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  • waooh! mélodie extra-dansantes!

    Concert Rossini de l'orchestre Mozart, de Toulouse

    L'orchestre Mozart, de Toulouse, sous la direction de Claude Roubichou, de l'orchestre national de Toulouse, donnera un concert au château de Fontanas, samedi 18 juillet à 21h 30, organisé par le comité d'animation.

    Gioacchino Rossini sera au programme de la première partie. Les musiques de Rossini sont des musiques connues, des airs célèbres et entraînants. Gaîté et rythme seront de circonstance. Il y aura les ouvertures et airs d'opéras célèbres, notamment "Le Barbier de Séville", "Guillaume Tell", "La Pie voleuse", etc. Deux chanteurs du théâtre du Capitole, Isabelle Antoine, soprano, et Jean-Luc Antoine, baryton, interpréteront les airs de "Figaro", "Rosine", etc.

    En seconde partie, soirée opérette sur la terrasse du château avec l'orgue mécanique Le Ludion qui diffusera des airs d'opérettes, un répertoire classique, tel "Le Beau Danube bleu" (Strauss), "Les Contes d'Hoffmann", "La Vie parisienne" (Offenbach), "Heure exquise", "Valse de l'empereur", "Les Cloches de Corneville", etc., et pour clore, un répertoire reprenant des mélodies chantées par Luis Mariano, "La Belle de Cadix", "C'est magnifique", "Granada", "Mexico", "Rossignol", etc.

    Un dessert soigné et une boisson seront offerts au public installé autour des tables.

    Entrée: 17 €; enfants de moins de 13 ans, gratuit.

    Réservations avec règlement auprès de Jean-Claude Terrieux, tél. 05 63 67 30 72, ou d'Aline Gasquet, tél. 05 63 67 32 34.

    En cas de pluie, le concert sera transféré à l'espace socioculturel.

     

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  • Vive l'Armée Française, Vive la France!

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    Le chant du départ

    Un député du Peuple

    La victoire en chantant nous ouvre la barrière5.

    La Liberté guide nos pas.

    Et du nord au midi, la trompette guerrière

    A sonné l'heure des combats.

    Tremblez, ennemis de la France,

    Rois (Tous) ivres de sang et d'orgueil !

    Le Peuple souverain s'avance ;

    Tyrans descendez au cercueil.

    Chant des guerriers (Refrain)

    La République nous appelle

    Sachons vaincre ou sachons périr

    Un Français doit vivre pour elle

    Pour elle un Français doit mourir.

    Une mère de famille

    De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes :

    Loin de nous de lâches douleurs !

    Nous devons triompher quand vous prenez les armes :

    C'est aux rois à verser des pleurs.

    Nous vous avons donné la vie,

    Guerriers, elle n'est plus à vous ;

    Tous vos jours sont à la Patrie :

    Elle est votre mère avant nous.

    (Refrain)

    Deux vieillards

    Que le fer paternel arme la main des braves ;

    Songez à nous au champ de Mars ;

    Consacrez dans le sang des rois et des esclaves

    Le fer béni par vos vieillards ;

    Et, rapportant sous la chaumière

    Des blessures et des vertus,

    Venez fermer notre paupière

    Quand les tyrans ne seront plus.

    (Refrain)

    Un enfant

    De Bara, de Viala le sort nous fait envie ;

    Ils sont morts, mais ils ont vaincu.

    Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie :

    Qui meurt pour le peuple a vécu.

    Vous êtes vaillants, nous le sommes :

    Guidez-nous contre les tyrans ;

    Les républicains sont des hommes,

    Les esclaves sont des enfants.

    (Refrain)

    Une épouse

    Partez, vaillants époux ; les combats sont vos fêtes ;

    Partez, modèles des guerriers ;

    Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes :

    Nos mains tresseront vos lauriers.

    Et, si le temple de mémoire

    S'ouvrait à vos mânes vainqueurs,

    Nos voix chanteront votre gloire,

    Nos flancs porteront vos vengeurs.

    (Refrain)

    Une jeune fille

    Et nous, sœurs des héros, nous qui de l'hyménée

    Ignorons les aimables nœuds ;

    Si, pour s'unir un jour à notre destinée,

    Les citoyens forment des vœux,

    Qu'ils reviennent dans nos murailles

    Beaux de gloire et de liberté,

    Et que leur sang, dans les batailles,

    Ait coulé pour l'égalité.

    (Refrain)

    Trois guerriers

    Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères,

    À nos épouses, à nos sœurs,

    À nos représentants, à nos fils, à nos mères,

    D'anéantir les oppresseurs :

    En tous lieux, dans la nuit profonde,

    Plongeant l'infâme royauté,

    Les Français donneront au monde

    Et la paix et la liberté.

    (Refrain)

     

    Ce chant fut appelé le  frère de La Marseillaise" par les soldats républicains. Il est composé par Marie-Joseph Chénier (pour le texte) et Méhul (pour la musique) pour la fête de 14 juillet 1794, il est ensuite présenté par Méhul à Robespierre, sans mentionner Chénier, dont le frère André était déjà dans les prisons révolutionnaires.

