Oui, je sais...cela ne va pas plaire à tout le monde...
mais c'est notre triste réalité!
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Vitamine E
La vitamine E regroupe deux familles de composés:
- les tocophérols (alpha, bêta, gamma, delta)
- les tocotriénols (alpha, bêta, gamma, delta).
Il existe donc en tout 8 formes de vitamine E mais celle qui est retrouvée le plus souvent dans la nature est l'alpha-tocophérol.
QUEL EST LE ROLE DE LA VITAMINE E?
La vitamine E est un antioxydant, elle est liposoluble (soluble dans les graisses). Elle protège de l'oxydation, les corps gras de l'organisme (membranes cellulaires, cholestérol…). Elle joue donc un rôle protecteur de la membrane des cellules de notre corps. Elle possède aussi des propriétés anti-inflammatoires.
Sous la forme de supplément, elle augmente l'immunité des personnes âgées. Elle pourrait jouer un rôle dans la prévention des maladies cardiovasculaires et des accidents vasculaires cérébraux, même si les résultats des études sont contradictoires. Elle pourrait aussi réduire le risque de cancer de la prostate (là aussi les résultats sont contradictoires), et celui de cataracte. D'après les études, elle aurait également des effets bénéfiques contre le vieillissement (en protégeant de l'attaque des radicaux libres et donc du stress oxydant) et le déclin des fonctions cognitives. LaNutrition.fr recommande un apport de 15 mg par jour pour un adulte.
QUELS SONT LES SYMPTOMES D'UNE CARENCE EN VITAMINE E?
Dans les pays industrialisés, la carence en vitamine E est rare chez les personnes en bonne santé. Elle est presque toujours liée à certaines maladies dans lesquelles les graisses ne sont pas correctement digérées ou absorbées (maladie de Crohn, fibrose kystique et certaines maladies génétiques rares telles que l'abétalipoprotéinémie et l'ataxie avec carence en vitamine E). La vitamine E a besoin de graisse pour être absorbée par le système digestif.
Une carence en vitamine E peut causer des lésions nerveuses et musculaires entraînant une perte de sensation dans les bras et les jambes, une perte de contrôle des mouvements du corps (troubles de la coordination), une faiblesse musculaire et des problèmes de vision. Un système immunitaire affaibli est un autre signe de carence.
Comment prendre un complément alimentaire de vitamine E? Quelle vitamine E choisir?
La vitamine E dans les compléments alimentaires est presque toujours présente sous forme d'alpha-tocophérol seul. De fortes doses d'alpha-tocophérol déplacent le gamma-tocophérol , un isomère de la vitamine E important pour la santé. Il faudrait donc préférer les doses modestes.
Pour compliquer les choses, il existe des formes de vitamine E: synthétique et naturelle. La vitamine E (alpha-tocophérol) naturelle est deux fois plus biodisponible que la vitamine E synthétique. LaNutrition.fr conseille de privilégier les compléments offrant les 8 isomères de la vitamine E (ce qui est rare), privilégier également les formes naturelles, et éviter les doses supérieures à 100 UI d'alpha-tocophérol par jour, sauf indication médicale.
Je vous conseille de privilégier les compléments offrant les 8 isomères de la vitamine E (ce qui est rare), privilégier également les formes naturelles, et éviter les doses supérieures à 100 UI d'alpha-tocophérol par jour, sauf indication médicale.
QUEL EST LE RISQUE D'UN SURDOSAGE EN VITAMINE E?
La vitamine E naturellement présente dans les aliments et les boissons n'est pas nocive et n'a pas besoin d'être limitée. Sous forme de supplément, cependant, de fortes doses de vitamine E pourraient augmenter le risque de saignement (en réduisant la capacité du sang à former des caillots après une coupure ou une blessure).
OU TROUVER LA VITAMINE E?
L'alpha-tocophérol est majoritaire par exemple dans les amandes, les cacahuètes, l'huile d'olive, l'huile de tournesol. Il y a autant ou plus de gamma-tocopherol que d'alpha-tocophérol dans les huiles de colza, maïs, lin, soja et les noix. L'huile de palme est une source importante de tocotriénols (alpha, gamma, delta).
Pour vous aider à combler vos besoins en vitamine E par le biais de l'alimentation, voici une liste non exhaustive des meilleures sources de vitamine E parmi les aliments couramment consommés:
Quelle est l'huile qui contient le plus de vitamine E?
