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histoire - Page 20

  • La bière, c'est bon, mais avec modération, of course!

    Si les sommeliers et les œnologues sont nombreux, les descripteurs de la bière sont en revanche très restreints. Peut-être que l’on pensait que cette boisson ne mérite pas d’analyses ou de commentaires, ou bien qu’on ne la prenne pas au sérieux. Il est vrai que la bière souffre d’un déficit de notoriété. Comme c’est une boisson peu chère, associée aux pizzas et aux frites, ainsi qu’aux terrasses d’été des bistrots, on n’imagine mal qu’il puisse y avoir des bières de garde et des types de très grande qualité. Face au vin, la bière souffrira toujours d’un complexe d’infériorité. Jules César, au temps de la guerre des Gaules, a tracé la ligne: d’un côté la civilisation, de l’autre la barbarie. D’un côté le pays où l’on boit du vin, de l’autre celui de la bière. Chez les Romains, la vigne est le symbole de la civilisation, de la culture, de l’aristocratie. La bière, boisson fermentée de céréales, demeure la petite boisson. Et c’est le vin que le Christ a choisi pour la transsubstantiation, non la bière. Même les bières d’abbayes n’ont pas réussi à élever cette boisson au niveau culturel du vin. Demandez aux Chinois et aux Japonais : ils rêvent de vin, non de bière. Quand il faut fêter un événement important, on débouche une bouteille de vin, on ne décapsule pas une canette de bière. La frontière culturelle, alimentaire et psychologique semble tracée de façon définitive.

    Pour autant, la bière a ses chemins, ses histoires, et ses paysages. Lisez donc ces Leçons de dégustation d’Élisabeth Pierre. Le livre est admirablement bien fait. Les photos sont magnifiques, des paysages somptueux et des artisans au travail. On s’immerge dans l’art du brasseur et dans la beauté profonde des céréales fermentées et du houblon en fleur. On y découvre l’histoire de la bière, les secrets de la fermentation, les sagas familiales et des noms de grandes bières. Quelques adresses utiles pour découvrir de belles brasseries, à Paris et en province. Des mots justes pour s’initier au breuvage. Un parcours pédagogique pour s’immerger dans cette boisson.

    Oubliez les mauvaises bières de supermarché, les fausses bières d’abbaye et les eaux houblonnées. Oubliez les boissons amères et infectes, les goûts de caramel et les colorants artificiels. Avec ce livre, vous entrerez dans le monde riche et passionnant des bières ; et c’est un amateur de vin qui en fait la promotion. Avec ce livre, la bière se dote d’un langage, d’une réflexion et d’une systématisation qui permet à cette boisson de gagner quelques lettres de noblesse. Il manque encore la littérature à la bière, les lettres et les arts, quelques tableaux, quelques chansons paillardes et frivoles, quelques bons mots et des livres décrivant les terroirs et les paysages brassicoles. Il manque encore beaucoup à cette boisson pour atteindre le niveau de profondeur et de densité du vin. Mais la bière vous surprendra, et vous pourrez découvrir les somptueuses différences entre les brunes, les blondes et les ambrées, les bières de Belgique, d’Angleterre, d’Irlande et de France.

    Nous sommes en période de coupe du monde de rugby. Si la France gagne, on débouchera le champagne. En attendant, devant les matchs, abandonnez les mauvaises bières, ces boissons qui, d’ailleurs, ne méritent pas le nom de bière. Ouvrez une Westvleteren, une Karmeliet, une Paix de Dieu, une Orval, une Bombardier…

    Le monde des bières est immense. Merci à ces passionnés de nous aider à y entrer.

    Élisabeth Pierre, Bières, leçons de dégustation, La Martinière, 24 septembre 2015.

     

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    "Nouvelle diversité pour les bières à fermentation basse", source ASM News.

    A la différence des bières ales*, les bières à basse fermentation ou lagers** diffèrent peu par leur saveur. Mais désormais, en créant de nouveaux croisements pertinents parmi des levures, Kevin Verstrepen, Stijn Mertens et leurs collaborateurs ont ouvert la voix à de nouveaux horizons du goût. L’étude est publiée dans le numéro du 25 septembre 25 de la revue Applied and Environmental Microbiology de l’American Society for Microbiology.

    La relative uniformité de la saveur des bières lagers est due en grande partie au manque de diversité génétique des levures. Des études génétiques sur les levures lagers avaient montré que cela était dû à seulement deux croisements entre des levures mères, Saccharomyces cerevisiae et S. eubayanus. Tel était le problème qui fait que ces deux espèces de levures sont si différentes, c’est comme pour faire un croisement réussi entre lion et tigre, c’est rare.

