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Actualité - Page 26

  • Histoires de riz - 3

    Comment réussir la cuisson du riz à la poêle ?

    Si l’on a tendance à faire cuire le riz dans une casserole ou au cuiseur vapeur, la cuisson à la poêle est idéale pour découvrir de nouvelles saveurs. Pour une préparation en version pilaf ou pour une paëlla, voici des idées de recettes rapides et savoureuses.

    Cuisson à la méthode "pilaf"

    Qu’est-ce que le mode de cuisson dit "pilaf" ? Originaire de Perse et d’Asie centrale, cette technique consiste à faire revenir le riz dans une matière grasse avant de le couvrir d’eau ou de bouillon.

    Pour réussir votre riz pilaf, versez du beurre, de l’huile ou de l’huile d’olive dans la poêle. Ajoutez ensuite des oignons ciselés : la quantité dépend de vos goûts. Attention à ne pas les laisser colorer, ce qui pourrait ternir le goût. Versez ensuite le riz et remuez jusqu’à ce que les grains deviennent translucides. Vient l’étape du bouillon : en amont, vous aurez dilué un cube de bouillon dans de l’eau chaude. Il ne vous restera qu’à verser ce liquide dans la poêle et à porter le tout à ébullition. Comptez environ 35 minutes de cuisson à feu doux à couvert pour du riz complet et 20 minutes pour du riz blanc. Remuez deux à trois fois.

    Cuisson riz soufflé : spéciale riz rond

    Oui, vous pouvez cuisiner vous-même du riz soufflé et réaliser de savoureuses recettes telles que les barres de céréales au chocolat ou encore les galettes croustillantes ! Pour ce faire, prenez une poêle que vous allez faire chauffer à feu vif et sans matière grasse. Versez le riz à sec et en une seule couche. Veillez à remuer régulièrement pour éviter que le riz ne brûle.

    Quel temps de cuisson ? Dès que les grains de riz arrêtent de crépiter et sont bien gonflés, votre riz soufflé est prêt à être dégusté !

    Quels types de riz pour une cuisson à la poêle ?

    Idéalement, c’est le basmati qui convient le mieux pour cuisiner du riz pilaf. Il s’agit d’un riz à grains longs originaire d’Inde et du Pakistan. Fin et subtil, ce riz parfumé est apprécié pour sa texture ferme et légère. Il est tout à fait possible d’utiliser du riz complet pour cuisiner un pilaf.

    Si vous préférez préparer une paella, privilégiez le riz rond de Camargue, caractérisé par sa texture moelleuse et fondante. Il rend une grande quantité d’amidon à la cuisson et se révèle parfait pour un plat comme la paella. Ce riz est idéal pour absorber le bouillon, les épices et autres aromates.

    Quelles sont les erreurs à éviter ?

    Envie de réussir la cuisson du riz à la poêle ? Si cette méthode paraît simple, voici les erreurs à ne pas commettre :

    Oublier la matière grasse : les grains de riz risqueraient de brûler, ce qui les rendrait immangeables.

    Ne pas mettre de couvercle en cas de préparation d’un riz pilaf : cette méthode implique une cuisson à l’étouffée. Pensez donc à couvrir et à laisser cuire !

    Ne pas assaisonner : que vous cuisiniez du riz pilaf ou une paella, la cuisson permet de libérer les arômes des épices, de l’ail, des agrumes ou encore des herbes.

    Des idées de recettes de riz à la poêle

    Voici deux idées de plats faciles et savoureux, qui raviront vos invités !

    MAGRET DE CANARD AU MIEL, poêlée de champignons et riz

    commencez par faire cuire le riz façon pilaf. Comptez environ 11 minutes de cuisson si vous choisissez le riz parfumé Kamâlis. Dans le même temps, faites griller les magrets (environ 5 minutes de chaque côté) et faites cuire les champignons. Servez en nappant de sauce au miel.

