Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Vaccin à ARn?

    Important à savoir!

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2021/01/26/une-specialiste-de-l-arn-parle-6293309.html

    Et aussi:

    https://youtu.be/fqL8nbzk2cQ

     

  • Chassez le sucre...

    ... et, empêchez-le de revenir au galop!

    Voici, parmi les fruits, ceux qui contiennent le moins de sucre par portion recommandée.

    1 - Le citron

    On pouvait s'en douter, le citron est le fruit le moins sucré, avec seulement 2 g de sucre pour 100 g.

    2 - Fraise et framboise

    Ce sont les fruits rouges les moins sucrés, Pour la portion recommandée de 50 g, elles contiennent 2 g de sucre (ce qui fait 4 g de sucre aux 100 g).

    3 - La prune

    Ce fruit contient 9 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est de 30 g ce qui correspond à environ 2,7 g de sucre.

    4 - La groseille

    Ce fruit contient 6 g de sucre pour 100 g, soit 3 g pour sa portion est de 50 g,

    5 - La mûre

    Elle contient 9 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est de 50 g, soit 4,5 g de sucre par portion.

    6 - L’abricot

    Il contient 9 g de sucre pour 100 g, comme la prune, mais sa portion habituelle est de 65 g ce qui donne 5,85 g de sucre par portion.

    7 - La mandarine

    Elle contient elle aussi 9 g de sucre pour 100 g, soit 6,3 g de sucre pour sa portion de 70 g.

    8 - Le kiwi

    Le kiwi contient 9 g de sucre pour 100, mais sa portion est d’environ 75 g ce qui donne 6,75 g de sucre pour la portion.

    9 - La pastèque

    Elle contient 7 g de sucre pour 100 g, ce qui correspond à sa portion.

    10 - Le melon

    Il contient environ 6 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est d’environ 120 g ce qui donne environ 7,2 g de sucre par portion.

    Gratin de fruits

    N'importe quel fruit

    Dans un bol en céramique qui va au four. Remplissez le bol des fruits choisis coupés en morceaux.

    Dans un saladier en verre, battez un ou deux œufs en omelette, mélangez avec suffisamment de crème fraîche liquide; un peu de cannelle ou de vanille?

    Coulez sur les fruits ce mélange, mettre au four à 180° durant une vingtaine de minutes.

    Mangez froid ou tiède.

  • Sécurité alimentaire et Covid-19

    Bien-sûr, l’une des premières préoccupations fut d’abord de limiter le risque de contracter la Covid-19 au travers des aliments et/ou de leurs emballages. Une inquiétude qui reste de mise. Que sait-on des possibilités de contamination?

    S’ils sont présents sur des aliments entreposés dans le réfrigérateur à 4 °C, les coronavirus peuvent rester infectieux pendant un laps de temps de 72h.

    Dans l’eau, ces virus sont capables de survivre jusqu’à 10 jours à 23 °C, et plus d’un an à 4 °C. Et sur des surfaces comme le verre, le métal ou le plastique, ils peuvent rester infectieux pendant 9 jours. Enfin, on sait que le SARS-CoV-2 est inactivé aux températures de cuisson habituelles (70 °C), et qu’il est également très sensible aux détergents et désinfectants : le sel, le poivre, le vinaigre et le jus de citron n’ont en revanche aucun effet.

    Pour l’heure, aucune donnée scientifique ne suggère que le SARS-CoV-2 puisse nous infecter par voie digestive. Mais on ne peut pas totalement exclure la possibilité d’une contamination des voies respiratoires lors de la mastication d’un aliment infecté. Et par principe de précaution, les autorités de santé ont donc émis un certain nombre de recommandations.

    Ainsi, l’OMS et l’ANSES recommandent de se laver les mains régulièrement, notamment après avoir fait ses courses, avant de cuisiner et de se mettre à table. Il est également conseillé de rincer les fruits et les légumes à l’eau, de retirer les emballages inutiles, et de nettoyer plus fréquemment le réfrigérateur.

    A l’inverse, il est contre-indiqué de désinfecter aliments et emballages avec de l’eau de javel ou un détergent: faute d’un rinçage suffisant, on s’expose alors au risque d’intoxication. Enfin, à ces conseils, devraient enfin s’ajouter ceux visant à limiter les risques de toxi-infection alimentaire: il s’agit de veiller aux dates de péremption et aux conditions de conservation des aliments, ou encore à leur température de cuisson. Quid des moyens de renforcer ses défenses contre le SARS-CoV-2 en s’appuyant sur l’alimentation ?

