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Nutrition news - Page 34

  • Voici 8 superaliments

    à consommer -au moins- une fois par semaine

    Les légumes crucifères

    C’est la famille des choux, brocoli, navet, radis, cresson, etc…

    Riches en fibres, ils apportent des vitamines hydrosolubles (B et C), liposolubles (K) et surtout des composés comme les indoles et les glucosinolates qui ont des propriétés anticancer, anti-inflammatoires et antioxydantes.

    Il faut les consommer -idéalement- crus ou peu cuits pour préserver leurs composés protecteurs.

    Choisissez-les bio de préférence. Le mieux est de consommer à raison de 3 portions par semaine.

    Les légumes secs

    Cette grande famille comprend les haricots rouges, noirs, verts, les petits pois, les pois chiches, le soja, les lentilles… Les légumineuses sont une excellente source de fibres, de folates (vitamine B9) et de protéines végétales.

    Vous pouvez les consommer en salades, en purée (pois chiches dans le Chichoulet de mon invention) ou les intégrer à d'autres plats.

    Les poissons gras

    Les poissons gras sont une bonne source de protéines et d'acides gras oméga-3, qui sont anti-inflammatoires et ont un certain intérêt en prévention des maladies cardiovasculaires.

    Achetez du poisson frais, congelé ou en conserve.

    Les poissons les plus riches en oméga-3 (et les moins susceptibles de vous apporter des métaux lourds) sont le saumon, le maquereau, le hareng, la sardine, la truite.

    Les anchois sont menacés, mieux vaut ne pas en consommer.

    Le thon (surtout blanc) est plus contaminé par le mercure, donc à éviter ou limiter.

    Fréquence de consommation pour les autres poissons gras : jusqu’à 2 par semaine pour les enfants et femmes enceintes, jusqu’à 3 pour les autres.

    Les noix en tous genres

    Qu’il s’agisse de noisettes, noix, amandes, noix de pécan, cacahuètes, les noix sont une bonne source de fibres, et de protéines végétales. Elles contiennent également des graisses monoinsaturées et polyinsaturées, qui peuvent être un facteur de réduction de l’inflammation et du risque cardiovasculaire. Et surtout de la vitamine E, vitamine de longévité.

    Choisissez-les nature de préférence, plutôt que grillées et/ou salées.

    Les noix sont très caloriques. Si vous bougez peu, il faut en tenir compte  et se limiter à une poignée quotidienne. Vous pouvez les consommer nature ou les inclure à vos salades.

    Les noix du Brésil sont très riches en sélénium: un atout dont il ne faut pas abuser, le sélénium à dose modérée est indispensable aux défenses antioxydantes, mais il peut être toxique à haute dose.

    L’huile d'olive

    L'huile d'olive (vierge) est une bonne source de vitamine E, de polyphénols et d'acides gras monoinsaturés, tous éléments antioxydants et anti-inflammatoires contribuant aussi à réduire le risque de maladie cardiovasculaire et d’autres pathologies.

    Vous pouvez l’utiliser en assaisonnement ou pour des cuissons à température modérée.

    Personnellement, j'achète une huile d'olive pas chère, uniquement pour la cuisson; pour mes salades, huile de noix ou de noisettes, parfois, huile d'avocat (qui contient de la myéline et bonne pour la sclérose en plaques).

    L'avocat frais est parfait aussi à consommer le plus possible, achetez de préférence un avocat du Pérou: en effet, ce sont les seuls à se ramollir sans trop noircir;

    Farcir l'avocat avec un mélange de fromage frais épais (carré frais gervais, Brousse, etc.) et de roquefort, ou simplement le déguster avec du poivre rose, de l'aneth frais et quelques gouttes de vinaigre balsamique. Jamais de vinaigrette: bombe calorique!

    Les aliments fermentés

    Les yaourts, le kefir, le kimchi, le kombucha, le tempeh, le natto, le miso, la choucroute (crue), les olives… apportent des probiotiques, qui participent à la bonne santé de l’intestin, et à la santé en général (humeur et immunité comprises).

    Il est conseillé de manger au moins un aliment fermenté par jour. Vous pouvez aussi faire vos propres fermentations. Vous trouvez mes nombreuses recettes avec la boîte à outils: recherche sur le côté du blog

    Les baies

    Riches en fibres, les baies ont l’avantage d’être peu sucrées. Qu’il s’agisse de myrtilles, framboises, fraises, mûres, groseilles, elles renferment des antioxydants, en particulier polyphénols.

     En saison, vous en trouverez facilement sur les marchés. Choisissez-les bio de préférence.

    Hors saison, il est tout aussi sain de les acheter congelées. Ajoutez-les à un yaourt (lait ou soja), ou mangez-les nature pour une collation.

    Glace maison aux fruits rouges

    Pour deux ou trois gourmands

    1 sac de fruits rouges congelés 250 ou 300 g

    50 cl de crème fraîche liquide

    Il vous faut un mixeur et il faut agir très rapidement.