    Robespierre le qualifie alors de "poésie grandiose et républicaine qui dépasse tout ce qu'a fait ce girondin de Chénier".

    Le chant est tout d'abord exécuté par l'orchestre et les chœurs de l'Institut national de musique le 14 juillet 1794. Il est immédiatement imprimé à près de 18 000 exemplaires et distribué aux 14 armées de la République. Le titre original est Hymne à la liberté (le nom fut changé par Robespierre.

    C'est un tableau musical: à chacune des sept strophes l'hymne est chanté par un individu ou des groupes d'individus différents.

    Dans le premier couplet il s'agit par exemple d'un député qui parle à des soldats, il les encourage à se battre pour défendre la République.

    Dans le second couplet il s'agit d'une mère de famille qui donne son fils à la patrie.

    Dans le quatrième couplet il s'agit d'un enfant qui chante Joseph Bara et Joseph Agricol Viala, deux jeunes Français (12 ans et 13 ans) qui sont morts pour la République.

    (Alors qu'il était entouré de Vendéens qui lui demandaient de crier "Vive le Roi", Joseph Bara aurait alors refusé et lancé: "Vive la République!", cri pour lequel il fut exécuté sur le champ. Quant à Joseph Viala il mourut frappé par une balle en essayant de couper les cordes d'un ponton de l'ennemi. Ses derniers mots furent: "Je meurs, mais c'est pour la Liberté!").

     

  • Julienne de légumes façon du Midi

    Au moins pour 4 personnes

    200 g de purée de pois, autant de carottes, autant de navet, de céleri-rave et de blanc de poireaux, 200 g aussi de pain rassis, huile d'olive, sel, poivre et toutes les épices que vous voulez. Et de l'ail.

    Il faut laver et peler les légumes et les couper qui en tronçons, qui en rondelles, ou en allumettes. Pour commencer, dans un plat en céramique à four, passez une gousse d'ail pelée et arrosez  un peu d'huile d'olive.

    Écossez et faite cuire les petits pois dans de l'eau bouillante salée durant une bonne dizaine de minutes; Égouttez-les et réduisez-les en purée plutôt épaisse.

    Faites blanchir dans la même eau, les carottes, céleri et blanc de poireaux une dizaine de minutes.

    Dans la céramique bien huilée et frottée à l'ail, mettre la mie de pain trempée dans du lait bien écrasée et tapissez le fond du plat. Versez tous vos légumes blanchis, nappez de purée de pois, arrosez largement d'huile d'olive et passez rapidement à griller au four à 250° à peine 7 minutes.

    Sur une autre grille, vous aurez disposé du pain tintché largement avec de l'huile d'olive pour qu'ils grillent également; servez les pains sur les légumes.

    AUTRE PRÉPARATION AVEC MÊME LÉGUMES

    Vous pouvez aussi ne pas utiliser le four et ne pas mettre de mie de pain. Vous passez tous les légumes à la moulinette afin d'obtenir une belle purée épaisse à disposer dans une tourtière  ou même, té, pourquoi pas, la cassole du cassoulet… c'est un plat comme un autre et ce serait bête de le laisser au fond d'un placard…. perso, je l'utilise souvent pour mettre mes purées de pomme de terre (toujours faite maison, non mais!) ou de légumes. frottée à l'ail. Mais, vous ne devez pas squizzer le pain tintché, parce que c'est aromatique et que c'est trop bon!

    Le nom de la recette change, figurez-vous! chaque fois que vous réalisez une recette pareille d'ingrédients et pourtant autrement, il faut lui donner un autre nom: va donc pour légumes à la languedocienne. Mais, c'est bien parce que c'est vous. Quand on a faim, tout fait ventre dit-on communément…

     

     

  • Des scientifiques toulousains inventent un aimant exceptionnel

    Le Laboratoire national des champs magnétiques intenses (LNCMI – CNRS) installé à Toulouse et Grenoble vient de faire un bond dans la course vers les 100 teslas avec la réalisation d’un aimant générant un champ magnétique pulsé de 90.6 teslas.

    Ce nouvel aimant offre des impulsions très longue durée, 9,1 millisecondes pour des champs au-delà de 80 teslas, ce qui constitue une nouvelle référence mondiale et permet d’effectuer des expériences physiques dans des conditions inégalées.

    Le LNCMI se positionne désormais au troisième rang mondial des records absolus de champ magnétique pulsé non destructif (avec un aimant réutilisable), derrière les laboratoires de Los Alamos aux Etats-Unis et de Dresde en Allemagne. L’objectif du laboratoire est maintenant de mettre au point un aimant permettant d’atteindre 100 teslas tout en optimisant la durée de l’impulsion et en réduisant le bruit électronique généré par le dispositif.

    Ce type d’installation permet d’étudier les propriétés des matériaux dans des conditions extrêmes: champ magnétique intense couplé à de très basses températures ou à des hautes pressions. La première étude utilisant l’aimant 90 teslas du LNCMI a permis de sonder les propriétés d’un composé de la famille des supraconducteurs à base de fer et a donné lieu à une publication dans la revue Physical Review Letters.

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