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cuisine - Page 24

  • Le cake aux bananes

    Chez nous, on aime beaucoup les bananes, du coup, j'ai des tas de recettes en mémoire que je réalise un jour ou l'autre. On dit qu'il faut respecter les doses pour la pâtisserie, perso, je fais au pif et ce n'est pas toujours raté, heureusement!

    1 demi-verre à moutarde de lait, 50 g de yaourt (à peu près ½ pot)

    3 bananes moyennes assez mûres (+ 1 à réserver pour la fin). 1 petite cuillère à café de cannelle en poudre

    150 g de beurre ramolli et environ 180 g de sucre en poudre.

    En général, je divise au maximum la dose de sucre en poudre, mais les recettes de bananes demandent du sucre: on dirait que la banane boit le sucre sans restituer le goût sucré.

    3 œufs. 350 g de farine.

    1 cuillère à café de bicarbonate de soude (c'est pour aider le gâteau à gonfler)

    Du sirop d’érable. (facultatif)

    Dans un bol, mélangez le lait et le yaourt. Dans un autre récipient, écrasez vos bananes avec une fourchette.

    Dans un saladier en verre, mélangez le beurre avec le sucre et ajoutez les œufs un par un en mélangeant bien à chaque fois.

    Incorporez ensuite les bananes écrasées et le mélangez yaourt/lait dans votre préparation ,beurre/sucre/œufs. Ajoutez, toujours en remuant, la petite cuillère à café de cannelle; Mélangez bien jusqu’à l’obtention d’une préparation homogène.

    Ajoutez la farine peu à peu et le bicarbonate de soude dans votre préparation. Mélangez une dernière fois;

    Répartissez la préparation uniformément dans un moule à cake en grès ou en verre beurré et chemisé de sucre en poudre (tapotez en renversant le moule pour faire tomber le surplus de sucre);

    Par-dessus, placez une banane coupée en deux sur sa longueur.

    Mettez le cake au four pendant 50-60 minutes à 180°.

    En sortant le cake du four, badigeonnez-le de sirop d’érable pour un résultat encore plus gourmand!

  • Il faut le savoir!

    Une étude publiée dans la revue Environmental Research rapporte que la pollution atmosphérique due aux combustibles fossiles serait la cause de plus de huit millions de morts prématurées en 2018, ce qui représente près de 20% de la mortalité adulte au niveau mondial. La Chine, l’Inde, le Bangladesh, l’Indonésie, le Japon et les États-Unis font partie des pays qui comptent le plus de victimes du phénomène.

    Des recherches antérieures ont d’ores et déjà montré que la pollution de l’air, dans le monde entier, raccourcit la vie des individus de plus de deux ans en moyenne. Aujourd’hui, les chiffres se font plus alarmants: une nouvelle étude révèle que les particules rejetées dans l’air par la combustion du pétrole, du gaz et surtout du charbon, sont responsables d’un quart ou plus de la mortalité dans une demi-douzaine de pays, tous localisés en Asie.

    Il ressort de ces nouvelles analyses que la durée de vie moyenne est réduite de 4,1 ans en Chine, de 3,9 ans en Inde et de 3,8 ans au Pakistan. Et dans certaines régions de ces pays, l’espérance de vie est réduite de deux fois plus ! En Europe, elle est raccourcie de huit mois en moyenne. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme: si les combustibles fossiles sont régulièrement pointés du doigt dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, leur impact direct sur la santé est, quant à lui, très peu mis en avant.

    Un bilan plus lourd qu’estimé auparavant

    Selon l’ Organisation mondiale de la santé, en 2016, on estimait à 4,2 millions le nombre de décès prématurés provoqués dans le monde par la pollution de l’air extérieur dans les zones urbaines, périurbaines et rurales. Cette même année, près de 600’000 enfants sont décédés d’infections aiguës des voies respiratoires inférieures, dues à la pollution de l’air. Outre l’air extérieur, la fumée domestique (issue de la cuisson des aliments, du chauffage et de l’éclairage de certains logements alimentés au fioul ou au charbon) représente un grave risque sanitaire pour environ 3 milliards de personnes. Une étude plus récente fournit des chiffres similaires.