1 - Huile de germe de blé
L'huile de germe de blé contient environ 149 mg de vitamine E pour 100 g.
2 - Huile de tournesol
L'huile de tournesol renferme environ 58,3 mg de vitamine E pour 100 g. Attention cette huile contient aussi trop d'acides gras oméga-6 pour être consommée de manière régulière.
3 - Huile d'avocat
L'huile d'avocat contient 45,3 mg de vitamine E pour 100 g.
Mais l'avocat seul est également une source, pour 100 g on retrouve environ 2 mg.
Les autres types d'aliments
4 - Graines de tournesol
Les graines de tournesol renferment 42,3 mg de vitamine E pour 100 g.
5 - Huile de foie de morue
L'huile de foie de morue contient 30 mg pour 100 g.
6 - Huile de noisette
L'huile de noisette contient 28,6 mg pour 100 g et la noisette 15 mg/100 g.
7 - Huile de colza
L'huile de colza contient 27,7 mg pour 100 g.
8 - Anguille cuite
L'anguille cuite au four est une bonne source de vitamine E, elle contient 5 mg pour 100 g.
9 - Sardines en conserve
Les sardines en conserve sont des sources de vitamine E, pour 100 g on retrouve environ 2 mg.
10 - Les œufs
Un œuf moyen pèse 60 g avec la coquille, et 50 g sans. Pour 100 g soit environ 2 œufs moyens, on retrouve 2 à 3 mg de vitamine E.
Les épinards, les poivrons et les fruits oléagineux, sont également de bonnes sources de vitamine E.
Les vitamines A, B6, B9, B12, C et D et les minéraux zinc, sélénium et fer sont tous nécessaires au bon fonctionnement du système immunitaire.
Il a été démontré que chacun de ces micronutriments — ainsi que la vitamine E — joue de multiples rôles dans le soutien de la fonction immunitaire et la réduction du risque d'infection. Une recherche a démontré un lien entre un système immunitaire affaibli et de faibles quantités de nombreux vitamines et minéraux.
Lorsque le système immunitaire n'est pas adéquatement alimenté et qu'il est affaibli, cela peut alors entraîner de mauvaises réponses aux vaccins. Par exemple, une revue de neuf études — portant sur 2 367 personnes — a montré que les personnes déficientes en vitamine D étaient moins bien protégées contre deux souches de grippe après avoir été vaccinées que celles qui avaient des niveaux de vitamine D adéquats.
En revanche, des essais contrôlés randomisés de suppléments de micronutriments (tels que la vitamine B6, la vitamine E, le zinc et le sélénium) chez les personnes âgées ont montré qu'ils augmentent la capacité du système immunitaire à répondre aux infections. En outre, il semble que pour fonctionner au mieux, le système immunitaire a besoin de vitamines C, D et E ainsi que de zinc et de sélénium en excès, des quantités qui peuvent généralement être obtenues par le seul biais de l'alimentation. Par exemple, des niveaux de sélénium supérieurs à ceux généralement considérés comme optimaux ont été associés à un meilleur taux de guérison pour Covid-19.
Des recherches sur des personnes âgées ont également montré que les réactions à la vaccination sont meilleures après que des mesures ont été prises pour améliorer la nutrition. Par exemple, une étude a démontré que les personnes âgées de 65 à 85 ans qui mangeaient cinq portions ou plus de fruits et légumes par jour réagissaient beaucoup plus fortement à un vaccin antipneumococcique que les personnes du même âge qui ne mangeaient que deux portions de fruits et légumes ou moins.
Dans une autre étude, il a été constaté que l'administration quotidienne de suppléments de vitamine E aux personnes de plus de 65 ans augmentait la quantité d'anticorps qu'elles produisaient après avoir été vaccinées contre l'hépatite B et le tétanos. Et chez les personnes déficientes en sélénium, des suppléments quotidiens ont permis d'améliorer certains aspects de leur réponse immunitaire à un vaccin vivant contre la poliomyélite et de réduire l'émergence de souches virales mutantes.
Ce dernier résultat illustre le fait que de nouvelles variantes virales sont plus susceptibles d'apparaître chez les personnes dont le corps est "stressé par l'oxydation". Le stress oxydatif peut être causé par l'absorption de quantités insuffisantes de nutriments antioxydants, par exemple le sélénium et la vitamine E.
