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recettes - Page 190

  • Croquettes de pâté au piment d'Espelette

    Pour 5 personnes

    350 g de pâté de foie; 350 g de pâté de campagne

    2 oignons rouges, 4 tiges de ciboulette, 4 jaunes d’œuf

    150 g de pousses ou de feuilles d’épinards, Huile d’olive

    2 cuillérées à soupe de coriandre fraîche

    300 g de chapelure; 30 g de crème de piment d’Espelette

    Moutarde ancienne maison, très piquante; gelée de piment d’Espelette

    Faites revenir les oignons rouges à l’huile d’olive et les faire cuire avec les pousses ou les feuilles d’épinard pendant 30 secondes. Assaisonnez et laissez refroidir.

    Pendant ce temps, hachez grossièrement les pâtés de foie et de campagne, puis déposez le contenu dans un récipient en y ajoutant les œufs et ensuite les oignons rouges, les herbes et les épinards hachés.

    Mélange soigneusement le tout et former des boulettes de 30 g chacune.

    Paner, ensuite, les boulettes dans la chapelure et les faire frire 3 mn à 180°.

    Pour la sauce, mélanger la crème de piment avec la moutarde, la gelée de piment et remuez bien, pour l'allonger un peu, rajoutez de la gelée.

    Servez les croquettes avec la sauce ainsi réalisée et éventuellement quelques feuilles de roquette.

  • Petits fromages de chèvre à l'Armagnac

    C'est une semi-conserve de grand luxe, à servir en entrée, sur un lit de salade ou mesclun.

    On met un demi-crottin par petit pot de 125 ml. Ce qui nous donne une généreuse portion individuelle. Cette semi-conserve sera bonne dans un mois et se gardera pour 4 mois après au frigo. Prenez des fromages de chèvre un peu secs

    Voici une recette 10 petits pots de 125 ml.

    En premier lieu, il faut parfumer l'huile: donc, 1 litre de bonne huile d'olive ou de noix ou de noisettes; 4 gousses d'ail hachées grossièrement

    un demi- piment de la Jamaïque ou autre piment, mais c'est facultatif si vous n'aimez pas piquant; perso, ma fille ma ramené de la purée de piment de la Réunion…. j'aime bien que ce soit relevé, mais là! ouf!... j'ai ouvert le pot, rajouté de l'huile d'olive et je m'en sers pour parfumer ma moutarde maison ou autres.

    3 brins de thym et brin de romarin frais

    2 feuilles de laurier ou plus; 1  c. à café de grains de poivre noir concassé; 1 c. à café de grains de cumin

    Pour garnir les pots: 1 peu d'Armagnac, 5 crottins de fromage

    Il faut d'abord parfumer l'huile. Dans une petite casserole, chauffer l'huile à 80 C et y mettre tous les aromates. Couvrir et laisser macérer 2 heures hors du feu.

    Filtrer l'huile parfumée dans un entonnoir tapissé de deux couches d'étamine à moins que vous n'ayez une passoire ultra-fine en inox et son entonnoir large ouverture pour bocaux.

    Faites tremper les crottins de 15 à 20 secondes dans l'eau pour ramollir la croûte. Essuyez à l'essuie- tout un peu fort pour retirer complètement la croûte.

    Tranchez les crottins en deux et badigeonnez-les sur toute leur surface d'Armagnac (ou autre alcool fort) pour les stériliser de toute moisissure active. Laissez l'alcool s'évaporer.

    Placer un demi-crottin par pot et couvrir d'huile en laissant un peu d'espace (tout petit!) sous le goulot.

    Scellez les bocaux et les cacher au réfrigérateur pour un mois.

    Au moment de déguster, égouttez et déposer sur un lit de mesclun ou autre verdure. Vous pourriez aussi les sortir le matin et les poser sur le comptoir pour dégustation en soirée; si vous avez oublié de le faire, faites légèrement tiédir les fromages soit à l'entrée du four chaud durant deux heures, soit en les chauffants dans une poêle en tôle sur feu très, très doux ou au bain-marie.