    RIZ PILAF A L’INDIENNE

    faites dorer des oignons préalablement ciselés dans de l’huile d’olive. Ajoutez l’ail, trois gousses de cardamome, un bâton de cannelle, un clou de girofle, du sel et du poivre. Versez l’eau et laissez cuire à feu doux environ 12 minutes.

    Mon conseil

    Quelle quantité de riz par personne ? Si vous faites partie de ceux qui préparent trop de riz ou qui n’en prévoient pas assez, voici notre astuce ! De façon générale, prévoyez un volume de riz pour un volume et demi d’eau : comptez 100 g de riz pour 15 cl d’eau.

    Infos sur le site Taureau Ailé

  • Des grillons au repas : la dérive

    Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains: poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…

    Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.

    Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdit pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…

    Le secret: les enzymes

    Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de CO2 qui agit sur le "gonflement" de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.

    Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, beta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc.

     

    Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.

    LE MONDE DU LAIT ET DES FROMAGES notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…

    De MEME LES VIGNERONS s’amusent également à bricoler des enzymes…

    Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…

    Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.

    Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !

    Des grillons pour les gueux et des côtes de boeuf pour nos élus. Ça permet de limiter l’élevage de ruminants péteurs

    Le monde devient fou. On s’active à interchanger les " genres », maintenant on veut modifier le système alimentaire. La Re-création est en marche. L’Homme veut devenir dieu.

     

  • Histoires de riz - 1

    Comment doser son riz?

    Il existe une astuce toute simple qui permet de bien doser le riz et de préparer la bonne quantité de riz par personne : le verre ! La dose recommandée de riz par personne équivaut en effet à la moitié d’un verre classique. Pour éviter de choisir un verre trop grand, sachez qu’il s’agit ici d’un verre type verre de cantine (ou verre à moutarde), d’une contenance de 20 cl. Le dosage du riz en remplissant la moitié d’un verre classique est la technique la plus accessible pour se rapprocher des 60 g de riz, la dose de riz par personne recommandée.

    Le dosage dépend-il du type de riz ?

    Oui, en théorie. Tous les types de riz n’ont en effet pas le même comportement lors de la cuisson. Certains absorbent davantage l’eau de cuisson que d’autres types de riz, et doivent donc être sensiblement "sous-dosés". En pratique, la technique du verre à moitié rempli pour obtenir la bonne quantité de riz par personne est assez universelle. Elle vous permettra d’obtenir la dose de riz idéale par personne pour une grande majorité de recettes. Inutile par ailleurs de paniquer en cas de surdosage involontaire puisque le riz cuit peut être facilement conservé (voir plus bas).

    Quelle quantité de riz selon le plat?

    Avec le type ou la variété de riz, le type de plat est l’autre élément qui peut faire varier la bonne quantité de riz par personne. Tout est, ici, une question de logique. Lorsque le riz est préparé seul, sans ingrédients autres que le mets qu’il est destiné à accompagner (filet de poisson, émincé de dinde, etc.), il est préférable de respecter le bon dosage du riz. En revanche, lorsque le riz est associé à d’autres ingrédients (comme dans une paella, par exemple), il est souvent recommandé de réduire les portions de riz par personne.

    Comment cuire du riz selon la portion de riz ?

    Il existe deux grandes façons de faire cuire du riz : à la casserole, ou façon pilaf. Davantage que la cuisson du riz à la casserole, la cuisson du riz version pilaf nécessite de doser l’eau avec précision selon la quantité de riz par personne. Inutile pour autant d’être un chef étoilé pour réussir cette étape. D’une manière générale, il est recommandé de prévoir 1,5 volume d’eau pour un volume de riz. Il vous suffit alors de reprendre le même récipient (le verre à moutarde) pour doser l’eau, en adaptant les volumes.

    Comment conserver le reste du riz

    Malgré toutes les précautions prises, il n’est pas rare que l’intégralité du riz que vous avez préparé ne soit pas consommée (vos convives ont manqué d’appétit ou bien vous avez eu cette peur de ne pas en préparer assez). La bonne nouvelle, c’est que le riz déjà cuit peut être conservé.

