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Actualité - Page 22

  • Risotto au roquefort et à la citrouille

    Ingrédients (pour 4 personnes)

    250g de riz rond; 60g de roquefort; 1 cuillère à soupe de râpé

    1 bouillon de légumes; 30ml de vin blanc sec

    15g de beurre; 400g de potiron (frais à la saison ou surgelés en cubes)

    Graines de tournesol (facultatif)

    Faites chauffer 1 litre d’eau avec le bouillon de légumes.

    Pelez et coupez le potiron en tout petit dés. Faites cuire les morceaux dans une sauteuse avec le beurre.

    Progressivement ajoutez le riz, puis le vin, et le bouillon de légumes par petite quantité pour que le riz l’absorbe.

    Mettez enfin le râpé et le roquefort jusqu’à ce qu’il soit fondant.

    Dégustez en ajoutant les graines de tournesol pour plus de croquant.

    POUR LE BOUILLON, vous savez que vous pouvez utiliser du bouillon de plats réalisés un ou deux jours avant: blanquette, lentilles au jus, pot au feu… vous prévoyez beaucoup de liquide en les préparant et, ensuite, vous retirez du bouillon –mis en pot de verre au réfrigérateur- pour cuire autre chose

  • Bouquets à croquer de Saint Valentin

    À Toulouse, un traiteur dévoile ses "bouquets à croquer" pour les amoureux de gourmandise…

    Après les bouquets de salade, les bouquets de charcuterie ou encore les bouquets de cornichons, voici une nouvelle idée originale et gourmande à offrir à votre bien aimé.e pour la Saint-Valentin. Le traiteur toulousain Maison Charlotte propose pour la deuxième année de suite des "bouquets à croquer", composés de gourmandises en tout genre, pour la fête des amoureux !

    "Nous avons repensé les symboles de la Saint-Valentin, à savoir les gâteaux et les fleurs. Mêlons l'utile à l'agréable : un bouquet de gâteaux et de fleurs comestibles, enrichi de fleurs séchées qui dureront dans le temps", explique la gérante de Maison Charlotte, Anne Morin.

    En voilà donc une idée originale pour la Saint-Valentin ! Les "bouquets à croquer" sont un cadeau parfait pour gâter notre moitié, surtout s’il/elle est gourmand. C'est la deuxième année que le traiteur toulousain propose cette idée insolite à l'occasion de la Saint-Valentin.

    "Il y a eu un réel engouement autour du concept, c'est pourquoi nous lançons cette année la deuxième édition des 'bouquets à croquer'", se réjouit la gérante. Avec ces compositions en édition limitée, vous ferez d'une pierre deux coups et on vous garantit que vous comblerez d'amour (et de gourmandise) votre partenaire !

    Et parce qu'il en faut pour tous les budgets, le traiteur Maison Charlotte propose 4 compositions de "bouquets à croquer" cette année pour la Saint-Valentin :

    - Le Mini-Bouquet, composé d'environ 7 gâteaux : madeleines moelleuses saveurs chocolat ou citron, des cœurs fondants en guimauve et des cookies chocolat et fleur de sel (15 €);

    - Le Bouquet Toulouse, garni d'une dizaine de pièces aux tons violets : cannelés chocolat blanc et violette, cookies saveur pralines roses, sablés "diamants" croustillants à la violette, etc. (22 €);

    e Bouquet New York, garni d'une quinzaine de créations gourmandes originales : s'mores en forme de fleurs, bonbons chocolat guimauve, sablés spirale, donuts trompe-l’œil etc. (27 €);

    Le Bouquet Paris, composé d'une vingtaine de biscuits aux tons rosés : macarons chocolat blanc/rose, cookies chocolat fleur de sel, madeleines à l'orange ou chocolat… (30 €).

    Pour commander l'une de ces belles et gourmandes créations originales, rendez-vous sur le site Maison Charlotte. Les "bouquets à croquer" ne seront disponibles que les 13 et 14 février et il faudra venir les récupérer dans la boutique Maison Charlotte à Toulouse (83 grande rue Saint Michel) ou bien à Argile Studio (8 rue Saint Ursule à Toulouse).

