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OCCITANIE - Page 180

  • Pollution atmosphérique: les compléments alimentaires qui protègent

    Acérola BIO: en vente sur mon site

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    Des suppléments de vitamines et d'acides gras ont montré leur intérêt pour prévenir les dommages provoqués par la pollution.

    D’après l’OMS, 92% de la population mondiale vivrait dans des zones qui ne respectent pas les limites de pollution de l’air fixées par l’OMS. La pollution aux particules fines PM2,5 (de diamètre inférieur à 2,5 µm) pose des problèmes de santé car ces polluants se déposent dans les voies respiratoires, où ils peuvent provoquer une inflammation. L'exposition aux polluants est ainsi associée à des taux plus élevés de maladies et de mortalité cardiovasculaires et respiratoires, en particulier en ville. Malgré les politiques qui visent à réduire la pollution de l’air, des pics de pollution sont fréquemment enregistrés.

    Or il peut être intéressant d'envisager la prise de certains compléments alimentaires pour se protéger.

    Vitamines du groupe B

    La pollution de l’air agit sur nos gènes. Plus précisément, elle peut modifier l’ADN par un mécanisme épigénétique, comme des méthylations de l’ADN. Ces modifications épigénétiques ne changent pas la séquence proprement dite de l’ADN mais elles sont impliquées dans des phénomènes importants pour la santé, comme le stress oxydatif et l’inflammation.

    Dans un article paru dans PNAS, des chercheurs internationaux ont voulu savoir si une complémentation en vitamine B pouvait prévenir les effets nocifs des particules PM2,5. Les vitamines B (notamment B6, B12 et folates) sont des cofacteurs intervenant dans des réactions de méthylation.

    Pour cela, les chercheurs ont donné soit un placebo soit un complément de vitamine B (2,5 mg d’acide folique, 50 mg de vitamine B6 et 1 mg de vitamine B12) chaque jour aux volontaires de l’essai clinique. Les 10 volontaires étaient des personnes en bonne santé, qui ne fumaient pas et âgées de 18 à 60 ans. Les particules PM2,5 ont été délivrées aux participants à une concentration de 250 µg/m3, à l’aide d’un masque. L’étude a montré l’effet épigénétique de la pollution de l’air: les particules fines ont induit des changements (méthylations) dans des gènes impliqués dans le métabolisme énergétique de mitochondrie (les usines énergétiques des cellules).

    Les résultats suggèrent également que les vitamines B pourraient servir à prévenir et atténuer les effets de la pollution de l’air sur l’épigénome car la complémentation a empêché des changements épigénétiques.

    Vitamines C et E

    Ces deux vitamines sont des antioxydants. Dans une étude, on a étudié les effets de la prise de suppléments de vitamine C (500 mg/j) et de vitamine E (800 mg/j) pendant 6 mois chez des personnes exposées directement ou indirectement à des émissions de particules issues d'une centrale électrique à charbon. Par rapport au groupe de contrôle, celles qui recevaient les vitamines ont vu les marqueurs de dommages oxydatifs baisser et les niveaux des défenses anti-oxydantes enzymatiques et non enzymatiques augmenter (glutathion, protéines soufrées, catalase, enzymes à glutathion).

     

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    Oméga-3

    Dans un essai randomisé contrôlé, l'effet des oméga-3 (2 g d’huile de poisson/jour) ou d’un placebo sur la réponse cardiovasculaire aux particules fines a été évalué chez les personnes âgées institutionnalisés. Résultats: les oméga-3 de l'huile de poisson ont prévenu l'impact négatif des PM2,5 sur la variabilité cardiaque, un marqueur du risque cardiovasculaire.

    Dans une autre étude, les oméga-3 (2 grammes par jour) ont augmenté l'activité d’une enzyme anti-oxydante, la SOD (superoxyde dismutase), de 49% et le niveau de glutathion (principal détoxifiant cellulaire) de 62%. L’oxydation des graisses a elle diminué de 72%. Ainsi, les oméga-3 semblent moduler le stress oxydatif induit par les particules PM2,5 en augmentant l'activité des antioxydants de l’organisme.

