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Actualité - Page 20

  • ALERTE GENERALE!

    Ce n'est pas un poisson d'avril… hélas

    Un nouveau délit qui ne devrait pas faire l’unanimité. En effet, dans le projet de loi de "sécurisation de l’espace numérique" qui pourrait être adopté au début du mois d’avril, un nouvel élément a été intégré à l’article 5 bis. Selon les informations de Mediapart, il s’agit du " délit d’outrage en ligne ", sanctionné par une amende forfaitaire délictuelle. Cette procédure pourrait permettre de sanctionner des faits sans passer par un procès. Sera puni de 3 750 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement "le fait […] de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit créé à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante", explique le texte.

    La portée de ce texte est relativement large, car il semblerait que l’ensemble des outils de communication en ligne soit visé par l’article, c’est-à-dire les réseaux sociaux, les plateformes de partage de vidéos, mais aussi les messageries privées. En cas de partage d’un message offensant, dégradant, haineux sur Twitter par exemple ou dans une boucle privée WhatsApp, la personne qui l’a diffusé pourra être obligée de payer une amende.

    Toutefois, le Conseil constitutionnel pourrait mettre son veto à l’adoption définitive de ce texte en raison du caractère subjectif de la définition du délit. En effet, la plus haute juridiction administrative a déjà rappelé que des amendes forfaitaires délictuelles ne pouvaient s’appliquer qu’à des faits "aisément contestables".

    Le gouvernement craint d’ailleurs que l’article soit censuré. " Bien que nous partagions évidemment les objectifs, nous sommes beaucoup plus dubitatifs sur la sécurité juridique et constitutionnelle de la démarche", a précisé le cabinet de Marina Ferrari, secrétaire d’État chargée du Numérique, auprès de Tech&Co.

    https://www.valeursactuelles.com

  • Cloches, lapins, œufs… D’où viennent les symboles de Pâques?

    Le temps de Pâques est commun aux religions juives et chrétiennes, et s’accompagne de rites et de traditions festives, dont subsistent aujourd’hui des versions religieuses et païennes, émaillées de nombreux symboles.

    PAQUES, LA FETE DES FETES POUR LES CHRETIENS

    Le Christ Jésus est mort à Jérusalem, lors de la Pâque juive, le 14 Nissan (premier mois du printemps du calendrier juif – ce qui correspond au 7 avril de l’an 30 dans nos calendriers). Si le calendrier chrétien de Pâques s’est édifié sur la liturgie juive, à partir du IVe siècle, il s’est constitué de façon autonome.

    Le temps de Carnaval-carême, qui dure 40 jours, s’achève par le temps de Pâques, une fête de printemps, dont le nom s’écrit au pluriel car elle correspond à plusieurs temps. Elle est célébrée du dimanche des Rameaux (ou « Pâques fleuries » – une semaine avant Pâques) à celui de la Quasimodo (une semaine après Pâques – le sonneur de cloches de "Notre-Dame de Paris", de Victor Hugo doit son nom au fait qu’il fut recueilli un dimanche de Quasimodo).

    Au cours du triduum pascal (les trois jours Saints), les chrétiens célèbrent la Cène (le jeudi), la crucifixion (le vendredi) et la résurrection du Christ (dans la nuit du samedi au dimanche). Au cours des siècles, différentes fêtes populaires ont étoffé ce temps rituel.

    Juché devant la croisée de la fenêtre haute, un personnage semblable à un mannequin de paille au visage blanchi observe la scène du point de vue le plus élevé de cette place. Claude Gaignebet voit en lui le Christ, le "Fou de Pâques" selon l’apôtre Paul, pour qui "la croix est une folie", car il semble impensable pour les chrétiens que le salut puisse venir d’un messie crucifié comme un esclave. A gauche de cette maison, un enfant tend un pain (du temps de Pâques) à un lépreux.

