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Actualité - Page 51

  • Vivent les nanas!

    29 avril 1945.

    Les femmes votent pour la première fois en France à l’occasion des élections municipales. Ce premier scrutin est la manifestation concrète de l’ordonnance du 21 avril 1944 ouvrant le suffrage universel aux citoyennes françaises.

    Ce droit élémentaire a été obtenu un siècle après les hommes, qui ont pu bénéficier du droit de vote au suffrage universel dès 1848.

    Suffrage universel? il faut savoir que seuls les nobles et riches pouvaient voter avant 1848.

  • Tout savoir sur l'abricot

    Hélas! avec la gelée noire récente, nous allons manquer de fruits et de légumes français! Personnellement, j'ai pris de l'avance et acheté moult fruits congelés pour en avoir sous la main cet été. Voici mes infos sur ce fruit délicieux

    Un apport de sécurité en bêta-carotène

    L’abricot représente une source remarquable de provitamine A (ou bêta-carotène), qui se transforme dans l’organisme en vitamine A. Cette vitamine est nécessaire à la croissance, au bon état de la peau et des muqueuses, ainsi qu’à la vision crépusculaire. Elle possède des propriétés détoxicantes et anti-oxydantes reconnues, et joue un rôle efficace dans la protection contre le cancer et le vieillissement cellulaire. Elle augmente également la résistance aux infections. Son action est donc précieuse et diversifiée.

    L'importance du rétinol

    Le principal rôle du rétinol est d'améliorer la qualité de la vision. La vitamine intervient dans la formation des pigments de la rétine et permet de faciliter la vision durant la nuit.

    La vitamine est également connue pour son rôle dans la croissance des cellules et dans la régulation de l'expression des gènes. Le rétinol permet aussi de renforcer les défenses immunitaires de l'organisme. Une carence de cette vitamine peut provoquer la sécheresse des yeux et de l'épiderme.

    Où trouver le rétinol?

    On retrouve majoritairement la vitamine dans les aliments d'origine animale. Les aliments renfermant le rétinol sont le foie, les jaunes d'œuf, les huiles de poisson, le caviar, etc. Ces différents produits sont de très bons apports en vitamine A, toutefois, il est possible de trouver la vitamine A dans d'autres types d'aliments.

    La pro-vitamine A ou le bêta-carotène constitue l'une des alternatives en matière d'apport vitaminique. Le bêta-carotène est contenu dans plusieurs produits végétaux comme la carotte, la patate douce, le poivron, la salade de mâche, l'épinard, la mangue, les abricots, etc. Il est important de mentionner que le bêta-carotène n'est pas originellement de la vitamine A. Cependant, il se transforme en vitamine A à la suite de réactions biochimiques induites par une carence en vitamine A.

    Les quantités nécessaires de rétinol

    En raison de l'importance de la vitamine A dans le fonctionnement de notre corps, il est nécessaire de prévenir sa carence en consommant des aliments ou des suppléments alimentaires qui en sont riches. Pour analyser l'action vitaminique des différentes sous-classes de la vitamine A, on utilise l'équivalent rétinol (ER) comme unité de base. En vigueur depuis 1974, cette valeur internationale de vitamine A correspond à 0,3 µg de rétinol. Les quantités de rétinol à consommer par jour se situent entre 0,7 et 1 mg en moyenne (2 400 UI à 3 400 UI). Les besoins peuvent varier en fonction du sexe ou de la condition physique de l'individu.

    Le rétinol en dermatologie: la vitamine A acide

    Plusieurs recherches scientifiques ont permis de mettre en évidence les propriétés du rétinol en dermatologie. Dans ce domaine, le rétinol est connu sous le nom de vitamine A acide ou rétinoïde. Le rétinol permet de lutter efficacement contre les microcassures du tissu cutané qui est responsable de la formation des rides. De plus, la vitamine aide à traiter le vieillissement de la peau provoqué par les rayons UV. Enfin, on retrouve le rétinol dans plusieurs produits dédiés au traitement des éruptions cutanées (acnés).

    L’abricot est un fruit tout à fait intéressant pour la couverture de ce besoin vitaminique: 100g (2 petits abricots) fournissent 1,5 à 3 mg de bêta-carotène, ce qui correspond pratiquement à 50% de l’apport conseillé pour l’adulte.

    A noter que la grossesse, la prise de pilule contraceptive, l’usage du tabac augmentent le besoin de vitamine A et de son précurseur. Dans tous ces cas, la consommation d’abricot s’avère particulièrement utile.

