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dangers - Page 4

  • Attention!

     

    Autochtone signifie que ces gens n'ont pas voyagé

    Cas autochtones d'infection à virus West-Nile dans les Bouches-du-Rhône et le Var

    L'Agence régionale de santé (ARS) Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca) informe que trois cas d'infections à virus West-Nile (WN ou virus du Nil occidental) ont été identifiés en région Paca. 

    Une personne à Eguilles dans le département des Bouches-du-Rhône, une personne à la Garde et une au Pradet dans le département du Var. Elles sont à ce jour en voie de guérison.

    Rappels sur le virus West Nile

    Le virus West Nile est considéré aujourd'hui comme le Flavivirus le plus répandu après celui de la dengue. Il appartient à la famille des Flaviviridae du genre Flavivirus. Ce sont les oiseaux migrateurs qui jouent le rôle d'animaux réservoirs du virus West Nile. La transmission du virus West Nile se fait via la piqûre de moustiques du genre Culex : après avoir piqué des oiseaux infectés, les femelles moustiques deviennent compétentes pour la transmission du virus aux humains lors d'un repas sanguin.

    Dans la majorité des cas (80 %), l'infection par le virus West Nile est asymptomatique.

    Les formes symptomatiques de la maladie se caractérisent par l'apparition brutale d'une fièvre importante après 3 à 6 jours d'incubation. Cette fièvre est accompagnée de maux de tête et de dos, de douleurs musculaires, d'une toux, d'un gonflement des ganglions du cou, et souvent d'une éruption cutanée, de nausées, de douleurs abdominales, de diarrhées et de symptômes respiratoires.

    Des complications neurologiques (méningite, encéphalite) surviennent dans moins de 1% des cas. Plus rarement encore, d'autres complications (hépatite, pancréatite ou myocardite) peuvent apparaître.

    Généralement, le malade récupère spontanément, parfois avec séquelles. Mais l'infection virale peut s'avérer mortelle principalement chez les adultes seniors.

     

    Conseils aux voyageurs

    Bien que l'infection à virus West Nile soit rare chez les voyageurs, pour se protéger il est conseillé de porter des vêtements de couleur claire avec des manches longues, pantalons et chaussettes dans les zones où les moustiques sont présents, surtout au crépuscule et à l'aube quand ils sont les plus actifs; et de se protéger des piqûres de moustiques en utilisant un insectifuge contenant du DEET.

    Consulter un médecin en cas d'apparition soudaine de symptômes grippaux accompagnés d'une température élevée (fièvre) après un voyage dans une zone à risque.

    Source : Agence régionale de santé Provence-Alpes-Côte d'Azur

     

    Référence principale :

    www.paca.ars.sante.fr

     

  • Notre agriculture va mal, l'avenir de notre portemonnaie

    Les sénateurs " somment " le gouvernement de redresser l’agriculture France

    Une agriculture en déprise abandonnée par l’état et la quasi-totalité des hommes politiques.

    L’agriculture française va très mal depuis 20 ans à cause des gouvernements successifs. Pour les sénateurs, l’agriculture continue de s’effondrer! Et "la France est devenue une puissance agricole qui décline de plus en plus" pour les rapporteurs de la commission des affaires économiques réunie ce 28 septembre 2022 au palais du Luxembourg.

    À l’heure où le commerce international de produits agro-alimentaires n’a jamais été aussi dynamique, la France est l’un des seuls grands pays agricoles dont les parts de marché reculent: elle est passée de deuxième à cinquième exportateur mondial en vingt ans. Son excédent commercial, en retrait, n’est plus tiré que par l’effet prix des exportations, surtout des vins et spiritueux, et non par les volumes.

    En parallèle, les importations alimentaires en France explosent: elles ont doublé depuis 2000 et représentent parfois plus de la moitié des denrées consommées en France dans certaines familles. LA FRANCE, "GRENIER DE L’EUROPE", EST DESORMAIS DEFICITAIRE avec l’Union européenne en matière alimentaire depuis 2015. Hors les vins, elle est même déficitaire avec le monde entier. Constat très accablant!