    " Nous avons pensé que si nous pouvions créer plus de croisements entre S. cerevisiae et S. eubayanus, nous pourrions sans doute produire un ensemble plus diversifié de levures de bières lagers blondes, ce qui pourrait donner des bières lagers plus diversifiées ", a dit Verstrepen, qui est professeur en génétique et génomique à l’université de Louvain et directeur du laboratoire VIB for Systems Biology, Louvain, Belgique. Les chercheurs ont fait de leur mieux pour optimiser les conditions de croissance, avec l’espoir d’encourager l’accouplement entre les levures. À cette fin, ils ont expérimenté différentes températures et supports de culture.

    " Nous avons réussi à obtenir une action sexuelle entre nos levures, ce qui a entraîné des centaines de nouvelles souches de levures lagers ", a déclaré Verstrepen. Mais parmi les 31 nouvelles souches qu’ils ont testées dans des fermentations de bière à petite échelle, seules dix ont bien fonctionné en termes de vitesse de fermentation et de saveur“. "Certains étaient vraiment mauvaises ", avoue Verstrepen.

    Puis Ils ont testé les quatre meilleurs de ces fermentations à grande échelle. " Deux ont été magnifiques" a déclaré Verstrepen. " Elles fermentent plus rapidement que la levure lager de référence utilisée dans le commerce avec qui nous l’avions comparée, et elle ont produit des saveurs vraiment sympa. "

    Plus généralement, "nous avons constaté que les différentes levures lagers ont montré que nous avions créé des profils de saveur très différents par rapport à ce qui est disponible aujourd’hui parmi les levures lagers du commerce", a déclaré Mertens, le principal auteur de l’article. "Cela signifie qu’il devient maintenant possible de faire des bières lagers qui, comme les bières ales, sont plus différentes les unes des autres, et ceci sans la nécessité de changer largement le processus de production“.

    Les bières lagers sont fermentées avec S. pastorianus, qui est un hybride entre S. cerevisiae et S. eubayanus, à des températures généralement comprises entre 8-15°C. Ils ont également une faible teneur en alcool, 4-5,5% en volume. Les bières ales sont fermentées par S. cerevisiae, à des températures plus élevées, généralement entre 15-25°C, et elles ont tendance à être plus fortes que les lagers.

    La recherche a commencé pendant l’une des séances habituelles de dégustation du vendredi soir au laboratoire, au cours de laquelle les étudiants venaient déguster et discuter sur cinq ou six bières. " Une soirée, nous avons goûté six bières de type Pilsner***, et quelqu’un a dit qu’elles étaient assez semblables, beaucoup plus que d’autres types de bières ", a déclaré Verstrepen.

    * Ale, désigne les bières de fermentation haute, catégorie dans laquelle on retrouve essentiellement des bières britanniques (bitter, brown, light, mild, pale, old, scotch, etc.), mais aussi les bières d’abbaye, les bières de garde, les trappistes, les bières spéciales… Aujourd’hui beaucoup de bières spéciales belges ont comme origine des levures et un savoir-faire des bières anglaises.

    **Lage, selon le site Paradis Bière.com, Ce terme vient de l’allemand " lagern " qui signifie entreposer. Jusqu’au 15ème siècle, les bières étaient rarement fabriquées l’été car la température était trop élevée. En Allemagne, on essaya d’entreposer la bière dans des caves refroidies par de la glace et on découvrit un nouveau comportement de la levure : la fermentation était beaucoup plus lente. Le procédé se généralisa en République Tchèque et en Autriche.

    Lager est devenu le nom commun des bières de fermentation basse ayant subit une garde à basse température (proche de 0°C). Le Style Lager est le plus répandu au monde. Les Pils font partie des Lager. Une bonne lager (Pilsner Urquell, Budvar…) a au moins 60 jours de garde, parfois 90, alors que les Lagers de grande consommation ont rarement plus de 2 à 3 semaines de garde (Bud etc.). Enfin, contrairement aux idées reçues, une lager peut être de n’importe couleur.

     

  • Soupe de céréales

    Faites 1 litre de bouillon avec des cubes ou des restes de poulet, inutile de passer pour retirer les restes de poulet.

    150 g de tapioca, ou petit épeautre ou de blé précuit ou de l'orge

    Vous pouvez aussi utiliser du weetabix original, deux galets par personne

    3 carottes; 2 panais, 1 cote blanche de céleri branche; 1 oignon, 30 g graisse de canard ou huile olive; 8 graines de coriandre, de la coriandre fraîche, sel, poivre; pour ceux qui aiment un morceau de gingembre de la grosseur d'un pouce

    Faites brunir l'oignon en cube dans la graisse de canard dans une cocotte ou marmite; verser le bouillon chaud, mélanger, salez légèrement et poivrez.