    Sa richesse en caroténoïdes (qui sont anti-inflammatoires, antioxydants) en fait un allié potentiel contre le cancer du sein et pour protéger les yeux de la dégénérescence maculaire liée à l'âge. Le bêta-carotène de l'abricot pourrait également être utile pour lutter contre la toxicité hépatique de l'alcool selon une étude indienne de 2012.

    Une très bonne recharge minérale

    Avec l’abricot, on bénéficie d’un apport très important de potassium: 259 mg aux 100 g (le besoin minimal est estimé à 500 mg/100 g, et la consommation habituelle moyenne à 2 ou 3 mg). Egalement appréciable, la teneur en fer, cuivre et magnésium.

    Tous ces minéraux sont à privilégier chez ceux qui ont une activité musculaire élevée, en particulier les sportifs. L’abricot (frais ou séché, d’ailleurs) constitue pour eux un fruit très bien adapté à leurs besoins. Il contribue à la recharge minérale avant la compétition (recharge d’autant plus nécessaire que l’effort est intense, prolongé, et qu’il fait chaud); il s’intègre utilement à la ration de récupération (qui doit être riche en potassium, pour permettre une bonne élimination des toxines de fatigue).

    Une excellente digestibilité

    Lorsqu’il est consommé "mûr à point", l’abricot est un fruit délicieux et parfaitement digeste. Son assimilation est favorisée par sa consistance tendre et moelleuse, et par sa saveur légèrement acidulée qui stimule les sécrétions gastriques. Ses fibres, très bien tolérées, sont bénéfiques pour le fonctionnement intestinal (les pectines, abondantes, ont des vertus régulatrices sur le transit: elles aident à lutter contre une paresse intestinale, et sont bien supportées même des intestins sensibles).

    L’abricot fait d'ailleurs partie des premiers fruits que l’on peut servir aux bébés: tout d’abord poché et finement passé, puis simplement écrasé (et éventuellement mélangé à un petit suisse ou à du fromage blanc).

     (* ANC: apports nutritionnels conseillés)

    Références

    Martin C, Herrero M, Hormaza JI. Molecular characterization of apricot germplasm from an old stone collection. PLoS One. 2011;6(8):e23979.

    Krichen L, Audergon JM, Trifi-Farah N. Relative efficiency of morphological characters and molecular markers in the establishment of an apricot core collection. Hereditas. 2012 Oct;149(5):163-72.

    Lorsqu’il atteint son degré optimal de maturité, l’abricot se présente comme un fruit d’une belle couleur orangée, légèrement juteux et bien tendre.

    Sa teneur en eau (85%), est comparable à celle des autres fruits frais. Son "moelleux", très spécifique, dépend de la nature de ses fibres. Celles-ci, abondantes, sont en effet constituées pour moitié par des pectines: ces substances ont la propriété de se gonfler facilement d’eau (et aussi de former un gel, après chauffage, ce qui est mis à profit pour la préparation de confitures). Les autres fibres sont des celluloses et surtout des hémicelluloses tendres.

    La saveur de l’abricot provient de composés caractéristiques de ce fruit (notamment des esters d’alcools aromatiques, et des aldéhydes). Elle est liée aussi au rapport sucres/acides organiques: ce rapport est de l’ordre de 8 (assez bas, proche de celui de l’orange), et qui confère à l’abricot des qualités rafraîchissantes incontestables.

    Les glucides (sucres) se situent à un niveau moyen pour un fruit. Il s’agit pour l’essentiel de saccharose (60% du total des glucides), le reste se répartissant entre glucose, fructose, ainsi que de petites quantités de sorbitol (un sucre-alcool que l’on ne trouve que dans certains fruits).

    Les acides organiques naturels sont, eux, abondants: ils atteignent 1,4 g aux 100 g, taux intermédiaire entre celui du pomelo et celui de l’orange. L’acide malique représente plus de 70% du total, et l’acide citrique la quasi-totalité du reste (on ne note que des traces d’acides organiques plus rares, tels les acides succinique, malonique, oxalique, chlorogénique, quinique ou encore salicylique...).

    L’apport énergétique de l’abricot  n'est pas très élevé. Ainsi, un abricot de taille moyenne de 65 g (poids net comestible de 60 g) fournit moins de 30 kcalories! Cette énergie est apportée essentiellement par les glucides.

    La couleur orange soutenu de l’abricot est due à des pigments caroténoïdes, et notamment au carotène, doté de propriétés vitaminiques (il s’agit de provitamine A). L’abricot figure parmi les fruits "champions" pour la provitamine A, au même rang que la mangue ou le melon.

