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Actualité - Page 41

  • Pain perdu au chocolat et à la banane.

    Ingrédients:

    1 banane mûre. 75 g de chocolat au lait haché.

    4 tranches de pain de mie ou autres

    3 œufs. 1 cuilère à soupe  de crème fraîche.

    1 cuilère à soupe  de miel liquide

    1 cuillère à café d’extrait de vraie vanille.

    25 g de beurre non salé.

    De la cannelle en poudre ou du sucre glace (optionnel).

    Dans un petit récipient, écrasez votre banane avec une fourchette. Ajoutez le chocolat haché et mélangez bien.

    Disposez 2 tranches de pain sur le plan de travail. Répartissez sur chacune d’elles le mélange banane et chocolat et fermez les deux tranches. Pas d’inquiétude si le mélange déborde un peu de votre "sandwich", c’est normal.

    Dans un récipient peu profond, mélangez ensemble les œufs, la crème fraîche, le sirop ou le miel et l’extrait de vanille.

    Faites fondre le beurre dans une grande poêle à feu moyen.

    Trempez votre sandwich dans le mélange aux œufs d’un côté, puis de l’autre.

    Placez votre sandwich dans la poêle très chaude et faites cuire pendant 1 minute de chaque côté. Il faut que le côté soit doré et que le chocolat commence à fondre.

     Coupez en deux avant de servir, ou laissez entier, et saupoudrez de sucre glace, de sirop d’érable ou de cannelle en poudre selon vos goûts.

    La cannelle abaisse le taux de sucre dans le sang et régule, donc l'insuline; de plus, il est prouvé que c'est un VRAI aphrodisiaque pour les messieurs (il faut en consommer souvent et beaucoup tout de même)

  • Il a osé insulter!

    De toutes les manières, à quoi s'attendre de ce gus???

    Dans les coulisses de la démission du général de Villiers: l’achat de son silence par Emmanuel Macron

    14 juillet 2017. Le mandat d’Emmanuel Macron débutait à peine, mais celui-ci s’annonçait déjà jupitérien. Nul n’a oublié les déboires du président de la République avec son chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers. Cette confrontation avait fait couler beaucoup d’encre.

    Sur fond de baisse du budget des armées et de crise d’autorité, l’animosité entre les deux hommes entraînait la démission du général.

    À l’occasion de la sortie de leur dernier ouvrage, le Traître et le néant, les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme reviennent sur cet incident. Bilan du quinquennat d’Emmanuel Macron, le livre dévoile les coulisses de cette relation particulièrement houleuse.

    Si le général de Villiers n’a pas donné suite à la demande d’interview des journalistes, son frère Philippe est revenu en détail sur la nature de cette inimitié. Au cours de ces pages, on apprend que l’actuel président de la République a tenté d’acheter le silence de son chef d’état-major des armées pour que sa démission ne s’ébruite pas.

    Les deux auteurs révèlent qu’au cours d’un déjeuner au restaurant La Lanterne, Emmanuel Macron a tenté de soudoyer Pierre de Villiers pour que celui-ci ne quitte pas son poste. Fidèle à ses convictions, le général n’a pas changé d’avis. Le chef de l’État lui a alors proposé un parachute doré.

    Davet et Lhomme rapportent les propos hallucinants d’Emmanuel Macron: “Si vous partez, moi, je vous nomme dans un poste qui vous permettra d’avoir d’importants émoluments“.

    Choqué par cette pratique, Pierre de Villiers lui aurait alors répondu: “Monsieur le président, ma décision était prise, mais là, vous venez de franchir la ligne rouge, parce que vous ignorez tout de ce que je suis et de ce qu’est ma famille. Nous sommes une vieille famille de chevaliers français. Et donc, là, vous venez de m’insulter“.

    La suite des événements, vous la connaissez.

    Valeurs actuelles

    En tant que voyante, professionnelle depuis 1983, j'ai “vu“ descendre en command-car sur les Champs Elysées, le nouveau président -élu le 27 avril 2022: ce n'était pas Macron!

  • Alzheimer: état de la recherche

    Alors que 3 millions de personnes en France seulement sont atteintes de la maladie d'Alzheimer, la perspective de voir apparaître un traitement ne cesse de s'éloigner. Les échecs des laboratoires pharmaceutiques ont en effet continué de s'accumuler en 2018 et 2019, au point que Pfizer a annoncé qu'il renonçait à développer des médicaments contre la démence (ce qui fait suite à plusieurs tentatives infructueuses, notamment celle du bapineuzumab, en 2012).