    Mais ces estimations reposaient sur des données satellitaires et des observations de surface, visant à analyser les concentrations annuelles moyennes des particules PM2,5 — les particules fines en suspension dans l’air, dont le diamètre est inférieur à 2,5 micromètres — qui sont les plus petites et les plus mortelles. Or, les données récoltées ne permettaient pas de distinguer les microparticules provenant des combustibles fossiles des microparticules provenant de poussières, d’incendies de forêts ou de brûlages agricoles.

    Pour obtenir des données plus précises, des chercheurs de Harvard se sont donc tournés vers GEOS-Chem, un système de modélisation 3D de chimie atmosphérique, qui permet de cartographier la surface de la Terre en zones de 50×60 kilomètres. "Au lieu de nous fier à des moyennes réparties sur de grandes régions, nous souhaitions déterminer précisément où se trouve la pollution et où vivent les gens, pour savoir ce qu’ils respirent", explique Karn Vohra, étudiant diplômé de l’Université de Birmingham et auteur principal de l’étude.

    Pour leurs estimations, les chercheurs ont par ailleurs intégré des données sur les émissions de dioxyde de carbone des secteurs d’activité clés (énergie, industries et transports), ainsi que des simulations des mouvements d’aérosols dans l’air fournies par le Global Modeling and Assimilation Office de la NASA. Ces données concernaient l’année 2012, lors de laquelle le phénomène El Niño — qui peut selon les régions aggraver ou diminuer la pollution de l’air — n’a eu que très peu d’influence. La combinaison des données de 2012 et 2018 de la Chine, un pays où la population et la pollution atmosphérique sont toutes deux très importantes, a donné aux chercheurs une image plus claire des taux d’émission mondiaux de combustibles fossiles en 2018.

    Des choix politiques fondamentaux

     

    Après avoir déterminé précisément les concentrations de PM2,5 issues de combustibles fossiles pour chaque zone du globe, les chercheurs devaient encore établir leur impact sur la santé humaine. Bien que l’on sache depuis des décennies que les particules en suspension dans l’air représentent un danger pour la santé publique, peu d’études épidémiologiques ont été menées pour quantifier les impacts sur la santé à des niveaux d’exposition très élevés, tels que ceux trouvés en Chine ou en Inde.

    Joel Schwartz, professeur d’épidémiologie environnementale à la Harvard TH Chan School of Public Health, et ses collaborateurs, ont donc développé un nouveau modèle d’évaluation des risques. Celui-ci a révélé un taux de mortalité plus élevé pour une exposition à long terme aux émissions de combustibles fossiles, y compris à des concentrations plus faibles. "Nous ne pouvons pas en toute conscience continuer à compter sur les combustibles fossiles, alors que nous savons que leurs effets sur la santé sont graves et qu’il existe des alternatives viables, plus propres", souligne Eloise Marais, du Département de géographie de l’University College London.

    Cette nouvelle étude souligne à quel point les décisions politiques actuelles sont déterminantes: les chercheurs ont notamment estimé que la décision de la Chine de réduire de près de moitié ses émissions de combustibles fossiles a sauvé 2,4 millions de vies dans le monde, dont 1,5 million en Chine, en 2018. " Nous espérons qu’en quantifiant les conséquences sur la santé de la combustion des combustibles fossiles, nous pourrons envoyer un message clair aux décideurs et aux parties prenantes sur les avantages d’une transition vers des sources d’énergie alternatives", conclut Joël Schwartz.

    Par rapport aux autres causes de décès prématuré, la pollution de l’air tue chaque année 19 fois plus de personnes que le paludisme, 9 fois plus que le VIH et 3 fois plus que l’alcool. Les maladies coronariennes et les accidents vasculaires cérébraux sont à l’origine de près de la moitié de ces décès; les maladies pulmonaires et d’autres maladies non transmissibles, telles que le diabète et l’hypertension artérielle, constituent la majeure partie du reste.

