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Blog - Page 2

  • Lasagnes aux champignons et canard

    4 personnes

    15 feuilles de lasagnes (fraîches de préférence)

    3 cuisses de canard confit; en boîte, cuisent plus rapidement, chez le boucher, cuire 20 mn de plus

    600 g de champignons de Paris frais, 2 gousses d'ail

    50 g de cébette; sel, poivre; 800 g de béchamel maison

    150 g de Comté, 50 g de chapelure; quelques brins de thym

    Faire bouillir un grand volume d'eau, saler au point d'ébullition puis faire cuire les feuilles de lasagne 5 minutes. Les plonger dans de l'eau glacée pour stopper la cuisson.

    Déposez sur un torchon propre bien sûr, délicatement et réservez.

    Chauffez les cuisses de canard pour les dégraisser. Enlevez la peau et effilochez la viande à la main (pas en trop petits morceaux).

    Faire suer les champignons à sec dans une grande poêle, puis faire chauffer une cuillère à soupe de a graisse de canard du confit et ajoutez les champignons coupés en 4 avec les gousses d'ail hachées et le thym.

    Quand les champignons sont bien dorés, ajoutez le canard effiloché et la cébette ciselée. Salez, poivrez et bien mélanger.

    Ajoutez la moitié du comté râpé dans la béchamel chaude et bien mélanger.

    Dans un grand plat à gratin, versez un peu de béchamel au fond. Déposez la garniture aux champignons et canard puis des feuilles de lasagne. Recouvrir d'une couche de béchamel.

    Répéter les étages en terminant par une couche de béchamel. Parsemez largement de comté râpé, de chapelure et de thym puis enfourner à 180°C pendant 40 minutes environ

     

     

  • Poule au pot

    Dans nos belles Pyrénées, surtout du côté de Pau, difficile de passer à côté de ce classique de la cuisine française.

    Henri IV fait une déclaration lourde de sens. "Si Dieu me donne encore de la vie, je ferai qu’il n’y aura point de laboureur en mon Royaume qui n’ait moyen d’avoir une poule dans son pot".

    Tous les mois de décembre, les restaurateurs de la région rivalisent d’ingéniosité. En fêtant l’anniversaire du souverain, ils rendent ainsi un bel hommage.

    RECETTE

    1 h 45 dans un faitout, 45 mn à la cocotte-minute

    Préparez-la à l'avance, elle se réchauffe facilement. Accompagnez-la d'un vin blanc fruité pour sublimer les saveurs.

    Pour 5-6 personnes

    1 Poule; 30g Beurre; 30g Farine, 2cuil. à soupe crème fraîche

    8 Carottes, 4 Navets; 2 Blancs de poireaux; 1 branche de céleri

    1 oignon jaune; 2 clous de girofle, 1 bouquet garni

    6 pommes  de terre moyennes ou 3 verres de riz en accompagnement

    Déposez la poule dans un grand faitout, couvrez-la d’eau froide. Portez à ébullition, puis ôtez les premières écumes. Épluchez, lavez et coupez les légumes en gros morceaux.

    Plongez les carottes, les navets, les blancs de poireaux, le céleri, l'oignon piqué de clous de girofle et le bouquet garni. Salez légèrement au gros sel. Laissez mijoter 1h30 ou arrêtez le g        z puis ajoutez le riz (15m de cuisson à gros bouillon) ou les pommes de terre coupée en morceaux pour 12 mn de bouillon.

    Pendant ce temps, faites fondre le beurre dans une casserole et ajoutez-y la farine. Mélangez et laissez cuire à feu doux 2 min. Délayez petit à petit avec 50 cl de bouillon de poule jusqu’à ce que la sauce soit bien homogène. Portez à ébullition.

    Hors du feu, ajoutez la crème fraîche dans la sauce chaude puis mélangez. Salez et poivrez. Découpez la poule et déposez-la dans un plat avec les légumes puis nappez de sauce.

    CONSEILS: Vous pouvez ne pas rajouter crème fraîche et farine pour un bouillon clair

    Idée: vous pouvez mettre comme légumes des haricots blancs FRAIS (en été) ou des fèves fraîches, ou des légumineuses: pois chiches, fèves sèches, lentilles, etc...

  • La renaissance des "Bouillons"

    la redécouverte des plats de tradition française

    Ce n’est pas qu’un effet de mode, c’est aussi le retour à certaines valeurs culinaires de la gastronomie française: le besoin d’authenticité, de redécouvrir aussi des plats de tradition française. Les restaurants "Bouillons" connaissent un engouement monstre. Jarret, langue de bœuf, tête de veau, bœuf bourguignon, …

    En Lorraine et en Franche-Comté, ils se multiplient. Nous sommes allés à la rencontre de celles et ceux qui réinventent le concept. Le chef béarnais Yves Camdeborde, figure de la bistronomie, décrypte ce renouveau et revient sur l’héritage toujours actuel de l’une des figures de proue des "Bouillons", Auguste Escoffier.

