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recettes - Page 191

  • Pizza au chorizo

    pour 4 personnes

    16 tranches de chorizo; 1 pâte à pizza, 4 tomates; 3 petites courgettes

    200 g de purée d'aubergine du commerce ou maison; 1 oignon; 200 g de mozzarella

    50 g de parmesan; 5 c. à soupe d'huile d'olive; Sel et poivre

    Étalez la pâte sur une plaque, préalablement beurrée.

    Mélangez la purée d’aubergines et le parmesan. Recouvrir la pâte de ce mélange.

    Lavez les tomates et les courgettes. Les couper en tranches, ainsi que la mozzarella. Déposez les tranches sur le fond de pizza, en les intercalant.

    Arrosez légèrement le tout d’huile d’olive. Saler et poivrer. Déposez les oignons finement émincés, puis les tranches de chorizo.

    Faire cuire à four chaud th. 6 (180°C), pendant 20 min et servir aussitôt

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  •  Saucisse de Toulouse au four

    Par personne deux tomates, une portion de saucisse de Toulouse soit 150g, (cela peut être des chipolatas –saucisse fine de Toulouse découpée en portion).

    Un peu huile d'olive, de l'ail haché.

    La VRAIE saucisse de Toulouse est grosse de diamètre (pour le cassoulet!)et met longtemps à cuire; vous pouvez la transpercer régulièrement pour que le jus de graisse en découle.

    Coupez-là en portion ou laissez-là entière. Mettre dans un plat à gratin légèrement huilé ou direct sur la plaque au four à 250° durant 15 minutes; retournez là et baissez votre four à 220°.

    Emincez 2 tomates bien mûres en fines rondelles que vous étalez dans un plat huilé. Saupoudrez d'une goutte de sucre en poudre pour l'acidité de la tomate. Parsemez-les d’herbes séchées et d’un peu d’ail haché et nappez le tout avec un filet d’huile d’olive.         Disposez-les saucisses à moitié cuite sur les tomates. Glissez le plat dans le four chaud et cuisez-les pendant encore 20 minutes.

    Vos saucisses sont dorées et les tomates sont fondues et transformées à la fois en sauce et en garniture. Ce plat simple et savoureux est délicieux accompagné de pommes de terre, de riz, blé ou de pâtes.

     

  • Courgettes à l'œuf

    Certains appellent cela des “frittata“; ben, je savais pas, j'ai toujours fait des plats de ce genre, autrefois chez moi, on appelait cela “patates à l'œuf“ (quand il restait plus assez  d’œufs, et avec des oignons, c'est d'un bon!) ou “courgettes à l'œuf". Mais, bon, appelez comme vous le voulez, et comme on dit à Toulouse: dans l'estomac, tout se mélange! On dit cela surtout pour se moquer des toqués de la toque, ces soi-disant “chef“ qui donnent des noms à rallonge dans leur plat….

    Contrairement à l'omelette, les ingrédients d'une “frittata“, donc, sont mélangés directement avec les œufs et non pas ajoutés à l'intérieur de l'omelette.

    Celle-ci, c'est pour 6 ou 4 goinfres:

    4-5 c. à soupe d'huile d'olive; 6 petites courgettes

    1 c. à soupe d'ail et persil, mélangé que vous pouvez avoir préparé quelques jours à l'avance, voir plus bas.   

    6 gros œufs ou 8; 2 c. à soupe de parmesan, râpé

    1 peu de marjolaine fraîche, 1 pincée de sel [facultatif] et du poivre au goût poudre de piment Espelette ou du curcuma

    Tranchez les courgettes en rondelles de 3-4 mm d'épaisseur et faites les rissoler dans une poêle à feu moyen avec un peu de l'huile d'olive. Ajoutez l'ail et persil comme plus bas préparés.

    Faites cuire découvert 5 min à feu moyen en brassant fréquemment. Saler et poivrez, couvrir et cuire à feu doux environ 7-8 min ou jusqu'à ce que les courgettes soient tendres, mais encore al dente.

    Cassez 2 œufs directement dans la poêle et brassez l'ensemble à l'aide d'une cuillère de bois et faites cuire 2 min à feu moyen. Retirez du feu et réserver.

