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Actualité - Page 148

  • Wanted

    Le projet "ComPaRe" a pour objectif de faire avancer la recherche sur les maladies chroniques en impliquant une large communauté de patients.

    Auteur: Assistance Publique Hôpitaux de Paris. (AP-HP)

    ComPaRe est un projet scientifique collaboratif de l’Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, AP-HP. Il est piloté par le Centre d’épidémiologie clinique de l’Hôtel-Dieu sous la direction du Pr Philippe Ravaud. Il a pour objectif de faire avancer la recherche sur les maladies chroniques en impliquant une large communauté de patients. En effet, prendre en compte le point de vue des patients ouvrira de nouvelles opportunités pour la recherche.

    Pour cela, ComPaRe souhaite recruter -dès octobre 2016- et suivre pendant dix ans 200000 patients adultes atteints d’une ou plusieurs maladie(s) chronique(s).

    Avec ComPaRe, le patient devient acteur de la recherche sur sa maladie en répondant régulièrement à des questionnaires sur ses symptômes et sa prise en charge: Comment est-il soigné? Qu’attend-il de son traitement? Comment s’adapte-t-il au quotidien?

    Le site d’information et de pré-inscription est d’ores et déjà en ligne:

     Site web : www.cohorte-compare.fr.

     

  • En Midi-Pyrénées, il y a toujours un médecin à votre écoute.

    C’est ça la permanence des soins.

    39 66 est mis en service pour tous les usagers du système de soins en

    Midi-Pyrénées, aux horaires de permanence des soins

    (à partir de 20h le soir et toutes les nuits, week-ends et jours fériés).

    Il permet, depuis n’importe quel point de la région, de contacter un service médical de garde, sans encombrer les lignes du 15, dédié aux urgences vitales.

     

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  • Inteligent: plateforme pour soit aider à voyager, soit demander un accompagnement au voyage pour personne en situation de handicap

    Bon, allez-y! C'est une des plus intelligente plateforme apparue sur le net depuis très, très longtemps...

    Et croyez-moi: je suis internaute depuis 1996 (du temps où il n'y avait même pas Google et Yahoo pour nous aider à surfer comme on disait à l'époque...) et j'en ai vu bien d'autres!

    http://faciligo.fr

    En plus, ils sont à Montpellier, les créateurs, la petite ville d'Occitanie qui se croit plus grosse que Toulouse, MA ville, Ma capitale Occitane.

    Si j'ai compris leur truc (le pitch comme y disent) elle vient en aide aux personnes âgées, aux enfants seuls qui voyagent (pour aller voir l'autre parent divorcé?), aux personnes handicapés qui sont plus ennuyées qu'on ne le croit dans les transports....

    et de l'autre côté, si un "debout" ou "mobile" en pleine santé veut faire un petit acte de solidarité, il indique qu'il sera dans l'avion, le train... et qu'il aidera la personne à monter sa valise, monter une marche, etc....

    Merci aux concepteurs, merci aux aidants temporaires qui vont faire une bonne action!

    Waoouh, je vais, ENFIN, pouvoir partir en vacances!

    Poutous de Toulouse à Montpellier tout entier!

    La rédactrice

     

  • Suivre la mode…..

    Il y a plus d'une centaine d'années, il y avait, dans mon pays toulousain, une expression qui courrait et qu'il fallait prendre au pied de la lettre: il faut suivre la mode ou quitter le pays.

    Cela signifiait que, si tu es un breton et que les hasards de la vie t'emmènent vivre à Toulouse, il vaut mieux porter un béret plutôt qu'un chapeau rond… sinon, le conseil c'est de quitter le pays… sous entendu, toulousain. Mon papa portait le béret: il est né dans les Hautes Pyrénées. Mon papa, sans le béret sur la tête, je ne l'ai pas souvent vu. Même à table, il portait son béret.

    Je me souviens qu'enfants, quand nous croisiions un pépé à casquette (les vieux en ce temps-là mourrait avant d'atteindre leur 75 ans), ce papy à casquette nous faisait “crever“ de rire tant son couvre-chef était inusité dans nos parages.

