Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gastronomie - Page 28

  • Alternative au traditionnel vin chaud

    Jus de fruit chaud

    Vous utilisez tous les jus de fruit que vous trouvez: orange, ananas, pommes, pamplemousse… vous épicez selon vos goûts et selon s'il s'agit d'une boisson adulte ou enfant.

    700 ml de jus de fruit, par exemple de pomme

    200 ml d'eau, 4 clous de girofles, 1 tuyau de cannelle, 1 pincée de noix muscade et poudre de gingembre ou lamelle de gingembre frais (facultatif) ou une étoile de badiane.

    Faites chauffer dans une casserole à feu doux le jus de pomme, l'eau et les épices. Quand vous voyez de la fumée, éteignez le feu et couvrez pour laisser infuser les épices.

    Filtrez et buvez. Si nécessaire, ajoutez du sucre. Mais, inutile d'enseigner trop de sucre à vos enfants.

    Si vous êtes “grand“ vous pouvez ajouter une lichette d'Armagnac. Si vous avez choisi du jus d'orange, ajoutez une lichette de Grand Marnier.

    Croyez-moi, cela requinque bien en hiver!

  • PSYCHO: Comment être heureux en dépensant son argent

    On est heureux plus longtemps après avoir acheté un canapé qu'après un séjour au ski ou un concert.

    EXACT: je viens changer mon canapé et je suis bien contente!

    En cette période de fêtes, vous vous êtes sûrement interrogés sur le type de cadeaux que vous pourriez offrir pour faire plaisir. Vous hésitez parfois aussi pour vous-même entre deux achats. Une étude scientifique parue dans la revue Social Psychological and Personality Science peut vous aider à faire votre choix. En effet, les auteurs rapportent qu’acheter des choses matérielles procure plus de bonheur à long terme que des achats expérientiels, comme un séjour au ski, qui donnent un bonheur plus intense mais de façon ponctuelle et éphémère.

    La majorité des études antérieures qui ont examiné les achats matériels et expérientiels ainsi que le bonheur procuré se sont focalisés sur ce que les personnes prévoyaient comme réaction à propos de leurs achats ou ce dont elles se souvenaient de leurs expériences.

    Dans cette nouvelle étude, les chercheurs ont voulu savoir comment les personnes se sentaient sur l’instant et dans les premières semaines après leur achat. Pour cela, ils ont évalué en temps réel les moments de bonheur que les personnes avaient en consommant leurs achats matériels ou expérientiels et ce jusqu’à 5 fois par jour pendant 2 semaines. Les achats matériels allaient de haut-parleurs portables à une cafetière alors que les achats expérientiels pouvaient être des tickets pour un match de hockey ou un week-end au ski.

    En recueillant les impressions des participants, dans les semaines qui ont suivi l’achat puis un mois après, les chercheurs ont montré que les achats matériels et les achats expérientiels procurent du bonheur de deux manières distinctes.

    Les achats matériels procurent des doses répétées de bonheur au cours du temps, dans les semaines après l’achat alors que les achats expérientiels offrent une dose de bonheur plus intense mais éphémère. De plus, quand les personnes repensent à leurs achats 6 semaines après Noël ils ressentent plus de satisfaction concernant les achats expérientiels.

    “La décision d’acheter une chose matérielle ou une expérience de vie pourrait donc se résumer à quel genre de bonheur chacun désire. Par exemple, si l’on considère un acheteur qui hésite entre acheter une place de concert ou un nouveau canapé pour son salon, acheter la place de concert lui fournira un frisson intense pour une nuit spectaculaire puis ce sera terminé, même si cela restera un bon souvenir. Acheter le canapé ne lui fera pas vivre un moment passionnant, mais lui procurera confort et moments douillets chaque jour de l’hiver" disent les auteurs.

    Avant vos achats, que ce soit pour vous ou pour les autres, pensez à quel type de bonheur vous voulez procurer.

    Source

    A. C. Weidman, E. W. Dunn. The Unsung Benefits of Material Things: Material Purchases Provide More Frequent Momentary Happiness Than Experiential Purchases. Social Psychological and Personality Science, 2015; DOI: 10.1177/1948550615619761

  • Cuisses de poulet à la moutarde et au romarin frais.