  • L'agriculture française est en déclin!

    quelles sont les difficultés de production associées à 10 produits de consommation courante ?

    Normes étouffantes, concurrence déloyale, produits phytosanitaires interdits, etc. Quelles difficultés pour quels produits ?

    CERISE

    La filière de la cerise a été frappée de façon particulièrement dure en 2023. La conséquence directe fut une offre limitée et des prix bien au-delà de l’année 2022. Au 1er juin 2023, la production était en baisse de 21% par rapport à la moyenne des cinq dernières années, selon les données statistiques du ministère de l’agriculture (Agreste). En cause, les ravages de la mouche "Drosophila suzukii" ainsi qu’un contexte climatique défavorable. Deux produits phytosanitaires, qui permettaient de lutter contre cette mouche, ont été interdits en France ces dernières années, mais restent légales dans d’autres pays d’Europe.

    POIRE

    La France ne produit que 50% de ses besoins en poire. Estimée à 125 800 tonnes, la production de poires recule sur l’année 2023, en particulier dans les régions du sud de la France. Les épisodes de fortes chaleurs entraînent une diminution des calibres des fruits. Grêle et canicule sont également responsables d’une moindre production. L’offre restreinte entraîne donc une hausse des prix : 55 % de plus qu’en 2022.

    POMME

    La production de pommes françaises est confrontée à la hausse des coûts des emballages, l’inflation du coût de la main-d’œuvre auxquels s’ajoutent les difficultés de recrutement, la poussée du prix des intrants, sans parler des réglementations françaises qui ont interdit certains produits phytosanitaires qui permettaient de lutter contre les ravageurs. Les vergers sont fragilisés et produisent donc moins.

    POMME DE TERRE

    2022 fut la pire année du XXIe siècle selon l’Union Nationale des Producteurs de pomme de terre. La production de ce tubercule souffre des conditions climatiques, des chaleurs élevées, de la pluviométrie importante, ainsi que des hausses des coûts de production. La hausse des coûts de l’énergie représente la raison principale de cette augmentation du prix au kilo. S’ajoute à cela, le coût du stockage et le coût du transport.

    TOMATE

    La production de tomates françaises s’est effondrée en quelques années, passant de 400 000 tonnes en 1985 pour seulement 150 000 aujourd’hui. Comme les autres fruits et légumes, la tomate souffre des périodes de sécheresse et des pics de chaleur. « Une production en baisse et des surfaces qui plafonnent », décrit l’AOPn (Association d’organisations de producteurs nationale) Tomates et Concombres de France, qui dénonce « le manque d’investissement des pouvoirs publics et la multiplication des contraintes réglementaires conduisant chaque année à l’augmentation de la part des tomates d’importation dans la consommation des Français ».

    BLE

    La production française de blé dur, la céréale des pâtes et de la semoule, est attendue cette année à son plus faible niveau depuis 2003 en raison d’une baisse des surfaces cultivées, rapporte le ministère de l’Agriculture.

    "La baisse de la production est liée à celle des surfaces environ 242.000 hectares, au plus bas depuis 1995", indique l’Agreste. Au premier rang des difficultés actuelles: la concurrence déloyale des producteurs français face aux produits ukrainiens qui affluent depuis que l’UE a levé les droits de douane sur ces importations.

    POULET

    Actuellement, une volaille française sur cinq est élevée en plein air, c’est dix fois plus que la moyenne des pays européens. La production française est une exception, c’est la seule au monde à comprendre autant d’espèces diverses, de labels de qualité, de certificats bio, au point que la volaille “classique” ne représente que 60% des élevages. Ces labels et normes d’excellence amènent avec elles une réduction de la taille des exploitations, et une hausse des coûts. Tant et si bien que la France n’exporte plus que 8% de sa production de poulets contre 25% il y a dix ans. 45% des poulets proviennent actuellement de l’étranger, notamment du Brésil, de la Thaïlande ou de l’Ukraine, où les normes sont plus basses. « Entre un filet de poulet ukrainien à 3,10 euros et son équivalent français à 5,80 euros, le choix est vite fait », regrette l’interprofession Anvol.