    Parce qu’il refuse de prendre à bras le corps le sujet de la compétitivité de la Ferme France, l’État fait fausse route en matière agricole depuis une vingtaine d’années, selon un rapport de la commission des affaires économiques du Sénat adopté ce mercredi 28 septembre 2022.

    Pour les rapporteurs Laurent Duplomb (Les Républicains – Haute‑Loire), Serge Mérillou (Socialiste, Écologiste et Républicain – Dordogne) et Pierre Louault (Union Centriste – Indre‑et‑Loire), en suivant cette unique stratégie du "tout montée en gamme", le risque est réel de voir un affaissement du potentiel productif agricole français, au détriment de notre souveraineté alimentaire.

    Surtout, à terme, cette dynamique conduira à réserver l’alimentation française à ceux qui peuvent se le permettre, condamnant les plus modestes à se nourrir de produits importés des quatre coins du monde. Ce phénomène est déjà visible aujourd’hui.

    Ces deux risques, les sénateurs entendent les conjurer en proposant de rectifier le cap.

    Les rapporteurs proposent de corriger le tir en mettant en œuvre un plan "Compétitivité de la Ferme France" à horizon 2028, détaillé dans le rapport autour de 5 axes et 24 recommandations précises.

    Au regard du contexte actuel, marqué par la concomitance d’une crise du pouvoir d’achat et d’une hausse des charges historique des agriculteurs et des industries agro-alimentaires, les sénateurs rappellent, de manière transpartisane, l’urgent impératif d’une politique de compétitivité en agriculture.

    Mener une politique de maîtrise des charges des agriculteurs tout en dopant l’attractivité des produits français à l’extérieur: tels sont les remèdes prescrits contre les maux agricoles français. Parmi les propositions, une série de mesures fiscales, des dispositions en soutien de l’innovation dans le domaine environnemental, une révision de la politique d’accompagnement à l’exportation et un renforcement des protections contre la concurrence déloyale.

    Ces propositions s’appuient sur un constat résultant d’une enquête de plusieurs mois ayant permis de recueillir l’avis de près de 200 experts et professionnels sur la stratégie promue par les pouvoirs publics: depuis plusieurs années, la politique agricole en France promeut uniquement la montée en gamme pour toutes les filières comme solution aux difficultés rencontrées sur les marchés internationaux.

     

    En s’appuyant sur l’exemple de cinq denrées alimentaires parmi les plus consommées par les Français (pomme, tomate, blé, lait, poulet), le rapport dresse un constat sans appel des lacunes de notre politique agricole: sans prêter une attention suffisante aux charges des agriculteurs, sans améliorer la productivité de notre amont agricole par l’innovation et l’investissement, sans défendre suffisamment nos producteurs dans les accords de libre‑échange, la stratégie des pouvoirs publics pousse les agriculteurs dans une impasse.

    Les sénateurs tirent la sonnette d’alarme et craignent que sans changement de cap, la France agricole ne cesse de reculer, car ce qui est perdu aujourd’hui ne sera jamais récupéré. Les problèmes de compétitivité aboutissent depuis quelques années à une baisse très rapide des parts de marché à l’exportation alors que le marché mondial est en forte croissance, à un repli de la production agricole française dans de nombreuses filières et à une explosion des importations sur le marché "cœur de gamme".

    La France traverse une crise majeure en matière de souveraineté alimentaire, à l’heure où la guerre russo-ukrainienne rappelle toute l’importance géostratégique de l’arme agricole. La tendance à la réduction du potentiel productif agricole est préoccupante. Renommer le ministère de l’Agriculture est une chose, corriger le tir en est une autre à l’heure de la paupérisation agricole de notre pays. Que dire des augmentations d’importations des tomates- cerise marocaines multipliées par 233 depuis 1995?