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    Source

    Péter S, Holguin F, Wood LG, Clougherty JE, Raederstorff D, Antal M, Weber P, Eggersdorfer M. Nutritional Solutions to Reduce Risks of Negative Health Impacts of Air Pollution. Nutrients. 2015 Dec 10;7(12):10398-416. doi: 10.3390/nu7125539.

     

  • La vraie recette du pain perdu

     

     

    Dans le temps lointain où les boulangers fabriquaient du pain sous forme de miche, on achetait un énorme pain pour plusieurs jours, qu’on enveloppait d’un torchon pour qu’il ne sèche pas. C’était un gros pain à la farine grise qui levait doucement, était pétri longtemps et levait encore longtemps. Façonné, il cuisait dans un four à bois

    Le pain, alors, avait une croûte épaisse et craquante et une mie dense, parfumée. On coupait une tranche dans le gros pain, c'était un tranche épaisse que le père ou la mère devait trancher, en sciant le pain, posé contre son torse et fermement tenu tant il était gros. Nous, les enfants pouvions à peine le soulever. Alors, pour le couper! bon, un couteau est interdit de manipulation aux moins de 10 ans.

    Au goûter, il fallait le tartiner de beurre, de graisse d’oie avec du gros sel. A l’époque, personne ne savait que le cholestérol existait. Quand arrivait le moment où le pain avait bien durci, le reste du gros pain, était pour la soupe, le Tourrin Toulousain, la soupe à l'oignon ou pour faire du pain perdu.

    Chez moi, le pain perdu est un dessert, un goûter; n’importe quelle occasion est bonne pour en faire. Parfois, je pousse le vice jusqu'à acheter un pain de campagne juste pour le laisser rassir pour faire du pain perdu, c’est dire à quel point j’aime ça.

    Premier conseil: n’achetez JAMAIS du pain de mie industriel ou de la baguette qui ne soit fabriquée par votre boulanger, le pain tradition. Vous pouvez utiliser un reste de brioche maison, mais déjà on s’éloigne de l’esprit du pain perdu.

    Le pain perdu doit tremper dans une préparation simplissime à base d’œufs et de lait et il faut lui laisser le temps de se gorger de ramollir, d’absorber: il vous le rendra dans votre assiette.

    C’est un plat qu’un enfant peut faire: Si vous avez une grande famille, utilisez une grande poêle, cela évitera que la cuisine résonne de cris divers et d’insultes pour être le-a premier-e servi-e.

    LA RECETTE

    Pour 6 personnes ayant bon appétit  il faut environ 18 tranches de baguettes de la veille ou 12 tranches de pain de campagne vieux de deux ou trois jours.

    4 œufs de belle taille

    4 verres de lait entier (c’est encore meilleur en ajoutant un peu de crème)

    1 gousse de vanille que l’on gratte ou ½ cuiller à café de vanille en poudre, mais de la vraie par de ces fausses vanilles que l'on trouve à prix bas et qui n'a de goût que de sucre chimique.

    Il vous faut, aussi, un grand saladier (en verre) pour ne pas salir partout quand on bat l'ensemble. Battez les œufs en omelette, puis ajoutez la vanille et le lait, bien fouetter.

    Mettre le pain à tremper plusieurs minutes pour qu’il se gorge de ce mélange.

    Il faut faire chauffer la grande poêle (jamais de téflon pour la santé, merci), comme pour les crêpes, faire fondre doucement un gros morceau de beurre et, quand il commence à mousser (et surtout pas à brunir), posez les tranches de pain imbibées du lait aux œufs et faites dorer, environ trois minutes. Puis, les retourner délicatement et, laisser encore dorer. Retirez ensuite, sur le plat de service en verre ou en céramique, saupoudrez généreusement de sucre et de cannelle.