    Au total, on considère que 99,6% des pistes de médicaments contre Alzheimer se sont révélées des échecs cuisants ne dépassant même pas la phase de test. Et les 0,4% de médicaments qui ont finalement été mis sur le marché sont incapables d’enrayer, ou même de ralentir le cours de la maladie. C’est d’ailleurs ce constat qui a conduit le ministère de la Santé français à décider du déremboursement de quatre médicaments anti-Alzheimer à compter du 1er août 2018.

    Que faire aujourd’hui contre cette maladie?

    Le problème réside sans doute dans le fait que les laboratoires, comme la plupart des chercheurs, s’obstinent à s’attaquer aux plaques amyloïdes. Or, selon le Dr Dale Bredesen, auteur de La fin d’Alzheimer, la formation de plaques amyloïdes ne serait pas la cause d’Alzheimer mais une réponse du cerveau face à diverses agressions endogènes ou exogènes (inflammation, carences en nutriments / molécules bénéfiques, molécules toxiques, etc).

    De nouvelles théories émergent pour expliquer pourquoi les maladies cognitives se développent dans le cerveau. Plusieurs mettent en avant le l'influence du mode de vie. Les recherches montrent que la démence commence vers l'âge de 45 ans et s'installe lentement. Les études expérimentales et épidémiologiques suggèrent qu'un régime alimentaire sain, la pratique régulière de l'exercice, adoptés le plus tôt possible, peuvent prévenir les maladies dégénératives.

    La qualité du sommeil jouerait aussi un rôle majeur, dans la mesure où l'amyloïde est éliminée pendant le sommeil profond. Un sommeil perturbé viendrait interrompre ce processus d'élimination.

    Les chercheurs s'intéressent aussi au jeûne intermittent. Des études récentes chez l'animal laissent penser qu'une telle pratique peut s'opposer à la progression d'Alzheimer. 

    Ces pistes de prévention et de traitement sont suivies par plusieurs équipes de recherche. Le Dr Dale Bredesen croit qu'il existe jusqu'à 36 causes de la maladie, et non une seule, et propose aux patients un protocole personnalisé qui allie diététique, activité physique, supplémentation, meilleure gestion du sommeil et du stress, exercices cognitifs, etcuillère Deux petites études ont enregistré des résultats prometteurs dont une étude, parue dans le journal Aging en 2016.

    Mais pour le Dr Bredesen, qui a suivi 2000 patients depuis 6 ans, le taux de succès de ce protocole, en termes d’inversion des symptômes, atteint quasiment 100% chez les stades précoces et, en moyenne, tous stades confondus, plus de 50%. D'autres études sont en cours.

  • Le basilic: incroyable!

    Un composé présent dans le basilic aurait des vertus protectrices contre la maladie d’Alzheimer

    Des chercheurs de l’Université de Floride du sud ont découvert qu’un composé naturel présent dans certaines plantes, notamment le basilic, pourrait aider à préserver le cerveau contre la maladie d’Alzheimer. Ce composé, le fenchol, interviendrait favorablement dans un mécanisme moléculaire reliant le microbiote intestinal et le cerveau, préservant ce dernier du déclin cognitif lié à l’âge.

    L’une des deux pathologies caractéristiques de la maladie d’Alzheimer sont les dépôts durcis du peptide β-amyloïde (Aβ), qui s’agglutinent entre les cellules nerveuses et forment des plaques de protéines amyloïdes dans le cerveau. L’autre est liée à l’enchevêtrement neurofibrillaire de protéine tau à l’intérieur des cellules cérébrales. Toutes deux contribuent à la perte et à la mort des neurones, qui conduisent à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

    Des preuves récentes indiquent que les acides gras à chaîne courte (AGCC) — des métabolites produits par certaines bactéries du microbiote intestinal — contribuent à la santé du cerveau. L’abondance des AGCC est ainsi souvent réduite chez les patients âgés atteints de troubles cognitifs légers et de la maladie d’Alzheimer. Cependant, la manière dont cette baisse du taux d’AGCC contribue à la progression de la maladie reste largement inconnue. L’équipe du Dr Hariom Yadav, professeur de neurochirurgie et de réparation cérébrale et directeur de l’USF Center for Microbiome Research, s’est penchée sur la question. Les détails de leur étude ont été publiés le 5 octobre dans la revue Frontiers in Aging Neuroscience.

