul-Feuga dès janvier 2017.

    Chaque dimanche, le marché aux puces s'installe autour de la basilique Saint-Sernin. Cela ne sera plus le cas à partir du 8 janvier 2017.

    Un compromis a finalement été trouvé entre la mairie de Toulouse et les commerçants ambulants du marché dominical de Saint-Sernin. Et c’est finalement sur les allées Jules-Guesde et Paul-Feuga, de part et d’autres du terminus du tramway, que se tiendra le marché aux puces (de 7 h à 14 h), dès le 8 janvier 2017.

    En raison des travaux de réaménagement de la place Saint-Sernin qui doivent débuter en janvier, pour une durée de trois, la mairie avait proposé, dans un premier temps, un déplacement du marché sur les allées Gabriel-Biènes, à proximité du Stadium. Face à l’opposition des commerçants. Jugeant le site " trop excentré ", les commerçants craignaient une mise en péril de l’existence du marché.

    Des stands de taille réduite

    À l’issue d’une concertation entre la mairie de Toulouse, les représentants du quartier et les maires de quartiers, un consensus a été trouvé autour des allées Jules-Guesde et Paul-Feuga, sous certaines conditions. Les commerçants ont ainsi accepté de réduire la taille de leurs stands, de ne pas stationner leurs camions sur le site commercial, "d’uniformiser son esthétique" et "de le rendre plus attractif par la qualité des produits proposés".

    Par ailleurs, ils se sont "engagés à aider la mairie de Toulouse à sanctionner tout commerçant indélicat en termes de propreté, notamment, en nommant à cette fin, des commerçants délégués par zone du marché", souligne la mairie de Toulouse dans un communiqué, diffusé vendredi 2 décembre 2016. Une convention, signée entre la mairie et les représentants du marché, prévoit notamment une évaluation régulière de la bonne tenue du marché sur ce nouvel emplacement.

    Nous sommes satisfaits car ce déménagement provisoire est une opportunité que nous avons tous saisie pour travailler ensemble sur une évolution qualitative de ce marché et une image rehaussée, ont déclaré ensemble Jean-Jacques Bolzan, adjoint en charge du Commerce et de l’Artisanat et les représentants des commerçants du marché.

    Pas d’impact sur les manifestations prévues

    La partie des allées Jules-Guesde, faisant face au Quai des Savoirs, ne sera pas impactée par la tenue du marché dominical, précise la mairie.  "La très grande majorité des manifestations déjà programmées sur le site pourront ainsi avoir lieu. Seules quelques-unes qui occuperont un plus large espace nécessiteront l’annulation du marché", est-il précisé.