Avec l'abatage de nos volailles, les œufs, les viandes et le foie gras vont augmenter encore!
En date du 8 novembre 2022, voici où des foyers de contamination ont été détectés en Occitanie : un foyer dans le Gard, un dans l'Hérault, un dans le Lot, un dans l'Aude et un dans les Hautes-Pyrénées.
Les 31 autres départements en France concernés par des cas de grippe aviaire :
Vendée : 12 cas détectés
Maine-et-Loire : 8 cas détectés
Somme : 7 cas détectés
Ille-et-Vilaine : 6 cas détectés
Deux-Sèvres : 4 cas détectés
Morbihan : 4 cas détectés
Sarthe : 4 cas détectés
Ain : 3 cas détectés
Côtes-d'Armor : 3 cas détectés
Loire-Atlantique : 3 cas détectés
Pas-de-Calais : 3 cas détectés
Seine-Maritime : 3 cas détectés
Seine-et-Marne : 3 cas détectés
Aisne : 2 cas détectés
Finistère : 2 cas détectés
Indre : 2 cas détectés
Indre-et-Loire : 2 cas détectés
Loir-et-Cher : 2 cas détectés
Mayenne : 2 cas détectés
Oise : 2 cas détectés
Orne : 2 cas détectés
La Réunion : 2 cas détectés
Ardèche : 1 cas détecté
Charente-Maritime : 1 cas détecté
Dordogne : 1 cas détecté
Gironde : 1 cas détecté
Loiret : 1 cas détecté
Manche : 1 cas détecté
Meuse : 1 cas détecté
Nord : 1 cas détecté
Haut-Rhin : 1 cas détecté
Le Clairon
Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.
Des regards morts sur des visages meurtris
Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.
Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.
–
C’est un soleil et non le temps d’une boucherie
Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,
Le long des tranchées de la désespérance.
De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.
–
Le clairon balaye les frontières de mort.
Des cris et des rires venant de l’ennemi,
Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.
Oubliée la haine, le désespoir et les torts.
–
Des tranchées sortent des hommes vivants sous terre,
L’uniforme invisible, ils regardent le ciel.
Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.
Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !
–
Les hommes titubent. L’officier devient le frère.
Les larmes écoulant le trop-plein de haine
Les rancunes, les frères morts laissés en terre
La guerre est finie. La paix entre en scène.
–
Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées
Ces soldats d’une guerre civile. La grande guerre !
Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée
Apportant un siècle de lutte et de misère.
–
Le clairon sonne la fin des combats, la paix !
L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!
Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !
Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.
Gérard Brazon
Une nouvelle étude menée par des neurologues américains confirme que l’alimentation est un facteur clé de la santé et en particulier, de la santé cérébrale. Les résultats de leurs recherches, qui incluent plus de 2100 participants, suggèrent qu’une consommation élevée d’acides gras essentiels dès le milieu de la vie influence positivement la structure cérébrale et les capacités de réflexion.
Les oméga-3 (comme les oméga-6) sont des acides gras dits essentiels, car ils sont très importants pour l’organisme, qui ne peut les synthétiser lui-même ; ils sont donc apportés par l’alimentation. Certains poissons gras (saumons, truite, maquereau, sardine, anchois…), mais aussi les noix, les graines de chia, l’huile de lin, etc., sont de très bonnes sources d’oméga-3. On distingue l’acide alpha-linolénique (ALA), l’acide eicosapentaénoïque (EPA) et l’acide docosahexaénoïque (DHA) ; l’ALA se trouve principalement dans les huiles végétales, tandis que le DHA et l’EPA se trouvent dans les poissons et autres fruits de mer.
Les acides gras oméga-3 sont nécessaires au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux. Des études suggèrent que leur consommation préserve le système cardiovasculaire, en diminuant la pression artérielle et la quantité de triglycérides dans le sang. Ils sont également associés à de meilleurs résultats neurologiques chez les personnes âgées. Leurs effets sur les personnes d’âge moyen, dans la quarantaine, ont en revanche été peu explorés. Une équipe de chercheurs s’est donc penchée sur la question.
