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sante - Page 49

  • Ils sont fous ces ricains!

    La France est par excellence le pays des saveurs et de la gastronomie. Nous devons protéger notre savoir-faire, notre culture, ainsi que nos bons produits comme par exemple nos nombreux fromages qui seront sacrifiés sur l'autel des accords négociés (TAFTA, CETA) si nous ne bougeons pas!

    En effet, les accords négociés avec le Canada (CETA) et les Etats-Unis (TAFTA) prévoient de reconnaitre 18% à peine des produits français labellisés par l'Union européenne.

     C'est pourquoi, nous devons agir pour protéger nos produits français labellisés et du coup, trouvez sur le net une pétition et signez-la ou, s'il n'y en a pas, créez-là!

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    Touchez pas à mon calendos ni à mon Roquefort!

     

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  • C'est la saison des noix!

    Les noix, c'est tout bon. Ainsi une grande étude récente conduite aux Pays-Bas depuis 1986 auprès de 120000 participants confirme le lien entre la consommation de noix de toutes sortes y compris cacahuètes et le risque de mortalité. Les hommes et les femmes qui consomment au moins 10 grammes de noix et cacahuètes chaque jour ont un risque de décès plus faible que celles qui n'en consomment pas (cette protection n'est pas retrouvée pour le beurre de cacahuètes). La réduction de risque est particulièrement forte pour les maladies respiratoires, neurodégénératives et le diabète, devant le cancer et les maladies cardiovasculaires.

    Elles renferment de bonnes graisses

    Les oléagineux sont naturellement riches en acides gras mono-insaturés. Ils sont également riches en acides gras polyinsaturés, mais à l’exception des graines de lin et de chia, des noix de Grenoble, les oléagineux apportent plus d’oméga-6 que d'oméga-3. Malgré tout, consommés régulièrement, ils sont bons pour la santé cardiovasculaire, comme en témoignent de nombreuses études.

    Elles sont riches en protéines

    Comme les légumineuses, les oléagineux contiennent entre 10 et 25 g de protéines pour 100 g, c’est-à-dire plus que certaines viandes ou poissons.

    Toutefois, ils manquent généralement de lysine, méthionine et cystine, trois acides aminés essentiels. Une petite portion de légumineuses ou de protéines animales suffira à fournir les acides aminés manquants. C’est la cacahuète qui remporte la palme de la teneur en protéines des graines et noix avec près de 30 g pour 100 g (ou près de 10 g par portion). Elle est suivie de l’amande qui avec 25,4 g/100 g apporte suffisamment de protéines par portion (7,5 g) pour pouvoir prétendre remplacer une partie de protéines animales consommées chaque jour.

    Elles représentent une bonne source de fibres

    Graines et noix renferment des fibres, surtout insolubles, en proportions variables (4-12%), qui facilitent le transit intestinal et diminuent le risque de cancer du côlon chez les femmes. La palme revient aux graines de lin avec 27,9 g de fibres pour 100 g. L’amande non blanchie est la championne des fibres parmi les fruits à coque avec 12,6 g/100 g soit environ 3,2 g pour une portion de 20 amandes. Après l’amande, c’est la pistache qui contient le plus de fibres avec 10,6 g/100 g.

    C'est quoi une portion de noix ou de graines oléagineuses ?

    Aliment Portion

    Noix 8 noix (25 g)

    Amande 20 amandes (25 g)

    Noisette 25 noisettes (30 g)

    Noix du Brésil 8 noix (25 g)

    Noix de cajou 20 noix (30 g)

    Pistache 45 pistaches (30 g)

    Cacahuète 45 cacahuètes (30 g)

    Elles ont une bonne densité nutritionnelle

    Les noix et graines oléagineuses apportent des quantités conséquentes de vitamines B1, B2, E, de calcium, magnésium, phosphore, potassium, zinc, sélénium, mais aussi de fibres, avec des teneurs qui vont de 3 à 8 g de fibres pour 100 g. Plusieurs études associent une consommation régulière d’oléagineux à une diminution du risque de diabète de type 2 et de cancer du côlon chez la femme.