    Sortez le sac de fruits surgelés du congélo, mettre immédiatement dans votre mixer; ajoutez la crème fraîche liquide et broyez-le plus possible: attention, le froid risque de vous faire un bloc difficile à tourner donc, utilisez le système vendu avec votre appareil électrique (gros bâton plus fin d'un côté et genre bouton large de l'autre, à glisser dans l'ouverture du mixeur)

    Versez le mélange dans un bac à glace et remettez immédiatement au congélateur jusqu'au moment de déguster votre glace maison.

    Le thé

    Noir ou vert (ou blanc), le thé apporte des polyphénols antioxydants et anti-inflammatoires et des composés comme la L-théanine qui jouerait un rôle dans la relaxation et la lutte contre le stress.

    Vous pouvez boire 1 à 5 tasses par jour, en privilégiant les thés de marque qui sont moins contaminés par l’aluminium.

  • Les vertus santé des fèves

    Plus 2 recettes en fin d'article

    Les fèves sont riches en nutriments qui vous veulent du bien.

    Les fèves font partie de la grande famille des légumineuses. Elles sont peu caloriques et contiennent des protéines végétales ainsi que des glucides et des fibres, ce qui leur procure un effet satiétogène.

    Les fèves contiennent :

    De la vitamine C: Les fèves sont de bonnes sources de vitamine C, une vitamine antioxydante et qui permet d’avoir une bonne santé osseuse ainsi que de se protéger contre les infections. De plus, cette vitamine permet une meilleure absorption du fer.

    • Du fer: cuites, crues ou encore bouillies, les fèves possèdent une bonne teneur en fer, un minéral essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges.
    • De la vitamine B9 (folate): importante pour la femme enceinte, la vitamine B9 permet aussi de réduire le taux d’homocystéine, un marqueur du risque cardiaque.

    Les fèves sont riches en fibres comme toutes les légumineuses, sous forme insolubles et solubles. Une alimentation riche en fibres peut contribuer à normaliser le taux de cholestérol ainsi que le taux de glucose sanguin et donc d’insuline. Elle permettrait aussi une bonne régulation du transit intestinal.

    Une piste intéressante contre la maladie de Parkinson

    Des études chez des patients atteints de la maladie de Parkinson ont montré qu’une forte consommation de fèves pouvait diminuer les symptômes moteurs de cette pathologie. Les fèves contiennent de la lévodopa (L-DOPA), la même substance utilisée dans les médicaments qui traitent cette maladie.

    D’après ces études, en accompagnant le traitement médicamenteux par des fèves, les effets des médicaments sur les symptômes seraient prolongés. Cette légumineuse pourrait donc être le complément idéal des médicaments.

    Apaydin H, Ertan S, Ozekmekci S. Broad bean (Vicia faba)--a natural source of L-dopa--prolongs "on" periods in patients with Parkinson's disease who have "on-off" fluctuations. Mov Disord 2000 January;15(1):164-6.

    Rabey JM, Vered Y, et al. Broad bean (Vicia faba) consumption and Parkinson's disease. Adv Neurol 1993;60:681-4.

    Ladha SS, Walker R, et al. Case of neuroleptic malignant-like syndrome precipitated by abrupt fava bean discontinuance. Mov Disord 2005 May;20(5):630-1.

     

    Comment la choisir ? il faut être à l’écoute de sa vue et ses doigts.

    Les fèves doivent être d’une couleur verte intense et sans taches. Avec vos doigts, vérifiez qu’elles soient bien fermes, pour une texture croquante.

    Pour des fèves sèches, la couleur grise doit être uniforme, non brillante, et les graines de taille moyenne et dures, elles ne doivent pas être ridées.

    Lorsque vous les achetez fraîches, il est préférable de les consommer très rapidement, au plus tard 2 jours après la date d’achat.

    Pour les conserver, garder les cosses et les mettre dans le bac à légumes du réfrigérateur.

    Crues ou cuites, les fèves sont simples à préparer et à déguster

    Avant de les cuisiner, il faut enlever les écosser et retirer la peau manuellement.

    Les fèves fraîches peuvent être consommées crues telles quelles ou encore avec un filet d’huile d’olive et de l’ail.

    Vous pouvez les faire cuire à la casserole dans un bouillon pendant 15 minutes environ à feu doux.

    Dans une poêle ou un wok, elles se cuisent avec d’autres légumes et de l’huile d’olive à feu vif pendant 4 à 5 minutes.

    Et, pour une cuisson plus douce, essayez la vapeur pendant 5 à 8 minutes.

    Les fèves peuvent accompagner vos salades mais aussi les poissons, les crevettes ou encore les langoustines.

    Mais vous pouvez aussi, pour un brunch un peu original, accompagner vos œufs cocotte avec des fèves.