    Les taux des autres vitamines atteignent leurs valeurs maximales lorsque l’abricot est à parfaite maturité.

    Avec une teneur globale de plus de 600 mg aux 100 g, l’abricot fait partie des fruits riches en minéraux (il se situe juste après la banane, et avant le raisin ou l’orange, pourtant réputés pour leur bon apport minéral). C’est l’un des fruits le mieux pourvu en potassium.

    La saison de l’abricot commence en juin, culmine habituellement en juillet, et se termine fin août.

    Certaines variétés d’abricots sont d’une belle teinte orangé vif, piquetée de rouge (ou même, ont une face rouge, mes préférés). La coloration est attractive, mais apparaît avant même la pleine maturité du fruit. Donc, pour juger de celle-ci, il est préférable de se fier à la souplesse de la chair, ou au parfum bien développé, plutôt qu’à la seule couleur! Il est important de ne pas se tromper: un abricot cueilli avant sa maturité ne va pas évoluer, il restera dur et insuffisamment sucré.

    Concernant les abricots secs, on évitera ceux à la chair orangée qui contiennent un additif douteux pour maintenir cette belle couleur et on se tournera de préférence vers les abricots secs bios (noircis par le séchage naturel).

    Les pectines de l’abricot

    L’abricot renferme plus de pectines que la plupart des fruits. Ces pectines se transforment au cours de la maturation: elles passent du stade de protopectines (fibres fermes liées aux parois cellulaires) à l’état de pectines solubles et tendres. D’où le changement de consistance du fruit. C’est la pectine qui permet la "prise" des confitures et gelées.

    Si on utilise des abricots insuffisamment mûrs, le taux de pectines ne sera pas suffisant, et la confiture aura du mal à prendre. Mais si les fruits sont trop mûrs, l’acidité risque d’être trop faible pour que la pectine se gélifie. On devra donc ajouter un jus de citron au mélange abricots-sucre.

    Conservation

    A quelques exceptions près, l'abricot se conserve quelques jours (entre 2 et 6) à température ambiante (18-20°C) et plus longtemps au réfrigérateur (8-10°C). Certaines variétés sont plus fragiles que d'autres, donc mieux vaut les manier avec précaution.

    Comment le manger?

    L'abricot se déguste le plus souvent frais et brut. Mais il s'accommode aussi en salades de fruits, en compote et en tarte par exemple. Les fruits très mûrs sont souvent transformés en confitures.

    Si vous achetez des abricots secs, toujours bio, laissez-les tremper plusieurs heures dans de l'eau en bouteilles. Ils vont se réhydrater et se consomment, comme cela avec le jus sucré de trempage.

  • Cake aux fraises

    Quand j'ai ramassé trop de fraises dans le jardin....

    Pour 6 personnes

    1 œuf; 75 g de sucre, 50 g de beurre fondu

    200 g de farine, 1/2 sachet de levure, Sel

    50 ml de lait entier, 150 g de fromage blanc frais entier

    150 g de fraises

    Fouettez le sucre et l'œuf ensemble jusqu'à ce que cela soit bien mousseux. Incorporez le beurre fondu. Ajoutez petit à petit la farine, la levure, et le sel et mélanger.

    Lorsque la pâte commence à être dure à mélanger, alterner fariner et lait. Mélangez jusqu’à obtenir un appareil homogène.

    Lavez les fraises sans les équeuter dans de l'eau bicarbonatée; si elles sont bio, inutile de mettre du bicarbonate. Les couper en morceaux et les ajouter à la pâte ainsi que le fromage blanc frais. Mélangez délicatement.

    Versez la pâte dans un moule à cake beurré et saupoudré de sucrefin.

    Enfournez 30 minutes à 180 °C. Vérifiez la cuisson à l'aide d'une pointe à couteau.

    Elle doit ressortir sèche. Sinon pousser un peu la cuisson. Laisser tiédir avant de démouler.

    Utilisez d'autres fruits rouges ou un mélange.

  • Salade de santé

    Bon d'accord, faut bien chercher sur les marchés de plein vent pour en trouver... vérifiez dans votre jardin: le pourpier est comme une herbe envahissante, vous en avez peut-être... c'est le moment de la ramasser, comme les pissenlits. Surtout, veillez à ne ramasser que les pointes sinon, la salade sera dure et immangeable. Ce sont des salades un peu amères mais, avec l'orange, cela "passe" mieux!