Des micronutriments essentiels, qui « dopent » le cerveau
"Nous avons étudié l’association transversale des concentrations d’acides gras oméga-3 dans les globules rouges avec l’IRM et les marqueurs cognitifs du vieillissement cérébral dans un échantillon communautaire d’adultes principalement d’âge moyen"», explique l’équipe dans la revue Neurology. Plus précisément, l’étude a impliqué 2183 personnes (dont 53% de femmes) âgées en moyenne de 46 ans, qui ne souffraient pas de démence ou d’accident vasculaire cérébral.
Les concentrations de DHA et d’EPA ont été mesurées à partir des globules rouges par chromatographie en phase gazeuse, et l’indice oméga-3 a été calculé en additionnant les deux concentrations. Les participants ont ensuite été répartis en deux groupes : ceux du groupe « faible » avaient en moyenne 3,4% de leurs acides gras totaux sous forme d’acides gras oméga-3, contre 5,2% en moyenne pour les personnes du groupe « fort ». À noter qu’un niveau optimal est de 8% ou plus ; une proportion d’oméga-3 comprise entre 4% et 8% est considérée comme intermédiaire, tandis qu’un taux inférieur à 4% est considéré comme faible.
Les participants ont passé des IRM cérébrales visant à mesurer les volumes du cerveau dans sa totalité, de la matière grise, de l’hippocampe et de la substance blanche. Ils ont également passé des tests permettant d’évaluer leur fonction cognitive (en particulier la mémoire épisodique, la vitesse de traitement, la fonction exécutive et le raisonnement abstrait).
Les chercheurs ont observé que les personnes qui consommaient des niveaux plus élevés d’acides gras oméga-3 avaient non seulement des scores moyens plus élevés dans le test de raisonnement abstrait, mais le volume moyen de leur hippocampe — une partie du cerveau qui joue un rôle majeur dans l’apprentissage et la mémoire — était plus important.
Un effet positif sur les individus à haut risque d’Alzheimer
Les chercheurs ont également étudié l’effet des concentrations d’oméga-3 dans les globules rouges chez les participants porteurs de l’allèle 4 du gène APOE (APOE4) — une variation génétique liée à un risque plus élevé de maladie d’Alzheimer. Ils ont découvert que les porteurs d’APOE4 avec un indice oméga-3 plus élevé présentaient moins de maladies des petits vaisseaux sanguins. « S’il existe un facteur de risque modifiable qui peut l’emporter sur la prédisposition génétique, c’est un gain important », souligne Debora Melo van Lent, chercheuse au Glenn Biggs Institute for Alzheimer’s and Neurodegenerative Diseases et co-auteure de l’étude.
La façon dont ces acides gras protègent le cerveau reste à déterminer. On sait qu’ils sont nécessaires à la membrane des neurones ; de ce fait, les scientifiques pensent que lorsqu’ils sont remplacés par d’autres types d’acides gras, les neurones pourraient devenir instables. Une autre explication pourrait être liée aux propriétés anti-inflammatoires du DHA et de l’EPA.
Bien que le mode d’action des oméga-3 ne soit pas encore clair, l’étude suggère qu’une consommation même modeste de ces acides gras pourrait suffire à préserver les fonctions cérébrales, même chez les personnes d’âge moyen. « Si vous avez un régime qui comprend des acides gras oméga-3, vous protégez déjà votre cerveau pour la plupart des indicateurs du vieillissement cérébral que nous voyons à l’âge mûr », a déclaré Claudia Satizabal, professeure en sciences de la santé de la population au Biggs Institute et première auteure de l’étude.
Les études recherchant des associations entre l’alimentation et la santé sont très importantes, car elles peuvent potentiellement déboucher sur des actions préventives relativement simples à mettre en place. « Si les gens pouvaient améliorer leur résilience cognitive et potentiellement éviter la démence en modifiant simplement leur alimentation, cela pourrait avoir un impact important sur la santé publique », confirme Claudia Satizabal.
Ces résultats doivent toutefois être confirmés par des recherches supplémentaires. Soulignons par ailleurs que cette étude n’est qu’un instantané des effets des oméga-3, dans le sens où les participants n’ont pas été suivis sur une longue période. Ainsi, elle ne prouve pas que ces acides gras préservent les fonctions cognitives sur le long terme — même si l’association positive mise en évidence ici laisse présager un tel effet.
Source : C. L. Satizabal et al., Neurology
DONC: pour les fauchés, consommez une boîte de sardine (avec l'huile) au moins une fois par semaine! Ou bien:
Plus le chou de Bruxelles est petit, moins il aura tendance à être amer. C’est bon à savoir car c’est souvent l’amertume que certains n’apprécient guère chez les choux en général, et celui de Bruxelles en particulier.