    RECETTES

    Je fais souvent des fèves. (elles contiennent beaucoup de glycine qui est un oligo-élément qui a pour vertu de rajeunir…).

    Marmite de fèves aux légumes

    En marmite, cuisson 45 m

    en cocotte minute, cuisson 25 mn

    Pour deux ou trois

    Une rondelle ou deux d'osso-buco (veau), 1 os à moelle de veau

    500 g de fèves en cosses ou fèves surgelées pelées

    2 ou 3 pommes de terre moyennes par personne; 2 carottes par personne

    1 grain d'ail, 1 branchette de thym, 2 feuilles de laurier sec ou 3 fraîches, 1 cuillère à café de gros sel de mer, 1 cuillère à café de curcuma en poudre, du poivre noir.

    Ecossez les fèves et retirez la peau. Cuisson dans votre marmite, chauffez environ 1,5 L d'eau en bouteille dans votre bouilloire (en inox); quand elle bout, verser dans votre marmite (en émail ou inox) et allumez le feu, force moyenne. Ajoutez la viande de veau et l'os à moelle; couvrez et faites cuire. Ajoutez le thym, l'ail, le gros sel, le curcuma

    Si vous cuisez en cocotte vapeur, faites cuire d'abord la viande et l'os environ 15 mn et vous n'ajoutez qu'un seul litre d'eau. A moins que vous vouliez garder du bouillon (à congeler)

    Pendant ce temps-là, pelez les pommes de terre, coupez-les en très gros cubes; les carottes seont détaillées en rondelles fine, pelez l'ail.

    Versez dans la marmite ou la cocotte-vapeur et laissez cuire autant de temps que nécessaire. Pour la cocotte-vapeur, éteignez le feu et laisser la soupape en place, la vapeur se dégage doucement et cuit encore un peu votre plat, tout en maintenant au chaud.

    Goûtez et rectifiez l'assaisonnement.

    Tourrin au bouillon de fèves

    Si vous ne congelez pas le trop de bouillon, attendre qu'il soit froid et mettre au réfrigérateur dans un pot en verre (genre conserve maison). Ressortez-le deux jours plus tard, mettre dans une casserole et utiliser pour préparer une soupe à pain ou petites pâtes.

    Je l'utilise souvent pour faire un tourrin toulousain: le bouillon dans la casserole inox qui chauffe sur la gazinière; pas besoin de saler car c'est déjà fait; faire un tourbillon avec une cuillère et casser un œuf en gardant le jaune dans la coquille que vous verserez sur le pain dur coupé dans un saladier. Saupoudrez ou non de fromage râpé.

    Attendre que le blanc d'œuf cuise et versez sur le pain dur. Laissez le pain se ramollir et servez. Pour pouvez saupoudrer de persil frais haché.

     

  • Chocolat!

    Je parle, bien sûr, du chocolat de 70 % de cacao et plus. Voici les qualités qu'on lui attribue

        Tonifie les neurones et les muscles

        Diurétique

        Vasodilatateur

        Stimule les fonctions rénales

        Anti-stress

        Euphorisant

        Stimulant

        Stimule les systèmes nerveux et cardiaque

        Excite l'appétit (alimentaire...)

        Augmente la résistance à la fatigue

        Favorise l'activité intellectuelle

        Accroît la vigilance

        Stimule la perception visuelle

        Augmente le sentiment de bien-être

        Peut prévenir les crises cardiaques

        Peut prévenir les accidents vasculaires cérébraux

        Favorise l'activité des neurotransmetteurs du cerveau

        Favorise la concentration

        Peut réduire la tension artérielle

        Peut aider à restaurer les cellules à l'intérieur des vaisseaux sanguins

        Protège les dents contre la carie

        Aphrodisiaque, hé oui!

    Le chocolat se conserve au frais et au sec. Ne pas le mettre au réfrigérateur. Si la température n'est pas adéquate, le beurre de cacao remonte à la surface et le chocolat blanchit. Rien de grave, ça ne change pas le goût.

    PESTICIDES ET ENGRAIS CHIMIQUES ?

    Le chocolat industriel de moindre qualité est fabriqué avec des ingrédients artificiels ou chimiques. Le chocolat biologique, pour sa part, est fabriqué à partir de cacao, de sucre et de lait (pour le chocolat au lait) biologiques. Il ne contient pas d'OGM (organismes génétiquement modifiés).

    La culture du cacao biologique n'autorise aucun pesticides ni engrais chimiques. Elle protège donc votre santé, celles des travailleurs et celle de la Terre. Cette culture tient aussi compte de la biodiversité et protège l'environnement. Les forêts ne sont pas coupées, car le cacao biologique est cultivé sous le couvert des arbres. Ceci protège notre oxygène et, du même coup, l'habitat de millions d'oiseaux migrateurs.

    Il est tout de même, très cher!

     

  • Mangez des brocolis, c'est bon pour ce que vous avez...

    Le brocoli fait partie de ces 50 superaliments pour une santé de fer.

