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Nutrition news - Page 17

  • Les myrtilles ont-elle vraiment des bienfaits?

    Cet article est publié en collaboration avec “Pour une meilleure santé“ (PuMS): l’émission santé grand public conçue par des universitaires. Coproduit par l’Université de Paris et EM&I Production, ce rendez-vous mensuel d’actualité de la santé est animé par le Dr Boris Hansel.

    Quel rapport existe-t-il entre la savoureuse myrtille de nos sous-bois et les pilotes de chasse anglais qui harcelaient les bombardiers allemands durant leurs raids nocturnes sur Londres, pendant la Seconde Guerre mondiale ? Selon la légende, les militaires de la Royal Air Force auraient consommé de la confiture de myrtilles en quantité afin d’améliorer leur vision nocturne, ce qui aurait expliqué leur supériorité dans les combats aériens.

    La véracité de cette belle histoire est toutefois mise en doute : il s’agissait probablement plutôt d’une manœuvre de désinformation visant à cacher aux soldats de la Wehrmacht l’existence du radar, dont l’efficacité nocturne est, elle, certaine. Les rares études menées pour vérifier les capacités des extraits de myrtilles à améliorer la vision de nuit montrent en effet que leur consommation ne semble pas être plus efficace que celle d’un placebo. Si les myrtilles ne permettent pas d’améliorer la vision nocturne de personnes saines, ont-elles un effet sur une vision dégradée ? Bien que certains travaux chez l’animal ou in vitro suggèrent l’existence de mécanismes plausibles, jusqu’ici aucune étude clinique d’ampleur permettant de le vérifier de façon satisfaisante n’a été menée chez l’être humain.

    Mais qu’en est-il des autres vertus prêtées aux petites baies violettes ? Lutte contre les problèmes circulatoires, diarrhées, ulcères… Le folklore attribue à la consommation de myrtilles de nombreux bienfaits, mais seuls certains d’entre eux ont été attestés par des travaux scientifiques.

    DES PIGMENTS AUX PROPRIETES ANTIOXYDANTES

    Que contiennent donc les myrtilles? Un peu de sucre (de 6 à 10 grammes pour 100 grammes de baies), des fibres, des tanins, des vitamines, des oligo-éléments et des polyphénols, dont les effets bénéfiques sur la santé font l’objet de nombreux débats. Parmi ces derniers, les plus notables sont les anthocyanines, des pigments auxquels les myrtilles doivent leur tenace couleur bleu violet.

    Ce sont les propriétés antioxydantes de ces molécules, appartenant au groupe des flavonoïdes, qui expliqueraient certains des effets des myrtilles : elles limiteraient la dégradation des cellules par les “radicaux libres“. Dérivés de l’oxygène, ces composés chimiques sont très réactifs, et très toxiques. Ils ont en effet capables d’interagir avec les molécules des structures cellulaires et de les endommager en les “oxydant“, provoquant un stress dit “oxydatif“ - à ne pas confondre avec le stress lié à l’angoisse ou une anxiété.

    Une consommation associée à une diminution des risques d’infarctus et de diabète

    En s’appuyant sur des données collectées grâce à la cohorte des infirmières américaines de la célèbre “Nurses Health Study“, des scientifiques ont pu montrer que la consommation, au moins trois fois par semaine, de fruits riches en anthocyanine (myrtille et fraise) était associée à une diminution des infarctus du myocarde.

    C’est également grâce à cette même cohorte, augmentée des 40 000 médecins de la cohorte “Heart Protection Study“, qu’en 2012, une étude a montré que la consommation d’aliments riches en anthocyanines (en particulier des myrtilles) était associée avec un risque moindre de survenue de diabète de type 2 (jusqu’à 20 % de diminution).

    PuMS_L’EMission santé de l’Université de Paris et de l’AP-HP fait le point sur les vertus des myrtilles.

    DES EFFETS SUR LES NEURONES CHEZ LE RAT

    Au début des années 2000, des travaux ont révélé que la consommation d’extraits de myrtille redonnait une nouvelle jeunesse à des rats vieillissants : elle améliorait l’état de leur mémoire et leur motricité, et modifiait leurs neurones cérébraux.