    Après les fêtes, on a souvent le budget serré. Voici une recette facile et pas tellement chère.

    Cuisses de poulet à la moutarde

    Il faut une cuisse de poulet fermier par personne. Perso, j'aime bien le poulet jaune fermier du Gers; 1 oignon jaune; si vous en trouvez de frais, une botte d'oignons.

    2 belles et épaisses tranches de cansalade plate; du bouillon, ½ litre fait avec du cube de volaille; possible de rajouter 30 cl de vin blanc sec, 2 cuillères à soupe de votre moutarde maison bien piquante; 1 cuillère à soupe d'huile ou de graisse de canard; sel, poivre, romarin frais.

    Dans une sauteuse ou sautoir.

    Facultatif: vous pouvez faire mariner vos cuisses en les mettant dans un plat en verre: arrosez de jus de citron (bio, en bouteille, ayez-en toujours dans le frigo); éparpillez du thym, du romarin, poivre mignonette. Massez bien la viande entre vos mains et laissez macérer de une à deux heures.

    Faites sauter les oignons à bien brun dans la graisse et les tranches de cansalade coupées en deux, durant 7 mn à feu moyen en tournant bien et poivrez et salez. Si vous aviez des oignons frais nouveaux*, faites les sauter avec, une fois nettoyés bien sûr. Rajoutez les cuisses et faites les bien dorer de deux côtés. Puis versez le vin blanc et le bouillon dont vous gardez un peu pour diluer votre moutarde dans un bol puis rajoutez-là à votre sauteuse.

    Laissez mijoter 35 minutes à couvert à feux moyen en surveillant. Rajouter dans les trois dernières minutes une partie du romarin frais ciselé fin* et le reste sera rajouté au moment du service.

    *Oignons frais: au printemps, je me régale tous les jours d'oignons frais que j'achète assez petits; je mange l'oignon frais cru (bien sûr; ne vous inquiétez pas, le goût n'est pas fort du tout et vous ne troublez pas votre haleine….) et je garde le plus possible de vert que je congèle. J'utilise les verts tendres pour donner un goût de frais à mes cuissons de viande rôtie.

    *Romarin et toutes les herbes aromatiques; je vous conseille plutôt de les ciseler avec un ciseau le plus fin possible, (utilisez un ciseau simple). Pour bien conserver toutes vos herbes bien fraiches durant des semaines et des semaines: je le place dans un boîte hermétique rectangulaire mais avant de les ranger dans la boîte, je dispose une feuille de papier absorbant bien mouillé. Puis je pose les herbes et je repose par-dessus une autre feuille de papier mouillé (bien serré). Avant de fermer le couvercle, j'asperge celui-ci avec un peu d'eau, je fais tomber le surplus et je referme avant de placer dans un coin du réfrigérateur. De temps en temps (tous les 10 jours environ) je ré-asperge le couvercle; il faut toujours un milieu humide Comme j'utilise ces plantes de mon jardin souvent, je vérifie le taux d'humidité à chaque fois. Si votre papier se trouve mal, jetez-le et remettez-en un…

    J'ai réussi à conserver plus de 8 mois des herbes (thym et romarin) et des feuilles de laurier qui elles étaient bien vertes. Seul le thym et le romarin s'étaient effeuillés mais ils étaient bien vertes encore; il suffit de renverser la boîte pour récupérer les brindilles.

    J'ai gardé aussi longtemps parce que je voulais savoir combien de temps on pouvait conserver: le laurier est parfaitement vert et joli au bout de 8 mois!

    Ha, au fait, c'est pareil pour le persil: dans la boîte, mais ne tardez pas à le consommer car il doit perdre sa vitamine C. Comme je l'ai déjà indiqué, le persil est la plante qui contient le plus de vitamine C de toutes les plantes de la nature!

     

  • Si vous passez par Toulouse, la météo 2016

    J'ai dis: la météo à Toulouse.... il y aura des variations sur les autres régions. Mais bon, si ça souffle a Toulouse.....

     

    Aujourd'hui, il fait un temps gris, humide et un vent puissant à "décorner les cocus". ... parce que des bœufs, à Toulouse, "cela fait une paye qu'on n'en voit guère -ou plus".....