    Le meilleur régime à adopter…

    Beaucoup se sont posé et se posent toujours la question du meilleur régime à adopter pour renforcer ses défenses immunitaires. Or si des études ont bel et bien établi l’existence de liens entre alimentation, nutriments, et immunité, il n’existe pas à ce jour de "régime revitalisant de l’immunité".

    À ce sujet, notons que les vitamines jouent un rôle de premier plan dans l’inconscient collectif. On les considère souvent comme l’exemple même de micronutriments aptes à nous prémunir contre la fatigue et les infections. Et les vitamines D, C ou A sont d’ailleurs souvent proposées sous forme de compléments alimentaires. Doit-on pour autant les recommander pour lutter contre la Covid-19 ?

    Vitamine D : la plus médiatisée

    La vitamine D est depuis le début de la pandémie la plus médiatisée de ces micronutriments, et la question de l’intérêt d’une complémentation systématique de la population reste posée.

    Cette vitamine a pour partie une origine alimentaire et se trouve principalement dans les poissons gras (hareng, saumon, sardine et maquereau) et les laitages enrichis. Mais elle est aussi synthétisée par l’organisme, sous l’influence de l’exposition au soleil.

    On sait, par des études épidémiologiques, qu’il existe une relation entre de faibles concentrations plasmatiques en vitamine D et le risque d’infections voire d’hospitalisation pour Covid-19. Cette vitamine s’est aussi révélée avoir un rôle immuno-modulateur lors de recherches menées sur des cultures cellulaires, en facilitant la réponse immunitaire innée. Et chez l’animal, une carence en vitamine D augmente le risque d’apparition de maladies auto-immunes, d’événements cardiovasculaires ou d’infections. Reste que chez l’homme, les études sont moins convaincantes.

    En pratique, il n’est donc pas recommandé de complémenter en vitamine D des patients présentant une infection, une maladie auto-immune ou une maladie cardiovasculaire. Mais il n’est pas irrationnel pour un médecin de le proposer à ses patients, en particulier en période hivernale et de confinement, lorsque l’exposition au soleil est réduite et notre synthèse naturelle de vitamine D diminuée.

    Vitamine C : des données à confirmer

    Les effets bénéfiques de la vitamine C sur les infections respiratoires ont longtemps été débattus. Quelques études suggèrent qu’elle pourrait réduire leur survenue, leur durée et leur sévérité en étant ingérée sous forme de compléments alimentaires. Mais ces données n’ont pas été confirmées, et il n’est donc pas recommandé de supplémenter la population générale pour prévenir ou traiter une infection.

    Ceci étant, pour la majorité de la population, les apports en vitamine C sont inférieurs aux recommandations. Et cela justifie de promouvoir la consommation d’aliments qui en renferment d’importantes quantités : certains fruits (agrumes, fruits rouges) et légumes (choux, poivron, radis noir) constituent à cet égard des sources d’apports à privilégier.

    Vitamine A: recommandée dans certains cas

    Des compléments de vitamine A peuvent s’avérer bénéfiques chez les enfants. D’abord, en potentialisant l’effet de certains vaccins contre le tétanos et la rougeole, comme semble le montrer une étude. Ensuite, en étant associés à un risque moindre de morbidités et de mortalité en cas de rougeole, de diarrhées sévères, d’infection par le VIH ou de paludisme.

    L’OMS préconise donc d’en apporter aux enfants âgés de 6 mois à cinq ans, dans les pays où la carence en vitamine A constitue un problème de santé publique. Mais la France ne fait pas partie de ces pays à risque : il n’y a donc pas lieu de donner systématiquement de la vitamine A aux enfants. Et de manière générale il n’y a aucun argument pour la proposer en dehors de situations de carences objectivées, d’autant qu’elle peut se révéler délétère chez la femme enceinte.

    Notons en revanche qu’une alimentation équilibrée comporte en principe des aliments riches en caroténoïdes tels que les carottes, épinards ou le potimarron, dont la consommation mérite d’être encouragée dès qu’il s’agit de légumes de saison.

    Quid d’autres micronutriments ?

    D’autres vitamines et oligo-éléments semblent avoir un lien avec l’immunité, en particulier les vitamines B, mais aussi le zinc, le fer, le magnésium et le sélénium. Mais il n’a jamais été démontré que l’apport de ces micronutriments par le biais de compléments réduit le risque infectieux.