    Il n’en fallait pas plus pour lancer les recherches visant à tester l’effet des myrtilles sur la mémoire. Parmi les centaines d’articles produits sur ce sujet, une revue récente en a identifié une douzaine de bonne qualité. Les travaux qu’ils rapportent ont évalué les résultats de la consommation d’extraits de myrtille, comparée à celle d’un placebo. Indiscutablement, on observe une (légère) tendance à l’amélioration des performances mnésiques lors des tests.

    Évitons toutefois de nous emballer. L’interprétation de ces résultats est en effet problématique, car les doses d’anthocyanines ingérées varient fortement d’une étude à l’autre (de 1 à 100). Par ailleurs, les durées d’expérimentation sont également très hétérogènes (de quelques jours à quelques mois). Il est donc impossible de tirer des conclusions définitives, et encore moins de formuler une recommandation précise en matière d’alimentation.

    Quoi qu’il en soit, une chose est certaine: de par leur composition (faible taux de sucre, présence de fibres, forte teneur en composés antioxydants…), rien ne s’oppose à la consommation de myrtilles dans le cadre d’une alimentation équilibrée. Mais attention, toutes les myrtilles ne se valent pas!

    MYRTILLES SAUVAGES OU MYRTILLES CULTIVEES ?

    Si le volume représenté par la cueillette des myrtilles sauvages reste difficile à évaluer, la culture de la myrtille se développe dans le monde entier, en particulier au Maroc et au Pérou, qui mettent en place des filières bio. À l’heure actuelle plus de la moitié de la production mondiale de myrtilles, estimée à plus de 700 000 tonnes/an en 2014, reste cependant produite par États-Unis et le Canada, l’Europe n’en produisant qu’un dixième. Vous pouvez vous aussi cultiver des myrtilles dans votre potager. Pour obtenir des fruits, veillez à planter deux arbustes de variétés différentes, dans une zone légèrement ensoleillée, à proximité de fleurs qui attireront les insectes pollinisateurs.

    Il faut cependant savoir qu’il existe une différence entre la myrtille dite sauvage (Vaccinium myrtilloides), dont la pulpe colorée tache les doigts, et la myrtille de culture (Vaccinium corymbosum), plus grosse. La pulpe de cette dernière est blanche, donc moins riche en anthocyanines. Il est donc probablement préférable d’ingérer des myrtilles sauvages plutôt que des myrtilles de culture.

    Attention toutefois: les myrtilles sauvages peuvent être responsables de l’échinococcose alvéolaire, une maladie très grave du foie due à un ver minuscule (Echinococcus multilocularis). Celui-ci parasite les renards, dont les déjections peuvent contaminer les myrtilles, qui poussent à hauteur de sol.

    Pas de panique: le nombre d’infections est très rare (moins d’une vingtaine par an en France), et il existe désormais un traitement efficace pour cette maladie autrefois mortelle. Si ce risque vous inquiète malgré tout, l’alternative est de consommer les myrtilles cuites, sous forme de tarte par exemple…

    Auteurs: Boris Hansel - Médecin, Maître de conférences des universités-praticien hospitalier, Inserm U1148, Faculté de Santé, Université de Paris

    Philippe Giral - Maître de conférence des universités - Praticien hospitalier, Institut E3M, AP-HP

    Conversation. CC BY ND

  • Pas question de le bouder

    Photo: Boudin à la viande

    Le boudin noir est préparé avec du sang et du gras de porc. Il est ensuite assaisonné avant d’être enveloppé dans du boyau puis cuit dans un bouillon. Le boudin blanc est constitué de maigre et de gras de porc additionnés le plus souvent de lait, de crème et d’œufs. Le tout est assaisonné, enveloppé dans des boyaux, poché et refroidi. Je trouve que c'est impropre de l'appeler “boudin“… dans mon enfance, on le consommait plutôt le soir du réveillon de Noêl ou jour de l'an.

    Chaque région dispose de sa propre recette. Boudin noir aux pommes, aux oignons... De toute petite, à Toulouse, je n'ai connu que ce boudin que l'on appelle désormais: à la viande… le boudin aux oignons est apparu après 1974-75, ce me semble… Comme il n'est vraiment pas cher du tout, on peut en acheter au moins une fois par mois -car il contient beaucoup de fer- et puis, comme il est déjà cuit, cela vous sort vite de la cuisine!

    Dans la généalogie des aliments, le boudin noir est l’une des plus anciennes charcuteries connues. Bien que tous les deux soient des charcuteries cuites et qu’ils aient la même forme et le même nom, les boudins noir et blanc sont deux produits très différents au niveau de leur goût, leur consistance et leur élaboration.