    Salade de cresson ou pourpier à l'orange

    Trempage: 30 min de l'oignon

    Émincer l'oignon très finement. Faites macérer pendant environ une demi-heure dans un petit bol rempli d'eau avec quelques gouttes de vinaigre. Ceci peut être fait la veille si on garde au frigo. Le but de cette opération est de rendre l'oignon cru plus croquant et digestible.

    Ingrédients pour 4 personnes:

    2 bouquets (250 g) de cresson, lavé et essoré ou du pourpier

    (le légume qui contient le plus d'oméga 3… mais, on en trouve rarement sur les marchés… pourtant, vous en avez sans doute, dans le jardin: il est considéré souvent, comme de la mauvaise herbe. Récupérez -uniquement- les petites pousses du printemps; quand la tige est trop épaisse et rouge, il n'est pas bon!),

    1  oignon rouge, émincé

    2  orange BIO; 65 ml d'huile d'olive extra-vierge 

    2 cuillète à soupe de vinaigre blanc vieilli et pas du vinaigre d'alcool pour le ménage!

     1 cuillère de moutarde de Dijon

    1 pincée de sel [facultatif] et poivre au goût                

    Lavez, rincez, essuyez et zestez l'orange. Déposez le zeste (et pas le ziste qui est de la peau avec du blanc) dans un petit bol. Y ajouter l'huile, le vinaigre et la moutarde, puis fouetter pour bien émulsionner la vinaigrette. Salez, poivrez et réservez.

    Lavez dans de l'eau bien bicarbonatée le cresson et l'essorez dans du papier absorbant, puis le disposer sur les assiettes de service.

    Ajoutez l'oignon égoutté. Pelez à vif l'orange zestée, puis prélever ses quartiers et les déposer sur les assiettes.

    Napper de vinaigrette, décorer de persil haché (facultatif) et servir.

  • La baguette en lice pour l’Unesco

    "Le repas français n’est pas imaginable sans pain":

    Avec le concours de chercheurs sur l’alimentation basés à Tours, la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française espère voir son produit emblématique, la baguette de pain, classé au patrimoine immatériel de l’Unesco en 2022.

    Par Guillaume Fischer - valeursactuelles.com

    Choisi par le gouvernement français devant le jeu jurassien le Biou d’Arbois et le toit en zinc parisien, le savoir-faire artisanal et la culture de la baguette française représentent désormais les couleurs nationales pour la cuvée 2022 des classements au patrimoine immatériel de l’Unesco.

    Les conditions pour bénéficier de ce label dispensé par l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture doivent respecter principalement trois critères: l’expertise, la fonction sociale, et la signification culturelle du bien. "Le fait d’avoir été sélectionné constitue déjà un premier motif de satisfaction, assure Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française (CNBPF).

    Car c’est la reconnaissance d’un produit populaire, la baguette, et d’une profession ancestrale, boulanger". Seuls 300 produits dans le monde bénéficient du label de l’Unesco. Si le classement des biens matériels et naturels au patrimoine mondial date de 1972, celui des biens immatériels a seulement 17 ans d’existence.

    Dans ce contexte, la participation de chercheurs de l’Institut Européen d’Histoire et des Cultures de l’Alimentation (IEHCA), dépendant de l’université de Tours, a été déterminante pour monter un dossier performant. C’est déjà cette agence de recherche et de développement scientifique unique en France qui avait obtenu en 2010 le classement du repas gastronomique français par l’Unesco. Composée de sept personnes et adossée à l’université de Tours, elle a aussi été la cheville ouvrière de la reconnaissance de la ville, patrie de Rabelais, parmi les quatre cités françaises de la gastronomie.

    Dans le cas présent, le document contient notamment une étude historique et anthropologique précise du savoir-faire et de la consommation de la baguette française. Côté produit, le dossier rappelle en premier lieu que seuls quatre ingrédients y ont droit de cité: farine, eau, sel et levain.

    Au plan du savoir-faire, il met en exergue les étapes indispensables de la fabrication artisanale d’une baguette de pain digne de ce nom: le pétrissage, lent; la fermentation, naturelle; le façonnage, manuel; enfin la cuisson, mesurée. Les aspects sociaux et culturels y figurent également au premier rang".