    (entres guillemets: expression toulousaine; pas besoin de traduire....).

     

    Dicton du jour

    "Pluie du 6 janvier dure à satiété".

     

    Il a bien raison ce dicton: en effet, grande humidité et vent qui peut être très, très fort, toute l'année.

    Contrairement à ce que je pensais, janvier et février ne seront pas froids.

    En effet, les températures seront encore très élevées et bien au-dessus des normales saisonnières.... on devrait, certains jours,  (certains jours seulement) battre les records de quelques journées de 2015...

    Si vous voulez aller sur Toulouse, venez nous voir: dernière quinzaine de mai et tout Juin... il y aura beaucoup de vent mais pas trop de pluie.

    En été, le temps chez nous sera très orageux, avec vent, et un peu moins chaud que 2015, mais pas de beaucoup;

    Par contre, cette automne, si vous venez par ici, prévoyez cirés et parapluies... des parapluies qui ne se retournent pas à cause du vent! :-)

    Rafraîchissement dernière quinzaine d'octobre et tout Novembre et 1ere quinzaine de décembre. La température remonte à peine dernière quinzaine de décembre.

    EN RÉSUMÉ: quelques jours très chauds, de ci, de là et pluie, humidité et vent, vent, vent toute l'année!

     

     

  • La vérité sera postée ici!

     

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2016/01/09/les-allemands-copient-la-mediacratie-francaise-5742233.html

     

     

     

  • Soubressade rapide maison

    Il vous faut 1 chorizo (doux ou fort) et 1 bocal de tomates séchées à l'huile (280 g net égoutté). Pour que ça pique bien, prenez un fort… et si vous aimez ça, rajoutez de la poudre de piment fort dans le mélange.

    Toutes les charcuteries: ne jamais les mettre au réfrigérateur!

    Mais, c'est bien sûr! La charcuterie a été inventée par nos ancêtres pour manger de la viande en tout temps parce qu'ils n'avaient aucun moyen de conservation. Alors, mettre du saucisson au frigo, c'est la plus totale hérésie! (hérésie: en dehors des préceptes la religion catholique venant direct de Rome; demandez aux Cathares!). Bon, si vous achetez des pâtés moulinés d'invention récente ou de la charcuterie fraîche, ok, d'accord, direction frigo. Mais pas le chorizo!

    Il faut que votre chorizo soit à température ambiante. Égoutter les tomates séchées (conserver l’huile pour vos salades ou pizza ou pour y mettre à tremper des morceaux de fromage de brebis ou chèvre).

    Retirer la peau du chorizo, couper en tranches de 1 cm. Passez au hachoir à main (oui, fatiguez-vous, le hachoir électrique tourne vite et la chaleur de la vitesse détruit les cellules de la viande en la cuisant) et les tomates. Commencez à écraser les tomates et après les tranches de chorizo.

    Transvaser dans un récipient et placer au frais au moins 1H00 avant dégustation. Là, vous pourrez conserver au réfrigérateur. Mais, bon n'attendez pas les autres pour manger votre réalisation personnelle de vos blanches mains. Comme je dis toujours, la date de conservation de nos préparations ménagères est: à consomme avant…. les autres!

    Cette purée piquante, rajoutez-là dans des légumineuses: lentilles, riz, haricots.

    C'est plus que parfait avec des poids chiches.

     

     

  • Ils viennent jusque dans nos bras, égorger nos fils et nos compagnes!

     Où sont les hommes européens?

     

    À Cologne, en particulier la nuit de la Saint-Sylvestre, on ne boit pas que de l’eau. Parmi les milliers de personnes qui s’étaient rassemblées devant la gare centrale de la ville, à deux pas de l’antique cathédrale, pour " faire la fête ", en cette soirée du Nouvel An, un certain nombre, autochtones ou allogènes, étaient probablement dans l’état second que crée, paraît-il, l’absorption de diverses substances, par exemple à base de raisin, de houblon, d’orge, de cannabis ou de coca.