    Comme ce sont tous les deux des charcuteries déjà cuites, je l'ai déjà dis, il suffit juste de les réchauffer soit à la poêle, au grill ou au four. Mais attention, on réchauffe, on ne fait pas cuire et recuire!

    Perso, je le fait cuire à la poêle en fer, avec un hachis d'ail et de persil, deux minutes de chaque côté, dans une poêle bien chaude et un feu moyen; je sers ensuite avec des pommes de terre sautées ou une purée de pomme de terre arrosée du jus du boudin.

    Concernant le boudin aux oignons, on peut le cuire aussi mais, perso, je le préfère cru, si l'on peut dire  car sa fabrication le propose déjà cuit, je le consomme donc, cru avec du bon pain frais, comme on le ferait d'un saucisson. Les pauvres gens qui n'habitent pas Toulouse incorporent de la pomme dans le boudin ou le consomment avec de la pomme! N'importe quoi!!! je ne sais qui est le toqué de la toque qui a inventé la cuisine sucré-salé mais je la trouve totalement…. berk!

    Pour éviter que le boyau qui les enveloppe ne se déchire à la cuisson, piquez-le légèrement avec les pointes d’une fourchette.

     

    FEUILLETES APERO EN SPIRALES AU BOUDIN

    Préchauffez le four à 220°C.

    Pour 4 personnes environ

    1 morceau de boudin noir à l'ancienne (à la viande)

    1 pâte feuilletée au beurre, de forme rectangulaire si possible

    10 g de farine (moins d'une cuillère à café), 1 jaune d'œuf

    1 petit pot de confit d'oignon maison: c'est très simple à faire, j'ai déjà mis la recette ici: couper en cubes de gros oignons, les faire  bien brunir à la poële avec de l'huile, à la fin de la cuisson, arroser d'un bon filet de bon vinaigre de vin vieux. Prolonger la cuisson dix minutes.   Pas besoin de mettre du sucre: on n'en met pas dans le confit de canard!

    Retirez le boyau du boudin. Écrasez-le à la fourchette. Faites-le revenir dans une poêle 5 minutes à feu doux. Réservez et laissez refroidir.

    Déroulez la pâte feuilletée sur un plan de travail fariné. Étalez dessus le boudin et réformez le rouleau, en serrant bien. On n'utilise pas de film plastique! Réfrigérez une trentaine de minutes pour faciliter le découpage.

    Coupez la pâte en tranches d'un centimètre de large. Déposez les spirales sur une plaque allant au four recouverte d'un nappage d'huile, fait avec un pinceau ou le bout des doigts. Dorez à l'aide d'un pinceau au jaune d'oeuf.

    Enfournez 15 à 20 minutes jusqu'à ce qu'ils soient légèrement dorés. Servez tiède.

    Accompagnez du confit d'oignon.

  • Comment est calculée la matière grasse du fromage?

    Le fromage a sa place dans une alimentation saine et équilibrée. Il est riche en protéines et en calcium. L’idéal pour garder la ligne est d’en consommer 30 à 40 grammes par jour afin de couvrir les apports nutritifs qu’il peut combler grâce à sa composition.

    À noter que, généralement, les fromages à pâte dure sont plus riches et contiennent moins d’eau que ceux plus mous. Les concernant, la teneur en matière grasse indiquée sur l’étiquette est assez fidèle à la réalité. Aujourd’hui, les producteurs sont légalement obligés d’annoncer le pourcentage de matière grasse sur extrait sec, c’est-à-dire sans tenir compte de l’eau présente à l’intérieur du fromage.

    Par exemple, si vous vous rendez au supermarché, vous verrez que l’étiquette du Camembert affiche 45% de matière grasse. Or, ce fromage contient environ 54 grammes d’eau pour un morceau de 100 grammes. Étant donné que le calcul de pourcentage se fait sur le poids sec, cela veut donc dire qu’il n’y a pas 45 grammes de matière grasse mais bien 21 grammes. Dans la réalité, le Camembert ne possède donc que 256 Kcal.