    PORC

    En 2023, l’offre de porcs a diminué de 7,7% dans l’Union européenne, mais la France “limite” la casse en ne voyant son offre baisser que de 4,4%. Plusieurs facteurs s’additionnent. La baisse de la demande mondiale a entraîné une chute drastique des prix de ventes. Dans le même temps, la guerre en Ukraine a fait s’envoler les prix des céréales, essentielles à la nourriture des porcs d’élevages. Une image négative rattachée à cette filière quant aux conditions d’abattage et de vie du cochon n’aident pas. La concurrence est rude et les candidats peu nombreux : entre 2012 et 2022, 1,3 millions de porcs de moins étaient élevés en France.

    LAIT

    La France est actuellement le deuxième producteur de lait de l’Union européenne. Pourtant, le secteur est en crise également, au point que l’industrie laitière craint une perte de souveraineté de la France d’ici 2027. En moins de dix ans, le nombre d’exploitations laitières a chuté d’un tiers. Un éleveur sur quatre partira à la retraite ou cessera son activité dans les cinq prochaines années, et la moitié des éleveurs laitiers prendra sa retraite d’ici 2035.

    BOEUF

    En 2022, la production de bœuf française a baissé de 4%, et de 3% supplémentaires en 2023. Soit 110 000 vaches allaitantes en un an. Résultat : en ce début d’année 2024, l’approvisionnement en viande tricolore n’est plus assuré et de plus en plus de restaurateurs doivent se tourner vers l’étranger.

    Exemple frappant: McDonald’s n’arrive plus qu’à avoir 80% de steaks hachés d’origine française au lieu des 100% habituels. En cause, le vieillissement des agriculteurs. Actuellement, seul un éleveur sur deux est remplacé après son départ à la retraite, et les jeunes préfèrent la culture de céréales, plus rémunératrice et moins contraignante.

  • Sur mon autre blog:

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2024/02/03/le-chiffre-du-jour-6483536.html

     

  • BEN  VOYONS!

    Drame en Ariège : LFI, EELV et Renaissance s’opposent à une minute de silence en hommage à Alexandra, l’agricultrice tuée

    INFO LE PARISIEN. Le groupe communiste a proposé cette initiative après le décès d’une agricultrice ce mardi sur un barrage. Mais l’idée a été abandonnée, faute de consensus.

    Le président du groupe communiste, Chassaigne, a en effet demandé la tenue d’une minute de silence dans l’hémicycle mardi après-midi. Une demande soutenue par le groupe LR. Mais l’Insoumis Coquerel y a mis une condition, exigeant, si cette minute de silence se tenait, qu’une autre soit respectée en hommage aux deux adolescents de 14 et 18 ans, tués la semaine dernière à Saint-Denis, dans un contexte de tensions interquartiers. Une position défendue également par Chatelain, présidente du groupe Les écologistes.

    DES OPPOSITIONS CHEZ RENAISSANCE ET LES ECOLOGISTES

    Alors que le représentant du RN Jean-Philippe Tanguy est resté silencieux, Sylvain Maillard (Renaissance) s’est opposé à son tour à la minute de silence, rappelant les nouvelles règles strictes qui encadrent cet exercice au sein de l’Assemblée nationale.

     (…) En l’absence de consensus, il a été donc décidé de ne pas respecter cette minute de silence.

    Le Parisien

  • Une politique agricole commune devenue désastreuse

    La Politique agricole commune (PAC) a été mise en place en 1962 pour augmenter la production alimentaire ; elle protégeait l’agriculture à l’aide de prix planchers et de protections douanières. Grâce à elle, la Communauté européenne, devenue ensuite l’Union européenne, est devenue la première puissance agricole mondiale avec environ 418 milliards d’euros (dont 18% pour la France).