    En des cercles successifs, Brueghel nous conte les rites et festivités qui, en cette fin du XVIe siècle occupaient les villes et les campagnes tout au long de l’année. Il dépeint un christianisme populaire qui s’est folklorisé, selon les mots de l’historien Robert Muchembled, mais qui conservera jusqu’aux premières décennies du XXe siècle son substrat médiéval.

    Au centre, en-dessous de la maison, des femmes préparent des poissons, petits et grands.

    AU COMMENCEMENT… LE POISSON

    Le "poisson d’eau vive" est le premier être vivant béni par Dieu. Cette "nourriture délicieuse", figure sur la table du Chabbat (ou Shabbat) ce temps de retrait et de repos qui clôt la semaine en monde juif.

    La tradition remontant à l’époque paléochrétienne désigne le poisson comme symbole christique et eucharistique. Tertullien, dans son Traité sur le Baptême (De Baptismo 1, 3), parle des chrétiens comme des petits poissons, pisciculi, parce que "à l’exemple de l’ἰχθύς, notre Seigneur Jésus Christ, ils sont nés dans l’eau".

    D’après saint Augustin, citant un acrostiche des Oracles sybilins, les lettres composant en grec le mot poisson, ἰχθύς (ichthus), pouvaient être un acronyme pour Ἰησοῦς Χριστὸς Θεοῦ Υἱός, Σωτήρ/Iēsoûs Khristòs Theoû Uiós Sōtḗr (Jésus le Christ (ou l’oint) de Dieu le fils, sauveur). Ce résumé de la foi chrétienne est un signe omniprésent dans l’art funéraire paléochrétien (IVe siècle).

    Mais il était également présent dans la vie de tous les jours, Clément d’Alexandrie (vers 150-220), cite dans Le Pédagogue les bagues à intaille servant de sceaux qui portent l’image d’un poisson ou les lettres ἰχθύς – Ichthus ou Ichtys, du grec ancien ichthús, « poisson », l’un des symboles majeurs qu’utilisaient les premiers chrétiens.

    Célébrer l’Eucharistie pour les chrétiens, c’est faire mémoire des paroles du Christ: "Mon corps est une vraie nourriture, mon sang une vraie boisson" (Évangile selon Jean 6, 51-58). Selon Dominique Rigaux le poisson « qualifie le repas du Seigneur, dans les images de la Cène ou de repas monastiques » (A la table du Seigneur, Cerf, 1989). Nourriture "maigre" il est consommé par tous le vendredi et les mercredi et vendredi saints.

    BESTIAIRE DE PAQUES

    Le Nouveau Testament nomme le Christ « l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » et considère qu’il est immolé comme l’agneau de la Pâque juive.

    Pâques met fin au carême. C’est le temps de tout un bestiaire sucré. En Alsace, on mange au matin de Pâques, l’osterlämmele ou Lamala de Pâques, un gâteau cuit dans un moule en forme d’agneau et recouvert de sucre glace. Parmi les douceurs sucrées des traditions festives de Pâques, la poule et les œufs ont une place de choix.

    Ce groupe en argent doré, composé d’une poule et de ses sept poussins, reprend une riche tradition iconographique, remontant aux premières images chrétiennes. Cette « poule signifie l’Eglise » un lieu de protection, d’après l’historien de l’art Nouredine Mezoughi.

    La même symbolique est présente dans une enluminure d’une Bible hébraïque du XIVe siècle. La poule nourrissant ses poussins représentant alors la Synagogue.

    DE LA POULE A L’ŒUF…

    Le judaïsme considère l’œuf comme un symbole du cycle de la mort et de la vie et l’œuf dur fait partie du repas de deuil, ainsi que du Séder.