    Remettre du beurre dans la poêle et continuez jusqu'à épuisement du pain trempé. Vous pouvez passez un morceau de papier absorbant dans la poêle en fer, entre chaque tournée pour ne pas avoir des “brûlers“ sur la tartine.

    S'il n'y a pas d'enfants qui traînent dans la cuisine, rajoutez une lichette d'Armagnac dans l'omelette au lait.

    Parfois, on ajoutait deux cuillères à soupe d'eau de fleurs d'oranger que vous trouverez sur mon site

    www.biotine-sep.com

    il y a aussi de la cannelle en poudre...

    On écrasait des morceaux de sucre avec le fond d'un verre; cela nous faisait des pépites de sucre bien croquantes sous la dent: un vrai bonheur!

     

  • Pain France-Toulouse camembert, lardons et noix

    Le meilleur de chez nous!

     

    2 œufs, 4 cuillères à soupe de crème épaisse entière (bien sûr!)

    100 g de farine ou maïzéna; 125 g de camembert, 100 g de cansalade (lardons)

    2 cuillères à soupe d’huile d’olive; 20 g de noix

    Thym;  Sel & poivre

    Faites revenir -à sec pour quelle rende du gras- la cansalade coupée finement

    Mélangez dans un saladier en verre les œufs, la crème, l’huile d’olive et les feuilles de thym. Salez, poivrez et remuez fortement avec votre fouet inox.

    Rajoutez la farine et remuez bien

    Ajoutez les lardons, le camembert coupé en dés fins et les noix. Mélangez jusqu’à obtenir une pâte assez homogène.

    Chemisez un moule en verre ou céramique (beurrez le plat et saupoudrez de farine, tapoter pour faire tomber le surplus de farine).

    Versez la pâte dans le moule à manqué (c'est un moule rond avec un bord de 5 ou 6 cm de haut)  (ou des moules à muffin si vous faites pour l'apéro de petites portions) et enfournez 15 minutes à 180 °C.

    Il va sans dire que les recettes de mon blog, je les réalise souvent...

    donc,

    ce n'est pas bidon!  :-)

     

  • Dangers des marrons

    L’agence sanitaire met en garde contre les dangers des marrons toxiques

    Par  Journaliste Figaro Etienne Jacob 

    Et une de mes recettes en bas de la note

    Alors que l’automne débute, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES) alerte mercredi sur le risque de confusion entre le marron d’Inde, qui peut provoquer troubles digestifs et vomissements, et la châtaigne, parfaitement comestible.

    Attention à ne pas confondre châtaigne et marron d’Inde: si la première est comestible, le deuxième est toxique, alerte mercredi l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES). Pour sa mise en garde, l’établissement public se base sur une étude réalisée entre 2012 et 2018 avec les neuf centres antipoison de France. Et le résultat est sans appel: après les bulbes, parfois pris pour des oignons, la confusion marron/châtaigne est la deuxième plus fréquente concernant les plantes. En l’espace de sept ans, 174 erreurs ont été recensées et 45% d’entre elles ont été suivies de symptômes.

    Certes, ingérer cette graine n’est pas mortel, mais le phénomène requiert une attention particulière à l’approche de l’automne, époque à laquelle elle pousse. "C’est le même genre de confusions que l’on peut faire pour les champignons. Il est important pour nous de former et de communiquer à ce sujet", indique au Figaro le docteur Sandra Sinno-Tellier, responsable de la toxicovigilance à l’Anses.

    "En effet, même si on parle couramment de “marrons”, de “marrons glacés”, ou encore de “crème” ou “purée de marrons”, il s’agit en fait d’une variété de grosses châtaignes cultivées pour leur consommation", précise l’agence sanitaire. Comestibles, elles sont reconnaissables à leur bogue "brune, hérissée de nombreux et longs piquants". Elles contiennent "deux à trois châtaignes à la fois, plutôt petites, aplaties et triangulaires". Le marron d’Inde possède pour sa part une capsule "épaisse, verte, pourvue de petits pics espacés et courts, et contient généralement un seul marron, plus gros et arrondi".

