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Blog - Page 171

  • 8 choses que vos dents révèlent sur vous et votre santé

    Destinées à couper et à broyer les aliments, les dents, on le sait, sont la connexion avec beaucoup de parties de notre corps. Mais qu'en est-il de ce qu'elles révèlent de vous? Maladies? Démences? Grossesse? L'observation de vos dents peut en dire très long sur vous.

    1. Vous avez des risques de démences

    Selon le Journal of the American Geriatric Society, ne pas prendre soin de son hygiène dentaire peut, en plus de causer des dégâts "minimes" comme des caries ou des soucis de gencives, il peut entraîner des états de démences chez vous. En ce sens, l'étude révèle que les personnes qui ne prennent pas soin de leurs dents ont 65% de chance d'être atteints de démence. Conclusion? Brossage de dents obligatoire!

    1. Le stress a pris le dessus sur vous

    Un peu comme dans les rêves où l'on se voit perdre nos dents. Généralement, ces rêves apparaissent avant un événement qui est source d'angoisse pour vous. Eh bien, même si là vous ne les perdez pas, vous êtes apte à souffrir des gencives et à ce que vos dents se voient sensibilisées plus facilement par le froid et le chaud. Alors, on se paye une séance de massage et on oublie le stress.

    1. Le diabète vous guette

    En effet, le diabète a le vilain défaut d'attaquer différents organes. Les dents ne sont pas épargnées. Si vous avez la bouche sèche ou que vos dents se déchaussent, alors peut-être que vous souffrez de diabète. Et il est conseillé de consulter un dentiste, à même de détecter s'il existe une maladie.

    1. Souris-moi et je te dirais quelle personnalité tu as

    Canines apparentes? Alors selon Carrington Colleges Group, c'est que vous êtes de nature agressive. Et logiquement, inversement. Si vos canines ne se voient pas, ou presque pas, alors vous êtes de nature calme. À tester?

    1. On peut connaître votre âge

    Grâce à vos incisives centrales supérieures on peut facilement déterminer votre âge. C'est d'ailleurs une des manières dont un médecin légiste peut donner un âge, du moins approximatif d'une victime. Cliché, mais vrai. Plus on est jeune, plus elles sont rectangulaires et deviennent carrées en vieillissant.

    1. Basique, vous êtes fumeur et/ou buveur de café

    C'est marqué comme le nez au milieu de la figure. Les dents jaunies et la mauvaise haleine. Faut-il parler davantage pour vous convaincre d'arrêter de fumer?

    1. Vous avez des chances d'accoucher prématurément

    Quand on est enceinte, c'est le moment où l'on doit faire le plus attention à sa santé. Et du coup, il en va de même pour les dents. En effet, une femme enceinte qui ne prend pas soin de ses dents et de ses gencives et qui développe des maladies de parodontite, a plus de risques d'accoucher d'un bébé prématuré. Vigilance, donc.

    1. Attention au cœur

    Certaines maladies liées aux gencives, comme une gingivite, qui en apparence, est plus dérangeante que douloureuse, peuvent prendre d'autres tournures. En effet, lors d'une maladie parodontale, vos bactéries peuvent communiquer jusqu'à votre...cœur et causer donc bien plus de dégâts, comme une maladie des artères.

    Alors, si après lecture de toutes ces révélations, quelques doutes sommeillent en vous, vous pouvez prendre rendez-vous chez votre dentiste ou bien chez votre médecin.

    Ce qui est prouvé, également, c'est que les battements de votre coeur sont uniques au monde, l'empreinte énergétique de votre cerveau est unique au monde, votre odeur corporelle est unique au monde...

    Pour en savoir plus, lisez mon film-textes:

    Votre odeur corporelle est unique au monde

     

     

  • INCROYABLE!

     

    Ma page Facebook n'est plus bloquée!

    ?????

    Ma dernière info ne lui a pas plu???? Toujours est-il que je l'ai supprimée, pour voir...

    Donc, retour de la possibilité de remettre des articles....