    Les 8 fromages les plus caloriques

    - Le Brie et l’emmental (entre 350 et 355 Kcal pour 100 grammes)

    - Le mascarpone (au minimum 350 Kcal pour 100 grammes)

    - Le roquefort et le gouda (360 Kcal pour 100 grammes)

    - Le bleu de Bresse (370 Kcal pour 100 grammes)

    - Le cheddar (380 Kcal pour 100 grammes)

    - Le Beaufort et le comté (entre 380 et 400 Kcal pour 100 grammes)

    - Le parmesan (au minimum 390 Kcal pour 100 grammes)

    - L’Ossau-Iraty et le Brillat-Savarin (plus de 400 Kcal pour 100 grammes)

  • Manger du chocolat réduirait le risque d’accident vasculaire cérébral

    Une étude qui sera présentée au 62ème congrès de l’Académie Américaine de Neurologie en avril 2010 à Toronto, montre que les personnes mangeant du chocolat sont moins à risque d’accidents vasculaires cérébraux que ceux n’en mangeant pas.

    Le chocolat est riche en antioxydant, contenant en particulier des flavonoides. Cette étude est une analyse de trois études précédentes. La première avait montré chez 44 500 personnes mangeant du chocolat toutes les semaines, une réduction de 22% du risque d’accident cérébral. Dans la seconde étude, 1169 personnes qui mangeaient 50 grammes de chocolat par semaine avaient une réduction de la mortalité de 46% après un accident vascualaire cérébral. La troisième étude ne retrouvait pas de bénéfice.

    L’auteur de cette analyse, Gustavo Saposnik, se refuse cependant à conclure formellement, estimant que d’autres études sont nécessaires car on ne sait pas si cet effet bénéfique n’est pas simplement lié au fait que ce sont les personnes les mieux portantes qui ont le plus de facilité à manger du chocolat.

    Source

    American Academy of Neurology’s 62nd Annual Meeting, Toronto April 10 to April 17, 2010

  • Ventre plat? à savoir

    Crachez votre gomme à mâcher

    Beaucoup de gens mâchent du chewingum pour se couper la faim ou pour s’empêcher de manger sans y penser, mais cela peut avoir un effet secondaire fâcheux : le ballonnement. Nous avalons tous un peu d’air lorsque nous mâchons, mais ce phénomène s’accroît considérablement avec une gomme, ce qui cause des gaz et des ballonnements. Méfiez-vous aussi ces causes fréquentes de ballonnements.

    De plus, il a été prouvé que certains édulcorants augmentent votre appétit pour la malbouffe; la gomme à mâcher pourrait donc faire gonfler votre tour de taille sur deux fronts et vous empêcher d’obtenir un ventre plus plat.

  • Histoire de la tartine et genèse d’un fantasme:

    la pâte à tartiner chocolatée…

     

    La pâte à tartiner est cette fameuse substance onctueuse que l’on peut étaler sur une base comme le pain – voire une crêpe, une biscotte… En général, le résultat est ce qu’on appelle trivialement "une tartine", dont la définition est celle d’une tranche de pain (potentiellement beurrée) recouverte de ladite pâte sucrée ou salée. Plus de la moitié des Français en consomment régulièrement et 26% n’utilisent que la pâte leader du marché.

    Si ancrée dans les habitudes qu’elle soit, cette pratique est moderne. Le mot "tartine" est lui-même assez récent, et ne date que de la fin du XVIe siècle. Il fait alors partie du jargon populaire, car, pour certain, le fait d’ajouter du beurre sur le pain est une péjoration de la brioche pour laquelle le beurre est mélangé à la pâte.

    La brioche est alors l’ordinaire à la cour, d’où la fameuse phrase (faussement ?) attribuée à Marie-Antoinette – " S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche ". La question du pain est à l’époque brûlante, du fait d’une augmentation de son prix suite à une disette artificiellement créée par des spéculateurs. Quand le peuple oblige le roi Louis XVI et sa famille à quitter Versailles pour revenir à Paris, le 6 octobre 1789, il crie d’ailleurs: "Nous ne manquerons plus de pain! Nous ramenons le boulanger, la boulangère et le petit mitron!".

    DE L’HISTORIQUE DE LA TARTINE

    Une des premières images connues de tartine remonte au XVIe siècle. Il s’agit du "Repas de noces", une peinture de Pieter Brueghel l’Ancien qui représente un repas réunissant des paysans dans une salle bondée – dont, au premier plan, l’enfant à la tartine sur les genoux en train de lécher son index.

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  • Bon à savoir!