    Des environnements différents

    Au goût, la différence est claire: les marrons d’Inde sont "irritants", assure Sandra Sinno-Tellier. D’après l’Anses, ils peuvent causer "troubles digestifs, douleurs abdominales, nausées, vomissements, ou irritations de la gorge". La mise en garde est d’autant plus importante que souvent, son arbre, le marronnier, est généralement planté en ville à titre ornemental, ou dans les cours d’écoles et les parcs, même s’il est possible de le trouver "ailleurs", note la spécialiste. "Souvent, ce sont des mamans qui appelaient car leur enfant ressentait une gêne ou une irritation après avoir croqué dedans", ajoute-t-elle. Connue pour ses propriétés médicinales - hémorroïdes, jambes lourdes -, cette graine ne doit pas être consommée, même cuite.

    La châtaigne, elle, est parfaitement comestible. Son arbre n’est pas le même ; il s’agit du châtaignier, et on le trouve le plus souvent dans les bois. La forêt de Montmorency, au nord de Paris, est par exemple connue pour être un "spot" de ce fruit très prisé. Quant aux vendeurs à la sauvette, omniprésents à Paris, ils s’approvisionnent en général auprès de grossistes, achetant des châtaignes - appelées marrons - venues du sud de l’Europe. "Notre message s’adresse à tout le monde mais concerne surtout ceux qui ramassent et ingèrent ces fruits", affirme Sandra Sinno-Tellier.

     

    Choux de Bruxelles aux “marrons“

    Recette des gens du Sud-Ouest.

    Pour deux ou trois: un kg de choux de Bruxelles, 1 pot en verre de marrons branche de thym frais, sel, poivre, une cuillère à soupe de graisse de canard et 100 g de cansalade en lardons.

    Faites tremper dix minutes les choux de Bruxelles dans de l'eau avec une cuillère de bicarbonate (si vos choux de Bruxelles ne sont pas bio)

    Pelez et coupez les petites feuilles jaunies des choux de Bruxelles (et coupez-les en deux si vous avez eu la bêtise d'acheter de gros choux de Bruxelles, ils sont gros et donc moins bons);

    Placez-les dans la cocotte minute avec un grand verre d'eau (direct, sans le panier, si vous avez mis de l'eau en bouteille, votre jus de choux de Bruxelles peut être utilisée pour une soupe). Ajoutez le thym, un peu de sel.

    Allumez le feu (comme dirait Johnny) et baissez dès que la soupape tourne fort, laissez cuire ensuite 5 minutes avec la soupape qui chuchote). Éteignez le feu et NE RETIREZ PAS LA SOUPAPE (car les choux continuent de cuire tant qu'il y a de la vapeur).

    Attendre encore 5 mn, puis, sortez les choux et retirez l'eau. Dans un sautoir, faites rissoler à sec la cansalade; quand elle a rendu du gras, mettre une cuillère de graisse de canard et rajoutez les choux, faites les sauter pour qu'ils deviennent bruns et rajoutez les châtaignes du bocal en verre, déjà cuites.

    (Sinon, faites une incision en croix et rajoutez-les dans la cocotte durant que cuisent les choux de Bruxelles mais il faut en tout 10 mn pour cuire les châtaignes).

    Vous pouvez ajouter l'eau des choux de Bruxelles pour que les châtaignes réchauffent dans votre sautoir mais pas trop, sinon vous devrez attendre que l'eau s'évapore.

    Goûtez pour rectifier l'assaisonnement.

    Servez votre poêlée, bien chaude, avec une cuisse de canard confite ou du magret (on est Toulousain ou on ne l'est pas, macarel).

     

    Différence entre sauteuse et sautoir? la sauteuse est à fond plat.

    Le sautoir est à fond bombé

  • Notre plus grand président... après De Gaulle...

     

    Lui, au moins, il nous aimait!