    Au moment où un poulet sur deux consommé en France est importé! Et où le cheptel de vaches laitières a diminué de 25%.

    Francis GRUZELLE

    Journaliste et écrivain - Carte de Presse 55411

  • Il y a le ciel, le soleil et la mer…

    De nombreuses études ont recensé les micro-organismes présents sur les plages du monde entier. Dans les zones tempérées, le sable des plages (bordées d'eau douce ou d'eau de mer) contient des quantités significatives de plusieurs agents pathogènes, en particulier d'origine fécale. Selon une étude, la concentration en bactéries provenant des excréments est 2 à 38 fois plus élevée dans le sable que dans l'eau, selon les sites.

    Par exemple, une étude portant sur 53 plages californiennes a identifié, entre autres :

        des entérocoques dans 94 % des échantillons ;

        des Escherichia coli (E.coli, 68 %) ;

        des salmonelles (15 %) ;

        des Staphylococcus aureus (14 %) dont certains résistant à la méticilline (3 %) (une autre étude portant sur trois plages de Californie du sud a identifié ces germes dans 53 % et 2,7 % des échantillons de sable, respectivement) ;

        des Campylobacter jejuni (13 %).

    D'autres travaux ont  enrichis cette liste avec d'autres bactéries (Vibrio sp., Pseudomonas aeruginosa, Shigella sp. par exemple), mais également des virus (entérovirus, norovirus, adénovirus, poliovirus, virus de l'hépatite A, papillomavirus des verrues plantaires), des protozoaires (Giardia sp., Cryptosporidium sp.), des larves et des œufs de nématodes (Ascaris sp., Toxocara sp.), des levures et des champignons (par exemple Aspergillus sp., Chrysosporium sp., Fusarium sp., Candida sp., mais aussi Trichophyton sp. et Microsporum sp., les agents des teignes).

    Au-delà des E.coli résistant à la méticilline, certains de ces micro-organismes étaient également résistant à divers anti-infectieux, dont des Enterococcus fæcium, Vibrio sp.  et Candida kruzei

    Ces études concordent pour signaler que les concentrations de ces pathogènes sont plus élevées dans la partie de la plage qui est battue par les vagues et, en particulier, la frange située au plus haut de cette zone. Les experts émettent l'hypothèse que cette frange est plus riche en matières organiques (algues par exemple) déposées par le ressac. Il s'agit aussi de l'endroit le plus fréquenté par les oiseaux marins, qui sont une source connue de contamination du sable. Il a été démontré que les micro-organismes, en particulier d'origine fécale, peuvent s'y multiplier et donc y rester de manière pérenne.

    À noter que cette partie de la plage est également celle préférée des enfants pour jouer et faire des châteaux de sable. Cela peut expliquer qu'ils soient les plus à risque d'infection (voir ci-dessous).

    Ces entretiens ont révélé une association positive entre les problèmes digestifs (nausées et vomissements, diarrhée, maux de ventre, suffisamment intenses pour perturber la vie quotidienne) et le fait d'avoir creusé le sable ou d'y avoir été enfoui. Pour les personnes qui avaient creusé, la probabilité de troubles digestifs était multipliée par 1,13 (IC95% [1,02 ; 1,25]) et celle de diarrhée par 1,20 (1,05-1,36). Pour celles qui y avaient été enterrées, ces risques étaient multipliés par 1,23 (1,05-1,43) et 1,24 (1,01-1,52) respectivement. Le risque d'autres types de problèmes de santé n'était pas augmenté.

    Il a été également noté des variations du risque digestif selon le littoral (sur l'un d'entre eux, le risque de diarrhée était doublé pour les personnes enterrées dans le sable) et un risque plus élevé sur les plages marines et chez les enfants de moins de 10 ans.