    Dans un grand saladier, battre légèrement les œufs restants, à l'aide d'une fourchette. Incorporez le mélange des courgettes aux œufs que vous avez réservé dans ce saladier. Y ajouter le parmesan et la marjolaine hachée. Rectifiez au goût et bien mélanger.

    Remettre dans une poêle à feu vif en assurant une distribution uniforme.

    À l'aide d'une spatule, en soulever doucement le pourtour et pousser vers le centre. De cette façon, après 3-5 min, vous aurez formé une croûte sur le fond. Réduire la chaleur à moyen-doux et poursuivre la cuisson doucement jusqu'à ce que le pourtour brunisse (environ 15 min).

    Secouez la poêle de temps à autre pour s'assurer que la frittata n'y adhère pas. Lorsqu'elle s'est raffermie, c'est le moment de la retourner, heu… si vous y parvenez.

    Sinon vous n'avez qu'à terminer la cuisson en plaçant votre poêlée sous le gril du four.

    Pour retourner vos courgettes aux œufs facilement, soulevez pour commencer d'abord le pourtour à l'aide d'une spatule et couvrir ensuite la poêle avec une assiette plate, ou un couvercle plat, suffisamment grand pour couvrir la poêle.

    Laisser ainsi couvert pendant 2 min pour que l'humidité ainsi piégée favorise le décollement de la frittata. Tenir la poêle d'une main et son couvercle de l'autre, et renverser le tout d'un seul coup, de manière à ce que vos courgettes se retrouvent dans le plat ou le couvercle.

    Remettre à nouveau la poêle sur le feu et y glisser délicatement votre préparation et laissez cuire à feu moyen environ 5 min. Faites glisser sur une assiette de service, ensuite et consommer chaud ou tiède.

     

    Base d'ail et persil

    1 bouquet (100 g) de persil frais, 3 gousses d'ail;             

    Quantité d'huile d'olive (assez pour couvrir) dans un pot en verre qui se visse.

    On n'utilise que les feuilles du persil, et non les tiges qui sont trop dures. Bien laver et essorer ces feuilles, les hacher finement avec les gousses d'ail. Le mieux est de couper au couteau (enfin, à vous de voir si vous voulez de la purée!).

    Mettre aussitôt ce mélange dans un bocal. Couvrir d'huile, empêchant ainsi le contact avec l'air Fermez avec un couvercle et mettre au réfrigérateur immédiatement. Se garde maxi trois semaines… à utiliser avec des grillades de viande rouge, de volailles, lapin, etc… sur des pâtes, riz, tièdes.

    Vous pouvez remplacer par d'autres herbes aromatiques et/ou faire un mélange. Le tout est de savoir où vous allez utiliser ce mélange.

    Ne conservez pas plus de trois semaines car l'humidité des ingrédients peut faire advenir des spores pas excellents pour vos intestins!

     

  • Pas joli-joli, tout cela!

    Arnaque sur le made in France : le cornichon du Loir-et-Cher vient... d'Inde !

    Photos à l’appui, l’ONG Foodwatch pointe les astuces de maketing légales mais qui induisent en erreur les consommateurs qui ne lisent pas scrupuleusement les

    L'ONG Foodwatch dénonce une sélection de produits qui revendiquent le made in France alors que leurs ingrédients viennent parfois de l'autre bout du monde.

    Neuf personnes sur dix acceptent de payer un peu plus cher pour un produit français (Sondage Ifop made in France d'octobre 2016). Les industriels ont flairé la bonne affaire et leurs emballages rivalisent de logos "fabriqué en France", de drapeaux bleu-blanc-rouge et d'autres sympathiques symboles de l'Hexagone. Sauf que c'est parfois... à la limite de l'arnaque. L'ONG européenne Foodwatch, spécialisée dans les scandales alimentaires, a passé à la loupe les rayons des supermarchés Leclerc, Carrefour et Auchan et elle n'a pas eu de mal à dénicher des perles. Nous vous présentons un résumé de ces trouvailles en exclusivité.

    Premier exemple, un bocal de minicornichons aux deux vinaigres de la marque Charles Christ. Avec sa bande tricolore qui indique "conditionné dans le Loir-et-Cher" et sa mention "cueillis à la main", il fleure bon le terroir. Sauf que lesdits cornichons proviennent en réalité d'Inde! "Ce sont les seuls du rayon à mettre en avant le côté français alors que les cornichons ne le sont pas, déplore Ingrid Kragl, directrice information de Foodwatch. La mention figure bien sur l'étiquette, mais à l'arrière du pot et en tout petits caractères".