    Quand j'ai eu 17 ans, (en 1967) il y eût un sacré raz-de-marée qui s'appelait: la mini-jupe. Elle était peut-être arrivée bien plus tôt dans la capitale, mais, moi, je bossais à l'usine et je ne sortais jamais que le dimanche après-midi, à la balloche car, on ne laissait pas sortir les filles de 17 ans le soir. Interdiction de sortir jusqu'à ses 21 ans. C'était comme cela, la bienséance, même chez les filles d'ouvriers.

    Mais, à 17 ans, on se voulait “dans le coup“ comme nous disions en 67. Donc, nous avions des ruses de sioux pour raccourcir nos jupes car, selon la vieille expression, déjà détournée de son sens: si tu ne suis pas la mode teen-ager, tu peux quitter Toulouse… sinon on va t'aligner comme un plouc de cambrouse. Horreur dans la jeunesse seventies!

    Aujourd'hui, l'expression court toujours: je vous laisse deviner dans quelle acception, elle court dans nos conversations quotidiennes.

     

  • Si vous n'avez pas le temps de fabriquer votre sandwich quotidien...

    Les hamburgés et l'"esprit franchouillard" de Big Fernand débarquent à Toulouse

    Les premiers hamburgés toulousains débarquent bientôt dans le centre-ville. On en sait plus sur l'enseigne française Big Fernand qui investit la Ville rose d'ici la fin de l'année.

    Chez Big Fernand, on déguste des hamburgé dans un "esprit franchouillard" revendiqué. Si vous vous êtes promenés sur les allés Roosevelt, peut-être avez-vous vu disparaître la vitrine du glacier traditionnel Chez Octave, fermé en 2015, et vu afficher à la place une devanture provisoire sur laquelle on peut lire " Big Fernand : ouverture définitive ".

    Alors que l’enseigne française de hamburgers haut de gamme avait annoncé une installation dans le centre-ville de Toulouse dans le courant de l’été 2016 ou à la rentrée de septembre, c’est sans doute un peu plus tard que sera célébrée l’ouverture, les travaux n’ayant finalement commencé que durant la deuxième quinzaine d’août, paperasserie oblige.

    Du côté de l’enseigne toulousaine, on ne veut pas trop s’avancer mais sans donner de date précise, on annonce tout de même une ouverture " avant la fin de l’année 2016 ".

     

    Juste le temps pour les adeptes de burgers et autres aliments légers de se préparer. Car avant d’entrer chez Big Fernand, il va falloir revoir votre vocabulaire. Ici, ne dites pas hamburger mais hamburgé, accent français de rigueur. Oubliez frites et potatoes et commandez des fernandines ou, dans le pire des cas, des "frites fraîches". Et lorsque vous vous adressez aux serveurs, ne dites pas " garçon " mais " Fernand ". Les hamburgés, eux, portent des noms rétro tels que Lucien, Philibert, Victor, ou Alphonse…

    Des produits frais, d’origine française

    Au programme, pas d’ambiance fast-food à l’américaine, mais un pause gourmande au rythme des musiques des années 1980 et un " esprit franchouillard " revendiqué par Pierre de Dufourcq, le patron des lieux. Pour cet Albigeois de 34 ans, installé à Toulouse depuis une quinzaine d’années et juriste de formation, l’aventure Big Fernand est une première dans le monde de la franchise. Animé depuis longtemps par l’envie d’entreprendre et séduit par la philosophie de l’enseigne française, le voilà désormais prêt à franchir le pas.

    “Travailler avec des produits français était un critère essentiel pour moi, explique-t-il. Et chez Big Fernand, tous les produits sont frais et d’origine française. Chez nous, vous ne trouverez pas de congélateur, tout étant transformé et préparé sur place, y compris les fernandines“.

    Au menu, vous aurez le choix entre bœuf, veau, poulet ou agneau, d’origine française, donc (un hamburgé végétarien figurera également au menu). Fourme d’Ambert, tome de Savoie, fromage à raclette et fromage de chèvre complèteront la recette. Le tout accompagné de sauces faites maison, de légumes directement achetés chez un maraîcher toulousain et d’un pain spécial, dont la recette est tenue secrète, et "réalisé par un artisan-boulanger toulousain". Les plus difficiles pourront composer eux-mêmes leur propre hamburgé.

    Il faudra tout de même compter entre 14 et 15 euros pour une formule hamburgé, fernandines et boisson et 18 euros pour la même formule avec un dessert en supplément. "Le prix de la qualité", soutient Pierre de Dufourcq.

