Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société - Page 131

  • Pas loin de chez moi...

    Voyage dans le temps, incontournable.

    Le Musée-forum de l’Aurignacien invite à un formidable voyage dans le temps sur les traces des premiers hommes modernes, les aurignaciens (Homo Sapiens 38000 ans BP – 29000 ans BP).

    Des témoignages de la vie de ces peuples du passé (armes de chasse, objets de la vie quotidienne, éléments de parure, statuettes, etc.), provenant des fouilles du site d’Aurignac et également d’autres sites emblématiques de la préhistoire sont le fil conducteur d’une présentation muséographique entièrement rénovée.

    Des supports multimédias, des expositions temporaires, des animations pour tous les publics, ainsi que des temps de rencontres et de débats, permettront de multiplier les approches de la préhistoire et d'interroger nos connaissances actuelles sur les origines de l'homme.

     

    Tarif : 6 EUR / 4,50 EUR/ 3 EUR  

    Tél : 05 61 90 90 72                                    

    www.musee-aurignacien.com

     

    Ouverture

    Juillet-Août et vacances scolaires zone A du mardi au dimanche de 10h à 17h

    Avril, mai, juin et septembre du mardi au dimanche de 14h à 17h

    Octobre, novembre, février, mars mercredi, samedi et dimanche de 10h à 17h

    Fermé le 1er novembre  du 15 décembre au 15 janvier

    Autres périodes: contactez le musée."

    Cependant si vous souhaitez glaner des informations supplémentaires vous pouvez aussi vous rendre surla page facebook: http://on.fb.me/1pG6l06

     

     

  • Toulouse qui bouge

    Université Jean-Jaurès : la nouvelle UFR de psycho sort de terre

    Enseignement et formation

    Le président de région Martin Malvy entouré de Marie-France Barthet présidente de l'université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Jean-Michel Minovez président de l'université, Nadine Pellefigue vice-présidente déléguée à l'enseignement supérieur et Jean Rafendomandjato conseiller spécial auprès de la rectrice. /Photo DDM NSA.

    Le président de région Martin Malvy entouré de Marie-France Barthet présidente de l'université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Jean-Michel Minovez président de l'université, Nadine Pellefigue vice-présidente déléguée à l'enseignement supérieur et Jean Rafendomandjato conseiller spécial auprès de la rectrice. /Photo DDM NSA. 

    La pose de la première pierre de la nouvelle UFR de psychologie a lancé hier la dernière phase du programme de destruction reconstruction du campus du Mirail

    Le président de région Martin Malvy a posé hier la première pierre de ce qui va devenir la nouvelle UFR de Psychologie de l'université Jean Jaurès. Ce nouvel équipement s'inscrit dans le programme de démolition-reconstruction du campus du Mirail programmé sur la période 2003-2016. Depuis la rentrée 2015, l'UFR de psycho et les services centraux de l'université dont la présidence, sont installés provisoirement dans des structures modulaires. Ils y resteront jusqu'au printemps 2016, date de la livraison des travaux de reconstruction qui viennent de débuter. À cette date la nouvelle UFR de psychologie, sera répartie sur plus de 11 700 m2. L'unité se composera de salles de cours, de bureaux, d'un foyer pour les étudiants, d'un centre de ressources documentaires, d'un amphithéâtre de 120 places, ainsi que d'une cafétéria. Six amphithéâtres dédiés à l'ensemble de l'université seront également construits sur le même espace.

    Depuis le lancement des travaux en 2003, le processus de démolition reconstruction du Campus du Mirail s'effectue sur le mode "d'opérations tiroir", explique Jean-Michel Minovez, président de l'Université Toulouse - Jean Jaurès.

    Durant les vacances de février qui ont été allongées d'une semaine pour l'occasion, les deux UFR d'histoire art et archéologie (HAA) et Science espace société (SES) prendront livraison de leurs nouveaux locaux. Débutera alors la démolition des trois UFR de lettres philo et musique qui seront à leur tour installés provisoirement dans les abris de chantier laissés libres par les historiens. Les nouveaux locaux de lettres philo musique seront livrés à l'été 2016. La présidence s'installera alors dans les ex-locaux l'UFR d'histoire art et archéologie rénovés. Le montant total des travaux de réfection du campus du Mirail s'élève à 350 millions d'euros. Ils sont financés par l'État à hauteur de 250 millions d'euros, la région, la métropole et de département se partagent le financement des 100 millions d'euros restants.

    Le chiffre : 37,5

     "Après la construction de la nouvelle UFR il restera encore 100 millions d'euros à dépenser avant fin 2016 pour terminer la reconstruction."

    C'est le prix de la construction de la nouvelle UFR de psychologie et des six amphithéâtres mutualisés construits sur le même emplacement.

     

  • L'hymne Toulousain

    "Ô moun païs..."

    (La Toulousaine)

     Poésie Languedocienne de Lucien MENGAUD  (1844)

    Musique de  Louis Deffès (1845)

    O moun pays, O Touloso Touloso/ on aymí tas flous toun cel toun soulel d'or/ Al prep de tu l'amo se sent hurouso : / et tout ayssí me rejouis le cor.// Mengaud.