    Que s’est-il exactement passé? Après que des plaisantins ou des provocateurs ont tiré de gros pétards d’artifice dans la foule, une partie des badauds venus en famille, pris de panique, ont évacué les lieux sous la protection des forces de l’ordre. C’est alors que quelques bandes, composées, d’après le chef de la police municipale, de jeunes gens " de dix-huit à trente-cinq ans, apparemment d’origine arabe ou nord-africaine ", s’en sont systématiquement prises aux femmes isolées restées sur place, leur arrachant téléphones portables, sacs à main, et profitant de la bousculade et de la nuit pour les caresser, pour les " tripoter " et, au moins dans un cas, pour aller plus loin.

    Quatre-vingt-dix plaintes ont été en tout cas déposées à la suite de ces actes de banditisme. Les voyous qui se sont rendus coupables de ces vols, de ces agressions et de ce viol venaient-ils des " quartiers ", puisqu’on apprend à cette occasion que l’Allemagne, comme la France ou la Grande-Bretagne, connaît elle aussi quelques problèmes avec ses cités? S’agissait-il d’arrivants récents, issus du flot torrentiel des 900.000 " migrants " qui ont déferlé l’année dernière sur le pays avec la bénédiction de Mme Merkel? L’enquête devrait permettre de l’établir.

    Gardons le sens des proportions. Les incidents de ce 31 décembre n’ont, évidemment, pas l’ampleur et la gravité du carnage parisien du 13 novembre. Leur dimension n’en dépasse pas moins celle d’un simple fait divers et ce n’est pas créer ou entretenir un climat " nauséabond ", pour reprendre le terme utilisé hier matin par la présentatrice du journal de France Inter, que de s’interroger sur leur signification, leurs conséquences et peut-être avant tout sur les réactions qu’ils ont suscitées.

    Délinquants d’habitude ou délinquants d’occasion, immigrés de longue ou de fraîche date, qu’ils aient prémédité ou non leurs débordements, leurs auteurs ne savent pas où et quand ils vivent. Pour eux, une femme seule, non voilée, éventuellement court vêtue, qui se trouve dans la rue passé minuit est une femme de mauvaise vie, un jouet sexuel, une proie offerte aux convoitises et aux outrages des mâles. Ils ne se sont pas autrement conduits avec les Allemandes qui étaient à leur merci que les révolutionnaires égyptiens du printemps arabe, sur la place Tahrir, avec les journalistes occidentales et autres émancipées qui passaient à portée de leurs mains baladeuses.

    Angela Merkel, dont la politique d’ouverture des frontières – applaudie dans un premier temps, aujourd’hui de plus en plus discutée ou désapprouvée – risque de subir le contre-coup des incidents de Cologne, a condamné dans les termes les plus durs " des actes insupportables ". Il est désormais de sa responsabilité de subordonner l’accueil et le maintien sur le sol allemand des migrants, demandeurs d’asile et autres réfugiés à leur acceptation et à leur respect des mœurs et des lois en vigueur en Europe.

    C’est d’ailleurs le sens du message que la chancelière a adressé au maire de Cologne, Mme Henriette Reker, accessoirement élue de la CDU. Or, celle-ci l’a semble-t-il entendu d’une autre oreille.

    Passe encore que Mme Reker se soit moins souciée, dans un premier temps, de la poursuite et de la punition des agresseurs que de la réputation de sa ville et du succès du prochain carnaval local (un million de visiteurs attendus). Mais l’édile rhénane n’a pas craint de se tourner vers les potentielles victimes du machisme islamique pour leur recommander de bien vouloir adopter, dans les meilleurs délais, un comportement plus sage et moins provocant que celui qui a déclenché les incidents de la semaine dernière. C’est tout juste si elle ne leur a pas indiqué la contexture et l’épaisseur de la burqa qu’elles devraient revêtir. Dame, il faut vivre avec son temps !

    Autant dire à la horde sauvage du 31 décembre: "Chez nous, vous êtes chez vous. Ne vous essuyez pas les pieds avant d’entrer dans la maison. Installez-vous sur le canapé pour regarder la chaîne de votre choix. Videz le réfrigérateur. Et si le maître de maison n’est pas d’accord, fichez-le donc dehors et prenez sa place dans le lit de votre hôtesse…

    Où l’on voit que Soumission n’est pas un roman d’anticipation