    Et pour accompagner tout cela, l’enseigne proposera des limonades artisanales, en plus des boissons et sodas classiques. Les nostalgiques seront heureux d’y retrouver Canada Dry et autre Liptonic… Du côté des desserts, faits maison eux aussi, vous pourrez notamment compter sur des glaces artisanales.

    L'enseigne prendra place sur les allées Roosevelt, entre le Quick et le cinéma UGC.

    90m2, deux étages et une terrasse

    À l’extérieur du restaurant, pas de changement majeur par rapport à l’ancien glacier Chez octave, si ce n’est le nom de l’enseigne bien sûr. À l’intérieur, l’espace s’ouvrira sur un comptoir derrière lequel vous attendront les Fernands, chemise à carreaux, casquette sur la tête et tablier autour de la taille. Une première salle accueillera les clients au rez-de-chaussée et une seconde sera également accessible à l’étage. Sans oublier la terrasse sur les allées Roosevelt.

    "Du bois, des matières chaudes et une joli déco", attendent les Toulousains, annonce d’ores et déjà le maître des lieux.

    Le restaurant sera ouvert sept jours sur sept, pour le déjeuner et le dîner. Et les clients ne sont pas à l’abri de quelques surprises, Pierre de Durfourcq évoquant déjà la possibilité de créer un hamburgé régional pour mettre en avant les saveurs du Sud-Ouest ainsi que la présence de "chaises personnalisées". Ne nous demandez pas, nous n’en savons pas plus…

    Des évolutions sont également à prévoir du côté du service, qui se fera sur place, à emporter et sans doute bientôt en livraison. Une option Big Traiteur n’est par ailleurs pas à exclure, auprès de particuliers ou d’entreprises.

    Infos pratiques :

    Big Fernand – 11, allées du Président Roosevelt

    Métro Jean-Jaurès

    Établissement accessible aux personnes à mobilité réduite.

     

    NDLR: si a Toulouse, ils ne font pas de Machin au déchiré de confit de canard, de foie gras ou de saucisse toulousaine grillée, ils peuvent repartit d'où ils viennent!

     

  • FRANCAIS: copiez-les!

    Terrorisme. Les Allemands vont devoir stocker des vivres et de l'eau

     Les Allemands vont être appelé à stocker de l'eau pour cinq jours en raison d'un risque d'attaque terroriste.

    Pour la première fois depuis la fin de la Guerre froide, le gouvernement allemand a l'intention d'appeler la population à constituer des stocks de vivres et d'eau en cas d'attentat ou de catastrophe, écrit dimanche le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS).

    L'Allemagne a relevé son niveau d'alerte après cinq attentats - dont deux revendiqués par l'organisation État islamique (EI) - et la tuerie commise par un déséquilibré le mois dernier. Le gouvernement a annoncé au début du mois son intention d'augmenter fortement les crédits alloués à la police et aux autres forces de sécurité.

    "La population sera obligée de détenir un approvisionnement alimentaire individuel suffisant pour dix jours", précise le FAS en citant le " projet de défense civile " élaboré par le ministère de l'Intérieur.

    Un porte-parole du ministère a déclaré que le projet serait soumis au conseil des ministres mercredi quelques heures avant d'être dévoilé par le ministre mais il s'est refusé à toute précision sur son contenu.

    De l'eau pour cinq jours

    Chaque foyer devra aussi stocker suffisamment d'eau potable pour cinq jours, selon le document cité par l'article du FAS.

    Le projet de 69 pages ne considère pas comme probable un attentat sur le sol allemand nécessitant une riposte à l'échelon national mais il évoque des mesures de précaution qui conduiraient les ménages à "se préparer de manière appropriée à un événement qui pourrait menacer notre existence et ne peut être catégoriquement exclu à l'avenir", ajoute-t-il.

    Le document mentionne aussi la nécessité d'un système d'alerte fiable, d'une amélioration de la protection structurelle des bâtiments et d'une augmentation des capacités du système de santé.

    L'appui de la population civile aux forces armées devrait également figurer parmi les priorités, ajoute-t-il, toujours selon le FAS.

    http://www.ouest-france.fr/europe/allemagne/terrorisme-les-allemands-vont-devoir-stocker-des-vivres-et-de-leau-4428522

  • Les marchés sont dans le vent d'autan

    Avec 46 marchés de plein-vent, Toulouse privilégie ce mode de consommation. Trois nouveaux sites sont d'ailleurs prévus à la rentrée: à Saint-Michel, Borderouge et rue de la Concorde.