    Ô moun pays! ô moun pays ! ô Toulouso, Toulouso!

    Qu'aymi tas flous, qu'aymi tas flous, toun cel, tôun soulel d'or !

    Al prep de tu, al prep de tu l'âmo sé sent hurouso,

    E tout ayssi é tout ayssi ayssi réjouis le cor

    E tout ayssi , é tout ayssi me réjouis le cor .

    Ô moun pays ! ô moun pays! ô Toulouso, Toulouso !

    Qu 'aymi tas flous, toun cél, toun soulel d'or !

    Que you soun fiér de tas académios,

    Des mounumens qu'ornon nostro citat !

    Detoun renoum é dé tas pouésios

    E de toun cant despey loutens citat !

    Aymi tabès nostro lengo gascouno

    Que tant nous douno, que tant nous douno de gayetat !

    Oh ! qu'aymi pla da tas brunos grisettos

    Lé tin flourit, lé souriré malin,

    Lour pel lusén, lours poulidos manétos

    Lours poulits pès é lour regard taquin !

    En las bésén moun cor se rebiscolo

    Etpey s'enbolo, Etpey s'enbolo tout moun chagrin.

    A tous entours l'herbo semblo pus fresquo

    Le parpaillol a maytos de coulous,

    Tous fruits y soun douces coumo la bresquo

    E tous pradèls soun claoufidis de flous ;

    Dé tous bousquéts you récerqui l'oumbratgé

    E lé ramatgé é lé ramatgé des aouselous

    De tous guerriés doun la noblo benjenco

    Fasquec courber plega le froun des argousis

    argousis" est une variante proposée à la place du texte obsolète de Lucien Mengaud => "sarrasis":

    En effet Toulouse souffrit bien plus de Simon de Montfort et des Croisés venus du Nord, que des arabes venus d'Espagne

  • Dans la série, on en apprends tous les jours!

    Des astuces sur le veau que je ne connaissais pas, trouvée dans un site sur les veaux des Pyrénées.

    Blanquette et sauté de veau:

    Les morceaux peuvent être braisés avant d'être cuisinés en sauce ou directement plongés dans un court bouillon puis cuisinés en sauce.

    Pardon, mais moi je cuisine tout en même temps!

    Tendron ou osso bucco comme disent les italiens!

    Jarret sans os ou morceau à braiser: braisé en cocotte puis cuisiné en sauce ou en ragoût avec des légumes. Les tendrons peuvent être marinés puis grillés au barbecue. La viande est cuite lorsqu'elle peut être transpercée avec un couteau sans rencontrer de résistance élastique.

    Pareil que pour la blanquette!

    Saucisse de veau:

    La saucisse de veau ne doit pas être piquée. Le temps de cuisson est moins long que pour la saucisse de porc. Elle peut être grillée l'été au barbecue, cuisinée l'hiver (coupée en petit morceau dans des plats de type lentilles ou potée) ou servir de base à des farces (cannellonis, lasagnes, bolognaises ou légumes farcis).

    Ben, moi, la saucisse de veau, savait qu'il y en avait…. mais, bon, c'est normal vu ce qu'on fait aujourd'hui en saucisse: avec du roquefort, du piment… bientôt, on va la trouver avec du chocolat… c'est peut-être déjà fait.

     A part la saucisse de Toulouse, la saucisse de foie, les merguez (que je connais depuis l'arrivée des pieds-noirs en 62 et les chipolatas (la saucisse des parigots?!) on n'avait que cela à se mettre sous la dent dans les années 50 et 60!!

    Il existe sans doute de la saucisse d'orang-outang, de kangourous, d'éléphant, de….. va savoir, Charles!

     

  • Salade de pois chiche - plat très complet

    Deux verres de pois chiche par personne ou des pois chiche cuits; 1 oignon rouge, un œuf dur par personne; 1 filet de poisson blanc par personne, 1 citron, 1 poivron rouge, huile d'olive, sel, poivre, deux gousses d'ail, câpres au vinaigre

    Faites tremper les pois chiche toute la nuit, jetez l'eau, les mettre dans la cocotte minute. Ajoutez poivre, cumin,  1 cuillère à café de curcuma, deux branches de thym, 1 de romarin frais et faire cuire 30 mn à chuchotement de la soupape. Après cuisson, ouvrir la cocotte, poser les poissons dans le panier dans la cocotte très vite et laisser cuire dans la fin de la vapeur un quart d'heure minimum

    Pelez et videz le poivron rouge, émincer l'oignon; faites cuire les œufs 12 mn puis écalez les vite après les avoir refroidis dans l'eau glacée. Zestez le citron et conservez le zeste

    Dans le saladier, faire la vinaigrette assez aromatique avec huile, jus de citron, du basilic ciselé, l'ail pelé et écrasé ou réduit en purée; de la moutarde si vous aimez, du raifort si vous aimez… goûtez et rajoutez des câpres au vinaigre selon quantité souhaitée.