    Le bio aussi

    Ces pratiques ne sont ni illégales ni interdites. " Il s'agit effectivement de produits conditionnés en France, assemblés en France, mais pour le reste, les industriels jouent sur l'ambiguïté, regrette Ingrid Kragl. Ils nous embrouillent. "Ainsi "le ravioli bolognaise" de Panzani met-il en avant dans un bel Hexagone tricolore sa "viande bovine française". La marque précise même qu'elle la sélectionne avec soin "au cœur des bassins d'élevage français". Mais le porc, qui entre dans la composition de la recette a, lui, pour origine l'Union européenne, comme mentionné sur l'étiquette.

    De la même façon, la purée pomme-pêche sans sucre ajouté Charles et Alice mentionne dans une jolie carte tricolore des "pommes 100 % France". D'accord pour les pommes. Mais les pêches composent 60 % du produit et on ignore d'où elles proviennent. La tarte aux framboises surgelée Carrefour "cuisinée en France" est quant à elle composée de framboises venant de... Serbie, d'Amérique du Sud et de l'Union européenne.

    Même le bio profite du flou des étiquettes, "alors que les consommateurs s'attendent à ce que ces produits soient locaux", pointe la directrice de l'ONG. Ainsi les boudoirs pour bébés à l'huile essentielle d'orange douce Babybio, qui revendiquent une production française, sont "issus de l'agriculture UE-non UE".

    "Les consommateurs ne sont pas aussi aguerris que nous. La pulsion d'achat est plus rapide et les gens se font avoir, insiste enfin Ingrid Kragl. Certains choisissent leur charcuterie en croyant soutenir la filière du porc français. Or ce n'est pas le cas. De la part des marques, ce n'est pas très honnête... "

    http://www.leparisien.fr/economie/arnaque-sur-le-made-in-france-le-cornichon-du-loir-et-cher-vient-d-inde-13-07-2017-7130616.php

     

    MORALE DE L'HISTOIRE:

    Regardez la composition mais aussi la provenance!

     

  • Médaillon de mignon de porc, sauce camembert

    6 personnes:

    1 Kg de filet mignon de porc; 2 tiers de camembert, 2 pommes Royal Gala

    30 g de beurre; 2 c. à soupe de crème épaisse

    3 pincées de muscade en poudre, Sel et poivre

    Coupez le filet mignon de porc en médaillons de 5 cm d’épaisseur. Salez, poivrez et faites-les cuire à la poêle, sur feu doux et à couvert, 10 minutes de chaque côté.

    Retirez la croûte et coupez le camembert en morceaux, faites fondre avec 2 cuillères de crème, salez peu et poivrez.

    Déposez à côté les médaillons de mignon, quelques tranches de pomme et arrosez de sauce au camembert.

    Pour accompagner, servez en même temps:

    Ce n'est pas très Toulousain, mais c'est joli à voir et bien bon!

    Mini gratins de pommes de terre au Pont-l’évêque.

    Pour 6, il vous faut: 6 cercles de cuisine diamètre 7 cm pour cuire

    2/3 de Pont l’Evêque, 4 grosses pommes de terre, 30 cl de crème épaisse, 1 pomme Royal Gala, Poivre, muscade

    Préchauffez le four à 200°C. Pelez, lavez, tranchez finement les pommes de terre.

    Pelez, lavez, tranchez finement la pomme.

    Enlevez ensuite la croûte du Pont- l’Evêque et coupez en morceaux.

    Faites-le fondre dans une casserole avec la crème. Salez peu ajoutez poivre et muscade. Déposez les 6 cercles embeurrés sur une plaque huilée et farinée légèrement.

    Remplissez en alternant pommes de terre, pomme et fromage fondu. Terminez par du fromage et enfournez 40 mn jusqu’à ce que le dessus soit gratiné.

     

  • Des Toulousains inventent La Carafe pour mettre le vin à bonne température

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    Les concepteurs de La Carafe sont originaires de Toulouse. Leur ambition est que le vin soit toujours à bonne température.