    Études et recherches sur le sulforaphane

    Il y a environ 20 ans, le professeur Paul Talalay et ses collègues de la Johns Hopkins School of Medicine ont découvert que le sulforaphane avait de remarquables effets sur les cellules cancéreuses chez les animaux.

    À l’époque, l’idée de prévenir le cancer était controversée. Mais pour Talalay, c’était évident. Il savait que toute plante vivante contient des composés chimiques qui la protègent des prédateurs et des maladies infectieuses. Il en a conclu que, en mangeant des fruits et des légumes, les humains pourraient également bénéficier de leurs mécanismes de lutte contre la maladie. Les chercheurs ont étudié les composés bénéfiques de plus d’une douzaine de légumes, particulièrement des brassicacées. Ils ont découvert que le sulforaphane, lorsqu’il est mis en présence de cellules hépatiques cultivées de rats, stimulait la capacité cellulaire à neutraliser les produits chimiques cancérigènes.

    Depuis lors, de nombreuses études ont démontré que les glucosinolates et les produits de leur dégradation, dont le sulforaphane, freinent la prolifération des cellules cancéreuses. Dans les cultures cellulaires, le sulforaphane, en particulier, détruit de nombreux types de cellules cancéreuses, dont celles des cancers du pancréas, du côlon, de la prostate et du col de l’utérus. Il stoppe la croissance des tumeurs du pancréas chez les souris. Des études préliminaires suggèrent qu’il protège les tissus cardiaques de l’inflammation et de l’athérosclérose.

    Cependant, nombre de ces recherches de la première heure ont été menées sur des animaux de laboratoire, ou des cultures cellulaires: le sulforaphane ayant été répandu dans une boîte de Pétri de cellules cancéreuses. Il reste à déterminer si manger du brocoli supprime la croissance tumorale chez un sujet vivant.

    L’une des premières études à en fournir des preuves concrètes a eu lieu à l’Institute for Food du Royaume-Uni, en 2008. Les chercheurs ont en effet constaté que les hommes qui consommaient plus d’une portion de crucifères par semaine présentaient une plus faible incidence de cancer de la prostate.

    Également en 2008, une étude du Roswell Park Cancer Institute a démontré que les fumeurs et ex-fumeurs, qui mangeaient régulièrement du brocoli et des légumes de la même famille, étaient moins susceptibles de développer un cancer du poumon. Un fumeur absorbe environ 500 produits chimiques à chaque inhalation. Il semble que le sulforaphane ou un autre composé stimule les enzymes à dégrader les substances cancérigènes de la fumée.

     

  • L’aliment anti-cancer par excellence: l’artichaut. Hé oui!

    L’artichaut contient de l’inuline, un polysaccharide capable de ralentir le rythme d’absorption des nutriments.

    Consommé sous forme d’aliment, (voir comment en bas de l'article) l’artichaut peut aider à limiter l’élévation du taux de sucre dans le sang après le repas, et convient donc tout spécialement aux diabétiques.

    L’extrait d’artichaut est utile en cas de paresse biliaire, et plusieurs études cliniques ont montré qu’il peut soulager des troubles tels que digestion lente ou inconforts abdominaux, (nausées, flatulences, lourdeurs digestives, mauvaise tolérance aux graisses).

    La cynarine et les flavonoïdes de l’artichaut, dont la lutéoline, sont de puissants antioxydants, qui peuvent empêcher la destruction des cellules hépatiques et protéger l’organisme des agressions des radicaux libres en excès.

    En raison de ses vertus détoxicantes, l’extrait de feuille d’artichaut est traditionnellement employé dans le traitement de l’arthrite et des rhumatismes.

    Son action diurétique liée à sa grande richesse en potassium permettrait aussi de soulager certains problèmes urinaires.

    On lui reconnaissait des propriétés cholérétiques (stimulant la sécrétion de bile par les cellules hépatiques) et cholagogues (facilitant l’évacuation de la bile rassemblée dans la vésicule biliaire).

    Il baisse aussi le cholestérol. Parallèlement à la baisse du mauvais cholestérol (LDL), on observe une hausse légère du bon cholestérol (HDL). L’extrait d’artichaut doit probablement cette propriété bénéfique à la présence de lutéoline, qui inhibe la synthèse du cholestérol endogène dans le foie.

    Les recherches portent actuellement sur d’autres effets possibles, notamment son action sur le syndrôme du colon irritable.

    On consomme après cuisson la base épaisse des bractées florales (improprement appelées feuilles) et le réceptacle charnu de la fleur (ou fond). L’extrait d’artichaut est obtenu à partir des grandes feuilles profondément découpées de la plante (les feuilles vraies). Celles-ci renferment plusieurs substances bénéfiques pour la santé, dont la cynarine (principal composant actif) et divers flavonoïdes (en particulier la lutéoline), ainsi que beaucoup de potassium.