    En 2012, la même équipe a répété l'enquête, cette fois en prélevant des échantillons de sable des plages où étaient menés les entretiens

     Avec 2 plages (Rhode Island et Alabama), 4 999 entretiens et 144 échantillons, elle a confirmé les résultats de la première et révélé que l'augmentation de troubles digestifs et de diarrhée était associée à la concentration d'entérocoques dans le sable (mesurées par PCR et par mise en culture). L'augmentation du risque était particulièrement forte chez les enfants de moins de 5 ans: risque 9,5 fois plus élevé pour les troubles digestifs et 5,2 fois plus élevé pour les diarrhées (contre 5,5 fois et 4,3 fois pour les 55 ans et plus). De fait, les jeunes enfants sont plus fréquemment enterrés dans le sable que les sexagénaires…

    Les résultats de ces deux enquêtes rejoignent ceux de travaux plus anciens portant sur les risques digestifs après une baignade (contamination par l'eau,.

    Ces études sont intéressantes, mais n'ont porté que sur le risque aigu : 10 à 12 jours après l'exposition, une durée insuffisante pour certaines pathologies d'apparition progressive.

    Deux bactéries dangereuses : le bacille de Whitmore et Vibrio vulnificus (choléra)

    Sur certaines plages tempérées ou tropicales, des cas de deux infections bactériennes potentiellement graves et transmises par contact avec le sable ont été recensés.

    Les baigneurs doivent faire attention à ne pas entrer dans l'eau avec des blessures ouvertes, et les mangeurs de fruits de mer doivent faire cuire les coquillages.

    Vulnificus est parfois trouvé dans les coquillages en France et de rares cas d'infection sont régulièrement signalés (une vingtaine entre 1995 et 2017).

    Les risques sanitaires liés au sable sont considérablement plus importants sur les plages tropicales et subtropicales que sur celles des zones tempérées. Néanmoins, sur celles-là, une attention particulière doit être apportée aux jeunes enfants qui manipulent le sable pour creuser, faire des châteaux de sable ou s'enterrer, en particulier dans la zone battue par les vagues. Leur risque de troubles digestifs est significativement augmenté.

    Enfin, à la mer, avant de consommer des aliments avec les mains, il est préférable de se laver les mains si elles ont été en contact avec le sable.

  • Les microbes se nichent là où on ne les attend pas

    Du balai les paillassons

    Quel est le comble pour un paillasson? D'être trop sale pour daigner s'y essuyer les pieds. C'est un aéroport à microbes, le paradis des bactéries; des expériences ont été faites:

    Résultat des prélèvements: "une concentration en bactéries 75% plus importante sur le tapis que sur les côtés“.

    En clair, il contamine les semelles qui pénètrent ensuite dans la maison, la salle de bains, la chambre. C'est d'autant plus crado que ça entre en contact du corps. Alors du balai les paillassons?

    Nettoyez-le une fois par mois, changez le régulièrement. Même si -le mieux, et le plus simple- est encore de se déchausser avant d'entrer chez soi

     

    Choisissez le petit bouton de la chasse

    Frédéric Saldmann adore le Japon, où ses livres s'arrachent. Il y a remarqué que, contrairement à la France, où elle est d'ailleurs particulièrement active en ce moment, il y a peu de cas de gastro-entérite au pays du Soleil Levant. Les gens là-bas ne se serrent pas la main et les toilettes se déclenchent automatiquement.

    Fort de cela, le médecin s'est penché sur… les chasses d'eau, encore une fois avec l'Institut Pasteur de Lille et a analysé 31 boutons, petit ou grand débit d'eau, de toilettes de gare, café, restaurant…

    Analyses peu ragoûtantes et surprenantes. “La concentration moyenne de bactéries des grands boutons est cinq fois supérieure à celle des petits, 11% contre 52%", écrit Saldmann. Notre réflexe est d'appuyer systématiquement sur le gros, d'accumuler les bactéries sur nos doigts que nous portons au visage et à la bouche… deux fois par heure". Appuyez sur le petit, c'est bon pour vous, c'est bon pour la planète, s'exclame le docteur. Et lavez-vous les mains".