    Pensez à conserver l'huile égouttée: elle va faire d'intéressantes vinaigrettes. Conservez-la au frigo après l'avoir passé au tamis très fin.

     

  • Tripes déjà cuisinées

    Dans votre enfance, mémé vous préparait des tripes…. à sa mode à elle. Aujourd'hui, vous ne savez pas les cuisiner… mais en regardant une recette sur le net, ouf! que c'est long à cuire!

    Un petit tuyau en passant: avec une cocotte minute, cela diminue les temps de cuisson de presque la moitié. Et, qu'est-ce qui vous empêche de les préparer et mettre à cuire en regardant votre film à la télé?

    Sinon, achetez un bloc tout prêt chez votre boucher ou charcutier puis suivez le guide: vous aurez une autre façon de les consommer.

    Tartine gourmande de tripes

    Pour 4 personnes

    400 g de tripes cuisinées, 8 tranches de pain de campagne

    1 oignon rouge, quelques pluches de cerfeuil

    1 salade de roquette; poivre du moulin

    Faites chauffer les tripes dans une casserole sur feu doux. Laissez cuire jusqu'à complète réduction du bouillon.

    Faites griller les tranches de pain. Pelez et émincez l'oignon.

    Déposer les tripes sur les tranches de pain, ajouter les tranches d'oignon. Donner un tour de moulin à poivre.

    Servir aussitôt avec une salade de roquette.

     

  • L'art et la manière de remplacer la patate!

    Duchesses au chou-fleur & sauce roquefort

    Pour 4 personnes: 600 g de chou-fleur, 35 g de farine de coco (pour les sans gluten) ou farine normale; 30 g de comté fruité; 25 g de beurre

    3 œufs; Noix de muscade; sel, poivre

    Pour la sauce: Roquefort

    100 g de mascarpone et 50 g de roquefort

    Faites cuire le chou-fleur (20 minutes dans une casserole avec un fond d’eau chaude ou au cuit-vapeur). Bien égoutter avant d’ajouter: les œufs, le beurre coupé en morceaux, la farine en mixant bien au mixeur plongeant après chaque ajout.

    Rajoutez le comté râpé, le sel, le poivre et une pincée de noix de muscade râpée avant de mélanger à la cuillère en bois. Laissez reposer 5 minutes pour que la farine absorbe l’humidité.

    Avec cette préparation, remplir une poche à douille (équipée d’une grosse douille cannelée) et dresser les boulettes duchesse sur la plaque du four tapissée huilée et farinée. Cuire au four 35 minutes à 180°.

    Pendant ce temps, dans une petite casserole faire fondre le mascarpone et le roquefort émietté.  Salez, poivrez et servir avec les “pommes duchesse“ toutes chaudes.

    A défaut de poche à douille, faites de jolis “tas“ avec une grosse cuillère

     

  • Conserver vos aliments?

    Temps de conservation

    Il arrive fréquemment qu'on se demande si un aliment est encore bon après un certain temps ou si on doit le jeter. Pour vous aider, ce tableau regroupe les temps de conservation des aliments les plus consommés.

     

    Produits laitiers

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Lait, crème, yaourt

     

    3 à 5 jours (ouverts)

     

    Camembert, brie

     

    3 à 4 semaines

     

     

     

     

     

    Fruits

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Fruits rouges

     

    2 jours

    1 an

    Melons, rhubarbe

     

    4 jours

     

    Raisins, prunes

     

    5 jours

     

    Pêches, abricots

     

    1 semaine

     

    Jus

     

    1 à 2 semaines (entamés)

     

    Pommes

     

    2 mois

     

     

     

     

     

    Légumes

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Endives

     

    3 jours

     

    Haricots, champignons, brocoli

     

    5 jours

     

    Chou-fleur, choux de Bruxelles

     