    Un composé naturel qui joue le même rôle que les acides gras à chaîne courte

    Les AGCC sont des molécules produites par les bactéries lorsqu’elles fermentent des composants alimentaires, notamment des fibres (glucides non digestibles), dans le côlon. Certains de ces AGCC demeurent et agissent directement dans l’intestin (c’est la principale source d’énergie des cellules du côlon), tandis que d’autres migrent à travers l’organisme, où elles participent à plusieurs mécanismes complexes. Les AGCC qui voyagent dans le sang jusqu’au cerveau peuvent se lier au récepteur d’acide gras libre 2 (FFAR2) et l’activer; ce récepteur est une molécule de signalisation cellulaire exprimée par les neurones.

    Le Dr Yadav et ses collaborateurs étudient les mécanismes moléculaires qui régissent les interactions entre le microbiote intestinal et le cerveau, et qui peuvent potentiellement influencer la santé de ce dernier. Or, ils ont découvert que la stimulation du mécanisme de détection du FFAR2 par les AGCC peut être bénéfique pour protéger les cellules cérébrales contre l’accumulation toxique de la protéine bêta-amyloïde associée à la maladie d’Alzheimer. Le FFAR2 jouerait donc un rôle essentiel, jamais identifié jusqu’alors.

    Les chercheurs ont d’abord montré que le fait d’inhiber ce récepteur (bloquant ainsi sa capacité à détecter les AGCC dans l’environnement extérieur de la cellule neuronale) contribue à une accumulation anormale de la protéine Aβ, responsable de la neurotoxicité liée à la maladie.

    Ils ont alors entrepris de rechercher, parmi plus de 144 000 composés naturels, une substance susceptible de provoquer les mêmes effets que les AGCC produits par le microbiote; autrement dit, une substance capable d’activer la signalisation FFAR2. En effet, les cellules intestinales et d’autres organes consomment la plupart de ces acides gras avant qu’ils n’atteignent le cerveau. Il serait donc particulièrement intéressant de trouver un composé alternatif.

    Une double action préventive

    Parmi les composés candidats, le fenchol est apparu comme le plus efficace pour se lier au récepteur et activer sa signalisation. Très utilisé en parfumerie, le fenchol donne au basilic son parfum si caractéristique; on le trouve également dans certaines plantes vivaces du genre Aster.

    Des expériences menées sur des cultures de cellules neuronales humaines, ainsi que sur des modèles de vers et de souris atteints d’Alzheimer ont montré que le fenchol réduisait de manière significative l’accumulation excessive d’Aβ et la mort des neurones, en stimulant la signalisation FFAR2. En examinant de plus près l’action du fenchol, les chercheurs ont constaté que cette molécule limitait la formation de cellules neuronales sénescentes — des cellules appelées “cellules zombies“, particulièrement répandues dans les cerveaux affectés par la maladie d’Alzheimer.

    Les cellules zombies sont des cellules qui cessent de se répliquer et meurent lentement. Mais pendant cette longue agonie, elles s’accumulent dans les organes malades et vieillissants, créant un environnement inflammatoire néfaste; elles envoient des signaux de stress ou de mort aux cellules saines voisines, qui finissent par se transformer à leur tour en cellules zombies ou par mourir, expliquent les auteurs de l’étude.

    Dans le cas des modèles de laboratoire étudiés, le fenchol semble donc agir sur deux plans : à la fois sur la sénescence et sur la protéolyse (le mécanisme de segmentation des protéines). « Il réduit la formation de cellules neuronales zombies à moitié mortes et augmente également la dégradation de la protéine Aβ (non fonctionnelle), de sorte que la protéine amyloïde est éliminée du cerveau beaucoup plus rapidement », précise le Dr Yadav.

    Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer l’action du fenchol chez l’Homme, mais ce composé semble particulièrement prometteur et pourrait être envisagé comme approche possible pour traiter ou prévenir la maladie d’Alzheimer. L’équipe poursuit donc ses recherches; il est notamment question de déterminer si le fenchol administré via la consommation de basilic serait plus ou moins efficace qu’une pilule contenant une forme isolée du composé. Reste également à estimer la posologie idéale d’un tel traitement.

    Sources : Frontiers in Aging Neuroscience, USF Health

  • Information importante

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  • Bon à savoir!

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2021/10/04/faites-passer-a-tout-le-monde-6341426.html