    Pour le magnésium, privilégiez la noix du Brésil, la noix de cajou et l’amande. Si vous manquez de potassium, ruez-vous sur les amandes. Pour le calcium, amandes, noisettes et noix du Brésil figurent dans le trio de tête. La noix du Brésil contient aussi beaucoup de sélénium, un antioxydant important.

    Enfin si vous manquez de fer, tournez-vous vers la noisette, la noix de cajou et la noix de Macadamia.

    Nature ou grillées?

    Les versions grillées sont un peu moins intéressantes dans la mesure où elles peuvent apporter des composés appelés produits de glycation avancés (AGE), directement responsables du vieillissement. Les versions salées sont à éviter absolument!

    IDEE: concassez quelques grammes de graines non salées et rajoutez dans des pâtes (spaghetti, nouilles etc....) cuites simplement à l'eau salée puis essorées et auxquelles vous aurez rajoutez beaucoup de beurre, manié ou pas.

     

  • FRANCAIS: copiez-les!

    Terrorisme. Les Allemands vont devoir stocker des vivres et de l'eau

     Les Allemands vont être appelé à stocker de l'eau pour cinq jours en raison d'un risque d'attaque terroriste.

    Pour la première fois depuis la fin de la Guerre froide, le gouvernement allemand a l'intention d'appeler la population à constituer des stocks de vivres et d'eau en cas d'attentat ou de catastrophe, écrit dimanche le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS).

    L'Allemagne a relevé son niveau d'alerte après cinq attentats - dont deux revendiqués par l'organisation État islamique (EI) - et la tuerie commise par un déséquilibré le mois dernier. Le gouvernement a annoncé au début du mois son intention d'augmenter fortement les crédits alloués à la police et aux autres forces de sécurité.

    "La population sera obligée de détenir un approvisionnement alimentaire individuel suffisant pour dix jours", précise le FAS en citant le " projet de défense civile " élaboré par le ministère de l'Intérieur.

    Un porte-parole du ministère a déclaré que le projet serait soumis au conseil des ministres mercredi quelques heures avant d'être dévoilé par le ministre mais il s'est refusé à toute précision sur son contenu.

    De l'eau pour cinq jours

    Chaque foyer devra aussi stocker suffisamment d'eau potable pour cinq jours, selon le document cité par l'article du FAS.

    Le projet de 69 pages ne considère pas comme probable un attentat sur le sol allemand nécessitant une riposte à l'échelon national mais il évoque des mesures de précaution qui conduiraient les ménages à "se préparer de manière appropriée à un événement qui pourrait menacer notre existence et ne peut être catégoriquement exclu à l'avenir", ajoute-t-il.

    Le document mentionne aussi la nécessité d'un système d'alerte fiable, d'une amélioration de la protection structurelle des bâtiments et d'une augmentation des capacités du système de santé.

    L'appui de la population civile aux forces armées devrait également figurer parmi les priorités, ajoute-t-il, toujours selon le FAS.

    http://www.ouest-france.fr/europe/allemagne/terrorisme-les-allemands-vont-devoir-stocker-des-vivres-et-de-leau-4428522

  • Sucez la sucette!

    Une étude suggère que les parents qui veulent protéger leurs enfants du risque d’allergies devraient essayer une approche étrange en apparence: mettre une tétine dans leur propre bouche avant de la donner à bébé.

    Cela peut sembler répugnant, voire risqué, mais les chercheurs suédois ont constaté que le transfert des bactéries orales des adultes à des enfants pourrait apprendre au système immunitaire à ignorer les germes qui ne posent pas une menace.