    6 jours

     

    Poivrons, oignons verts, radis, navet, laitue, tomates, courgettes, concombre, poireau

     

    1 semaine

     

    Chou, céleri

     

    2 semaines

     

    Betteraves

     

    3 semaines

     

    Oignons

     

    3 à 4 semaines

    1 an

    Carottes

     

    3 mois

    1 an

    Potage, soupe

     

    3 jours

    2 mois

     

     

     

     

    Viandes, volailles, poissons, œufs

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Œufs frais crus

     

    3 semaines

    4 mois

    Jaunes et blancs frais

     

    2-4 jours

    4 mois

    Œufs cuits dur

     

    1 semaine

     

    Agneau (côtelettes, rôtis)

     

    3 à 5 jours

    6 à 9 mois

    Bœuf (biftecks, rôtis)

     

    3 à 5 jours

    6 à 12 mois

    Jambon cuit (en tranches)

     

    3 à 4 jours

    1 an

    Porc (côtelettes, rôtis)

     

    3 à 4 jours

    4 à 6 mois

    Viande hachée, boulettes de viande

     

    1 à 2 jours

    2 à 3 mois

    Viande cuite

     

    3 à 4 jours

    2 à 3 mois

    Volaille

     

    1 à 2 jours

    6 mois

    Bacon

     

    7 jours

    1 an

    Viande fumée, charcuterie

     

    5 à 6 jours

    1 à 2 mois

    Saucisses fraîches

     

    1 à 2 jours

    1 à 2 mois

    Poisson et crevettes

     

    1 à 2 jours

    2 mois

     

     

     

     

    Féculents et Céréales

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Céréales sèches

    6 à 8 mois

     

     

    Farine blanche

    2 ans

     

     

    Pâtes et riz

    1 an

     

     

    Légumineuses sèches

    1 an

     

     

    Pommes de terre

    1 semaine

    Plusieurs mois

     

     

     

     

     

    Aliments divers

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Fines herbes séchées

    1 an

     

     

    Confiture

     

    Quelques mois (entamés)

     

    Miel pasteurisé

    18 mois

     

     

    Conserves

    1 an

     

     

    Ketchup, marinades

     

    1 an (entamés)

     

    Mayonnaise

     

    2 mois (entamée)

     

    Huile d’assaisonnement

    1 an

     

     

    Vinaigre

    2 ans

     

     

    Thé

    1 an

     

     

    Café moulu

    1 semaine (entamé)

    2 mois

     

    Café instantané

    1 an

     

     

    Beurre

     

    3 semaines (ouvert)

     

     

     

     

     

  • Comment fabriquer son propre gin

    est "le" spiritueux en vogue, le chouchou des apéros d’été une fois noyé dans le tonic.

    Comment fabriquer son propre gin, l’un des rares spiritueux qu’on peut créer à son goût sans le redistiller,

    Vous pouvez craquer pour des agrumes insolites, des herbes rares ou des épices originales |

    Arrachez une vodka à son triste destin

     Le gin n’est jamais qu’une vodka pomponnée au genièvre et, éventuellement, habillée d’herbes, écorces, zestes et épices. Alors on commence par le commencement, et on achète une bouteille de vodka, de préférence titrant entre 50 et 65% (si le pourcentage d’alcool est trop mou ou trop violent, l’extraction des composés aromatiques des botaniques vous arrachera une grimace).

    Pourquoi une vodka et non un gin de base? Pour garder la maîtrise du dosage en genièvre, colonne vertébrale de votre gnôle de salle de bain. Et pour sauver une vodka de son triste destin sans saveur. Commencez modestement avec une bouteille, pas une baignoire.

    Avant même de commencer, essayez d’avoir une idée du gin que vous avez envie de créer. De cette décision dépendra le choix et le nombre des botaniques. Au début, mieux vaut rester simple, presque binaire, et travailler avec deux ou trois ingrédients.