    Discours d'adieu prononcé par Jacques Chirac, le 11 mars 2007, au cours duquel celui qui était encore chef de l'État avait déclaré : "Vous l'imaginez, c'est avec beaucoup d'émotion que je m'adresse à vous ce soir. Pas un instant, vous n'avez cessé d'habiter mon cœur et mon esprit. Pas une minute, je n'ai cessé d'agir pour servir cette France magnifique. Cette France que j'aime autant que je vous aime. Cette France riche de sa jeunesse, forte de son histoire, de sa diversité, assoiffée de justice et d'envie d'agir. Cette France qui, croyez-moi, n'a pas fini d'étonner le monde".

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  • Les colorants à éviter

    Jaune de quinoléine (E104). Ce colorant jaune se trouve surtout dans les sodas et confiseries mais aussi dans certaines confitures et dans les boissons alcoolisées. Il est interdit aux Etats-Unis et en Australie parce que c’est un agent mutagène, potentiellement cancérogène. Le jaune de quinoléine est aussi susceptible de provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles.

    Azorubine / carmoisine (E122). Ce colorant synthétique rouge que l’on trouve essentiellement dans les charcuteries est interdit en Australie, en Norvège, en Suède et aux États-Unis.

    Amarante (E123). Ce colorant rouge est autorisé uniquement dans les vins apéritifs, spiritueux, y compris les boissons spiritueuses de moins de 15 % d'alcool en volume et les œufs de poisson. Il est interdit aux Etats-Unis, en Norvège, en Russie et en Autriche. Des chercheurs japonais ont établi que l’amarante est génotoxique. (modifie l'ADN)

    Rouge Ponceau 4R / rouge cochenille (E124). Ce colorant est utilisé en pâtisserie fraîche ou sèche, entremets, flans, fruits au sirop, confiserie, bonbons, chewing-gum, chorizo. Ce colorant est probablement génotoxique.

    Erythrosine (E127). Ce colorant n’est autorisé que autorisé pour les cerises pour cocktail, cerises confites ou bigarreaux au sirop. Le potentiel cancérogène de l’érythrosine est connu depuis de nombreuses années.

    Rouge “allura” AC (E 129). On le trouve dans les sodas, les apéritifs, les saucisses et les viandes pour hamburger. Ce colorant est probablement génotoxique.

    Noir brillant BN (E151). Ce colorant se trouve dans les harengs fumés. Il est interdit aux Canada, aux État Unis, en Finlande, Japon, en Norvège. C’est un agent mutagène et génotoxique.

    Les additifs au phosphate à proscrire

    Compte tenu des études défavorables qui s’accumulent chaque jour, et qui lient l’excès de phosphore à des risques cardiovasculaires, rénaux et maintenant de cancer, nous conseillons de ne plus consommer d’aliments qui renferment ces additifs, afin d’obliger les industriels à changer leurs pratiques. En voici la liste :

    • Acide orthophosphorique (E338)
    • Orthophosphates de sodium (E 339)
    • Orthophosphates de potassium (E 340)
    • Orthophosphates de calcium (E 341)
    • Orthophosphates de magnésium (E343)
    • Diphosphates (E 450)
    • Triphosphates (E 451)
    • Polyphosphates (E 452)

    Les autres additifs indésirables

    Nitrate de sodium (E251) et nitrite de sodium (E205). Ce sont des conservateurs très présents dans les charcuteries et les viandes traitées façon charcuteries (volailles…). Ils sont classés comme des cancérogènes probables par le Centre international de recherches sur le cancer (Lyon) en présence d’amines ou d’amides apportés par les viandes ou les poissons.

    Remplacer les nitrites est certes compliqué; en plus de la belle couleur qu'ils donnent au jambon, ils sont surtout là pour prévenir le développement de la bactérie à l'origine du botulisme (Clostridium botulinum). Il existe des alternatives : probablement plusieurs substances naturelles devront être mises ensemble à contribution (CCMP, lactates, antioxydants...). Comme cela entraînerait un coût supplémentaire pour les producteurs, et une modification des méthodes de production, rien n'avance du côté de la recherche de solutions plus sûres.