    Il ne faudrait pas gâcher un bon vin par une température pas adaptée. C'est en partant de cette idée que des Toulousains ont créé La Carafe, un appareil qui permet la mise en bonne température de la boisson. Ils lancent un financement participatif.

    "Il y a toujours une préconisation de température sur les bouteilles de vin, mais rien ne permet d'atteindre cette température", explique Anthony Boule. Partant de constat, le Toulousain a commencé à réfléchir il y a six ans à un système qui le permettrait. Aujourd'hui, rejoint par neuf personnes, il lance un financement participatif pour industrialiser la production de La Carafe.

    "Avec quelques degrés de trop par rapport à la température préconisée, l'alcool prend le pas, expose Anthony Boule. Avec quelques degrés de moins, il est totalement muet." La Carafe a donc l'ambition de ramener la température du vin à celle préconisée, "mais surtout de la maintenir à cette température". L'ambition du projet est que La Carafe se pose sur la table, et non pas dans un coin de la cuisine. C'est pour ça qu'ils ont misé sur l'esthétisme.

    Un financement participatif a été lancé pour permettre la production de La Carafe. / © DR 

    Un financement participatif a été lancé pour permettre la production de La Carafe. / © DR

    Près de 15 000 euros récoltés

    La Carafe pourrait être commercialisée dès juin 2018, en France, mais aussi ailleurs dans le monde. "On a des contacts et des premiers accords à l'étranger", explique Anthony Boule, qui parle déjà de plus d'une vingtaine de pays.

    Les initiateurs du projet, tous originaires de Toulouse, ont décidé de passer par un financement participatif plutôt que par les banques. "On a une volonté de solliciter la foule, explique Anthony Boule. Pour nous, ça permet de savoir si notre projet est un bon projet." Mardi, La Carafe avait reçu sur Ulule près de 15 000 euros sur un total de 45 000.

    Perso, je vends presque tout pour le vin, c'est ici:

    www.tradi-cuisine.com

     

  • L'Escarbille

    Hier soir, ma fille et moi avons mangé à L'Escarbille, un bon restaurant qui se trouve RN 113 à Montgiscard. Cela fait environ trois ans que nous n'allons qu'à cet endroit. Pourquoi? parce que la cuisine y est faite maison, tout simplement. Ce n'est pas de la manipulation de sachets plastiques (pleins de bisphénols) avec lesquels on mélange un peu de ci et un peu de ça pour faire un plat. C'est la honte de la cuisine française. Non mais, vous vous rendez compte: le pays de la gastronomie mondiale!

    En général, lorsque nous allons dans les restaurants nous avons le même menu: perso c'est foie gras, cassoulet et glace café chantilly (je prends aussi des profiteroles parfois quand il me “reste de la place“). Ce menu, je le réclame même en été. Quand vous voyez quelqu'un manger un cassoulet en plein été, ou bien c'est un touriste étranger, ou bien…. c'est moi!

    Ma fille c'est plutôt grillade: entrecôte ou confit de canard et glace au café. Parfois, cassoulet, mais c'est en hiver.

    Il arrive, de temps en temps, que je déroge. Hier soir par exemple. J'ai choisi une salade d'encornets aux poivrons et des gambas au pastis. Les encornets épais étaient un peu durs…. dommage! Les morceaux plus fins, cela allait bien. Dans cette salade de la verdure, of course mais de petits morceaux de poivrons rouge: c'est à cela que j'ai reconnu le fait maison…. ils avaient le goût qu'ont les miens quand je les prépare.

    Bonne vinaigrette… pas trop. En fait, les poivrons étaient encore chauds et bien sûr, posés sur une salade verte, elle cuit. Les encornets étaient durs parfois je l'ai déjà dit mais bien sautés à l'huile. Nonobstant les trois-quatre morceaux un peu durs, il manquait toutefois un peu d'oignon cru. C'était assez bon dans l'ensemble, bonne recette de salade.

    Pour les gambas, rien à dire. Déjà décortiquées, pas besoin de s'arracher les ongles pour les consommer, la tête sobrement mise à leur côté. Servies avec des linguines… un peu beaucoup “chiche“ les linguines. Ce plat n'est pas à choisir si vous êtes travailleur de force  et de retour de votre usine.