    (NDLR – ce n'est pas répugnant sauf si la tétine est tombée dans le caniveau! ou les déjections animales…. à évitez cependant si vous souffrez d'une grave maladie à virus, genre poliomyélite, tout de même..... Cela a toujours été ainsi, de tous temps, par les mamans…

    Dans les années soixante-dix, quand ma fille est née, on le faisait encore… Mais, tout un tas de crétins qui se croient malins ont décidés que c'était horrible, dégoûtant et ont fait peur à toutes les mamans pour les empêcher de faire cela… ainsi, c'est démontré, les hygiénistes nous poussent à faire des choses contre la nature humaine… mais, ils sont payés pas les sociétés qui vous vendent des lingettes et autres bêtises, genre couches-culottes qui coûtent horriblement chers et qui polluent la terre entière!". Si vous ne voulez pas être "empoisonné" par l'odeur des selles de vos enfants, et si cela vous répugne de laver ses culottes, fallait pas faire un gosse. CQFD)

     "Le but du système immunitaire est de différencier entre les éléments inoffensifs et ceux qui sont dangereux", dit le Dr Ron Ferdman, un allergologue de l'Hôpital pour enfants de Los Angeles. "Si le système immunitaire ne rencontre pas suffisamment de microbes, il va par défaut se retourner contre des choses qui ne sont pas nuisibles, comme des aliments, des acariens, ou de la poussière".

    Les chercheurs suédois ont voulu savoir si l'exposition à des bactéries pendant les premiers mois de vie influe sur le développement de l'allergie. Ils ont constaté que les enfants dont les parents ont sucé les tétines pour les nettoyer étaient moins susceptibles d'avoir de l'asthme, de l'eczéma et d’être sensible aux allergènes que les enfants dont les parents n'ont pas nettoyé les tétines ainsi.

    Les auteurs concluent que sucer les tétines de son bébé peut aider à diminuer le risque d'allergie grâce au transfert de microbes via la salive.

    Pour l'étude, publiée en ligne le 6 mai dans la revue Pediatrics, 206 femmes enceintes en Suède ont été initialement recrutées en tant que participants, et 187 de leurs enfants ont été inclus dans l'étude. Les scientifiques ont enrôlé des familles dont au moins un des parents était allergique pour voir s'ils pouvaient identifier une réponse immunitaire différente chez les enfants.

    Les chercheurs ont étudié le transfert des microbes de la salive des parents grâce à des empreintes d’ADN bactérien.

    Au total, 187 bébés ont été suivis jusqu'à l’âge de 18 mois, et 174 ont été suivis jusqu'à l'âge de 36 mois. Les chercheurs ont choisi d'évaluer les enfants à ces moments précis car certaines maladies, comme l'eczéma, se développent tôt dans la vie. A 36 mois, le risque d'eczéma est divisé par deux chez les enfants dont les parents ont sucé les tétines. La naissance par les voies naturelles est également protectrice (par rapport aux césariennes).

    L’introduction des aliments solides dans l'alimentation du nourrisson ne semble pas affecter les résultats de l'étude.

    Il s’agit d’une petite étude, qui devra être confirmée, mais qui apporte du crédit à l’hypothèse hygiéniste de l’allergie selon laquelle l’excès d’hygiène, mais aussi les vaccinations multiples seraient à l’origine des allergies dont la fréquence n’a cessé de croître ces cinquante dernières années.

     

  • Des soucis récurrents avec Mobibus 31?

     

    Allez vous plaindre sur cette page Facebook

     

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  • SEP: infos sur le blog pour sépians, sépianes

    Glunomab®" médicament contre la sclérose en plaques": l’Inserm nous en dit trop et pas assez

     

     

     

     

  • Des bactéries intestinales pourraient être en mesure de prévoir et de prévenir l’arthrite rhumatoïde

    source IFT news.

    Les bactéries de votre intestin font plus que digérer vos aliments. Selon Veena Taneja, une immunologiste au Center for Individualized Medicine de la Mayo Clinic, ils peuvent aussi être en mesure de prédire la susceptibilité à la polyarthrite rhumatoïde. Taneja a récemment publié deux études, l’une dans Génome Medecine et un autre dans Arthritis and Rheumatology, faisant la liaison entre le microbiote intestinal et la polyarthrite rhumatoïde.

    Plus de 1,5 millions d’Américains ont de l’arthrite rhumatoïde, une maladie qui provoque un gonflement douloureux des articulations, mais les scientifiques ont une compréhension limitée des processus qui déclenchent la maladie. Taneja et son équipe ont identifié des bactéries intestinales comme une cause possible; leurs études indiquent que l’analyse du microbiote spécifique de l’intestin peut aider les médecins à prédire et à prévenir l’apparition de l’arthrite rhumatoïde.