    En monde chrétien, durant le Moyen Âge et jusqu’au XVIIe siècle, la consommation d’œufs, comme celle de la viande, était proscrite pendant les quarante jours du carême. Les œufs non consommés durant ce temps étaient décorés et offerts le dimanche de Pâques. Chez les chrétiens orthodoxes, le premier œuf décoré est peint en rouge, il doit avoir été pondu le Jeudi Saint. A Pâques, on brise la coquille de son œuf (dur) contre l’œuf de son voisin de table en échangeant ces paroles: "Christ est ressuscité ! En vérité Il est ressuscité !".

    Dans les cours d’Europe à la Renaissance, les fragiles œufs de poule ont été remplacés par des œufs en or, décorés de pierres précieuses. Chacun connaît les œufs qu’à la fin du XIXe siècle le joaillier Fabergé conçut pour le tsar Alexandre III, offrait chaque année pour Pâques à son épouse et à sa mère. Comme une poupée russe, L’œuf à la poule, le premier créé en 1885 par Fabergé, s’ouvre pour révéler un jaune d’or mat qui contient une petite poule.

    QUAND LES CLOCHES ET LES LAPINS PONDENT DES ŒUFS

    En signe de deuil, l’Église catholique interdit que les cloches sonnent les jeudi et vendredi saints. On raconte parfois encore aux enfants, que les cloches, parties en pèlerinage à Rome, reviennent le dimanche de Pâques pour célébrer la Résurrection du Christ, en rapportant toutes sortes de friandises. C’est le moment de la chasse aux œufs !

    En Allemagne et en Alsace, ce sont des lapins nommés « lièvres de Pâques » (Osterhase), qui viennent déposer dans les jardins les friandises en forme d’œufs pour les enfants sages.

    Le lapin blanc, symbole ambivalent qui nous vient du Moyen Âge, peut tour à tour être associé à la pureté virginale qu’à la sexualité débridée qui s’exprime dans le règne animal à la belle saison.

    Quant au chocolat, apparu à la cour de Louis XIV, il fut longtemps un mets de luxe. Au XVIIe siècle, on commença par couler du chocolat dans une coquille d’œuf vide. Puis au XIXe siècle, se développèrent des moules en fer de différentes formes. Nos modernes friandises (le plus souvent industrielles) de Pâques étaient nées !

    Auteur; Sylvie Bethmont, Enseignante en iconographie biblique, Collège des Bernardins

    The Conversation - CC BY ND

  • Attention:  danger  en  France!

    Le point sur l'épidémie multi-états de Salmonella Mbandaka ST413 lié à la consommation de produits à base de viande de poulet dans l'UE/l'EEE et au Royaume-Uni Médecine des voyages

    Un foyer transfrontalier de Salmonella Mbandaka ST413 est en cours dans l'Union européenne/Espace économique européen (UE/EEE) et au Royaume-Uni (RU) depuis septembre 2021. Au 30 novembre 2022, 196 cas avaient été enregistrés et publiés dans une évaluation rapide des épidémies menée conjointement par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).

    Au 15 mars 2024, 300 cas (soit une augmentation de 104 cas) avaient été signalés en Estonie (n = 3), en Finlande (n = 98), en France (n = 16), en Allemagne (n = 2), en Irlande (n = 7), aux Pays-Bas (n = 1) et au Royaume-Uni (n = 173), conformément à la définition de cas européenne. Vingt-trois ont été hospitalisés, 6 ont eu une septicémie et 1 est décédé au Royaume-Uni.

    En novembre 2022, lorsque la première évaluation a été publiée, les produits à base de poulet prêts à consommer et/ou la viande de poulet fraîche ont été identifiés comme des vecteurs probables de l'infection sur la base d'entretiens avec des cas en Finlande et au Royaume-Uni. Des enquêtes ultérieures menées par les autorités de sécurité alimentaire en Estonie, en Finlande et aux Pays-Bas, ainsi que le partage d'informations génomiques sur les aliments avec l'EFSA en 2024, ont permis d'identifier les poitrines de poulet cuites à la vapeur et congelées, PRODUITES EN UKRAINE, comme vecteur d'infection. Les lots contaminés avaient été importés par des opérateurs non européens.