    Le goût anis ne se sentait nullement, à mon avis. Et pourtant, j'ai crains ce goût car je ne l'apprécie pas, ni en apéritif ni en plat. Vous allez dire, il faut être fou pour commander un plat à l'anis lorsque l'on n'aime pas l'anis. Premièrement je l'ai choisi parce que je ne peux jamais cuisiner des gambas car ma fille ne les aime pas en dehors des fêtes de fin d'année ou invitée chez des amis gourmands. En fait, elle n'aime pas se salir le bout des doigts. Jamais. Ce, depuis toujours.

    Même si le goût ne lui déplait pas, elle évite puisqu'il faut décortiquer avec les doigts. Les seuls fruits de mer pour lesquels elle se “sali“ les doigts, les huitres et les crevettes crues. Je ne dis pas “crevettes fraîches“ que les journaleux en manque d'idée accoquinent immanquablement au mot “crevette“. Les crevettes pas fraîches, on n'en trouve pas dans les restaurants… le chef de la gargote verraient passer ses clients en mode fusée devant lui, s'il lui prenait l'envie d'en servir!

    Or, peu de gens savent que les crevettes sont le seul aliment qui, dès qu'il est sorti de son milieu naturel, est déjà “passé“ et bon à jeter. Vous ne le savez pas non plus: les crevettes sont les seuls aliments obligatoirement “irradiés“ (comme les épices) avant la mise sur le marché.

    Comme tout repas qui se respecte, j'ai gardé “pour la bonne bouche“ (mais bon, quand on mange pour “la mauvaise bouche“, c'est que l'on est dans de sales draps!) le dessert: j'ai donc choisi des profiteroles. Alors là: musique! Grand opéra, dois-je dire….

    J'ai déjà choisi ce dessert à l'Escarbille. Chaque fois je dis: mais que c'est bon! et ma fille me répond: “tu dis toujours cela quand tu en mange, ici“.

    Il faut dire que lorsque j'en ai pris la première fois cela faisait à peu près 40 ans que je n'avais goûté de vraies profiteroles. Celles qui ont du goût. Pas de ces choux durs comme du bois servis avec une sauce chocolatée pleine de trucs chimiques, déjà prête en flacon de plastique lui-même plein de bisphénol!

    Là non! Une sauce chocolat faite maison encore tiède bien sûr et si douce et au bon goût du chocolat fondu sans “merde“ chimique de conservateur ou agglo ou anti ni agrégat d'aucune sortes! des choux tendres et goûteux (je n'ai pas le palais assez fin pour dire s'ils sont fait maison ou par le pâtissier du village comme le ferait Louis de Funes dans L'aile ou la cuisse), mais au moins, ce ne sont pas des coquilles dures et sèches qu'on vous colle dans les fast, les cafètes et autres restaurateurs fumistes. 

    Et ce contraste délicieux entre la chaleur de la sauce, la douceur croquante du choux et la glace emprisonnée…. mais, que c'est bon, c'est BON, C'EST BON!

    Il faudrait décorer le propriétaire-chef de la médaille du Courage Civique, du plus haut grade de la Légion d'Honneur, des Palmes Académiques de la Restauration Française (oui, cela n'existe pas mais on l'invente), de la Toque d'Or de Bocuse et d'une Médaille Extraordinaire de l'UNESCO, patrimoine mondial (ça n'existe pas, mais on invente, VITE!).

    En un mot: tous à l'Escarbille pour manger des Profiteroles, avec un grand P, s'il vous plait! Ne vous occupez pas des commentaires qui sont faits sur plein de sites divers et avariés… Pour faire un commentaire négatif, il faut être rasoir et c…

    Pour le service, pas de souci… tout le monde est bien sympa. Accessibilité: si vous avez un fauteuil roulant, il vous faut quelqu'un pour pousser pour entrer, ou de bons biscoteaux…. cela monte doucement mais fortement du parking à l'entrée. Après, c'est du gâteau. Et ceux qui ont trop chauds peuvent choisir: il y a deux terrasses.

    Ferme Lauragaise, c'est bien joli à l'extérieur, bien entretenu. Pour dedans, rien à redire si ce n'est les tables... Vous constaterez vous mêmes...

    Et le prix est raisonnable... pour cette qualité.

    L'Escarbille - 31540 Montgiscard