    Les acides aminés, que l’on trouve dans les viandes, poissons, œufs, produits céréaliers et légumineuses, semblent aussi moduler le système immunitaire via divers mécanismes lorsqu’ils sont apportés sous forme de compléments protéiques. Par exemple, une étude conduite en 2011 a montré qu’une complémentation en acides aminés est associée à un moindre risque d’infections chez les personnes âgées.

    Des aliments pour renforcer l’immunité?

    D’après des études menées in vitro (sur des cultures cellulaires) et in vivo (sur un organisme vivant) chez l’animal, le poisson, riche en acides gras de la famille oméga-3 et en sélénium, aurait des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. À ce titre, il pourrait s’avérer bénéfique dans les infections et dans la réponse aux vaccins. Mais pour l’heure, on ne dispose d’aucune preuve quant à l’impact d’une consommation importante de poisson sur le système immunitaire d’un être humain.

    Le lait de vache présente également des propriétés anti-inflammatoires in vitro. Et il semble que les anticorps bovins qu’il renferme, restant actifs après qu’on les ait digérés, puissent aider à lutter contre certaines infections – notamment les otites et les rhinopharyngites chez l’enfant.

    Enfin, il est possible que les fruits et légumes riches en vitamines et en oligo-éléments puissent avoir un effet protecteur contre les infections respiratoires : il fut par exemple décrit une association entre une moindre fréquence d’infections et une consommation importante en fruits et légumes chez les femmes enceintes.

    Gare aux surdosages

     

    Au bilan, si certains aliments sont potentiellement bénéfiques pour les défenses immunitaires, on ne sait rien de l’intérêt des uns par rapport aux autres en termes quantitatifs. Et de fait, les recommandations nutritionnelles édictées par l’ANSES pour l’ensemble de la population semblent parfaitement adaptées pour profiter au mieux des effets anti-infectieux des aliments.

    À l’exception peut-être de la vitamine D, notamment en période hivernale, le recours aux compléments alimentaires ne parait donc pas justifié. De plus, il convient de rappeler que n’étant pas considérés comme des médicaments, ces compléments délivrés sans ordonnance ne sont pas soumis aux mêmes réglementations et exposent ceux qui en usent à des risques d’intoxication et de complications.

    Ainsi, la prise quotidienne de 100 000 UI de vitamine D pendant 1 mois (1 µg équivaut à 40 UI) expose à un risque d’hypercalcémie et d’insuffisance rénale. De même, une surconsommation de vitamine A (avec plus de 10 000 UI/jour) peut exposer à un risque d’ostéoporose et de fractures, mais aussi de malformations fœtales en cas de grossesse.

    Pareillement, de hautes doses de vitamine C (1 000 mg/jour et plus) semblent être toxiques chez les sportifs, entraînant une réductionde leurs performances physiques, et des calculs rénaux chez les personnesprédisposées. Enfin, la toxicité de deux acides aminés pris en excès a été rapportée par la littérature : une prise chronique d’arginine accentue la mortalité chez les patients ayant subit un infarctus du myocarde ; une complémentation en méthioninepeut exacerber les symptômes des patients schizophrènes, augmenter le risque d’accident cardiovasculaire et entraîner un retard de croissance chez les enfants.

    Pour aller plus loin :

    - NUTRIcovid , une application pour mieux se nourrir

    Dans le contexte de la pandémie, l’AP-HP, en partenariat avec PuMS, la chaine santé de l’Université de Paris/AP-HP, ont mis en place NUTRIcovid, un programme national d’information, de prévention et d’accompagnement nutritionnel accessible sur Internet. Les utilisateurs ont accès à une médiathèque mise à jour quotidiennement. Ils peuvent également suivre pendant 10 semaines un programme d’e-coaching fondé sur la notion de " nutrition positive ", plutôt que sur des principes de restriction. Des vidéos interactives et en direct sont également proposées avec des scientifiques, des médecins ou des diététiciens de l’AP-HP, de l’Université de Paris et de l’Inserm.

    Pour y participer, inscrivez-vous sur nutri-covid.fr.

    Cet article a été écrit en partenariat avec le site de la chaîne santé de l’université de Paris pums.fr.