     

  • Bientôt une pénurie de lait en France?

    Après l’huile de tournesol, la moutarde et le poulet, les industriels s’inquiètent d’une pénurie de lait. Comment notre pays, deuxième producteur européen, peut-il manquer de lait?

    Inflation et sécheresse

    Le principal syndicat de la filière laitière redoute une accélération des départs des éleveurs. Ces derniers sont découragés par l’inflation. Leurs charges ont doublé alors qu’ils vendent le lait aux industriels au même prix. Seule une augmentation de 20% du prix du lait leur permettrait d’absorber cette inflation. Autre raison : les sécheresses. Les éleveurs doivent en effet compenser le manque d’herbe par l’achat de foin.

    De moins en moins d’éleveurs en France

    Ces 20 dernières années, le nombre d’éleveurs de vaches laitières a été divisé par deux. Aujourd’hui ils sont 50.000 éleveurs français. Nombreux sont ceux qui veulent changer d’activité ou partent à la retraite sans être remplacés.

    Pénurie de lait en poudre pour bébé aux Etats-Unis

    Les Etats-Unis sont actuellement confrontés à une pénurie de lait en poudre pour bébés. Certains politiques américains appellent même à prioriser la production de lait en poudre dans les usines face au désarroi des familles. L’une des causes est le confinement en Chine. En effet "si la plupart des grandes marques de laits en poudre (…) fabriquent leurs produits localement pour le marché américain, elles dépendent, néanmoins, de certains ingrédients ou boîtes de packaging importé de Chine ou ailleurs", expliquait le Wall Street Journal, propos rapportés par nos collègues de France 24.

  • N'achetez plus de la bouffe cuisinée!!!

    Origine de la viande: la fin très discrète de l’étiquetage obligatoire

    Les éleveurs français s’inquiètent de la place prise par les importations, souvent de pays dont les standards de qualité ou de bien-être animal sont moins élevés.

    Un voile d’opacité est-il en train de s’abattre sur les rayons de nos supermarchés? Les cordons-bleus, jambons crus, cassoulets en conserve, pizzas, sandwichs au jambon préemballés… Bref, tous les produits transformés sont débarrassés d’une contrainte depuis le début de l’année : celle d’indiquer l’origine de la viande qu’ils contiennent.

    Cette obligation de transparence aura duré cinq ans. Elle avait été instaurée début 2017, peu de temps après la fameuse affaire des lasagnes à la viande de cheval. À l’époque, cette fraude d’ampleur avait révélé les zones d’ombre de certains circuits d’approvisionnement de l’industrie agroalimentaire : après être passé dans les mains d’un trader néerlandais, du cheval roumain avait été revendu comme du bœuf… La falsification avait touché des lasagnes de marque Findus mais aussi, on s’en souvient moins, des dizaines d’autres références de produits (couscous, moussaka, hachis parmentier, raviolis…) de grandes marques comme de celles de distributeurs.

    Consommateurs et éleveurs déplorent ce recul réglementaire

    La mention de l’origine fait aujourd’hui les frais d’une réglementation européenne défavorable. Elle n’était en vigueur en France qu’à titre “expérimental”. Et c’est l’expérimentation autorisée par Bruxelles qui a pris fin en catimini le 31 décembre dernier.

    Elle bénéficiait pourtant du soutien des associations de consommateurs comme des éleveurs. “Les consommateurs ont soif de transparence sur la manière dont sont fabriqués les aliments transformés, autant sur leur recette que sur l’origine des ingrédients”, assure Olivier Andrault, chargé de mission alimentation à l’UFC-Que Choisir. Les représentants des différentes filières (boeuf, porc, volaille) contactés par L’Express déplorent aussi ce recul réglementaire.

     

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    lexpansion.lexpress.fr