    Source: Environmental Research, K. Vohra et al

     

  • Piperade en pizza

    Ingrédients pour 3- 4

    1 pâte à pizza à l'huile d'olive

    4 tomates bien mûres; 3 courgettes: 1 aubergine

    1 poivron rouge; 1 oignon jaune, 1 oeuf

    100 g de fromage râpé; 1 branche thym; 1 c. à soupe de huile d’olive

    Pelez et coupez finement l’oignon avant de laver tous les légumes et les laisser tremper dans de l'eau bicarbonaté.

    Épluchez les tomates. Coupez les bouts des courgettes, divisez-les en deux dans le sens de la longueur, puis retirez les pépins à l’aide d’une petite cuillère. Découpez par la suite tous les légumes en petits cubes

    Préchauffez le four à thermostat 6.

    Faites chauffer l’huile d’olive dans une sauteuse et faites-y revenir l’oignon pendant 8-10 minutes. Sortez et réservez

    Ajoutez ensuite les dés d’aubergine, Sortez et réservez puis de poivron. Sortez et réservez idem pour les courgettes. Rajoutez tous les ingrédients dans la poële et Laissez cuire à feu moyen pendant environ 15 minutes en mélangeant régulièrement. Après ce délai, incorporez les dés de tomates et le thym.

    Assaisonnez avec du sel et du poivre. Battre un œuf en omelette et rajoutez. Remuez et laissez mijoter pendant 5 minutes.

    Etalez votre pâte à pizza sur un moule rond en terre ou verre, huilé et saupoudré de farine; passez la piperade pour retirer le surplus de sauce tomate et, une fois tiédi, diposez-la sur la pâte à pizza.

    Mettre au four à 180° durant une demi-heure où mettre dans une poêle noire huilé ou tout autre plat rond qui va au feu. Saupoudrez de fromage râpé, couvrez et faites cuire durant une quinzaine de minutes.

    Si vous utilisez TOUJOURS les ustensiles que j'ai nommés, vous retrouvez le goût incroyable des plats que faisait votre grand-mère. Les ustensiles modernes laissent un goût de …  bah, ce n'est pas du tout la même chose. C'est dans les vieux pots que l'on fait bonne soupe!

    C'est pour cela que je fais mon café dans une cafetière à l'ancienne ancienne avec de l'eau bouillie dans une casserole inox. Si vous cherchez bien sur le net, vous trouverez des cafetières en émail avec un filtre en émail à gros trous. Pour éviter d'avoir du marc de café, utilisez des filtres à café en papier brun.

    Versez la poudre utilisée dans l'évier pour éviter les mauvaises odeurs qui remontent quand il y a du vent d'autan!

  • Piperade toulousaine façon crumble

    Ingrédients pour 4

    4 tomates bien mûres; 3 courgettes: 1 aubergine

    1 poivron rouge; 1 oignon jaune, 1 oeuf

    60 g de farine; 60 g de beurre de baratte AOP mou

    40 g de fromage râpé; 1 branche thym; 1 c. à soupe de huile d’olive

    Pelez et coupez finement l’oignon avant de laver tous les légumes.

    Épluchez les tomates. Coupez les bouts des courgettes, divisez-les en deux dans le sens de la longueur, puis retirez les pépins à l’aide d’une petite cuillère. Découpez par la suite tous les légumes en petits dés (cela s'appelle une brunoise de légumes)

    Préchauffez le four à thermostat 6.

    Faites chauffer l’huile d’olive dans une sauteuse et faites-y revenir l’oignon pendant 8-10 minutes.

    Ajoutez ensuite les dés d’aubergine, de courgettes et de poivron. Laissez cuire à feu moyen pendant environ 15 minutes en mélangeant régulièrement. Après ce délai, incorporez les dés de tomates et le thym. Assaisonnez avec du sel et du poivre. Battre un œuf en omelette et rajoutez. Remuez et laissez mijoter pendant 5 minutes.