    ?????

    Cela prouve que “quelqu'un“ vient lire les infos que j'y dépose!

    MDR

     

  • SCANDALE! Facebook a bloqué ma page personnalité publique!

    Ils ont peur que je les envoûte????

    S'ils pensent que j'ai ce pouvoir, alors c'est fait: Face de bouc va faire faillite, croyez-moi!

    Cela prendra le temps qu'il faut... mais, cela arrivera!

    Non mais, sans rire....

    LA LIBERTÉ D'EXPRESSION A L’AMÉRICAINE N'A RIEN A VOIR AVEC LA NOTRE!

    Mais, quels crétins congénitaux ces ricains! et leur affidés Français... parce que ce sont les employés français qui ont bloqués mon compte...

    Heureusement, j'avais une autre page: JOYCE-VOYANCE

    Trouvez-là, abonnez-vous, dite J'aime!

    Vous allez lire les mêmes articles que sur le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

    où je remet les pendules à l'heure concernant ces sciences dites occultes mais, bien sûr, qui ne le sont pas....

    Défendez, SVP, la seule voyante qui fait entrer les gens dans le 3e millénaire et qui remet l'intelligence à la mode!

     

     

  • "Cassoulet" au poulet

    Ben oui, vous pouvez…. le cassoulet, c'est comme la pizza, chacun la sienne!

    Une recette qui vous fait un rata léger, finalement et, vite prêt!

    Perso, j'ai toujours les ingrédients du cassoulet dans mon congélo… des fois que cela me prends!

    Que nenni, pas de cassoulet William Machin* ni celui qu'on trouve partout, ici, dans le coin du Lauragais, le cassoulet en boîte de la Belle Chau-chau*!). A moins que vous n'ayez pas les moyens de vous payer un dentier….

    *(J'ai changé le nom… je n'ai pas envie qu'on me fasse un procès!).

    Ingrédients pour 4 personnes :

    4 Cuisses de poulet; 4 morceaux de saucisses de Toulouse; en principe, on doit mettre un morceau d'environ 70 à 80 g par personne

    300 g de poitrine de porc: achetez de l'échine et ôtez les os

    600 g de haricots blancs en bocal (frais ou congelés) ou des cocos du Lauragais

    250 g de tomates cerise ou tomates rondes

    2 carottes, 1 oignon, 2 à 3 gousses d'ail

    2 cuillère à soupe de romarin frais ou séché; 2 à 3 brins de thym frais ou sec

    2 feuilles de laurier, 20 cl de vin blanc sec

    40 cl de bouillon de volaille ou 1 cube de volaille et 40 cl d'eau

    Huile d'olive ou mieux encore, 40 g de graisse de canard

    Sel / Poivre du moulin

    Commencez par peler l'oignon et l'ail et hachez-les finement, épluchez les carottes et coupez-les en rondelles pas trop fines. Coupez la poitrine en 4 morceaux.

    Faites chauffer 3 à 4 cuillères à soupe d'huile d'olive ou graisse dans une cocotte en fonte et faites dorer les morceaux de viande, en commençant par le poulet, la poitrine et pour finir les saucisses de Toulouse, retirez les viandes de la casserole et réservez (jetez l'excédant de gras).

    Versez dans votre casserole, 2 cuillères à soupe d'huile d'olive ou la graisse de canard, ajoutez l'oignon émincé, faites-le brunir quelques minutes avec coloration puis ajoutez l'ail, les rondelles de carottes, le thym, le romarin et les feuilles de laurier, versez le vin blanc et laissez réduire quelques minutes.

    Replacez votre poulet, vos saucisses de Toulouse et vos morceaux de poitrine de porc dans la sauteuse, salez et poivrez puis versez le bouillon de volaille et laissez cuire 30 minutes (rajoutez un peu d'eau si nécessaire, il faut toujours un peu de bouillon surtout si vous utilisez des haricots frais ou congelés).