    Comment prendre des suppléments d’artichaut et profiter de ses vertus santé

    Si vous ne pouvez pas vous procurer des artichauts, vous pouvez opter pour des suppléments alimentaires. Pour améliorer la digestion, le fonctionnement biliaire et le taux de cholestérol, vous pouvez prendre 500 mg d’extrait d’artichaut (soit 1 ampoule ou 1 gélule) à raison de 3 fois par jour. Tenez compte du dosage de l’extrait ainsi que des indications du fabricant. Consultez un professionnel de la santé qui saura vous indiquer la bonne quantité à prendre.

    L’extrait d’artichaut se prend généralement avant les repas (les comprimés sont à avaler avec un peu d’eau). Il peut également être pris le matin à jeun ou au moment des troubles et problèmes de santé.

    Effets secondaires possibles

    L’extrait d’artichaut est habituellement bien toléré, même lors d’un traitement de longue durée.

    Les artichauts sont une grande source de silymarine, un antioxydant qui aide à prévenir les cancers de la peau.

    Pour manger ces légumes délicieux, enlevez les feuilles extérieures coriaces du bas, coupez la base et la partie supérieure pointue des feuilles. Faites bouillir ou cuisez à la vapeur jusqu’à tendreté, environ 30 à 45 minutes. Égouttez.

    Trempez chaque feuille dans une vinaigrette ou une mayonnaise à l’ail, puis, doucement, déchirez la partie tendre jusqu’à la partie fibreuse avec les incisives. Une fois le bout des feuilles mangées, retirez doucement les poils au milieu du cœur tendre, trempez celui-ci dans un peu de beurre ou de jus de citron et dégustez.

    N'oubliez pas ce qu'à dit Coluche: l'artichaut est le légume préféré des pauvres; quand on a finit de le manger, il y en a plus dans l'assiette qu'avant!

    Les feuilles d'artichaut en tisane sont assez chères. Voici comment faire une bonne tisane pas chère du tout.

    Prenez des artichauts bio ou des artichauts du jardin. Retirez une à une les feuilles et disposez-les sur une tôle du four, par exemple, qui, en principe est noire: le noir, attire la chaleur…

    Faites sécher vos feuilles, bien étalées sur le tôle au soleil d'été; plus il est chaud, plus vite les feuilles seront sèches. Vous n'aurez plus qu'à les mettre dans un sac en papier.

    Bien sûr, vous je jetez pas les fonds d'artichauts: vous les faites cuire, après avoir retiré le foin (ne vous taillez pas) et vous les farcissez ou les coupez en quatre, rajouté dans une salade de pommes de terre, avec une bonne vinaigrette à l'ail et aux herbes, mais, toujours à l'huile de noisettes ou de noix, bien meilleure pour votre santé que l'huile d'olives; sûr et certain!

     

  • Quelle est la bonne viande?

    Récemment, je demandais à un ami vétérinaire ce qu’il pensait de l’abattage rituel sans étourdissement des animaux de boucherie. Professionnellement, il est en charge de la protection animale et de la santé des consommateurs. Ainsi, il vérifie le traçage de viandes destinées à la commercialisation. Il a donc assisté plusieurs fois à cette pratique. Il a été choqué, non seulement par les souffrances endurées par les animaux, mais encore davantage par la cruauté gratuite des sacrificateurs, souvent improvisés, qui ne respectent aucune des règles prescrites par la loi.

    Il a vu des animaux, suspendus à des crocs, les pattes brisées, se débattre en hurlant et mettre 15 ou 20 minutes à mourir une fois la gorge tranchée. Dans ces scènes de frénésie sanguinaire, les conditions d’hygiène sont une utopie.

    Le rite d’abattage islamique commande un égorgement large où sont tranchés l’œsophage et la trachée. Des régurgitations gastriques sont inspirées par l’animal dont l’organisme dégage des toxines mais aussi, par réflexe de survie, contracte les vaisseaux sanguins, ce qui provoque des caillots dans les artères. Il arrive que la moëlle épinière soit sectionnée et, dans ce cas, libère des prions, agents pathogènes constitués d’une protéine dont la conformation ou le repliement est anormal. Ces prions propagent la maladie de Creutzfeld- Jacob.

    De plus, sous l’effet de l’intensité du stress, l’animal défèque et urine dans la pièce ou dans la cage de contention qui, rendement oblige, ne sont pas nettoyées.

    Lors des abattages de l’Aïd, les carcasses de moutons sont emportées encore chaudes au domicile des pratiquants. Ce qui est une aberration sanitaire, car la réglementation impose de placer les carcasses d’animaux abattus au moins 24 heures en chambre froide pour s’assurer que la viande ne présente aucun risque à la consommation.

    Interpelé par ce témoignage, j’ai souhaité en savoir plus et j’ai rencontré un universitaire, spécialiste du fait religieux.

    Est-il possible d’avoir une définition aussi large que précise de l’abattage rituel?