    Au début des années 1900, on comptait plus de 300 "Bouillons" à Paris. C’est dans la capitale que ces restaurants ont vu le jour. L’histoire veut qu’en 1854, un boucher, Pierre-Louis Duval, imagine créer un lieu à la fois convivial et pas cher où l’on peut manger une cuisine populaire et traditionnelle.

    Il avait remarqué que ses clients aisés délaissaient les morceaux les moins nobles, les "bas morceaux". Il décide donc de proposer ces restes dans une version plus populaire, plus accessible, moins haut de gamme, en concoctant un bouillon qui donnera naissance aux restaurants éponymes.

    Cette cuisine de nos grands-mères rencontrera un énorme succès avant de perdre peu à peu de son attrait. Mais depuis quelques années, "sous l’impulsion de jeunes chefs talentueux", insiste Yves Camdeborde, le chef béarnais que l’on ne présente plus, ils connaissent un renouveau fulgurant.

    Chaque mois, il y aurait ainsi un nouveau "Bouillon" qui s’ouvre en France. La Lorraine et la Franche-Comté n’y échappent pas.

    Pour Yves Camdeborde, cette renaissance n’est pas qu’un effet de mode. "Il y a un réel besoin de retrouver une forme d’authenticité, de redécouvrir l’identité des plats de la cuisine traditionnelle française".

     

    P.S. Pauvres zaisés! Ils ne comprendront jamais ce qu'est la vraie France car l'argent leur fait perdre tout contact avec la réalité!

  • Comment la soupe guérit le rhume

    Par Marie-Céline Ray - Journaliste scientifique

    Une bonne soupe chaude: voilà un traitement réconfortant prôné depuis des siècles pour soigner les infections de l'hiver. Une analyse récente de quatre essais cliniques apporte aujourd'hui une validation scientifique à ce "remède de grand-mère".

    LE PROBLEME DES INFECTIONS RESPIRATOIRES

    Les infections respiratoires aiguës constituent un problème de santé majeur à l'échelle mondiale, contribuant de manière significative à la morbidité, aux coûts des soins de santé et à la mortalité. En 2019, elles ont représenté 17,2 milliards de cas. Les populations vulnérables, en particulier les personnes âgées et les enfants de moins de cinq ans, sont les plus exposées à des issues graves, voire mortelles.

    Actuellement, les stratégies de prise en charge des infections respiratoires aiguës reposent principalement sur des médicaments contre la fièvre (antipyrétiques), la douleur (analgésiques) ou pour libérer les voies respiratoires (décongestionnants). Bien que ces interventions soient largement utilisées, leur efficacité reste parfois limitée et les inquiétudes concernant leurs effets secondaires potentiels, en particulier chez les enfants, suscitent un intérêt pour des approches alternatives.

    C'est dans ce contexte que la soupe apparaît comme une option particulièrement intéressante: simple, accessible au plus grand nombre, ancrée dans les traditions populaires et sans danger.

    LA SOUPE, UN "MEDICAMENT" TRADITIONNEL ENFIN ETUDIE SCIENTIFIQUEMENT

    Utilisée depuis des générations contre les maladies respiratoires, la soupe est adoptée par les familles du monde entier. Elle est considérée comme un "aliment médicinal", censé apporter hydratation et nutriments essentiels bénéfiques au rétablissement du patient.

    Pourtant, malgré son utilisation répandue, les preuves scientifiques validant ces affirmations restent limitées. C'est cette lacune que des chercheurs de l'université de l'Écosse de l'Ouest ont voulu combler, grâce à une revue systématique évaluant les bienfaits de la soupe dans la prise en charge des infections respiratoires aiguës chez les adultes

    UNE GUERISON PLUS RAPIDE ET MOINS D’INFLAMMATION

    Quatre études portant sur 342 patients atteints d'infections respiratoires (rhume, grippe, Covid-19) répondaient aux critères d'inclusion. Les résultats ont montré une légère réduction de la gravité des symptômes et de la durée de la maladie (de 1 à 2,5 jours). Une étude a trouvé que ceux qui consomment de la soupe (bouillon de poulet, orge, ou légumes) se rétablissent jusqu’à 2,5 jours plus vite. Les symptômes typiques - congestion nasale, fatigue, mal de gorge - sont également atténués.

    Deux études ont fait état d'une réduction des marqueurs de l'inflammation (IL-6, TNF-α, CRP), ce qui suggère que la soupe pourrait calmer une réponse immunitaire excessive.

    "Il existe plusieurs raisons pour lesquelles la soupe peut être bénéfique, explique Sandra Lucas, principale auteure de cette analyse.

    Elle est chaude, hydratante et généralement riche en nutriments. Des ingrédients tels que l'ail, l'oignon, le gingembre et les légumes verts à feuilles ont des propriétés anti-inflammatoires, antimicrobiennes et immunitaires. La chaleur peut également aider à fluidifier le mucus, apaiser les maux de gorge et favoriser le confort général pendant la maladie".

    COMMENT CHOISIR UNE SOUPE

    Le mieux, c’est évidemment "les soupes maison" pour en maîtriser la composition.

    Velouté, potage, soupe, quelles différences?