    C’est le moment de craquer pour des agrumes insolites, des herbes rares ou des épices originales car vous les utiliserez en très faibles quantités, sans vous ruiner –pensez-y quand vous craquerez pour un gin à 50 euros, qui, lui, vous prend pour un gogo.

    D’abord, le genièvre (et après on verra)

    L’intensité en genièvre sculpte l’essentiel du caractère d’un gin. C’est donc l’étape à ne pas saborder. N’achetez pas de baies déshydratées: vous avez besoin du gras, des huiles essentielles qu’elles renferment. Et faites le tri pour écarter toutes celles qui ne sont pas bien lisses et rebondies. Impératif, car les baies fripées et rabougries apportent des notes de terre humide, de vieux sapin qui pourrit sur pied.

    Baies de genièvre? ici: www.biotine-sep.com

    Quelle quantité de baies? Tout dépend de votre interprétation du gin. Commencez pépère, avec 25 grammes de genièvre pour 70 centilitres de vodka. Si les baies sont entières, laissez macérer une journée ou au-delà, mais un conseil, goûtez très souvent –il faut parfois savoir se sacrifier quand la quête le mérite.

    Si vous émiettez les baies pour en extraire les arômes huileux logés dans le cœur, quinze à trente minutes suffisent; au-delà, le boisé rafle la mise. Pour gagner en complexité, divisez la vodka diluée à différents degrés dans plusieurs récipients, en émiettant ou non le genièvre, et jouez sur plusieurs temps de macération pour créer ensuite un assemblage.

    À cette étape, laissez votre imagination poser les limites. Le gin, c’est le truc le plus facile à créer, car il n’y a pas de règles, on dispose d’une liberté totale. Et c’est aussi ce qu’il y a de plus difficile à faire, car il n’y a pas de règles, on dispose d’une liberté totale. Jusqu’à quel point user ou abuser de cette liberté? Allez, un peu d’aide.

    Vous pouvez laisser macérer tous vos ingrédients dans le même saladier de vodka ou les travailler un par un ou à plusieurs en vue d’un futur assemblage. Avec l’avantage de ne pas tout balancer si vous vous ratez sur une infusion; et l’inconvénient de devoir goûter régulièrement (j’insiste, le timing est crucial) chaque macération.

    Pour élaborer un gin dry et frais, jouez sur les zestes (non séchés) d’agrumes, la coriandre fraîche (30 à 40 minutes de macération dans l’alcool suffisent), le concombre tranché, le thé vert genre maicha…

     Pour un boisé tempétueux, privilégiez une macération longue des baies de genièvres non émiettées. Et misez sur une infusion rapide de thé noir dans l’alcool, du rooibos, de la réglisse pour calmer l’astringence. Les fleurs de jasmin séchées apporteront en sus un toucher de bois ciré précieux.

    Thés? fleurs de Jasmin? Réglisse? http://www.biotine-sep.com/phyto/index.html

    Un gin floral appréciera un genièvre délicat, des fleurs de jasmin fraîches, d’acacias, d’oranger, des pétales de rose, du gingembre frais émincé (en macération rapide), de la bergamote…

    Pour un gin méditerranéen, forcez sur le genièvre et piochez dans le répertoire frais et anisé: les écorces d’agrumes, les herbes de Provence (estragon, basilic, thym, romarin), une pointe d’anis étoilé, qui déposera nonchalamment un peu de profondeur en fin de bouche.

    Fleurs ici: http://www.biotine-sep.com/fleurs/index.html

    Alerte vigilance, certains ingrédients se montrent un peu traîtres à travailler. La gourmande vanille est de ceux-là. Faites-la toujours macérer à part. La cannelle et le girofle deviennent très vite astringents; ne les quittez pas d’un œil. Quand ils macèrent trop longtemps, le basilic vire à l’estragon, la lavande à la lessive et la menthe à la pisse de chat. De rien…

    Pour électriser un gin en berne, rien de tel que des graines de cardamome (sorties de leur cosse) ou du poivre du Sichuan. Pour une patine chaleureuse, quelques grains d’orge. Pour apporter de la tension, des écorces d’agrumes, dont la macération se compte en minutes seulement.