    10 fruits les moins sucrés

    1 - Le citron

    On pouvait s'en douter, le citron est le fruit le moins sucré, avec seulement 2 g de sucre pour 100 g.

    Il contienr 2 g de sucre pour 100 g de fruit

    2 - Fraise et framboise

    Ce sont les fruits rouges les moins sucrés, Pour la portion recommandée de 50 g, elles contiennent 2 g de sucre (ce qui fait 4 g de sucre aux 100 g).

    3 - La prune

    La prune contient 9 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est de 30 g ce qui correspond à environ 2,7 g de sucre.

    4 - La groseille

    La groseille contient 6 g de sucre pour 100 g, soit 3 g pour sa portion est de 50 g,

    5 - La mûre

    La mûre contient 9 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est de 50 g, soit 4,5 g de sucre par portion.

    6 - L’abricot

    L'abricot contient 9 g de sucre pour 100 g, comme la prune, mais sa portion habituelle est de 65 g ce qui donne 5,85 g de sucre par portion.

    7 - La mandarine

    La mandarine contient elle aussi 9 g de sucre pour 100 g, soit 6,3 g de sucre pour sa portion de 70 g.

    8 - Le kiwi

    Le kiwi contient 9 g de sucre pour 100, mais sa portion est d’environ 75 g ce qui donne 6,75 g de sucre pour la portion.

    9 - La pastèque

    La pastèque contient 7 g de sucre pour 100 g, ce qui correspond à sa portion.

    10 - Le melon

    Le melon contient environ 6 g de sucre pour 100 g, mais sa portion est d’environ 120 g ce qui donne environ 7,2 g de sucre par portion.

    Les fruits d'Automne et d'Hiver contenant le moins de sucre

    Pamplemousse: 6 g/100 g

    Orange: 8 g/100 g

    Mandarine & Kiwi: 9 g / 100 g

    Poire: 10 g/100 g

    Pomme, coing, raisin noir: 11 g/100 g

    Raisin blanc: 16 g/100 g

    Les fruits de Printemps et d'Été contenant le moins de sucre

    Rhubarbe, fraise & framboise: 4 g/100 g

    Groseille & melon: 6 g/100 g

    Nectarine & pastèque: 7 g/100 g

    Abricot, prune & mûre: 9 g/100 g

    Cassis, pêche & poire: 10 g/100 g

    Myrtille, pruneau, pomme: 11 g/100 g

    Figue: 13 g/100 g

    Cerise: 14 g/100g

    Les fruits exotiques contenant le moins de sucre

    Vous pouvez également trouver d’autres fruits, plus exotiques et faiblement sucrés sur les étalages du marché:

    La carambole qui contient 4 g de sucre pour 100 g,

    La goyave qui en renferme 6 g par 100 g,

    La cranberry ou canneberge fraîche qui comporte 7 g de sucre pour 100 g.

    Les fruits rouges contenant le moins de sucre

    Fraise: 4 g/100 g

    Framboise: 4 g/100 g

    Groseille: 6 g/100 g

    Mûre: 9 g/100 g

    Cassis: 10 g/100 g

    Myrtille: 11 g/100 g

    Cerise: 14 g/100 g

    Quels sont les fruits secs (naturels) les moins sucrés?

        Noix du Brésil: 2,33 g/100 g

        Noix: 3 g/100 g

        Amande: 4,2 g/100 g

        Cacahuète: 5,9 g/100 g

        Noisette: 4,9 g/100 g

        Noix de macadamia: 4,24 g/100 g

        Noix de pécan: 4,9 g/100 g

        Pignon de pin: 5,21 g/100 g

        Pistache: 7,74 g/100 g

        Noix de cajou: 8,01 g/100 g

     

    Quels sont les fruits qui contiennent le moins de fructose?

    Pour les personnes qui souffrent de malabsorption du fructose, il est important de connaître les fruits qui en sont les moins pourvus pour éviter les troubles intestinaux:

        Rhubarbe: 0,67 g/100 g

        Citron: 0,4 g/100 g

        Pêche: 1,29 g/100 g

        Abricot: 1,3 g/100 g

        Nectarine: 1,37 g/100 g

        Mandarine: 1,5 g/100 g

    Quels sont les fruits les plus riches en sucre?

        Datte: 64,7 g/100 g

        Litchi: 15,7 g/100 g

        Banane: 15,6 g/100 g