    "C’est une méthode d’abattage des animaux que l’on retrouve chez les musulmans et les s, c’est-à-dire le halal et le casher. L’abattage rituel, c’est égorger un animal vivant pour qu’il se vide totalement de son sang avant de le découper. Il ne doit donc pas être mort durant la saignée.

    Chez les musulmans, pour qu’une viande soit halal, le sacrificateur doit égorger l’animal avec la formule habituelle: "Au nom de Dieu, Dieu est le plus grand" la tête tournée vers la Mecque. Cela s’appelle la dhabiha.

    Selon vous, pourquoi s’opposer à l’abattage sans étourdissement?

    "Essentiellement, pour des raisons sanitaires et de bien-être animal:

    La peau, les muscles, jugulaires, carotides, trachée et œsophage sont sectionnés.

    Il y a un risque de régurgitations venant de l’estomac à cause des soubresauts de l’animal.

    Il peut aussi aspirer des particules souillées éparses sur le lieu d’abattage par les poumons puis le sang, car le cœur palpite toujours.

    Selon l’Institut national de recherche agronomique, l’animal peut souffrir jusqu’à 15 minutes.

    L’angoisse de l’animal provoque la production massive de toxines.

    Sachant que c’est un travail à la chaîne, il n’y a pas de nettoyage.

    Il arrive même que les bêtes soient dépecées toujours conscientes.

    Mais, il me semble que la législation française interdit formellement l’abattage sans étourdissement. Pourquoi cette pratique persiste-t-elle toujours sur notre territoire?

    "La France interdit l’abattage sans étourdissement, mais la dérogation 93/119 CE de l’Union européenne en 1993 permet aux cultes musulmans et s de ne pas étourdir.

    Par ailleurs, la mauvaise formation des sacrificateurs peut aussi retarder la perte de conscience de l’animal puisque certains ratent l’égorgement et ne font que cisailler, ce qui prolonge l’agonie et les souffrances de l’animal.

    La réglementation française oblige l’immobilisation de la bête pendant la saignée, or avec cette méthode elles convulsent plusieurs minutes. De plus, lors des grands sacrifices de l’Aïd el-Kebir, plusieurs dizaines d’abattoirs clandestins voient le jour et exercent dans des conditions d’hygiène déplorables. Les pouvoirs publics ferment les yeux.

    Mais, dans la mesure où une seule communauté revendique le droit à cette pratique, il est certainement possible de l’encadrer strictement et de la contrôler?

    "Malheureusement, il n’y a pas que les musulmans qui mangent du halal, ils nous en font profiter, puisque la viande halal est commercialisée dans le circuit général. Un exemple précis: 100% de la viande abattue dans les abattoirs d’IDF est halal. Par exemple les chaînes de livraison pizza sont passées halal depuis longtemps.

    Une enseigne de fast-food a officiellement déclaré que sa viande est halal à 100%. Les grandes surfaces et certaines grandes marques vendent du halal sans le dire à leur clientèle.

    Ah, si les clients savaient! Dans certains abattoirs de volailles, on fait défiler une chaîne de poulets sur rail, ils sont pendus par les pattes. Un magnétophone délivre le verset du Coran à la chaîne!"

    Pourtant, selon un sondage IFOP en 2009, 72% des Français sont contre l’abattage rituel.

    "Hélas, désormais, l’offre excède la demande: 30% de la viande commercialisée est halal et il n’y a pas 30 % de musulmans en France. En 2012, le Conseil de l’alimentation a émis un rapport qui déclare 30 % des ovins et 40 % des bovins sont abattus de manière rituelle. 60% de la viande halal serait sur le marché sans qu’on le sache. "

    "En outre, les abattoirs qui ne procèdent pas à l’étourdissement font des économies en supprimant un poste. L’excuse trouvée est que l’étourdissement fait perdre du temps, c’est un argument mercantile. Cet argument est d’autant plus irrecevable que l’on note une augmentation des accidents lors des abattages sans étourdissement: coups de sabots de l’animal qui se débat, couteau dévié sur un chevillard, etc."

    Vous dites qu’il s’agit d’une démarche mercantile. L’abattage rituel sans étourdissement n’est-il pas plutôt un vecteur identitaire?

    "Oui, le halal ce n’est pas juste une méthode d’abattage. Il est devenu depuis quelques années un vecteur identitaire islamique, mais également mercantile. Pourquoi mercantile? Comme je l’ai dit, les grandes entreprises de distribution profitent du halal pour faire du profit tout comme des entrepreneurs musulmans".

    "Par exemple, Isla Délice est une entreprise agroalimentaire halal qui réalise un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros, écoule 25 millions d’articles. Il est le numéro 1 du marché et voit ses revenus augmenter de 10% chaque année.

    Vous avez pu voir leur pub puisqu’ils utilisent 6 000 panneaux dans 150 villes durant le ramadan“.

    Vous voulez dire que, in fine, le halal c’est aussi un gros business?