    Égouttez les haricots blancs et coupez les tomates cerises en deux, pour des tomates rondes coupez-les en quartiers. Ajoutez vos tomates coupées et vos haricots blancs dans la cocotte avec votre cassoulet et poursuivez la cuisson encore 15 minutes, rectifiez l’assaisonnement si besoin.

    Si vous le souhaitez, vous pouvez utiliser des haricots blancs frais ou secs. Pour les haricots blancs frais il vous faudra les ajouter en début de cuisson avec la viande. Si vous préférez des haricots blancs secs, il vous suffira de les faire tremper minimum 6 h à 12 h (voir instructions sur l'emballage) ou, comme je fais, les blanchir 8 mn, jeter l'eau et commencer la cuisson avec du liquide d'un niveau de trois cm au-dessus des haricots

    ou bien si vous voulez changer un peu, utilisez des flajolets congelés qui cuisent en 20 mn;

    J'ai été bien embêtée pour trouver des cocos…. aussi, j'ai pensé que cet été, j'achèterai un sac de 25 kg de coco de Paimpol frais, que je les écosserai et les congèlerai.

    Tant pis pour les cocos “de Pamiers“ nom donné aux haricots du Lauragais qui est traditionnellement le haricot du cassoulet.

    Marre des commerçants et restaurateurs-abrutis qui disent que le cassoulet se fait avec du haricot tarbais ou du lingot! (même les soi-disant confréries du cassoulet n'indiquent que le lingot dans leur recettes: faux et archifaux! le coco, il se désagrège? et ben, la tradition, c'est la tradition!).

    Quand j'étais enfant, nous n'avions pas de voiture et quand on faisait le cassoulet, on ne partait pas à pied pour aller acheter des haricots à Tarbes! Plus de 150 km…. On trouvait partout des cocos!

    Tandis que les toqués de la toque vous collent un cassoulet vert fluo avec des fèves fraîches! n'importe quoi pourvu qu'ils se fassent mousser! quelle misère intellectuelle!

     

     

  • Définition de la Tradition

     

    Gustav Mahler:

    "La tradition n’est pas la vénération des cendres mais la transmission du feu"

  • Comment Cloclo s'est accaparé Podium...

    Dans le courant de la fin de l'année 1971, mon patron vint me voir et me dit: “Josyane, tu va avoir beaucoup de travail sur la photocomposeuse

    “????

    “Nous allons réaliser un magazine qui sortira tous les mois.. un magazine sur la musique; Il y aura beaucoup de travail, on va devoir donner un sacré coup de collier“.

    J'ai 21 ans, je suis maman célibataire, le travail ne m'a jamais fais peur… aujourd'hui encore.

    J'ai été embauchée pour être “opératrice en photocomposeuse“… Je suis très rapide pour écrire à la machine à écrire (en ce temps-là, c'est tout ce qui existe en matière d'écriture). La photocoposeuse est un sorte de machine à écrire qui justifie le texte. C'est IBM qui tente de s'emparer le marché des imprimeries avec cet appareil qui se veut révolutionnaire. Afin de remplacer les linotypie (machine qui sort le texte en plomb, à l'envers… avatar de l'invention de l'imprimerie de Gutemberg en 1435 environ).

    Le seul problème, ces machines ultra-moderne pour l'époque ne sont pas fiable du tout: jugez-en. Il faut taper le texte deux fois. Une première fois, on aperçoit un curseur qui se déplace sur une ligne gradué et il faut relever le code. Ex; vert 9. Le seconde fois, avant de retaper le texte, il faut tourner un gros bouton et le positionner sur la couleur verte et le grade 9… cela permet de voir le texter se justifier et de réaliser une colonne bien droite. Sauf que, ces machines ne sont pas fiables et le texte est rarement justifié. Le patron s'en arrache les cheveux, la machine a coûté très cher… et ne sert à rien. Il préfère les bonnes vieilles lignes de plomb.