Autre frein : la difficulté à les digérer. Pour pallier ce problème, il suffit de penser à blanchir les légumes. Après avoir enlevé les feuilles flétries, coupez la base. Lavez les choux et égouttez-les. Il ne vous restera plus qu’à les plonger cinq minutes dans l’eau bouillante.
Vous pouvez également ajouter une cuillère à café de bicarbonate de soude dans l’eau de cuisson. En effet, le bicarbonate rend plus digeste, atténue les odeurs soufrées à la cuisson et aide à conserver une jolie couleur verte.
Enfin, dernier point essentiel : ne le cuisez pas plus qu’il ne faut! C’est la surcuisson qui rend les choux de Bruxelles tout mous et pas franchement ragoûtants. Ainsi, en surveillant leur cuisson pour les garder légèrement fermes, ils n’en seront que meilleurs.
Souvent en cuisine, plus c’est simple, meilleur c’est. Les choux de Bruxelles ne font pas exception à cette règle. Nous vous conseillons une cuisson du chou de Bruxelles vapeur pendant 12 minutes au préalable pour gagner du temps et leur éviter de brûler avant d’être suffisamment cuits. Pour une cuisson des choux de Bruxelles à la cocotte minute, dans le panier vapeur, comptez 8 minutes.
Une fois blanchis ou précuits, coupez les choux en deux et mettez-les dans un saladier. Préparez une marinade express avec de l’huile d’olive, du paprika fumé, des herbes de Provence, sel et poivre. Et comme il n’y a pas que les choux de Bruxelles aux lardons dans la vie, vous pouvez opter pour quelques cubes de tofu fumé à la place. Mélangez le tout avec les mains pour bien imprégner chaque morceau. Déposez dans un plat. Ajoutez de l’ail en chemise. Enfournez 30 minutes environ, à 200°C.
A rôtir ou au gratin
Au four, les choux de Bruxelles font un malheur, mélangés à d’autres légumes de saison, tous rôtis au miel : carottes, panais et pommes de terre.
En bon légume d’hiver, c’est un vrai régal en gratin. Voici une bonne recette de choux de Bruxelles à la crème. Une fois préparés, disposez les choux de Bruxelles coupés en deux dans un plat à gratin. Parsemez quelques morceaux de beurre. Faites cuire environ 20 minutes à 200°C. Sortez du four, salez, poivrez. Ajoutez de la crème et du fromage râpé. Remuez bien et enfournez pour 10 minutes supplémentaires.
Les choux de Bruxelles à la poêle
Pour un plat rapide et simple, réalisez cette recette de choux de Bruxelles à la moutarde. Émincez un gros oignon et faites le revenir dans une poêle ou une sauteuse. Pendant ce temps, préparez une sauce en mélangeant de la crème liquide et une bonne cuillère à soupe de moutarde à l’ancienne. Salez et poivrez à votre convenance. Ajoutez les choux de Bruxelles blanchis aux oignons lorsqu’ils sont translucides et nappez avec la sauce moutarde. Mélangez et laissez mijoter quelques minutes.
Comment cuire les choux de Bruxelles en conserve ?
Beaucoup moins goûteux que les choux de Bruxelles frais, les choux de Bruxelles en conserve peuvent dépanner quand on a moins de temps dans la semaine. Déjà cuits, ils se préparent en quelques minutes. Pour en tirer le meilleur parti, rincez-les et faites-les sauter dans un wok avec de la sauce soja, du gingembre râpé et un peu d’ail.
Manger des choux de Bruxelles crus
Vous ne l’auriez peut-être pas soupçonné, et pourtant : le chou de Bruxelles se mange cru et offre une toute autre expérience gustative ! Émincés très finement, les choux de Bruxelles crus sont un régal en association sucré / salé. Préparez vous une salade ultra vitaminée en mélangeant les choux de Bruxelles avec des quartiers de pomme ou de poire et des dés de fromage. Ajoutez quelques noix et une vinaigrette douce avec un trait de jus d’orange.
PERSO
Je fais une poêlée de choux de Bruxelles avec de la cansalade bien rôtie et des châtaignes... ou des champignons de couche! j'adore cela!
Pour accompagner ma viande de Noël