    Versez les pois chiches rincés à l'eau froide; mélangez, rajoutez le poivron en brunoise, mélangez, rajoutez l'oignon émincé, mélanger, rajoutez les œufs écrasés, mélangez, rajoutez les zestes, mélangez, rajoutez le poisson détaché en miettes, mélangez.

    Mélangez, mélangez, goûtez, assaisonnez selon le goût, mettre à rafraîchir et dégustez après avoir rajouté un filet d'huile d'olive pimentée ou à l'ail ou au thym.

     

  • 16 septembre 2014

    Manuel Valls:

    l'immigration est une chance, une opportunité pour la France

    Répété plusieurs fois par Hollande

     

      JAUNE.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Y'a plus qu'à rire... jaune!

  • La Belle Paule, une fille de chez nous

     

    Paule de Viguier, dite la Belle Paule (1518-1610) était une dame toulousaine du XVIe siècle connue pour sa beauté, La Belle Paule à sa fenêtre a été immortalisée par un tableau d'Henri Rachou dans la Salle des Illustres du Capitole.

    D’après un ancien proverbe toulousain, la ville rose pouvait se flatter de posséder quatre merveilles : “La belle Paule”, Saint Sernin, Le Bazacle et Matalin (illustre joueur de violon). Mais qui était vraiment “la belle Paule?

    Paule de Viguier naquit en 1518 dans une famille de notables d’origine anglo-normande. La grande pureté de ses traits et sa blondeur la firent très tôt remarquer dans une ville dont la plupart des enfants étaient bruns et de type méditerranéen.

    Lors de l'entrée à Toulouse de François Ier en 1533, les Capitouls organisèrent de grandes et coûteuses festivités. Pour remettre les clefs de la ville, une jeune fille de quinze ans, nommée Paule de Viguier, fut choisie.

    Elle fut choisie pour accueillir François Ier qui passait par Toulouse. Marchant à sa rencontre à la tête d’un cortège de notabilités, elle passa sous les nombreux arcs de triomphe dressés dans les rues et remit au roi les clefs de la ville.

    Coiffée d’une couronne de roses, vêtue d’une robe blanche, elle fit une forte impression sur le monarque, qui, comme chacun sait, était amateur de jolies femmes. Il demanda à son entourage qui était cette gracieuse apparition et laissa échapper cette phrase "Ah, la belle Paule". L’expression fit fortune et elle resta ainsi désignée par les Toulousains. Mais sa vertu ne le cédait en rien à sa beauté et François Ier dut, dit-on, se contenter de cette appréciation toute visuelle.

    La “belle Paule” eut, bien sûr, une nuée de soupirants. Mais son cœur battait pour un seul, nommé Philippe de Fontenille, un jeune et séduisant chevalier. Las, son père avait décidé de l’unir à un riche parlementaire, le sire de Baynaguet, et en ce temps-là, les ordres paternels ne se discutaient pas. Elle devint donc Mme de Baynaguet dans l’église du couvent des Grands Augustins, devant l’élite de la société toulousaine.

    Ce mari imposé, au demeurant parfait honnête homme, eut le bon goût de mourir après quelques années, et sa veuve, désormais libre et riche, put retrouver ses premières amours et devenir baronne de Fontenille.

    Elle eut un fils, ce qui n’altéra en rien sa beauté et, férue d’art et de poésie, accueillit dans sa maison les artistes et les poètes. Elle vécut dès lors une existence paisible troublée seulement par la mort de ce fils, qui lui inspira des lignes pathétiques. En 1563, Charles IX et Catherine de Medicis lui rendirent visite et la reine mère confia que "sa beauté était au-dessus de sa réputation".

    On dit que, plus tard, les édiles toulousains lui demandèrent de paraître à son balcon deux fois par semaine pour que le peuple puisse l’admirer librement. Elle mourut en 1610, toujours aussi belle (ou presque) de l’avis général. À sa mort, elle fut inhumée dans le caveau de l’église des Cordeliers de Toulouse, qui avait la réputation de conserver les corps sans corruption. On visita pendant longtemps le caveau comme une curiosité.

    La Belle Paule ne semble pas avoir suscité le même enthousiasme que de son vivant. Les femmes n’avaient pas le droit d’entrer dans le caveau (du moins de leur vivant): des dames désirant vivement voir le corps de la Belle Paule, elles obtinrent que le cadavre soit remonté à l’extérieur, ce qui fut fait, mais à l’instant où le corps voyait la lumière du jour, la peau et la chair tombèrent immédiatement en poussière, ne laissant qu’un squelette.

    Son parent Gabriel de Minut publia sur elle un ouvrage intitulé “La Paulegraphie” dans lequel il donne une description très intime de tous les avantages physiques de la belle Paule. Les mauvaises langues se demandèrent comment il pouvait connaître de pareils détails, mais sans doute avait-il beaucoup d’imagination? Paule de Viguier est restée dans l’imaginaire toulousain un symbole de perfection.

    "Adieu Paule la belle en éternel adieu.

    Le seul espoir que j’aie de te voir est qu’un jour

    Ayant quitté du tout ce terrestre séjour

    Nous nous rencontrerons là-haut avec Dieu".

    Son surnom serait à l'origine du nom La Belle Poule attribué à plusieurs navires.