    Mais comme il est un patron qui réalise toutes les impressions du parti communiste de la région Midi-Pyrénées, il n'allait tout de même pas licencier une jeune maman célibataire! de plus, il était secrètement amoureux de moi (il m'avait proposé de m'installer dans un appartement et de payer le loyer, à condition que je le reçoive deux fois par semaine… comme si j'étais une cocotte de la Belle Epoque!). Ce que j'avais, bien sûr refusé… Non mais!

    L'imprimerie possédait deux machines offset et deux linotypes. Elle comptait une quinze d'ouvriers et d'ouvrières, car, en plus de sortir les feuilles imprimées, il fallait souvent ce que l'on surnomme le “travail de table“: réaliser des carnets, de petits livrets, des blocs-notes… bref tout ce qui se faisait en matière de petits supports d'écrits. Comme le travail de photocompo ne pouvait se réaliser avec la fameuse machine, je devais me trouver du travail dans les autres départements de l'imprimerie: la photogravure, la retouche de négatif, le travail de table, le montage du papier en machine, la surveillance des machines typos….

    J'avais aperçu très souvent les trois protagonistes du magazine que nous allions fabriquer. Il y avait le patron d'un orchestre (très connu et très suivi dans les baloches et fêtes des environs de Toulouse, du nom de Sentimental Trumpet); il y avait un journaliste de radio, Sud Radio pour la nommer. Je pense qu'il faisait dans les rencontres sportives du Téfécé et du Stade Toulousain… et enfin, un caméramen de FR3 Midi-Pyrénées qui, par la suite est devenu un grand éditeur parisien, spécialiste des livres écrits par des célébrités… comme mon amie Pierrette Brès.

    Le magazine s'intitula Podium. Il était vendu dans tous les kiosques de France. Cela m'impressionnait. Le premier numéro, en couverture, parlait d'un étonnant nouveau chanteur dont la chanson “The fool“ était sur toutes les lèvres cette fin d'année-là; les trois co-directeurs en parlaient entre eux: incroyable, il était aveugle! La seconde une fut réservée à Johnny et informait sur sa nouvelle tournée, qualifiée de “caravane“. Les trois co-directeurs qui avaient un emploi ailleurs nous avait délégué un drôle de personnage, barbu et chevelu, genre artiste engagé, étudiant éternel aux Beaux-Arts de Toulouse, qui faisait la liaison avec les “patrons“ et les autres quidams extérieurs. Il faisait la mise en page; coordonnait les divers articles, les emplacements publicitaires, faisaient des dessins amusants et… les mots croisés.

    En, le voyant réaliser la grille (c'était très long et il le faisait en deux autres taches) j'étais fortement curieuse. Cela me plaisait et je lui posais des tas de questions. Il me dit que sur une grille 10 par 10, il ne fallait pas plus de 11 cases noires; “et s'il y en a plus? demandais-je…

    Cela veut dire que le réalisateur de la grille n'est pas bon… 12 est un grand maximum“.

    Je m'attelais à la tache, moi qui adorais les chiffres et les lettres (les lettres surtout). Et j'ai réalisé un grille après beaucoup de travail. Je lui ai fièrement montré et il l'a tellement approuvé qu'elle est passée dans le magazine: le roi n'était pas mon cousin!

    Nous recevions tous les 15 jours, deux 30 tonnes de ramettes de papier. Et, j'aidais les gars à les ranger dans l'atelier; ça pèse le papier, vous le savez mais une ramette, outre son poids avait une surface de 1,20 ou 1,30 m de surface sur au moins 90 cm… (je dis au pif, je ne me souvient plus de la surface exacte, c'était dur à manipuler)… les hommes en prenaient deux à la fois, moi, une seule… mais, que c'était lourd! J'étais hyper-costaude… pour rire, on faisait le “bras d'acier“ souvent, entre nous et… j'étais la 2e.. je battais toutes les femmes et même des hommes et même, un jour, le massicottier… il était pourtant hyper-costaud!