    Il existe deux principales méthodes pour cela: la conservation du riz cuit au frigo, et la conservation du riz cuit au congélateur. Vous pouvez, aussi, prévoir la réalisation de quelques recettes avec un reste de riz pour éviter le gaspillage alimentaire.

    Mon conseil

    Ne vous laissez pas tromper par ce que représente la quantité de riz par personne une fois celui-ci dosé. À la cuisson, le riz triple de volume. Évitez donc le surdosage encouragé par l’impression qu’il y a "peu" de riz à faire cuire.

    Infos sur le site Taureau Ailé

  • Voici comment cuire vos pâtes correctement tout en économisant

    D'après les scientifiques

    Lorsqu’un physicien italien, lauréat d’un prix Nobel, a émis des conseils sur la façon de cuire les pâtes à la perfection, cela semble remettre en question toutes les méthodes utilisées par les cuisiniers du pays depuis des siècles, il a suscité une vive polémique.

    Le professeur Giorgio Parisi – qui a reçu le Nobel de physique 2021 pour « sa découverte de l’interaction entre désordre et fluctuations dans les systèmes physiques, de l’échelle atomique à l’échelle planétaire » – a suggéré que le fait d’éteindre le feu à mi-cuisson des pâtes, puis de couvrir la casserole et d’attendre que la chaleur résiduelle de l’eau termine le travail, peut aider à réduire le coût de la cuisson des pâtes.

    IL EST BIEN GENTIL LE NOBEL, MAIS JE FAIS CE TRUC DEPUIS L'AGE DE 10 ANS! je l'ai découvert par hasard, car j'ai commencé à cuisiner chez moi à cet âge-là!

    Bien sûr, il ne faut pas laisser les pâtes dans l'eau chaude très longtemps…sinon elle se gavent d'eau et deviennent de la nouillasse pleine d'eau… ce qui peu aider quand on n'est vraiment pas riche et qu'il faut que tout le monde mange avec un paquet "juste".

    Mais, les pâtes qui cuisent seules dans l'eau bouillante, il faut les goûter pour savoir si la structure convient à votre palais.

    La méthode de cuisson classique consiste à plonger 100 g de pâtes dans 1 litre d’eau bouillante pendant dix à douze minutes, en fonction de leur épaisseur. Dans le cas des pâtes sèches, deux processus se déroulent généralement en parallèle. Tout d’abord, l’eau pénètre dans les pâtes, les réhydratant et les ramollissant en dix minutes dans l’eau bouillante. Ensuite, les pâtes se réchauffent, ce qui provoque l’expansion des protéines et les rend comestibles.

    Environ 60% de l’énergie est utilisée pour maintenir l’eau en ébullition. Ainsi, tout ce qui peut être fait pour réduire le temps de cuisson aurait un effet considérable sur le coût global. Eteindre la plaque de cuisson à mi-chemin et à laisser les pâtes cuire dans la chaleur résiduelle, permet de réduire de moitié le coût de la cuisson, soit une économie d’environ 0,05 $. Cette méthode sera encore plus efficace sur les plaques vitrocéramiques, contrairement à celles à gaz et à induction, elles mettent plus de temps à refroidir.

    Cependant, en séparant les processus de réhydratation et de chauffage, il est possible de diminuer davantage le coût. Le Nobel dit que les pâtes sèches peuvent être entièrement réhydratées en les faisant préalablement tremper dans de l’eau froide pendant deux heures. Ce processus ne nécessite aucune énergie et permet d’économiser 0,05 $ supplémentaire.

    Il faut ensuite plonger les pâtes dans l’eau bouillante pour les réchauffe0 ; et là aussi, il y a d’autres économies à faire. Les scientifiques rapportent que la qualité des pâtes cuites n’est pas affectée par la réduction considérable de la quantité d’eau. Les scientifiques ont constaté qu’en employant la moitié de l’eau, on obtient  des pâtes parfaites;  L’amidon est libéré pendant la cuisson; s’il n’y a pas assez d’eau, il se concentre, laissant des amas de pâtes cuites de manière inégale. Cependant, le fait de remuer régulièrement la casserole améliore quelque peu le résultat.