    À 35 ans, Marine fait son marché chaque jour au Cristal, sur les boulevards. Malgré des horaires contraignants, la jeune femme tient à acheter des produits frais et locaux : "Le marché c'est une madeleine de Proust. Les odeurs, les couleurs, le choix. Je n'hésite pas à me lever une heure plus tôt pour m'y rendre. Pour la santé de ma famille bien sûr mais aussi pour le côté sympa, vivant. Je connais les exposants. Au fil du temps, des liens se tissent".

    À Toulouse, les marchés de plein-vent se portent bien. Ils sont même en pleine expansion avec 46 marchés recensés (toutes catégories confondues). En juin deux nouveaux marchés ont été créés, à Saint-Martin du Touch et aux Pradettes le samedi. Trois nouveaux venus sont prévus à la rentrée. Le 3 septembre, un marché de produits régionaux doit ouvrir à Saint-Michel face à l'ancienne maison d'arrêt. Ce type de marché est prisé du public. Il apporte la campagne sur un plateau, en milieu urbain. A venir aussi un marché de pépiniéristes dans le jardin du Muséum de Borderouge et enfin un autre de cartes anciennes en centre-ville .

    "Le public aime les marchés de plein-vent, assure Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire en charge du commerce. À la fois pour la convivialité et le lien social mais aussi pour la fraîcheur des produits, favorisée par les circuits courts".

    Hier fréquenté surtout par des seniors, le marché de plein-vent a pris un coup de jeune ces dernières années. "Le public s'est fait plus familial, glisse Patrick Divoux, délégué sur le marché nocturne de Belfort. On voit aussi beaucoup d'étudiants désireux de manger sain qui achètent en petite quantité. Plus pratique quand le budget est serré. Il est aussi fréquent de voir des clients en vélo ou des jeunes avec des cabas déambuler entre les étals".

    Le marché évolue avec la ville et répond aux besoins du consommateur. "Les associations de quartier servent souvent de relais dans l'installation d'un marché, assure Claude, primeur depuis vingt ans au Cristal, plus ancien marché de plein-vent de Toulouse. Elles peuvent par exemple revoir avec les commerçants des horaires plus appropriés à l'exemple du marché de Saint-Georges qui se tient désormais aussi certains soirs en semaine. En occupant l'espace, l'implantation d'un marché peut aussi contribuer à l'apaisement d'un quartier.

    Ces dernières années, le marché est aussi devenu un acteur économique qui se démène pour capter le client des grandes surfaces. Ce retour à la proximité, de changement d'habitude de consommation, est dans l'air du temps. Fraîcheur, qualité, prix... les marchés sont dans le vent.

    * les horaires sont susceptibles de changer durant la saison estivale.

    ... A venir pépiniéristes et vieux papiers

    Face à l'engouement du public, Toulouse dope ses marchés. Dans les cartons, la Ville devrait prochainement mettre en place un marché de pépiniéristes dédié aux plantes, près du Jardin du Muséum de Borderouge. Un marché pédagogique en lien avec les ateliers du Muséum. Sous l'impulsion de l'association des commerçants et artisans de la Concorde, un marché de cartes postales anciennes, de timbres et de vieux papiers doit voir le jour les 2e et 4e samedis de chaque mois de 9 heures à 15 heures, autour de la fontaine Clémence Isaure. Un marché ouvert aux commerçants et collectionneurs dans l'esprit du Carré Marigny à Paris. Le Club des cartophiles de Midi-Pyrénées a été sollicité.

    Enfin, petit changement : la brocante, une autre sorte de marché de plein-vent, installée le samedi matin, depuis des décennies sur le parvis de la cathédrale Saint-Sernin déménage en janvier 2017 sur l'esplanade de Saint-Aubin. Un déménagement lié au réaménagement du parvis de Saint-Sernin. Enfin, le marché Saint-Aubin va s'étendre devant l'église, en proposant des exposants non alimentaires et compléter ainsi l'offre artisanale déjà présente.

    Ce n'est pas un petit changement: c'est une révolution!! ndlr