    Mais sous l’impulsion des lobbys écologistes et des mondialistes, l’Union européenne a développé l’une des législations agricoles les plus restrictives du monde tandis qu’elle ouvrait totalement notre marché à des pays qui ne la respectent pas. La législation UE, alourdie par l’inflation des normes spécifiquement françaises, a ainsi créé une distorsion de concurrence majeure au détriment de nos agriculteurs.

    En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles suscitant les inquiétudes résumées dans le rapport sénatorial du 28 septembre 20221: un poulet sur deux, 56% de la viande ovine, 28% des légumes et 71 % des fruits consommés en France sont importés…

    Le 22 novembre 2023, le Parlement européen a adopté, par 524 députés, dont les députés Renaissance, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Ce texte autorise l’importation de milliers de tonnes de denrées alimentaires en provenance de l’autre bout du monde, concurrençant de manière déloyale celles produites sur le sol européen tout en poussant la déforestation en Nouvelle-Zélande et la pollution mondiale par le transport maritime inter continental. Pour justifier ce traité de libre-échange, ni vert, ni vertueux, en matière sociale et environnementale, l’UE avance des arguments économiques très incertains.

    Et l’UE envisage aussi de ratifier le traité de libre-échange avec l’Amérique latine qui aggravera la déforestation de la forêt amazonienne, multipliera les transports maritimes intercontinentaux polluants et concurrencera scandaleusement l’agriculture européenne.

    Notre souveraineté alimentaire est menacée par des normes souvent idéologiques inadaptées et par la politique gouvernementale qui prônent "la montée en gamme", entraînant une hausse des prix alors que la population voit son pouvoir d’achat baisser les obligeant de plus en plus à acheter des produits d’importation. Le marché du bio, particulièrement exposé dans ce contexte, a subi une baisse du chiffre d’affaires en 2021.

    Selon le rapport sénatorial précédemment cité, 70% des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays. Celle-ci tient entre autres au coût du travail dans le secteur agroalimentaire lié aux charges sociales nettement plus fortes en France, à la fiscalité pesant sur la production et au coût des mesures des politiques environnementales.

    LA DERIVE TOTALITAIRE ET FISCALE DES ÉCOLOGISTES

    Leurs menaces sur l’eau nécessaire à l’irrigation, sur l’existence même des vaches (dont les rots et les pets sont accusés du réchauffement climatique, dont on observe actuellement les effets en Scandinavie2), contre les chiens accusés de menacer la biodiversité et contre les chats (pourtant jadis élevés au rang de dieux par les Égyptiens pour leur rôle de défenseur des récoltes contre les rats) rendent compte de la folie totalitaire qui inspire certains écologistes qui ne conçoivent leur religion que punitive et installent progressivement une véritable inquisition climatique.

    Ce sont eux qui sont à l’origine des taxes sur le CO2, les plastiques, le diesel, l’électricité pour financer les éoliennes et les voitures électriques qui nécessitent dans de nombreux pays la réouverture des centrales à charbon. Ce sont eux qui interdisent progressivement la location des logements qu’ils qualifient de passoires thermiques, aggravant d’autant la crise du logement.

    Il est vrai qu’ils préfèrent les rats et les punaises de lit aux pauvres dans les villes qu’ils administrent comme à Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille.

    Récemment Bruno Le Maire a déclaré que, pour favoriser les investissements verts, il envisageait une re-fiscalisation progressive du carburant des agriculteurs de 2024 à 2030.

    LES AGRICULTEURS DES PAYS VOISINS SE BATTENT POUR SURVIVRE

    Les agriculteurs néerlandais ont créé un parti qui les défend et a permis ainsi de renverser un gouvernement qui les oppressait comme fait le nôtre. Suivons leur exemple.

    Les agriculteurs allemands manifestent depuis plusieurs semaines 3 4 5sans jamais le moindre écho dans nos médias officiels. Depuis quelques jours, épaulés par de nombreux professionnels et commerçants, ils bloquent la circulation sur les autoroutes et les villes. Sous l’impulsion des verts, la coalition dirigée par Olaf Scholz s’était mise en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique et d’augmenter le prix du diesel pour les agriculteurs. Et Scholz, reniant sa promesse de campagne de ne pas augmenter la TVA s’il était élu, a augmenté la taxe sur les denrées alimentaires de 7 à 19% le 1er janvier 2024.