    Le deuxième besoin énergétique le plus important est celui nécessaire pour porter l’eau à ébullition. Encore une fois, d’autres économies peuvent être réalisées ici.

    Il s’avère que les granules de protéines des pâtes se dissolvent au-dessus de 80°C ; il n’est donc pas nécessaire de porter la casserole à une "ébullition à gros bouillons" à 100°C, comme cela est souvent conseillé. Un léger mijotage suffit à cuire complètement les pâtes, ce qui permet une économie supplémentaire d’environ 0,01 $.

    Si on utilise un micro-ondes pour chauffer les pâtes préalablement trempées: Ces appareils sont très efficaces pour chauffer l’eau, mais on s'aperçoit vite que ce sont les pâtes les plus mauvaises de toutes. À ne pas essayer à la maison !

    COMMENT S’Y PRENDRE… ET ECONOMISER DE L’ARGENT

    La palme pour la méthode la plus efficace de cuisson des pâtes sèches revient au trempage préalable dans de l’eau froide avant la cuisson dans une casserole d’eau ou de sauce frémissante pendant une à deux minutes. Laisser le couvercle sur la casserole est une autre chose simple que vous pouvez faire. L’ajout de sel, bien que ne faisant qu’une différence minime quant au point d’ébullition, améliore considérablement le goût.

    Nous ne sommes pas tous des chefs étoilés ou des physiciens lauréats du prix Nobel, mais nous pouvons tous faire une différence dans notre façon de cuisiner pour réduire nos factures d’électricité tout en produisant des aliments savoureux.

    À vous maintenant d’expérimenter ces méthodes jusqu’à ce que vous trouviez une combinaison qui rende votre cuisine plus économique tout en économisant vos sous!

     

  • Comment réaliser des crêpes moelleuses?

    Les crêpes? on les aime toute l'année… et puis, toutes simples avec un peu de sucre en poudre, elles peuvent constituer un repas de fauchés mais qui garde le goût de l'enfance et donc, vous ne vous sentez pas trop gênés d'être un peu "juste".

    La pâte à crêpes, c'est vraiment inratable! Si vous suivez les quelques conseils suivants: Elle ne nécessite que quelques ingrédients basiques tels que des œufs, de la farine et du lait. On ajoute également un peu de sucre (ou pas si on veut des crêpes neutres) et un filet de matière grasse au choix (huile neutre ou beurre fondu).

    Mettre d'abord la farine dans le saladier, puis ½ sachet de levure, puis un peu de sucre, puis de l'huile de pépins de maïs (un demi-verre); mélangez bien avec un fouet; ensuite pour cassez deux œufs et vous mélangez encore fortement, rajoutez une pincée de sel et l'arôme choisi: je préfère un demi verre d'Armagnac ou du Grand Marnier.

    Enfin, une touche d'arôme qui nous donne envie. Pour des crêpes plus aériennes, on peut donc remplacer un quart de lait par de la bière qui agira un peu comme une levure grâce au gaz carbonique. Choisissez une bière blanche si vous ne voulez pas trop les parfumer.

    Ensuite, on passe à la cuisson. Pour garder des crêpes moelleuses et pas sèches sur les bords, pensez à graisser régulièrement votre crêpière. Sauf si vous utilisez une crèpière rfevêtue de céramique… J'ai voulu la recouvrir d'huile avant mais, l'huile, au bout de plusieurs utilisation s'est accrochée en une sorte de magma jaune et j'ai dû la jeter.

    Une fois cuites, déposez les crêpes dans une assiette puis recouvrez-la d'un torchon pour qu'elles restent au chaud et que leur vapeur ne s'échappe pas. Cela va permettre de conserver tout le moelleux des crêpes et que les bords ne deviennent pas tout secs et friables. Il ne vous reste plus qu'à vous régaler avec la garniture de votre choix! Vous êtes plutôt classique ou gourmand?