    Pendant ce temps, occupez-vous de la pâte à crumble. Mélangez le fromage râpé, la farine et le piment d’Espelette dans un saladier. Incorporez le beurre mou en morceaux et malaxez du bout des doigts pour avoir une texture sableuse.

    Disposez ensuite les légumes dans un plat à gratin familial ou de petites cocottes allant au four avant de les recouvrir de crumble.

    Faites cuire au four pendant environ 25 minutes jusqu’à ce que le crumble soit doré.

    Servir avec du jambon de Bayonne.

  • Omelette  a la cansalade et champignons des bois

    Je vous rappelle que toutes les recettes que je vous donne ici, je les réalise depuis.... un max de temps!

    Ingrédients

    300 g de champignons; 100 g de poitrine salée; 6 oeufs

    3 gousses d'ail hachées; 1 cuillère à soupe de crème

    Persil frais haché

    Lavez soigneusement les champignons, les sécher dans un torchon propre, retirer le pied puis les couper en 4.

    Coupez la cansalade en lardons; Faites chauffer une poêle en tôle sur le feu avec une grosse cuillère à soupe de graisse de canard. Faites sauter les lardons puis les champignons Lorsque ils sont cuits et dorés ajouter l'ail haché. Poursuivre la cuisson 2 minutes en remuant de temps en temps.

    Cassez les oeufs et les battre en omelette. Rajoutez le sel et poivre. Versez le tout dans la poêle. Laissez cuire feu moyen 7 mn d'un côté. Glissez un plat vraiment plat sur la poêle et retournez d'un coup sec puis remettre la poêle sur le feu, cuire encore 3 à 5 mn

  • Blanquette de dinde express

    Pour ceux qui n'ont jamais le temps!

    Ingrédients

    2 escalopes de dinde; 1 bouillon de volaille fait maison, bien sûr!

    1 oignon; 2 carottes, 1 poignée brocolis

    1 gousse d’ail, 15 cl de crème fraîche

    1 poignée de feuilles de laurier sauce fraîche (les feuilles sèches sont plus puissantes, n'en mettez pas trop).

    Sel, poivre

    Tout d’abord coupez vos escalopes de dinde et émincez l’oignon et l’ail. Coupez les carottes et les brocolis en morceaux.

    Dans une casserole, faites cuir les escalopes dans un peau d’eau. Ajoutez les ingrédients qui ont été coupés. Mettez le bouillon de volaille et les feuilles de laurier sauce. Salez, poivrez. Faites mijoter 15 minutes.

    Versez la crème fraiche. Remuez.

    Laissez encore mijoter si vous l'estimez. Plus cela cuit, plus c'est bon.

    Bien sûr, vous pouvez remplacer par des râbles ou cuisses de lapins, poulet, etc...

  • Riz aux petits pois

    Plat rapidement réalisé.

    Pour 4 personnes

    150 g de dés de jambon label rouge, 300 g de riz de Camargue cuit, 50 g de petits pois cuits (dans un pot de verre), 2 œufs

    1 carotte épluchée et coupée en petits cubes; 1 filet d'huile; 2 oignons nouveaux

    Sel et poivre

    Dans une poêle, faites revenir la carotte coupée en cubes 5 minutes. Ajoutez les dès de jambon, et l'oignon nouveau ciselé (gardez le vert pour la décoration) et faites revenir 2 minutes.

    Ajouter le riz déjà cuit, bien mélanger, ajoutez les petits pois, salez et mélangez.

    Verser alors les œufs battus sur le riz directement et mélanger pour que l'œuf se répartisse bien sur tout le riz. Poursuivre la cuisson 3 minutes.

    Assaisonnez du sel et du poivre si nécessaire. Terminez par de l'huile de noix ou noisette (ces huiles ne doivent JAMAIS être cuites).

    Vous pouvez remplacer le jambon blanc par du jambon de Bayonne (ne pas le faire rissoler); vous pouvez saupoudrer dans l'assiette de fromage râpé.