    Autrefois la soupe était un repas constitué de pain trempé dans un liquide chaud; aujourd’hui elle désigne toutes les préparations liquides chaudes ou froides contenant des légumes, des légumineuses, des féculents, du fromage... Les veloutés et les potages sont des soupes. Si le potage est plutôt liquide, le velouté est, lui, bien plus onctueux et contient généralement de la crème et de la farine.

     

    Si vous manquez de temps, le recours aux soupes du supermarché peut s’avérer pratique. Mais attention, dans ce rayon, toutes les soupes ne se valent pas. Votre premier réflexe doit être de lire la liste des ingrédients pour vérifier que la soupe a une teneur en légumes suffisante: oubliez les soupes qui contiennent moins de 40% de légumes (la pomme de terre ne compte pas!) et préférez celles qui en contiennent au moins 50%. Dans une soupe, les aliments prépondérants doivent être les légumes; ça peut paraître logique mais ce n’est pas forcément ce que vous proposent les industriels.

    MON ASTUCE: pour une soupe maison, très facile et rapide

    Ouvrir une boîte de conserve (ou pot de verre) de légumes, placer dans une grande casserole avec un litre ou plus d'eau en bouteille, ajouter des épices diverses, comme la cannelle pour lutter contre la fièvre, gingembre (contre les nausées) du thym –vieux de préférence, soit séché depuis longtemps…. Et du poivre, curcuma ou ail en poudre pour lutter contre les douleurs et la fatigue.

    Passez au robot… si vous ajoutez de la crème fraîche et/ou une peu de lait, un œuf battu en omelette ou un peu de fromage râpé, vous avez une bonne soupe bien protéinée!

  • Pizza au poulet au four ou à la poêle

    Pour 4 personnes

    1 pâte à pizza, fine si cuisson à la poêle

    60g de reste de poulet cuit, 2 tomates, 15cl de crème fraîche

    Sel

    CUISSON AU FOUR

    Déroulez la pâte à pizza et nappez de crème fraîche. Parsemez de morceaux de poulet et de rondelles de tomates.

    Enfournez à 210°C pendant 30 minutes. Ajoutez la salade.

    CUISSON A LA POËLE

    Dans un saladier, mélangez morceaux de tomate, poulet déchiré, sel, poivre puis ajoutez un peu de crème fraîche épaisse

    Déroulez la pâte à pizza dans une poêle noir huilée ou en céramique, versez le mélange poulet-tomates-crème et l'étaler

    Faire cuire doucement, à couvert, dans votre poêle durant 12-14 minutes (surveillez)

  • Quiche au jambon et fromage

    Pour 6 personnes

    1 pâte feuilletée au beurre; 30cl de crème fraîche; 2 œufs

    60g de fromage râpé; 3 tranches de jambon

    Déroulez la pâte feuilletée dans le plat et répartissez le jambon, ainsi que le fromage.

    Fouettez la crème et les œufs, salez. Versez sur le plat.

    Faites cuire à 210°C pendant 20 minutes.

  • Françaises, Français,

    Sauvons la France: exigeons un référendum sur l’immigration

    Nous sommes à l’heure de l’urgence vitale. L’immigration n’est plus un problème parmi d’autres: c’est la question centrale, celle qui commande toutes les autres. Nous sommes en train de changer de peuplement. Nous sommes en train de changer d’art de vivre. Nous sommes en train de changer de civilisation. Si nous ne faisons rien, c’est la fin de la France.

    Depuis les accords de Schengen qui ont démantelé nos frontières, notre pays n’est plus qu’un hall de gare. Bruxelles a confisqué notre souveraineté, et les gouvernements successifs ont multiplié les pompes aspirantes: regroupement familial sans frein, aides sociales sans condition, régularisations massives. Ainsi s’organise la disparition d’un peuple.

    Ne comptez pas sur la classe politique pour enrayer cette mécanique infernale de l’effacement national. Elle ne fera rien. Elle est impuissante ou complice. Tant que nous resterons prisonniers de ces politiciens, rien ne changera.

    Il n’existe qu’une issue: rendre la parole au peuple. Quand les élites oublient la France, c’est au peuple de rappeler les élites à l’ordre. Il n’y a qu’un seul chemin pour affronter le problème majeur de notre temps — l’immigration, qui nous submerge et nous transforme: le référendum. L’enjeu n’est rien de moins que la survie de la France.

    Mais ce référendum, le président ne l’accordera pas de lui-même. Il faudra l’y contraindre. Par la pression populaire. Comme pour la loi Duplomb: une pétition a voulu sauver les abeilles, les oiseaux, les sols. Aujourd’hui, ce sont les Français qu’il faut sauver. Les derniers Français. Avant qu’il ne soit trop tard.

    Voilà pourquoi je lance cette pétition. Pour exiger un référendum sur l’immigration. Pour dire haut et fort:

    "RENDEZ LA PAROLE AU PEUPLE!"

    Signez, faites signer, multipliez vos voix. Que ce cri soit si puissant qu’il devienne impossible à étouffer. L’heure n’est plus aux commentaires. L’heure est venue d’agir.

    Pour nos enfants.

    Pour nos morts qui nous regardent.

    Pour la France éternelle.

    Philippe de Villiers

     

    https://referendum-immigration.com

     

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