    Comment réchauffer des crêpes?

    Encore une fois, vous avez fait trop de crêpes? Ce n'est pas grave! Ce mets apprécié par nos papilles se conserve très bien pendant quelques jours au frais (ou non) bien couvertes de film alimentaire ou de papier aluminium. Vous pouvez tout à fait les déguster froides ou à température ambiante mais si vous voulez les manger chaudes, il existe plusieurs méthodes simples pour les réchauffer tout en conservant leur moelleux.

    Réchauffer les crêpes à la poêle

    Il vous reste des crêpes alors vous avez appelé des renforts pour les terminer. Mais avant que vos invités arrivent, vous voulez les réchauffer? Ressortez alors votre crêpière! Une noix de beurre puis un aller-retour de 30 secondes par face et voilà des crêpes réchauffées en quelques secondes!

    Cette technique vous prendra toutefois un peu de temps le pour venir à bout de votre tas de crêpes restantes. Et si vous choisissez cette option, n'oubliez pas de mettre un peu de matière grasse afin de ne pas avoir des galettes toutes sèches. Vous pourrez aussi poser un appareil à crêpes au centre de la table pour que les invités s'occuper de réchauffer leurs crêpes à tour de rôle.

    Réchauffer les crêpes au micro-ondes

    Pour finir les crêpes de la veille: Il vous suffira de placer votre assiette remplie de crêpes dans votre micro-ondes et de les faire réchauffer 30 secondes à une minute en fonction de la puissance du micro-ondes. Elles seront peut-être un peu dures à la sortie alors on vous conseille de les garnir d'abord de pâte à tartiner ou de chocolat puis de les plier et de les réchauffer ensuite.

    Elles garderont alors tout leur moelleux… Pour encore plus de gourmandise, un peu de sucre, une noix de beurre et le tour est joué en un rien de temps!

    Réchauffer les crêpes au bain-marie

    C'est la meilleure technique pour réchauffer des crêpes en garantissant un moelleux comme au premier jour!

    Pour ce faire, rien de plus simple: portez une casserole d'eau à ébullition puis déposez votre assiette de crêpes par-dessus (attention à choisir une assiette résistant à la chaleur). Recouvrez avec une cloche en verre une autre assiette et laissez la magie opérer. La chaleur dégagée par la vapeur d'eau viendra réchauffer vos crêpes sans les assécher. Vous aurez des crêpes parfaitement moelleuses!

    Réchauffer les crêpes au four

    Dans un plat résistant aux fortes chaleurs, déposez le reste de vos crêpes puis enfournez environ 30 minutes à basse température (120°C). N'oubliez pas de mettre un verre d'eau dans le four à côté de votre plat pour que la vapeur rende vos crêpes moelleuses!

    C'est génial comme astuce et vous n'aurez rien à faire. Vous pourrez laisser les crêpes dans le four pour les conserver au chaud.

    Si vous voulez partager une crêpe party avec des garnitures salées, le four est idéal pour les réaliser sans prise de tête. Étalez peu de béchamel au jambon et fromage dans le reste de vos crêpes et un petit tour au four, vous obtiendrez des crêpes salées délicieuses vous verrez.

  • Comme a dit Coluche

    "salauds de pauvres"

    La ZFE, (Zone à Faibles Emissions) est mise en place depuis le mois de janvier sur Toulouse.

    Conséquence grave: Vous n'avez peut-être plus le droit de circuler sur la commune de Toulouse !

    Mais si vous avez un gros 4X4 électrique à 100 000 €, pas de souci !

    Plusieurs actions autour de Toulouse: c'est pourquoi vous êtes attendu

    Mercredi 08 février de 07h30 à 08h45

    Rond-point d'Eurocentre à Castenau-d'Estretefonds

    -proche du péage-

    Vous serez là pour manifester votre incompréhension.

  • HONTE  AUX  TENARDIER  DE  L'ELYSEE!