    La durée de conservation des produits de viande de poulet surgelés contaminés a expiré en novembre et décembre 2023. Les cas les plus récents ont été détectés en Finlande en octobre 2023 et au Royaume-Uni en février 2024. En supposant que les lots contaminés identifiés ne sont plus sur le marché, et compte tenu des dates de péremption et des mesures de contrôle mises en œuvre, la probabilité que de nouvelles infections se produisent avec la souche de l'épidémie provenant de ces lots est faible.

    Cependant, malgré la mise en œuvre des mesures de contrôle, des cas ont continué à se produire tout au long de l'année 2023 dans l'UE/EEE et au début de l'année 2024 au Royaume-Uni, ce qui suggère des voies d'exposition non détectées qui nécessitent des investigations supplémentaires et posent un risque continu, bien que réduit, de nouvelles infections.

    Source : Centre européen de prévention et de contrôle des maladies

    Référence principale : www.ecdc.europa.eu

  • Rien à voir avec le propos du blog... cela ce passe en Occitanie

    Vivant dans sa voiture et épuisé par la faim, il meurt à 67 ans sur un parking!

    Si pendant des décennies chaque hiver voyait quelques SDF trépasser, faute de n’avoir trouvé que quelques cartons pour se loger… non seulement le scandale n’a pas été éradiqué, mais en 2024 les chiffres ne sont pas près de baisser, puisque désormais, les nouveaux arrivants (suivez mon regard) sont toujours prioritaires pour obtenir un logement, y compris dans des endroits somptueux… qui seront quittés ensuite, sans un merci mais avec moult frais de remise en état, nécessaires pour accueillir les suivants… pendant que les sdf nationaux continueront de crever dans la rue… sans que cela n’écorche l’incessante et extravagante autosatisfaction de nos vaniteux dirigeants, parfaitement incapables mais toujours satisfaits d’eux-mêmes !

    C’est ainsi que ce vendredi 15 mars 2024, vers 11 h 45, les secours ont été appelés par des passants ayant découvert un homme gisant au sol, sur le parking du Complexe Sportif-Le Marasquer, d’Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales)

    Des gens ont relevé l’homme et l’ont aidé à marcher, avant qu’il ne rechute. Il leur indique sa voiture et les témoins tentent de l’aider à la regagner, mais en y arrivant celui-ci s’écroule.

    Avant de perdre connaissance, ce dernier aurait déclaré ne pas avoir mangé depuis plusieurs jours. L’homme vivait en fait dans son véhicule, qui était aménagé avec un matelas.

    Pompiers et SAMU ont tenté une réanimation, mais le malheureux, âgé de 67 ans, a été déclaré décédé sur les lieux, juste avant 12 h 45. Il était originaire du nord-est de la France et de nationalité française. Les gendarmes de la brigade territoriale de Port-Vendres ont procédé dans l’après-midi à l’audition des témoins et tentaient de joindre la famille du défunt. Enfin, le parquet de Perpignan a ordonné un examen du corps afin d’éliminer toute piste de mort suspecte. 

     

    https://www.lindependant.fr/2024/03/15/pyrenees-orientales-un-homme-qui-vivait-dans-sa-

    Homme blanc, âgé, français d’origine… le pauvre homme cochait toutes les cases du désintérêt teinté de mépris, de la part de tous ceux qui à des postes divers, se targuent d’une humanité s’avérant « à géométrie variable », puisque s’adressant toujours exclusivement aux mêmes profils… ceux convenant aux goûts atypiques du fou furieux qui dirige la France.

    Un commentaire à la suite de l’article de l’Indépendant résume en quelques mots la vraie saloperie de nos dirigeants… et de tous ceux qui se gavent de subventions, prétendument pour venir en aide aux démunis, au nom d’une humanité mensongère et hypocrite puisqu’elle cible uniquement ceux venus d’ailleurs, et que l’intolérable misère de leurs concitoyens les laisse de marbre !