    N'achetez JAMAIS DE JAMAIS des charcuteries sous emballages plastiques!

    SURTOUT et NOTAMMENT, la charcuterie fumée!

    BHA (E320). Cet antioxydant de synthèse est considéré comme un cancérogène potentiel par le National Toxicology Program des Etats-Unis.

    Glutamate monosodique (E621). Cet exhausteur de goût se retrouve dans de nombreux plats cuisinés et soupes. Une partie de la population et certains asthmatiques y est sensible et réagit par des symptômes regroupés sous le nom de "syndrome du restaurant chinoi ". Les acides aminés excitateurs comme l’acide glutamique et l’acide aspartique sont soupçonnés d’être toxique pour les neurones et de favoriser des maladies dégénratives comme Parkinson.

    Hexaméthylènetétramine (E239). Ce conservateur de synthèse utilisé dans certains fromages contient du formaldéhyde, produit chimique toxique. Il n’est pas autorisé en Australie et Nouvelle-Zélande.

     

    Orthophénylphénol (E231). Conservateur de synthèse autorisé pour le traitement externe des agrumes, interdit en Australie et Nouvelle-Zélande. Il peut être à l’origine de réactions cutanées et d’inflammation des muqueuses.

    Parabènes (E214-E219). Ces conservateurs pour cosmétiques sont également utilisés comme additifs alimentaires. Certains peuvent se comporter comme des hormones femelles. Plusieurs parabènes alimentaires sont interdits en Australie. A éviter chez les enfants et pendant grossesse et allaitement.

  • La joie de vivre vous abandonne.

    Il existe quatre substances naturelles, dans notre corps, qui sont définies comme le “quatuor du bonheur”: l’endorphine, la sérotonine, la dopamine et l’ocytocine.

    Ces aliments qui, en raison de leurs composants nutritionnels, favorisent et renforcent cette chimie cérébrale capable de soulager la symptomatologie associée à la dépression et d’améliorer notre humeur. Cependant, de nombreuses études nous indiquent qu’il n’existe aucun aliment capable de traiter complètement un trouble dépressif.

    Il est recommandé de consommer ces éléments nutritionnels en raison des bénéfices qu’on leur associe.

    Aliments qui augmentent la sérotonine et la dopamine

    Les niveaux de sérotonine et de dopamine oscillent dans notre organisme pour diverses raisons. La dépression est l’une de ces explications, mais il y en a beaucoup d’autres:

    Les grandes périodes de stress.

    Un régime riche en graisses saturées, en sucres, en aliments d’origine industrielle, etc.

    Les maladies thyroïdiennes.

    La consommation de médicaments qui réduisent la production de sérotonine et de dopamine.

    Voyons donc quels aliments qui se trouvent à notre portée peuvent favoriser la production de deux des neurotransmetteurs les plus précieux: la sérotonine et la dopamine.

    1. L’avoine

    L’avoine fait partie de ce que l’on appelle les hydrates de carbone “intelligents”. Mais que signifie cela? Tout simplement qu’il existe des éléments qui ont un effet tranquillisant pour le cerveau. Parmi eux, on retrouve les hydrates de carbone (aliments d’origine intégrale dans leur majorité), qui ont en plus une autre propriété merveilleuse: ils favorisent la production de tryptophane, un aminoacide essentiel à partir duquel on synthétise la sérotonine.

    1. La banane

    Parmi les aliments qui font augmenter la sérotonine et la dopamine, la banane est sans aucun doute l’un des plus importants. Elle ne permet pas de combattre la dépression mais elle nous donne une injection naturelle d’énergie, d’optimisme et de santé. Elle réussit à faire cela car l’effet de la banane sur notre cerveau est tout simplement sensationnel:

    Elle favorise la production de tryptophane.

    Elle nous apporte de grandes doses de vitamines A, C, K et B6, qui sont les composants basiques pour favoriser la synthèse et le métabolisme de multiples neurotransmetteurs comme la sérotonine et la dopamine.

