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  • Gélifié de yaourt à la framboise

    Ne se consomme que le lendemain, quand la gélatine a prit.

    1 bouteille de yaourt liquide à la framboise

    120 g de framboises fraîches

    1 bouteille de crème fraîche liquide

    moitié de cette bouteille de lait entier

    7 feuilles de gélatine

    Mettre les feuilles de gélatine à tremper dans un saladier d'eau température du comptoir.

    Dans une grande casserole inox, versez le yaourt liquide, la bouteille de crème fraîche et le lait entier et remuez; faire chauffer à feu moyen

    Rajoutez les feuilles de gélatine bien fondues et essorées et remuez sans cesse durant 5 minutes. Eteindre le feu: on ne fait bouillir que le lait entier frais.

    Versez dans des bols ou des pots à yaourt. Rajoutez deux framboises dans chaque pot en verre. Quand le mélange à bien refroidi, mettre au réfrigérateur.

    La gélatine est “prise“ le lendemain.

    Perso, dans tous mes gélifiants, je rajoute des graines de goji (anti-oxydant) ou des graines de bourrache (oméga-3, puissant anti-rides).

    Vous les trouverez ici:

     Nous avions acheté (parce qu'il y avait une sacrée promo) un pot de glace macadamia mais, ces pots sont tellement énormes qu'à nous deux, nous ne les finissons pas. Je remet ce pot entamé au réfrigérateur et le laisse se déliter en lait.

    J'ai mélangé ce reste de glace fondu avec la recette ci-dessus. C'était impeccablement bon!

  • ENFIN!!!! Vive la langue française

    MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d’autres langues, et avec trop d’autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l’hégémonie anglo-américaine.

    À l’occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s’adresse au Président de la République française.

    Au chef de l’État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l’exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

    Monsieur le Président de la République,

     La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l’anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d’oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d’une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d’un maître particulier.

     Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l’esprit de résistance.

     – Il est demandé au chef de l’État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l’exemple : en renonçant à l’emploi de l’anglo-américain à l’étranger, quand le français demeure l’une des deux premières langues d’usage d’une majorité d’organes internationaux ; en renonçant à l’utilisation peu digne de l’anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.

     – Il est demandé au chef de l’État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l’application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l’article 15 de la Loi du 4 août 1994.

     – Il est demandé au garant de la Constitution d’interrompre la marche suicidaire vers l’intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

    Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d’une résistance enfin consciente de l’enjeu.

    – Il est donc attendu du chef de file de l’OIF qu’il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l’organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l’égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l’installation au poste de secrétaire générale de l’OIF d’une personnalité rouandaise membre actif d’un régime politique détestable.

    – Il est attendu du chef de file de l’OIF qu’il défende l’usage de la langue française, non qu’il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l’anglo-américain comme « langue d’usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d’une majeure partie de l’Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d’usage » – le français – en vaudrait pourtant d’autres.

     Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l’État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d’État. Or il se produit très exactement l’inverse.

    Faute d’avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

     Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête.

    Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.

    Signataires

    Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

    Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d’Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l’antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

    Associations partenaires

    Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L’Heureux, Présidente de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l’Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

    Personnes privées

    Ilyes Zouari Président du Centre d’étude et de réflexion sur le monde francophone, France.Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard,auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c’est trop dur »), Louisiane, États Unis d’Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française, Paris, France.Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du « conseil des droits de l’homme » de l’ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada.Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice (« Mimi Cracra »), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d’anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada.Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l’AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l’organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz,artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l’Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l’ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada.Ralph Stehly, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault,conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l’association « Les amis de Bougainville », Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l’Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d’université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L’Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l’association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d’espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d’enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

    Avis au lecteur: il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l’ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd’hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

    http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

    Pour tout contact : langue-francaise2018@laposte.net

    06 76 24 24 01

    plus Josyane JOYCE, moi-même

  • Glace de framboises, rapide

    Pour 6 personnes :

    500 g de framboises surgelées ou du jardin à surgeler la veille (Vous pouvez garder fraîches quelques framboises pour la déco)

    80 g de sucre en poudre ou moins

    1 verre d’eau, 1 blanc d’œuf; Jus de 1 citron

    Mixer les framboises surgelées jusqu’à ce qu’elles soient bien réduites. Dans un bol, dissoudre le sucre dans l’eau, puis ajouter ce sirop aux framboises, mélanger avec le mixeur.

    Ajouter le jus de citron et le blanc d’œuf, mixer 3 minutes. Placer la préparation au congélateur pendant 1 heure minimum.

    Si vous en avez gardé, mettre des framboises fraîche en déco.

    Faites pareil avec des myrtilles.

    Vous pouvez arroser le mélange, avant re-congélation, d'une lichette d'Armagnac.

    Si vous voulez du croquant, rajoutez -dans le mélange et avant congélation- des fruits secs: amandes, noix de cajou, de macadamia, pistaches, etc.

  • Johnny, Johnny de France!

    Voilà-ti pas qu'hier, en regardant l'inauguration de l'esplanade Johnny Halliday à la télé, j'entends Leaticia dire que NOTRE JOHNNY national adorait le cassoulet!

    Peut-être que des tas de media pipole en avait parlé, mais moi, même chez la coiffeuse, la pipolerie me fatigue!

    Donc, je ne savais pas cela. Donc, je le sais désormais et j'en suis bien aise.

    SAUF QUE

    Si Johnny ne consommait que du cassoulet mis en boîte et fait par un chef toulousain, un toqué de la toque, j'ai bien peur que notre chanteur adoré n'aie jamais goûte le vrai cassoulet!

    Il y a des tas de restaurateurs à Toulouse qui ont ce plat à la carte et ne sont pas foutus de connaître la vraie de vraie de recette, celle des femmes du Lauragais... que je suis, bien sûr!

    "Ho, Jacotte, je vati attacher les bœufs à la carriole pour aller chercher des zaricots à Tarbes pour le cassoulet. Fait chauffer la cassole et attends moi, je reviens dans six semaines!

    Si je reviens pas, ben, c'est qu'on m'aura occis sur le chemin.... t'aura qu'a épouser le Valentin de Bram, on agrandira la ferme!"...

    .....

    "Holà, le tavernier de mes deux! où tu va avec mon cabriolet? voleur!

    -Pardon, mon Lord, je dois faire du cassoulet et il faut que j'aille à Tarbes chercher des haricots! j'ai pensé emprunter votre calèche pour aller plus vite! Ne vous inquiétez pas, Monsieur, ma femme s'occupe de tout et vous aurez même pas visité tous les monuments de Toulouse, que je serai revenu... dans trois semaines, à peu près!"

    Voila, vous savez tout!