    Dangvs66

    "Trop d’associations subventionnées pour s’occuper de migrants (économiques) en situation irrégulière… Sans se soucier de la misère qui concerne nos concitoyens"…

    Ne rangez toutefois pas vos mouchoirs tout de suite, car vous en aurez besoin

    quand vous saurez comment vivait Jeanine, 74 ans, dans le village de Maule (Yvelines), et dans quelles conditions épouvantables elle a été retrouvée morte !

    La victime vivait depuis des années dans un cabanon de jardin complètement insalubre, sans eau courante ni chauffage, avec sept chats et au milieu des rats. Le toit menaçait de s’effondrer.

    Jeanine a été retrouvée morte près de son lit, une partie du corps rongé par les rats.

    Elle était en rupture avec ses deux enfants, mais des bénévoles l’aidaient à se nourrir et à réaliser des démarches administratives. Elle avait failli obtenir un logement social de haute lutte ces derniers mois, mais il avait finalement été attribué à quelqu’un d’autre. Jeanine avait atterri dans ce cabanon suite à la mort de son mari et des difficultés à faire valoir ses droits administratifs.

     

    https://www.lavoixdunord.fr/1438592/article/2024-03-08/jeanine-74-ans-ete-retrouvee-morte-rongee-par-les-rats-dans-un-logement-de

    Une dernière info avant de vous laisser digérer la décadence humaine dans laquelle Macron a précipité ce pays depuis qu’il a accepté le deal de le massacrer ; mon vœu serait que cette vidéo-reportage sur l’enfer vécu par les femmes SDF dans la rue, parvienne à toutes les pseudo-féministes qui, comme Sandrine Rousseau, s’imaginent stupidement œuvrer pour la condition féminine en ciblant uniquement l’homme blanc… tout en accueillant à bras ouverts les hordes de violeurs congénitaux que nous imposent les potes à Macron !

     


    Est-ce acceptable, au 21ème siècle, dans ce pays que tant de grands hommes et femmes ont fait rayonner pendant des siècles ; ce pays qui a enfanté les droits de l’homme et du citoyen… que les gougnafiers d’aujourd’hui piétinent allégrement, même s’ils en ont plein la bouche mais uniquement pour les détourner avec perfidie… de constater à quel point les citoyens d’origine sont méprisés, manipulés, et réduits uniquement au statut de "cochons de payants" juste bons à régler l’addition surtout sans moufter, pour la réalisation des délires des précités?

    500.000 immigrés accueillis tous les ans, et on laisse crever les Français comme des chiens, puisque tous nos impôts et taxes vont toujours « aux autres avant les nôtres » !

    Jusqu’à quand allons-nous supporter cela?

    Josiane Filio

    au nom de la Liberté d’expression

  • Recette moutarde à l'ancienne maison

    Recette de moutarde un peu douce

    30 g de graines de moutarde (jaunes et noires)

    30 ml de vinaigre de cidre ou de bon vin (vinaigre maison si possible)

    50 ml de eau; 20 ml de huile d'olive; 20 g de farine

    10 g de miel; 1 pincée de curcuma; sel, poivre

    Faites tremper les graines de moutarde dans le vinaigre de cidre et l'eau dans un bocal fermé pendant minimum 4 heures.

    Verser le tout dans un blender. Ajoutez l'huile d'olive, la farine et le miel puis mixez par petites impulsions. Assaisonnez de curcuma (pour la couleur), de sel et de poivre à convenance.

    Mixez jusqu'à la consistance souhaitée (garder quelques graines entières). Conservez dans un pot fermé au frigo.