    Ajoutez les carottes, les panais, le gingembre coupé en lamelles, incorporez vos céréales et laissez cuire 25 mn à petit bouillon. Rajoutez la coriandre fraîche au moment de servir.

    Si vous avez choisi les galets de weetabix, il faut juste les rajouter 5 mn avant d'arrêter la cuisson.

  • PASTEL et Pays de Cocagne

    Le Lauragais, c'est le fameux “pays de Cocagne“, lieu fameux et mythique du bonheur par l'abondance, la paix, la sérénité.

    Le pastel est au cœur du système économique occitan du XIVe au XVIe. À Albi d'abord, puis à Toulouse, l'industrie du pastel se développe notamment avec le bleu de pastel de Lectoure, dans le Gers.

    Il y a pourtant un souci: la différence entre la bonne qualité de la teinture et la qualité médiocre des tissus de la région. Ces villes ne peuvent pas rivaliser avec les tissus anglais ou flamands. Ainsi le pastel doit être exporté vers ces centres de production, par chars à bœufs, dans toutes les directions: vers l'Espagne par Orthez et vers l'Angleterre et les Flandres par Bayonne.

    Le 8 Novembre 1404, parviennent à Bristol sur la côte anglaise 13 navires en provenance de Bayonne et 4 de Bordeaux, soit un volume de 127 mètres cubes de chargement de pastel (156 tonneaux).

    Le pastel au XVe siècle, à Toulouse

    Le pastel connaît ensuite un essor à Toulouse grâce à une conjonction favorable liée à plusieurs facteurs:

    •le manque de capitaux des marchands béarnais et albigeois;

    •l'organisation de la filière: les collecteurs achètent les feuilles, fabriquent et vendent la teinture aux marchands qui la commercialisent;

    •les collecteurs prennent des risques: acheter avant la récolte, pariant sur l'avenir. En outre, ils paient une récolte qui sera vendue plusieurs mois plus tard à des clients étrangers;

    •le paiement de l'époque, insécurité des routes oblige, est la lettre de change et toute transaction passe par Lyon.

    Voici quelques noms de marchands célèbre en ce temps-là•Francis Robian;

    •Jean Boisson;

    •Pierre Fabre et son fil;

    •Jean Reynes et son fils;

    •Les frères Pierre et Simon Lancefoc;

    •Jean de Bernuy; (il existe un Hôtel de Bernuy à Toulouse)

    •Jean Cheverry; (il existe un Hôtel de Cheverry à Toulouse)

    •Raymond Sérravère;

    •Pierre Lancefoc;

    •Pierre d'Assezat. (il existe un Hôtel d'Assézat à Toulouse)

     

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    Certains se sont fait élire magistrats de la ville rose, les Capitouls:

    •1519: Simon Lancefoc;

    •1515, 1519, 1534: Jean Boisson;

    •1534: Jean de Bernuy;

    •1536: Jean Chéverry;

    •1539: Raymond Sérravère;

    •1541, 1549: Pierre Lancefoc;

    •1552, 1561: Pierre d’Assezat.

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    Hôtel d'Assezat

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    Les lieux, zones, villes importants associés au pastel et à son développement:

    •Albi;

    •Château de Caudeval;

    •Château de Magrin;

    •Château de Montgeard;

    •Gaillac;

    •Graulhet;

    •Lavaur;

    •Le Château de Loubens;

    •Lectoures;

    •Mazères;

    •Mirepoix;

    •Puylaurens;

    •Revel;

    •Saint Julia de Gras Capou;

    •Toulouse;

    •Villefranche de Lauragais.

     

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    La fleur du pastel

    Bien sûr, je connais toutes ces villes, et j'ai vécu 9 ans à côté de Revel

  • Images du Toulouse d'avant

    C'est un livre carré, au format modeste. Mais quel plaisir de retrouver la "mémoire intime de la ville", sous la plume de Bernadette Costa-Prades, dans "Je me souviens de Toulouse" (Les Beaux Jours, 120 pages, 23 €). L'auteur a retrouvé des témoins des années 50 à 70 et les fait parler sur des thèmes comme l'amitié, les quartiers, l'immigration ou Mai-68.

    Ben, je l'ai pas vue!

    Utilisant une riche iconographie, elle s'est appuyée sur les archives municipales, celles de Jean Dieuzaide ou de Claude Nori. "Le temps des copains", c'est surtout le difficile apprentissage de la liberté face à des parents intraitables. Aller au bal, pourquoi pas? Mais interdiction de se maquiller! Les amoureux dansaient alors place des Carmes ou sous la Halle Arnaud-Bernard. Et puis aussi, place du Capitole, sous les lampions multicolores…

    Le bal du 14-Juillet 1950, place du Capitole./Photo Jean Dieuzaide 

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    Tous les samedis de l'été, une image du Toulouse d'avant

  • Dans le dico du parler toulousain,

    Je viens de rajouter

    Rapetasser: raccommoder (rapetasser un trauco) - prononcer oun traoco;

    en fait, je ne suis pas sûre de bien écrire l'occitan car beaucoup de ces expressions me reviennent  en mémoire...; des expressions entendues, de ci, de là, dans mon enfance....