    Les manifestations "Zu viel ist zu viel" ("Trop, c’est trop") rassemblent actuellement agriculteurs, cheminots et routiers qui comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité.

    L’AFP, a signalé de fortes perturbations du trafic dans presque toutes les régions allemandes, du Bade-Wurtemberg et la Bavière au sud, en passant par le Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie du Nord, Westphalie, jusqu’au nord du pays. Des embouteillages de camions également été observés à la frontière entre l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la France. De bruyants convois de tracteurs sont notamment entrés dans les métropoles de Munich au sud, Hambourg, Brème, au nord, ou Cologne à l’ouest, paralysant en partie le trafic.

    Les autorités, pour discréditer le mouvement actuellement très populaire, prétendent " craindre que ce mouvement ne soit infiltré par des extrémistes d’extrême droite ".

    DES AGRICULTEURS FRANÇAIS ONT EGALEMENT REJOINT LE CORTEGE

    Au micro de France 3, Franck Sander, secrétaire général adjoint de la FDSEA 67, a déclaré: "C’est tout à fait normal que le canton de Soultz se mobilise pour leurs voisins. Nous avons des relations régulières, un lien étroit avec les agriculteurs du Palatinat et du Bade-Wurtemberg".  Tandis que Charles Wollenschlaeger, président cantonal FDSEA précise :

        " On en a ras le bol de ces normes européennes qui s’empilent sur nos têtes et nous étouffent : environnement, sécurité alimentaire… On n’arrive plus à suivre, on a la tête sous l’eau. Voilà pourquoi, nous aussi, nous rejoignons ce mouvement".

    Thierry Mariani, eurodéputé RN, invité de CNews le samedi 13 janvier résume la crise :

        "L’Europe est un véritable danger pour notre agriculture… Ce sera l’un des enjeux du 9 juin! On est en train, au niveau européen, de mener une politique qui suicide nos agriculteurs. Ça a été dit par les responsables de la FNSEA. On a comme objectif de baisser de 15 % la production alimentaire".

    Thierry Coué peste6 contre "l’empilement de textes "français ou européens, les "injonctions contradictoires", ou le "manque de bon sens". Les témoignages concordants s’accumulent 7, 8, 9.

    Pour sauver nos agriculteurs, il faut quitter l’UE, ses normes mortifères et sa politique d’ouverture aux concurrences étrangères déloyales.

    Dr Gérard Delépine

    1        https://www.vie-publique.fr/rapport/286582-rapport-d-information-sur-la-competitivite-de-la-ferme-france2 Qui subit des records de froid depuis plus de 25 ans avec des moins 43°.

    3 - Lauriane Bernard Trop c’est trop" : le mouvement des agriculteurs allemands s’intensifie France-Soir - le 03 janvier 2024.

    4        https://www.la-croix.com/economie/allemagne-en-colere-les-agriculteurs-descendent-dans-la-rue-cette-semaine-20240107

    5 - Nouveau Monde — Les agriculteurs en Allemagne et ailleurs en Europe (nouveau-monde.ca)

    6        https://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/pourquoi-la-grogne-du-monde-agricole-pourrait-se-poursuivre-9c15fde8-982f-11ee-8a2a

    7 -  Xavier Azalbert, Du foin, oui, mais à la botte de qui ? France-Soir 12 décembre 2023.

     

    8        https://www.ouest-france.fr/bretagne/lamballe-armor-22400/video-a-lamballe-les-agriculteurs-construisent-un-mur-de-la-colere-e0dacda5-ddcc-4fb9-b24f-83d269fb457f

    9 https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/deux-sevres/deux-sevres-des-agriculteurs-deversent-des-pneus-et-du-fumier-a-niort-et-parthenay-b3bb2b52-9fc4-11ee-bd2f-c995ab88b3c3