  • Risotto au roquefort et à la citrouille

    Ingrédients (pour 4 personnes)

    250g de riz rond; 60g de roquefort; 1 cuillère à soupe de râpé

    1 bouillon de légumes; 30ml de vin blanc sec

    15g de beurre; 400g de potiron (frais à la saison ou surgelés en cubes)

    Graines de tournesol (facultatif)

    Faites chauffer 1 litre d’eau avec le bouillon de légumes.

    Pelez et coupez le potiron en tout petit dés. Faites cuire les morceaux dans une sauteuse avec le beurre.

    Progressivement ajoutez le riz, puis le vin, et le bouillon de légumes par petite quantité pour que le riz l’absorbe.

    Mettez enfin le râpé et le roquefort jusqu’à ce qu’il soit fondant.

    Dégustez en ajoutant les graines de tournesol pour plus de croquant.

    POUR LE BOUILLON, vous savez que vous pouvez utiliser du bouillon de plats réalisés un ou deux jours avant: blanquette, lentilles au jus, pot au feu… vous prévoyez beaucoup de liquide en les préparant et, ensuite, vous retirez du bouillon –mis en pot de verre au réfrigérateur- pour cuire autre chose

  • Bouquets à croquer de Saint Valentin

    À Toulouse, un traiteur dévoile ses "bouquets à croquer" pour les amoureux de gourmandise…

    Après les bouquets de salade, les bouquets de charcuterie ou encore les bouquets de cornichons, voici une nouvelle idée originale et gourmande à offrir à votre bien aimé.e pour la Saint-Valentin. Le traiteur toulousain Maison Charlotte propose pour la deuxième année de suite des "bouquets à croquer", composés de gourmandises en tout genre, pour la fête des amoureux !

    "Nous avons repensé les symboles de la Saint-Valentin, à savoir les gâteaux et les fleurs. Mêlons l'utile à l'agréable : un bouquet de gâteaux et de fleurs comestibles, enrichi de fleurs séchées qui dureront dans le temps", explique la gérante de Maison Charlotte, Anne Morin.

    En voilà donc une idée originale pour la Saint-Valentin ! Les "bouquets à croquer" sont un cadeau parfait pour gâter notre moitié, surtout s’il/elle est gourmand. C'est la deuxième année que le traiteur toulousain propose cette idée insolite à l'occasion de la Saint-Valentin.

    "Il y a eu un réel engouement autour du concept, c'est pourquoi nous lançons cette année la deuxième édition des 'bouquets à croquer'", se réjouit la gérante. Avec ces compositions en édition limitée, vous ferez d'une pierre deux coups et on vous garantit que vous comblerez d'amour (et de gourmandise) votre partenaire !

    Et parce qu'il en faut pour tous les budgets, le traiteur Maison Charlotte propose 4 compositions de "bouquets à croquer" cette année pour la Saint-Valentin :

    - Le Mini-Bouquet, composé d'environ 7 gâteaux : madeleines moelleuses saveurs chocolat ou citron, des cœurs fondants en guimauve et des cookies chocolat et fleur de sel (15 €);

    - Le Bouquet Toulouse, garni d'une dizaine de pièces aux tons violets : cannelés chocolat blanc et violette, cookies saveur pralines roses, sablés "diamants" croustillants à la violette, etc. (22 €);

    e Bouquet New York, garni d'une quinzaine de créations gourmandes originales : s'mores en forme de fleurs, bonbons chocolat guimauve, sablés spirale, donuts trompe-l’œil etc. (27 €);

    Le Bouquet Paris, composé d'une vingtaine de biscuits aux tons rosés : macarons chocolat blanc/rose, cookies chocolat fleur de sel, madeleines à l'orange ou chocolat… (30 €).

    Pour commander l'une de ces belles et gourmandes créations originales, rendez-vous sur le site Maison Charlotte. Les "bouquets à croquer" ne seront disponibles que les 13 et 14 février et il faudra venir les récupérer dans la boutique Maison Charlotte à Toulouse (83 grande rue Saint Michel) ou bien à Argile Studio (8 rue Saint Ursule à Toulouse).