    Volaille française : la fin à venir des labels qualité comme le Label Rouge qui font de l’ombre aux lobbys industriels. La Commission Européenne va changer les règles avec l’aval de l’Élysée

    Par Périco Légasse - Marianne

    En torpillant la réglementation de l’élevage en plein air pour favoriser le lobby industriel allemand avec l’accord de l’Élysée, Bruxelles sonne le glas des labels de qualité dont dépend l’excellence de la volaille française.

    Absorbés que nous étions par le conflit poutino-zélenskien, par la crise énergétique, l’inflation menaçante, la guerre des retraites, le péril chinois, nous en avions un peu oublié les méfaits de ce fléau qu’est la Commission européenne. Qu’a-t-elle fait cette fois-ci?

    Rien de moins que de planifier l’éradication de la volaille française de qualité, notre bon vieux poulet dominical, en poignardant dans le dos les labels qualitatifs dont le consommateur se prévaut pour être sûr de son choix. La méthode est particulièrement sournoise et révèle, une fois de plus, le véritable objectif des instances européennes : éliminer toute entrave à l’enrichissement des marchés. Au nom de la libre concurrence, on détricote la loi pour permettre aux marchands de malbouffe d’éliminer ceux qui leur font de l’ombre. […]

    Cette filière obéit à des normes de production drastiques […]. Un niveau d’exigence spécifique à la France obtenu au terme d’un combat mené durant des décennies par des éleveurs soucieux de se distinguer de la filière industrielle et de ses horreurs. Comme pour certains autres aliments, comme le pain, on peut parler de conquête sociale au profit du consommateur […] […] présenté à Bruxelles en décembre 2022, un projet de nouvelles normes prévoit d’annuler le caractère obligatoire de la réglementation actuelle en rendant facultatives les contraintes liées à l’élevage en plein air et en liberté. Ainsi, à partir de février 2023, si la Commission ne revient pas sur sa décision, tout opérateur européen pourra user de mentions non réglementées pour étiqueter sa production.

    Ainsi trouvera-t-on sur le marché du "poulet des champs", de la "volaille de plein vent" ou du "poulet à l’air libre", dont l’intitulé ne correspondra à rien de vérifiable et de vérifié. De quoi désorienter le consommateur soudain exposé à un étiquetage quasi sauvage qui ne lui permettra plus de distinguer au premier coup d’œil un poulet label Rouge certifié "élevé en liberté", qui, lui, conservera son éthique de production, vendue aux alentours de 10 € le kg, et une volaille industrielle roumaine ou bulgare, nourrie avec des détritus, entassée dans des cages et vendue sous la mention "poulet libre" à moins de 5 € le kg…

    Si les initiés un peu vigilants pourront vérifier leurs achats, la grande masse des consommateurs, elle, se laissera abuser. Cette concurrence déloyale et trompeuse portera fatalement préjudice à la filière française de qualité, qui représente aujourd’hui 17% du marché de la volaille. Déjà que près de 90% de la volaille servie en restauration collective, cantines scolaires, Ehpad et hôpitaux est importée, c’est au tour de ce trésor alimentaire de faire les frais du néolibéralisme financier.

    Imposée par l’Allemagne, où le lobby industriel contrôle le réseau des élevages intensifs, dont les filiales s’étendent en Pologne, où l’on abat plus de 1 milliard de poulets par an, mais aussi en Roumanie et en Bulgarie, où sévissent des centaines d’usines, dont certaines comptent plus de 120 000 volailles, cette dérégulation brutale, allant dans le sens contraire de l’histoire et de la demande des consommateurs, est un coup dur pour l’agriculture française.

    Nous voudrions bien savoir ce qui a conduit l’Élysée et Matignon à consentir une telle REGRESSION aux lobbys bruxellois et au commissaire polonais à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski. Il est vrai que, pour fabriquer un cordon-bleu, il n’est pas besoin de poulet tricolore. […]

    SOYEZ VIGILENT ET NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR PAR CES ESCROCS!

    Cherchez le prix au kilo LE PLUS CHER et la provenance POULET JAUNE DU SUD-OUEST…