    L'imprimerie, je l'ai dis avait deux machines offset.. le seul souci était qu'elle était une seule couleur… pour réaliser le magazine qui était quadri, nous devions passer chaque feuille, 4 fois en machine… c'était très, très long. Surtout, le lavage des encriers entre les passages. Une machine était réservée au noir, qui était la couleur la plus utilisée, la seconde était pour les trois autres couleurs. Chaque fois, reprendre la pile de papier, l'aérer à plusieurs reprises avant de re-monter une pile qui “prendrait“ la nouvelle couleur. Quand c'était imprimé, il fallait massicoter puis passer à la plieuse, rassembler et piquer les agrafes au milieu.

    On était toujours en retard…. on travaillait 6 jours sur 7; de 6 heures le matin à deux ou trois heures la nuit suivante…. j'en ai fais, des heures supplémentaires! mais, j'en avais besoin pour payer la nourrice de ma fille, hop', la moitié de la paye en l'air… (pas d'alloc de frais de garde, en ce temps-là!

    Au bout de huit mois, ce n'était plus possible de travailler ainsi… le Vieux Loubet a commandé une autre offset, à deux planétaires… ainsi, on pouvait, d'un coup, passer deux couleurs… Podium marchait très bien… il était considéré comme un magazine de très haut niveau de réalisation dans la cohorte des magazines pour les jeunes. Le papier était de 110 grammes et la couv' de 130, glacée, genre kromecott.. Les textes étaient fort bien écrits et “se tenaient“ pour un magazine de la jeunesse. Les ventes augmentaient de mois en mois…. de 50 000 exemplaires mensuels, on était passé à 55, 60, 70.. La pub rentrait à flots….

    Cependant, malgré le 2e planétaire, le magazine était réalisé avec beaucoup trop de lenteur… on en était arrivé à devoir planifier chaque numéro un mois et demi à l'avance.

    Un jour, il fallu se rendre à l'évidence, ce n'était plus possible; malgré l'amitié des fils Loubet, de leur père et des créateurs de Podium, une décision s'imposait: trouver une autre imprimerie et, tant que faire, un associé car le magazine s'était bien trop développé. Les trois co-directeurs se sont mis à rechercher l'une et l'autre.

    Et puis, c'est le fils cadet du patron qui m'a expliqué que n'ayant pas trouvé d'investisseurs suffisamment intéressés, Lafon qui, depuis six mois travaillait pour sa chaîne à Paris, réussi à obtenir un rendez-vous de Claude François, qu'il avait rencontré lors de passages sur la chaîne.

    Lafon, Bernadini et Capdevielle, les trois acolytes se rendirent au rendez-vous avec la super vedette de ce temps-là (après Johnny que je dis!), étalèrent quelques magazines devant lui et expliquèrent leur souhait de trouver un investisseur. Cloco les a écouté sans trop les interrompre puis il dit: “je ne m'associe pas, j'achète!". Il savait déjà ce qu'il allait en faire: laisser tomber le luxe et la sobriété du magazine pour en faire le nouveau journal de la jeunesse, criard et m'a-tu-vu que l'on sait. Qui, plus tard, à été marié à un autre magazine et dont on modifia le nom… on ne donne pas ce qu'elle veut à la jeunesse, on la met dans une case “débile sous culturée“.. elle devient ce qu'on lui donne à “manger“.

    Lafon est resté à Paris, Bernardini a acheté le plus vieux hebdomadaire de France, un journal sur les courses de chevaux qui, je crois, date de 1775 environ, Capdevielle est resté chef d'orchestre un certain temps… il devait se battre contre la montée en puissance d'un autre orchestre, de Montauban, appelé Goldfinger… nous, les jeunes, on n'allait plus que dans les fêtes animées par l'un ou l'autre de ces sacrés bons orchestres qui jouaient “notre“ musique… Un jour, Goldfinger est devenu “Gold“… Mais, ça, c'est une autre histoire….

    Je pense avoir les deux ou trois premiers numéros de Podium qui traînent, quelque part, chez moi…

     

  • Avec ce froid, une petite tisane?

     Bien sûr, il y a des tas et des tas de tisanes bio!