    Epices: http://www.biotine-sep.com/epices/index.html

    Les astuces qui font la différence

    Terminé? Filtrez le contenu du saladier dans un banal filtre à café pour stopper net l’activité des plus petites graines (cardamome ou miettes de genièvre); laissez reposer. Puis, procédez à la réduction à la Volvic si votre vodka titrait à plus de 40%. Diluez lentement, sur une semaine si possible, en oxygénant à chaque fois le mélange. Cette étape va donner de la cohésion à l’assemblage.

    Embouteillez dans un joli flacon sombre si la robe jaune orangé due aux macérations vous plonge dans le désarroi. Si les 70 centilitres de vodka de départ remplissent tout juste une bouteille de 50 centilitres de votre gin maison, pensez à espacer les étapes de contrôle qualité..... la prochaine fois.

    De rien!

     

  • Fruits rouges du jardin en gelée gourmande

    Depuis l'été dernier, il me restait un bol entier et la moitié d'un autre, dans mon congélateur, remplis de mûres, framboises et petites fraises Mara des bois. Ils prenaient de la place et depuis quelques temps, j'avais l'idée d'une recette pour “leur faire une vie“.

    Comme il y avait plus de mûres que de framboises et que je supputais trop d'acidité pour un dessert gourmand, il me fallait mettre pas mal de crème fraîche. J'ai mis mes bols à décongeler sur le comptoir arrosé de sucre cassonade. C'est un truc que vous devez connaître si vous avez besoin de décongeler des fruits: il faut les couvrir de sucre en poudre, ainsi, ils conservent leur forme et ne se transforment pas trop en bouillie.

    Un truc que vous trouverez dans mon site: www.tradi-cuisine.com

    Lorsque tout a été décongelé, je les ai mixé sans autre forme de procès. Mais, avant, j'avais mis dans une grande casserole (en inox) 50 cl de crème fraîche allongée d'un verre de lait entier. J'ai mis le tout à chauffer, à feu doux.

     Pendant ce temps, j'ai mis à tremper dans l'eau froide 5 feuilles de gélatine et lorsqu'elles furent bien ramollies, je les ai versées dans la casserole avec la crème fraîche et j'ai fermement remué avec le fouet métallique (en inox). Inutile de faire bouillir, la gélatine se fond bien dans un liquide où l'on peut tremper son doigt sans se brûle, à condition de bien fouetter. Si vous aimez archi-sucré, vous en rajoutez; nous, on se contente du sucre des fruits en principe, sauf le saupoudrage (misérable) que j'ai fais pour avoir des fruits se “tenant“ mieux. Mais, bon, comme j'ai tout mixé, ils n'avaient pas besoin d'être présentables, vieux réflexe.

     J'ai rajouté mon coulis de fruits bien mélangé le tout et j'ai versé le mélange dans deux bols (en verre; en fait, les deux bols qui contenaient les fruits rouges congelés et qui étaient au congélo, si vous avez de la mémoire; il restait un peu de jus frais des fruits rouges); donc, j'ai rempli au trois-quarts et dans deux grands pots de yaourt (en verre). Chez moi, tous les ustensiles sont ou en inox, ou en verre, ou en céramique, terre, fonte… etc. Les bons vieux matériaux qui ont la noblesse de ne pas relarguer les produits de pétrochimie qui nous empoisonnent depuis les années soixante.

     J'ai mis mon petit monde de bols et verres au réfrigérateur pour que cela se solidifie et puis, basta ya, on a dégusté les bols le soir et les pots de yaourt le lendemain… et le roi n'est pas mon cousin! (si vous ne connaissez pas cette expression, posez-moi la question!).