    Non, non: je ne sais pas du tout parler occitan, je ne connais que quelques expressions; comme vous le savez, l'Occitan diverge selon le coin d'où il provient....

    Autrefois, croyez-moi, on rapetassait tout: les draps, les chaussettes, les torchons (qui, d'ailleurs étaient faits avec de la récup' de draps fatigués...

     

    Pour mon certif', en 1964, j'ai dû réaliser un rapetassage d'un trou imaginaire dans un bout de tissu....  un trou assez grand, de 6 x 10 cm... et en fait, nous avons dû découper le tissu pour faire le trou et récupérer un bout d'un coin pour rapetasser ce trou; comme dit l'autre, faire et défaire.....

    Rapetasser, mon ami, ce n'est pas la même chose que le ravaudage où l'on arrange juste avec du fil, (ce qui n'est pas simple à savoir faire, il faut refaire la trame du tissu avec les fils à coudre): un rapetassage de  gros trou, croyez moi, c'est du boulot et pas une partie de rigolade non plus!

    d'autant que nous devions coudre à la main, bien sûr!

    quand on voit qu'on donne le bac à des gens qui ne savent pas écrire leur nom de famille!... on se tord de rire, nous, les sexagénaires!

    Au fait, réfléchissez: les ignorants de 25 ans d'aujourd'hui, seront les assistants à la personne que les 50-55 auront dans quelques années! bonjour l'angoisse pour les futurs retraité-es qui rigolent aujourd'hui! (y'a que les ponctionnaires qui rigolent...)

    Et oui! j'ai été ce que vous êtes, vous serez ce que je suis!

     

     

  • Vivi, nous aussi on a “des“ ports!

    Le Port Saint-Sauveur Pavillon Bleu pour la 2e année

    Depuis hier, un drapeau bleu millésimé 2015 flotte près de la capitainerie du Port Saint-Sauveur. Ce port de plaisance, géré par la Ville de Toulouse depuis 2012, a décroché le Pavillon Bleu pour la deuxième année consécutive. Il est le seul port de Midi-Pyrénées à avoir obtenu ce label, qui valorise des actions durables en faveur d'un environnement de qualité. "En septembre nous avons réalisé le désenvasement du port. 260 m3 de vase sont allés consolider les berges de la prairie des filtres, stabilisées par des plantes aquatiques. Nous avons mis en place un code de bonne conduite concernant la sécurité et l'environnement pour les plaisanciers et distribué des produits de nettoyage écologiques" souligne Marie-Hélène Mayeux-Bouchard, adjointe au maire en charge des fleuves et canaux.

    Le port va être agrandi

     "Les 30 et 31 mai, des animations seront organisées au Port Saint-Sauveur dans le cadre de la semaine du développement durable". L'élue annonce également pour cette année une extension du port de l'autre côté du canal, qui permettrait d'accueillir une dizaine de bateaux supplémentaires. Actuellement le port affiche complet avec 40 embarcations. La moitié de ces bateaux restent à quai pendant les mois d'hiver, les autres font une halte de deux ou trois jours en moyenne, le temps de visiter Toulouse. En ce moment ce sont surtout des retraités qui séjournent sur les eaux calmes du canal, profitant de la situation idéale de ce port de plaisance au cœur de Toulouse. Fermé au public, le port Saint-Sauveur jouit d'une très bonne cote auprès des plaisanciers. "Toulouse est un des ports les mieux gérés et les plus agréables des grandes villes françaises" s'enthousiasment Annick et Serge, un couple franc-comtois qui a navigué sur la Saône, le Rhône et le Canal du Midi. "Mais s'il n'était pas fermé on ne viendrait pas" ajoute Annick. Lucie et Pierre-André, des Suisses qui font le tour de France en bateau, apprécient "les prix corrects, les services facturés à part, l'accueil du personnel, la qualité des prestations". Pour eux le port de Toulouse "est nickel".

     

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    Alors, il est pas beau?

  • Je voulais tant être.... conductrice!....

     

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    Autrefois, on nous faisait passer le Brevet de Prévention Routière.... je m'en souviens... mais, il n'y avait que 5 voitures à pédales... et comme nous étions des classes de 35 élèves, les autres n'avaient droit qu'à des petits vélos....

    rrrrr.... je voulais conduire, Moi!

    Le brevet, j'lai eu!