  • Différentes façons de cuire votre saumon frais

    Le saumon est un poisson gras (du bon gras d'oméga-3). Il est nécessaire de maîtriser la cuisson du saumon afin qu'il ne soit ni trop sec, ni trop tendre en fonction de la manière dont vous voulez le manger.

    Cuisson au four

    La cuisson au four est la plus courante pour cuire le saumon. Elle convient tout aussi bien aux petits morceaux qu'aux morceaux entiers de saumon.

    Comptez environ une vingtaine de minutes pour un saumon entier, et entre 10 et 15 minutes pour un simple pavé de saumon.

    Pour une cuisson à l'unilatéral (sur un seul côté), placez le saumon peau vers le bas, ajoutez un filet d'huile d'olive, du gros sel, du poivre ainsi que les épices de votre choix (le cumin se marie très bien avec ce poisson).

    Votre four doit, être à une chaleur entre 180 et 200°.

    Vous pouvez placer le four en option grill sur la fin de cuisson pour légèrement colorer le dessus de votre poisson.

    Cuisson à la vapeur

    La cuisson à la vapeur est l'une des plus utilisées. Cette manière de cuire le poisson est la plus saine pour la santé, étant la moins grasse et ne dénaturant absolument pas les saveurs du saumon.

    Le principe est simple: déposez le saumon dans un panier à vapeur et faire frémir l'eau en-dessous. Le poisson sera ainsi tendre et savoureux, sans être grillé ni croustillant. Pour une cuisson parfaite, comptez environ 20 minutes en prenant bien soin de vérifier au fur et à mesure que votre saumon est bien cuit.

    Ne jamais faire cuire un poisson en papillote alu pour être bien sûre que vous ne ferez pas migrer de l'alu sur vos poissons… De même, mettre du citron sur ce genre de papillote, c'est de la folie pure!

    Cuisson à la poêle

    La cuisson à la poêle est plus rapide que les deux autres cuissons, mais nécessite de votre part une attention absolue. Vous pouvez cuire votre poisson avec un filet d'huile sur une seule face, peau vers le bas, afin que le dessus du saumon soit encore rosée et le dessous bien grillé.

    Vous pouvez également cuire le poisson de chaque face pour une texture plus homogène avec deux faces grillées.

    Voir-ci après pour cuisson en poêle de fonte ou en fer.

    La cuisson à la poêle vous permet également de cuire le poisson en tataki, une technique japonaise qui consiste à ne cuire uniquement que les quatre bords du morceau de poisson coupé finement (environ 2 cm).

    Vous pouvez ajouter des graines de sésame autour de votre morceau de saumon en tataki pour apporter du croustillant. Comptez 2-3 minutes de chaque côté pour un pavé de saumon et pas plus de 30 secondes par bords pour une cuisson en tataki.

    Si, comme moi vous utilisez des poêles en fer (et je vous ai expliqué maintes fois comment culotter une poêle en fer ou fonte pour qu'elle n'attache pas), mettez un petit filet d'huile neutre (pépins de raisin) et parsemez la poêle de gros sel de mer; quand la poêle est bien chaude, déposez le poisson côté peau à feu moyen durant trois minutes; vous pourrez ainsi le retourner facilement pour le cuire de l'autre côté, deux minutes, puis revenez sur l'autre face pour cuire encore 1 minute.

    Si vous achetez des pavés de saumon très épais, couvrez la poêle d'un couvercle en verre; cela fera de la vapeur qui cuira le saumon dans l'épaisseur.

    En tout, la cuisson ne doit jamais dépasser 7 minutes.

    Cuisson pochée

    La cuisson pochée est la moins courante pour cuire le poisson, puisqu'elle convient mieux aux poissons blancs ou le haddock. Il est néanmoins possible de cuire le saumon ainsi, dans de l'eau bouillante (de préférence un bouillon) mélangée avec du vin blanc, des légumes et des herbes aromatiques. Il s'agit du type de cuisson le plus rapide, comptez environ 10 minutes pour cuire le saumon de cette manière. Votre poisson sera tendre et prendra le goût du bouillon au fur et à mesure de la cuisson, sans dénaturer sa texture.

    Il faudra juste être un peu habile pour le retirer de la casserole sans qu'il ne se défasse.

    Perso, quand j'ai fini un bocal de cornichons ou de petits oignons au vinaigre blanc, je verse ce vinaigre dans mon eau bouillante. (Ou alors, je le rajoute dans mon vinaigrier: on ne jette rien!).