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  • Médecins en colère

    Un traitement précoce

    Face à n’importe quelle maladie, n’est-il pas de notre devoir de soigner les patients? Et s’il n’existe pas de traitement qui fasse l’unanimité dans le monde médical, est-ce une raison pour ne rien faire?

    Depuis 1 an que ce virus est apparu, nous avons beaucoup appris sur lui et sur les complications. Nous savons qu’il évolue en deux phases, d’abord une phase infectieuse virale comme dans une grippe puis une phase inflammatoire où le virus n’est plus en cause directement.

    C’est cette phase inflammatoire qui impose l’hospitalisation en réanimation. Une majorité de personnes fait preuve, heureusement, d’une immunité suffisante pour ne jamais en arriver là. Mais des personnes fragiles n’ont pas cette chance.

    Malgré tous les combats d’égos télévisuels, nous sommes des milliers de médecins à avoir traité les patients qui en avaient besoin dans la première phase de la maladie pour leur éviter ces complications. Et nous le constatons tous les jours au quotidien: CELA FONCTIONNE.

    Les scientifiques qui réfutent cela ne le font que sur la base d’études qui sont à ce jour insuffisantes. Insuffisantes pour prouver définitivement que les traitements marchent, mais également insuffisantes pour prouver que cela ne marche pas. Et souvent ils n’ont aucune expérience personnelle de ces traitements qu’ils rejettent d’un revers de main. Sinon ils ne seraient pas aussi péremptoires. Il existe pourtant plus d’une centaine d’études dans le monde qui montre l’efficacité du traitement précoce en diminuant les hospitalisations, les séquelles respiratoires, la mortalité.

    Dans ces conditions, beaucoup de médecins dans le monde entier et en particulier en France ont décidé de soigner leurs patients malgré l’absence de consensus et la pression négative des institutions. Car c’est notre métier et nous n’accepterons jamais qu’on nous empêche de l’exercer. Nous sommes des gens responsables et il serait temps de nous faire confiance. Ce faisant, nous constatons dans nos cabinets que les malades sont soulagés bien plus vite, qu’ils s’aggravent moins et que nous hospitalisons beaucoup moins. Il serait temps qu’on prenne en compte cette expérience du terrain plutôt que se baser uniquement sur des études hospitalières puisque, justement, c’est en ville, AVANT l’arrivée à l’hôpital qu’il faut soigner.

    De nombreuses publications nationales et internationales laissent penser que le TRAITEMENT PRÉCOCE pourrait reposer sur une ou plusieurs de ces approches thérapeutiques:

        Le zinc à forte dose (60 mg en moyenne).

        La vitamine C qui, à forte dose (plusieurs grammes par jour), a une action antivirale, augmente nos défenses et aide à être moins fatigué.

        La vitamine D si elle n’a pas été déjà prescrite en prévention (on a montré que les personnes qui font des formes graves ont souvent des taux sanguins de vitamine D très bas).

        L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours.

        L’hydroxychloroquine (vendue en France sous le nom de Plaquenil®) dont l’efficacité sur le virus est bien démontrée. Mais pour qu’elle soit utile, elle doit être absolument utilisée dans la première phase de la maladie.

     

    Il existe même d’autres pistes complémentaires pour soulager et soigner les malades: d’autres antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline (un autre antibiotique), l’ivermectine (un antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants (il n’y a pas de recrudescence de l’épidémie en Asie et en Afrique), mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter contre les infections ou soulager les symptômes. Tous ces traitements doivent être prescrits par un médecin en fonction des spécificités de son patient, de ses symptômes et d’éventuelles précautions d’emploi.

     

    En conclusion nous demandons que le médecin traitant soit remis au centre du processus de prise en charge des patients

    et soit la pierre angulaire des démarches sanitaires.

    Nous demandons que de vrais protocoles de soins précoces soient mis en place, que ce soit pour la prévention de la population ou le traitement des malades comme n’importe quelle médecine moderne devrait le faire.

    C’est certainement la meilleure solution pour pouvoir sortir du confinement plus rapidement. Si nous mettions cela en place sans attendre nous pourrions surement passer des fêtes de fin d’année dans la joie d’être ensemble, avec l’amour de nos proches et la sérénité sur le plan sanitaire. Et cela peut nous donner l’espoir qu’en 2021 cette épidémie se termine enfin.

    Depuis 2 mois nous accumulons les décisions liberticides et pourtant le nombre de malades ne cesse d’augmenter. Nous avons, parait-il, dépassé les 40 000 décès, ce qui est 4 fois plus que nos voisins allemands. Il est temps de se rendre compte que la stratégie actuelle décidée par notre ministre de la santé nous amène dans le mur.

    Source:

     

    2e source:

     

  • Salade de pissenlits au chèvre

    Avec ou sans four

    Il vous faut des pissenlits, 100 g de cansalade en brunoise, un petit chèvre par personne par trop fait, du pain en grosses tranches, des croûtons maison aillés, un grille pain, de l'huile de noix et du vinaigre maison. Une petite cuillère à soupe de graisse de canard, éventuellement.

    De temps en temps, on en trouve sur les marchés… sinon, vous pouvez les ramasser vous-même puisqu'ils sont à ramasser au printemps.

    Ne les ramassez pas au bord des routes ou à proximité des champs cultivés qui sont arrosés de pesticides.

    Lavez soigneusement et coupez la base trop près de la terre; à tremper dans de l'eau vinigrée pour tuer les bestioles des champs. Essorez avec votre machine à salade. Pour ceux qui n'en possèdent pas, faites comme je faisais enfant: mettre la salade dans un torchon propre, attrapez les 4 bouts du tissu et secouez le paquet d'un geste brutal de la main en esquivant la hanche pour ne pas vous mouiller. Quand l'eau ne sort plus, la salade est essorée.

    Coupez les feuilles en deux. Les mettre dans un saladier en verre.

    Faites sauter les lardons de cansalade dans une poêle à sec afin d'éviter de devoir absorber l'huile de cuisson dans du papier. Ceci à l'avantage de faire suer la cansalade et ainsi de la débarasser du surplus de graisse (qui est pourtant à conserver dans la poêle pour faire sauter les croûtons aillés ou dits croûtons tintchés).

    Perso, je fais mes croûtons aillés en brisant des petits pains au froment après les avoir aillés avec une belle gousse et je les fais sauter à la poêle dans le jus des lardons. En fait, si vous avez acheté de la poitrine salée que vous avez coupée vous-même en lardons, vous n'aurez pratiquement pas de reste de graisse; il n'y a que les lardons que vous achetez en paquets plastique qui perdent -surtout- de l'eau.

    Faites cuire cela en dernier ressort pour garder au chaud les lardons; Faites une vinaigrette avec l'huile de noix dans un bol et conservez.

    Mettre des grosses tranches de pain à gratiner dans votre four à 200° avec sur chaque tranche un petit fromage de chèvre très poivé.

    Perso, j'utilise une buche de chèvre -la moins chère- puisqu'elle va cuire, coupée en tranches; je poivre fortement la tranche et je sors du four quand le fromage commence à déborder du pain…

    Et aussi, comme je n'ai pas envie de dépenser beaucoup d'électricité pour gratiner le pain avec le chèvre, je faits gratiner dans mon grille pain et je dépose la tranche de buche aussitôt, ce qui fait que le fromage devient bien mou.

    Disposez sur vos pissenlits les lardons et arrosez avec l'huile de noix en vinaigrette, mélangez bien, ajoutez le pain tintché les tranches de pain avec le fromage de chèvre fondu par-dessus.

    Vous verrez, la salade de pissenlits ouvre l’appétit!