    La baguette s’identifie parfaitement à la France, constate Dominique Anract, confiant dans l’aboutissement de sa candidature. A preuve, il y a autant de boulangeries, 32 000, que de communes, et autant de goûts différents que de régions. Chacun de nos concitoyens achète sa baguette quotidiennement et le repas français n’est pas imaginable sans pain"

    La baguette: une histoire française

    Si les pains longs, appelé marchands de vin, apparaissent au XIXe siècle à Paris, l’emploi du mot baguette date seulement de 1903. "Pour autant, il n’y a encore aucune norme de poids et de taille, explique Loïc Bienassis, historien à l’IEHA. L’emploi du mot baguette est ainsi plus qu’un usage de langage qu’une norme".

    Après la fluctuation de l’entre-deux guerres, ce type de pain se standardise dans les années 50. "Il devient un produit typiquement français, au même titre que le béret, auprès des visiteurs étrangers, poursuit le chercheur. Il faudra attendre 1960 pour que nos concitoyens s’approprient la baguette, d’abord les Parisiens, puis les habitants des grandes agglomérations, enfin les ruraux vers 1970".

    La montée en gamme de ce pain à croute de 60 cm et de 250 grammes environ est également un élément déterminant de sa notoriété. Adopté par décret ministériel en 1994, le label de tradition française, prescrivant les fondamentaux de la fabrication du pain et excluant ainsi tout additif, a fait grimper en flèche sa consommation.

    Impact d’un éventuel classement

     

    La préservation et la protection de la baguette, qu’induirait une reconnaissance au patrimoine mondial, auraient un impact vertueux sur plusieurs plans. "Elle permettrait d’une part de redorer le blason du métier de boulanger“, assure Dominique Anract, exploitant d’une boulangerie dans le 16e arrondissement parisien.

    L’artisan fait d’autre part valoir la prise de conscience auprès des consommateurs français de la richesse du produit. "Le classement de la baguette permettrait enfin d’en assurer son rayonnement à l’international, explique le boulanger. A la clé, des retombées importantes, avec notamment la création d’une route des pains en France pour les étrangers, sur le même modèle que les routes des vins".

    A quand la demande d'inscription de notre chocolatine?

     

  • Cuisses de pintade au chou et aux salsifis

    Pour 4 personnes

    4 cuisses de pintade

    2 oignons et 2 gousses d’ail émincés; 2 c. à s. d’huile d’olive

    1 petit chou frisé: 700 g de salsifis en pot de verre ou frais

    1 citron et un cube de bouillon

    Lavez le chou et le laisser tremper 10 mn dans de l'eau bicarbonatée durant 10 mn s'il vient du commerce ou de l'eau vinaigrée s'il vient du jardin et l’émincer finement.

    Préparer les salsifis. Les brosser pour les débarrasser de la terre avant de les éplucher à l’aide d’un épluche légumes.

    Placez-les au fur et à mesure dans un récipient d’eau citronnée. Les couper en tronçons d’un centimètre.

    Faites rotir les cuisses de pintades pour les colorer, dix minutes avec de l'huile d'olive ou graisse de canard.

    Dans une sauteuse, faire revenir les oignons et l’ail avec l’huile d’olive pendant 5 minutes. Ajouter les salsifis, égouttés et rincés, et un verre d’eau ou du bouillon maison à la volaille.

    Ajoutez le chou sur le dessus puis les cuisses de pintade. Couvrir et laissez mijoter à feu doux pendant 30 minutes.

    Retournez éventuellement les cuisses de pintade en cours de cuisson. En cas de perte importante de vapeur, rajouter quelques cuillérées d’eau. Vérifiez la cuisson avant de servir bien chaud.

    Préparez ainsi aussi: des morceaux de lapin ou du poulet.

  • Laissez la nature aux agriculteurs!

    Il ne fallait pas voter pour eux!

    Castanet-Tolosan (31) : le Conseil municipal de la mairie EELV commence par une méditation collective

     […] Après l’appel, le nouveau maire écologiste, Xavier Normand (EELV), a donné la parole à son adjointe au maire déléguée à l’enfance, à la jeunesse et aux sports. Spécialiste des massages de bien-être dans la vie, Emilie Desmons-Costes a proposé à “toutes les personnes présentes de prendre un petit temps de centrage, afin de bien démarrer.

    Le but est d’arriver vraiment dans cette salle, de rassembler toute notre attention, notre concentration pour cette réunion. Je souhaite que le meilleur de nous soit mis au service de Castanet que nous avons tous en commun.” […]

    La Dépêche du Midi

    D'ici qu'elles obligent les gosses à l'école communale à méditer deux ou trois heures par jour….

    Et ça se présente à la présidentielle?