    "Pendant le ramadan, c’est 350 millions d’euros de CA. Nous avons laissé se fonder sur notre territoire un véritable capitalisme islamique. Le halal c’est 6-7% du CA des grandes surfaces et concurrence des marques françaises.

    Par exemple, l’entreprise AVS (À Votre Service) qui délivre des certifications halal emploie 160 personnes. Elle se partage le marché de la certification avec les mosquées de Paris, Évry et Lyon. Il faut savoir que 10 à 15 centimes par kilo de viande vont à ces 3 mosquées, ce qui reviendrait à un revenu entre 40 et 80 millions d’euros par an. Le sacrificateur est formé et habilité par ces mosquées et AVS. Le ministère de l’Intérieur est chargé du contrôle de la délivrance des cartes depuis 1980; il intervient donc dans le marché du halal. Ne parlons pas de la compétence de ces sacrificateurs qui parfois est douteuse.

    Mais il y tout de même une forte composante identitaire qui fait pression sur la communauté musulmane vivant en France?

    "Concernant l’identitaire, il faut savoir dans un premier temps que l’abattage sans étourdissement dans l’islam est culturel et non religieux. Aucun texte sacré n’en fait une obligation, l’égorgement à vif n’a aucune base théologique. Il est demandé dans le Coran que l’animal ne soit pas mort et soit saigné correctement. L’étourdissement est donc possible! "

    "C’est la sourate 5 verset 3: "Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui de Dieu, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d’une chute ou morte d’un coup de corne, et celle qu’une bête féroce a dévorée – sauf celle que vous égorgez avant qu’elle ne soit morte -.

    Vous sont interdits aussi la bête qu’on a immolée sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité. Aujourd’hui, les mécréants désespèrent (de vous détourner) de votre religion: ne les craignez donc pas et craignez-Moi".

    "Sourate 5 (la table servie) verset 5: "Vous sont permises, aujourd’hui, les bonnes nourritures. Vous est permise la nourriture des Gens du Livre, et votre nourriture leur est permise ".

    Les "gens du Livre, ce sont les juifs et les chrétiens. Alors, que s’est-il passé?

    "La France était considérée même par les musulmans immigrés comme la fille aînée de l’Église. Nous étions considérés comme des Gens du Livre et les musulmans vivant en France pouvaient manger notre viande sans problème. Le président de l’UOIF en 1998 considérait encore que l’on pouvait manger de la viande non halal en France. Les choses ont radicalement changé dès les années 2000".

    "Il fallait prouver que la laïcité et l’incroyance répandue parmi la population française ne permettait plus d’appeler "Gens du livre" les Français. Et c’est AVS qui s’en charge dans un ouvrage publié par ses gérants en 2010, le marché du halal. Les gérants sont membres des Frères musulmans et ont des liens forts avec Tariq Ramadan. Manger halal est devenu un point fondamental pour être un bon musulman. Il est devenu un vecteur identitaire aussi important que le voile".

    "Les boucheries halal apparaissent dans les années 80 et sont nombreuses dans les années 90. Mais leur nombre explose dès les années 2010 avec aujourd’hui plus de 4 000 en France dont 1 500 en Île-de-France. "

    Et nos dirigeants sont passifs devant cette subversion des salafistes?

    "Non seulement l’État laisse faire, mais par calcul électoraliste, de nombreux élus subventionnent par exemple des boucheries halal, comme l’a dénoncé récemment sur CNews Edwige Diaz, conseillère régionale de la Nouvelle-Aquitaine. Des élus ont le culot de se déclarer pour le bien-être animal, mais font l’impasse sur l’abattage rituel sans étourdissement pour ne pas " stigmatiser " les musulmans et récupérer leurs voix aux élections. "

    Toutes ces informations ont de quoi inquiéter et il est regrettable que les médias " mainstream " soient à ce point discrets sur ce sujet. Certaines personnalités ont eu le courage d’alerter les autorités publiques mais leur voix s’est perdue dans le désert du politiquement correct.

    La sénatrice Bariza Khiari, fille de militants FLN et ancienne vice-présidente du Sénat du quinquennat Hollande, est connue pour entretenir des liens mal définis avec les milieux islamiques. Elle s’est pourtant distinguée en demandant à l’État de contrôler plus sérieusement le business halal qui finance des associations aux agissements opaques, voire en lien avec le terrorisme islamique.

    Les apôtres de la bien-pensance justifient le halal par comparaison au casher, conforme aux prescriptions rituelles de la loi juive. Or, une enquête conduite par la journaliste Anne de Loisy ("Envoyé spécial") a démontré que, en France, seulement 1% de l’abattage était destiné au casher contre 60% pour le halal!

    On voit donc que le halal, inexistant en France il y a trente ans, connaît une progression de grande ampleur sur le territoire français, mais aussi chez nos voisins belges, britanniques et allemands.