    La banane est riche en sucres naturels qui, combinés à ses fibres naturelles, nous offrent un apport incroyable de force et d’énergie pour vaincre les états de négativité.

    1. Les œufs (vu précédemment: le tourin toulousain est bon pour le cerveau!)

    Il est possible qu’aujourd’hui, beaucoup de personnes évitent de consommer des œufs parce qu’elles ont peur de voir leur niveau de cholestérol augmenter. Cependant, la science a confirmé que les œufs sont bons pour notre santé parce qu’ils apportent du bon cholestérol ou HDL. Il faut juste les consommer de façon équilibrée. Le mauvais, c'est le laid: LDL

    Par ailleurs, les œufs, tout comme les produits laitiers, nous aident à produire du tryptophane et de la vitamine B6, des substances nécessaires à la production de sérotonine et de dopamine.

    1. Le chocolat

    Vous attendiez certainement avec impatience l’apparition du chocolat dans cette liste! Effectivement, il en fait bien partie et nous pouvons nous en “offrir” au quotidien, surtout le matin. Même s’il ne faut pas manger plus d’un carré de chocolat noir par jour, le plus pur et sans sucre.

    Le chocolat, en plus d’être l’un des aliments les plus connus pour favoriser l’augmentation de sérotonine et de dopamine, nous fournit de l’exorphine, un analgésique naturel qui réduit la douleur et de la théobromine, une substance similaire au café qui nous offre de l’énergie.

    1. L’ananas

    Parfois, nous oublions les bénéfices que nous apportent de nombreux fruits se trouvant à notre portée. L’ananas est sans aucun doute l’un de ces aliments qui ne devrait jamais manquer dans notre régime. Quelle en est la raison? En voici plusieurs:

    L’ananas soulage l’anxiété et est anti-inflammatoire.

    Il est riche en vitamine C, favorise la circulation, la concentration et la motivation.

    Il est recommandé au cours du dîner car il nous aide à produire de la mélatonine, l’hormone du sommeil.

    1. Le saumon

    Des poissons comme le saumon ou le maquereau sont riches en vitamines du complexe B. Ce type de nutriments essentiels est nécessaire pour favoriser la production de sérotonine et de dopamine. Par ailleurs, comme nous l’avons indiqué dans d’autres articles, notre cerveau a besoin d’un apport d’oméga-3 régulier et celui-ci est présent dans le saumon. Cela permet d’améliorer des processus comme l’attention, la mémoire ou l’humeur.

    Bien sûr, le saumon est un peu cher. Mais vous ferez grand profit -pour pas trop cher- d'une boîte de maquereaux à la tomate, appelée Pilchard… c'est vraiment économique. Pour deux à trois personnes. A consommer tiède ou froid en période de canicule; en hiver, réchauffez la boîte en la posant dans une casserole, couverte d'eau entièrement et en faisant bouillir au moins 10 mn cette eau. Attention de ne pas vous brûler en ouvrant la boîte!

    Les pois chiches

    On dit des pois chiches qu’ils sont l’ingrédient de base de la vie. C’est surement très juste car, parmi les aliments qui augmentent la sérotonine et la dopamine, ce type de légume sec est l’un des plus appréciés depuis de nombreux siècles.

    En fait, beaucoup de pays connaissent leurs vertus depuis l’Antiquité: ils permettent d’améliorer l’humeur et de conférer de l’énergie.

    C’est pour cela qu’une bonne assiette d’humus accompagné d’huile d’olive, d’ail et de piment est l’un des repas les plus communs et appréciés au Proche-Orient.

    Mais, (lisez la rubrique “cassoulet“) avant que les haricots blancs ne soient cultivés en France, contrairement à ce que racontent des tas de toqués cuisiniers (sic) d'Occitanie, il n'y a aucune raison de croire que le cassoulet était réalisé avec des fèves plutôt qu'avec des lentilles ou des pois chiches!