    Le document publié dans Génome Medecine résume une étude chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde, de leurs parents et un groupe témoin sain. L’étude visait à trouver un biomarqueur qui prédit la susceptibilité à la polyarthrite rhumatoïde. Les chercheurs ont constaté que l’abondance de certaines lignées bactériennes rares provoque un déséquilibre microbien qui se trouve chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde.

    “En utilisant la technologie de séquençage du génome, nous avons pu cerner certains microbes intestinaux qui étaient normalement rares et de faible abondance chez les personnes en bonne santé, mais répandus chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde“, a déclaré Taneja.

    Après d’autres recherches chez la souris et, chez l’homme, le microbiote intestinal et les signatures métaboliques pourraient aider les scientifiques à construire un profil prédictif pour ceux qui sont susceptibles de développer la polyarthrite rhumatoïde et de suivre le cours que la maladie prendra.

    Le second article, publié dans Arthritis and Rheumatology, a exploré une autre facette des bactéries de l’intestin. Taneja a traité un groupe de souris sensible à l’arthrite avec une bactérie, Prevotella histicola et l’a comparé avec un groupe qui n’a reçu aucun traitement. L’étude a révélé que les souris traitées avec la bactérie ont diminué la fréquence et la gravité des symptômes ainsi que moins de conditions inflammatoires associées à la polyarthrite rhumatoïde. Le traitement a produit moins d’effets secondaires, tels qu’un gain de poids et une atrophie des villosités de la muqueuse intestinale, une condition qui empêche l’intestin d’absorber des éléments nutritifs qui peuvent être liés à d’autres traitements, plus traditionnels.

    Bien que des essais chez l’homme n’aient pas encore eu lieu, le système immunitaire et l’arthrite des souris sont proches de l’homme, et cela montre des effets similaires positifs prometteurs. Étant donné que cette bactérie est une composante de l’intestin humain sain, le traitement est moins susceptible d’avoir des effets secondaires, explique le co-auteur Joseph Murray, gastroentérologue à la Mayo Clinic.

    Dans la viande fermentée, Clostridium spp. a une croissance qui est sous maîtrise par l’ajout de nitrites. La demande croissante des consommateurs pour des produits plus sûrs a conduit à envisager des approches bio-alternatives, l’utilisation de cultures protectrices est l’un d’entre elles. Ce travail vise à vérifier la possibilité d’utiliser deux souches de Lactobacillus spp. comme cultures protectrices vis-à-vis de Clostridium spp. dans de la viande hachée de porc pour la préparation de salami fermenté. Les deux souches de Lactobacillus ont présenté une activité anti-clostridium in vitro en utilisant le test des puits de gélose et après leur co-culture en milieu liquide avec chaque souche de Clostridium. Une seule des deux souches, cependant, à savoir Lactobacillus plantarum PCS20, était capable de survivre efficacement dans de la viande hachée et d’avoir une activité anti-microbienne dans la viande dans un challenge test où la viande a été inoculée avec la souche de Clostridium. Par conséquent, ce travail a mis en avant que des cultures protectrices peuvent être une approche réalisable pour la réduction de nitrites dans les produits carnés fermentés.

    Faits saillants.

    Les nitrites sont dangereux pour la santé humaine et les consommateurs exigent leur réduction ou leur élimination des produits à base de viande.

    Les souches de Lactobacillus étudiées sont efficaces pour s’opposer à la croissance de Clostridiumin vitro.plantarum PCS 20 est efficace pour s’opposer à la croissance de Clostridium dans de la viande hachée utilisée pour la production de salami.

    Les cultures protectrices peuvent être une solution faisable à l’utilisation d’agents chimiques dans la viande fermentée.

    Référence. Diana Di Gioia, Giuseppe Mazzola, Ivana Nikodinoska, Irene Aloisio, Tomaz Langerholc, Maddalena Rossid, Stefano Raimondi, Beatriz Melero, Jordi Rovira. Lactic acid bacteria as protective cultures in fermented pork meat to prevent Clostridium spp. growth. International Journal of Food Microbiology Volume 235, 17 October 2016, Pages 53-59.