    Selon le docteur Alain de Peretti, fondateur de "Vigilance halal", si les mouvances salafistes font pression sur la communauté musulmane de France pour imposer ce mode de vie prescrit par la charia, c’est pour cloisonner les musulmans dans une sorte de " ghetto alimentaire ", mais également pour accoutumer les populations de souche européenne aux pratiques de la charia et à ses règles d’enfermement sociologique et religieux.

    Qu’en pensent les laudateurs du vivre-ensemble? En effet, ces pratiques interdisent précisément toute convivialité (du latin "cum vivere": vivre ensemble). Le principe fondamental de la convivialité étant de savoir partager ensemble un repas commun. On observe que ce n’est déjà plus le cas dans certaines cantines scolaires où les petits écoliers musulmans refusent de déjeuner à côté de leurs camarades chrétiens.

    Le pire, c’est que cette question se voit interdire par les politiques, comme par les médias, toute possibilité de raisonnement basé sur des données scientifiques. La consigne est: ne pas stigmatiser! Alors tant pis pour la maltraitance des animaux d’élevage, la mise en danger de la santé des Français et la déliquescence de notre unité nationale.

    JYL

    https://ripostelaique.com

     

     

  • Bientôt la saison: on l'attends avec impatience!

    Les framboises regorgent de bienfaits: elles sont riches en fibres, en vitamine C et peu caloriques. Contient des antioxydants (Elle est rche en bioflavonoïdes qui pourraient aider à prévenir le cancer) et des fibres, c'est une bonne source d’acide folique, de fer et de potassium;

    Petit inconvénient:

    Elle renferme un salicylate naturel pouvant déclencher une réaction allergique chez les sujets sensibles à l’aspirine et aussi de l’acide oxalique pouvant favoriser la formation de calculs rénaux ou urinaires chez les personnes prédisposées

    Qu’elle soit cultivée ou sauvage, la framboise est peu calorique et regorge de vitamine C. Une portion de 100 g de framboises fournit 35 calories et 25 mg de vitamine C, soit plus de 20% de l’apport quotidien recommandé pour l’adulte.

    La framboise procure également 40 μg d’acide folique, 220 mg de potassium et un peu de fer. La vitamine C qu’elle contient favorise l’assimilation du fer, mais l’acide oxalique, qui a tendance à se lier à ce minéral, pourrait empêcher cette réaction.

    Il y a près de 7g de fibres dans 100g de framboises fraîches. Les petites graines à l’intérieur du fruit fournissent des fibres insolubles qui préviennent la constipation. On retrouve également dans la framboise de la pectine, un type de fibre soluble qui aide à équilibrer le taux de cholestérol dans le sang.

    La framboise contient par ailleurs des anthocyanines, pigments rouges aux vertus antio-xydantes que l’on trouve dans diverses plantes et dont on a tout lieu de croire qu’elles aident à prévenir le cancer et les maladies cardio-vasculaires. L’acide ellagique, aussi présent dans la framboise, serait doté des mêmes vertus.

    Précautions d'achats:

    À cause de sa structure délicate et de sa forme creuse, la framboise s’abîme rapidement. Il faut la manger aussitôt que possible après la cueillette. Congelée, elle se conserve toutefois pendant plusieurs mois. Ne la décongelez pas dans son sac plastique! verxez la quantité nécessaire dans un bol et sucrez-les pendant la décongélation: cela permet aux fruits de rester “présentables“ et moins avachis.

    Au moment de l’achat, il faut bien examiner ces baies, car ces petits fruits sont fragiles et peuvent rapidement commencer à moisir.

    Problème: Les baies causent souvent de l’urticaire et la framboise ne fait pas exception. Toute personne allergique à l’aspirine doit éviter ces fruits, parce qu’ils contiennent un salicylate naturel. L’acide oxalique constitue également un risque pour toute personne souffrant de calculs urinaires: cependant, il faut en manger beaucoup avant que le problème ne se pose.

    Assurez-vous de bien rincer les framboises avant la consommation

    Un lichette de vinaigre dans la dernière eau de rinçage feront mourir les bestioles diverses et avariées des FRAMBOISES DU JARDIN.

    Ma recette préférée:

    Je la déguste avec de la crème chantilly (sans sucre)

    Je fabrique aussi des Josyanette

    Avec 50 cl de crème fraiche liquide et un yaourt liquide à la framboise, je fais légèrement chauffer les deux et j'y verse 5 feuilles de gélatine trempées dans l'eau pour la ramollir.

    Une fois bien remué, je verse dans un pot en verre de yaourt avec une dizaine de framboises entière.

    Mettre  15 à 18 heures au réfrigérateur.

    Vous pouvez utiliser des myrtilles ou des mûres et du yaourt à boire de ces fruits.

    ... et, SVP, achetez-les fraîches de saison et d'ORIGINE FRANCE

    Si vous utilisez des framboises surgelées, sortez-les du plastique et laissez-les décongeler dans un plat en verre.