Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Le trop et le peu.....

    Comment maigrir sans régime

    Changer certaines de ses habitudes ou utiliser des  techniques corps-esprits peut aider à perdre du poids, sans passer par un régime restrictif ou faire du sport à outrance.

    Dans cet article sont décrites 4 manières de mincir sans s'en rendre compte ou presque. Comme d'habitude, ces conseils sont basés sur des études scientifiques.

    Se priver de manger ce que l’on aime, avoir faim, fuir les invitations au restaurant ou chez les amis, prendre le risque de diminuer son métabolisme de base… Tout ça pour reprendre quelques mois plus tard les kilos chèrement perdus, il y a de quoi être découragé des régimes, non ? De même suivre un plan d’exercices physiques régulier n’est pas toujours simple.

    Voici comment mincir, soit en mangeant moins sans même s’en apercevoir (en mâchant plus ou en adaptant sa vaisselle), soit en utilisant des techniques corps-esprit (cohérence cardiaque, pleine conscience, TCC) qui ont fait leurs preuves. Tous ces conseils sont basés sur des études scientifiques.

    Mâcher plus

    La digestion implique une série complexe de signaux hormonaux entre le système nerveux et les organes digestifs (estomac, intestins) et il semblerait qu’il faut 15-20 minutes au cerveau pour enregistrer l’information que le corps est à satiété. Résultat: si on mange rapidement, le signal de satiété arrive après une consommation trop importante d’aliments, au lieu de permettre d’éviter l’excès.

    Aujourd’hui, on mange de plus en plus d’aliments mous (ultra transformés en général), très faciles à avaler après deux ou trois mastications, maximum. Le repas est ainsi souvent englouti en quelques minutes seulement ce qui ne laisse pas le temps au cerveau de libérer l’hormone de la satiété. Et on sait aussi qu’à valeur énergétique égale, un aliment mou amènerait à consommer davantage de calories parce que vous en aurez dépensé moins à le digérer.

    Il y a deux aspects importants qui sont étudiés concernant la mastication et la satiété: le temps de mastication et la texture des aliments.

    Pourquoi bien mâcher avant d’avaler

    En 2009 des chercheurs de l’université d’Indianapolis ont recruté 13 volontaires auxquels ils ont donné 55 g d’amandes à manger, avec des consignes sur le nombre de mastications: 10 fois, 25 fois ou 40 fois. Pendant les 3 heures suivantes les chercheurs ont évalué l’appétit des volontaires. Ils se sont alors aperçus que ceux qui avaient mâché 40 fois avaient moins faim que ceux qui s’étaient contentés de mâcher 10 fois avant d’avaler. De même, dans une étude américaine de 2013, 21 hommes en bonne santé devaient mastiquer chaque portion d’une pizza, soit 15 fois, soit 40 avant de l’avaler (2). Les chercheurs ont ensuite mesuré leur appétit et divers indicateurs métaboliques pendant les heures suivant le repas. Résultats: ceux qui ont mâché 40 fois chaque bouchée ont eu une sensation de faim plus limitée que les autres, et le glucose de la pizza a été mieux absorbé chez eux.

    Mangez des petites portions… et gardez-les longtemps en bouche. C’est ce que suggère une autre étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition et dans laquelle les participants ayant mangé des bouchées de 5 g de crème au chocolat, mastiquées pendant 9 secondes ont avalé en moyenne deux fois moins de crème au total que ceux qui ont mangé des bouchées de 15 g mastiquées pendant seulement 3 secondes (3). Mâcher et garder plus longtemps ses aliments en bouche accroît ainsi la satisfaction et la satiété, conduisant à manger moins, et donc à prendre moins de poids ou à en perdre.

    Mais mâcher pourrait aussi accroître les calories dépensées pour digérer. Dans des expériences sur des animaux, des scientifiques ont montré que les aliments durs et fermes nécessitent davantage d'énergie pour être digérés. Ainsi, des souris nourries avec de la viande hachée et cuite ont pris près de 30% plus de poids que des souris mangeant de la viande crue et entière, à calories égales évidemment.

    Comment mâcher plus

    - Manger des aliments durs à chaque repas: crudités par exemple, en entrée. La cuisson au wok permet aussi de manger des légumes justes saisis, encore croquants.

    - Eviter les aliments transformés (et encore plus les ultra transformés) dont les textures sont toujours plus molles.

    - Préférer les plats aux textures complexes, intégrant plusieurs couches différentes par exemple, aux textures simples (crèmes, soupes, purées...).

    - Mastiquer plus longtemps, en calquant votre rythme sur la personne qui mange le moins vite à table, en comptant vos mastications, ou en utilisant un minuteur pour vos repas.

     

     

  • Paupiettes de dinde

    Recette légère pour ceux ou celles qui font attention à leur ligne (c'est la saison!)

    Pour 4 personnes: 4 petites escalopes de dinde de 100 g,

    4 fines tranches de jambon blanc (environ 25 g chacune),

    100 g de champignons de Paris frais ou en conserve,

    1 oignon jaune, 1/2 verre de vin blanc sec (50 ml environ),

    1 verre d'eau (100 à 150 ml), persil, sel et poivre.

    Lavez et épluchez les champignons, hachez les pieds avec la moitié de l'oignon. Si vous les avez pris en conserve, rincez-les abondamment; s'ils sont congelés, faites les dégeler en les sortant du plastique pour ne pas que les bisphénols du plastique passe sur les légumes.

    Faites revenir ce hachis 2 min dans une poêle en fonte, sans rien pour commencer ce qui va aider à rejeter l'eau puis, rajoutez un peu d'huile et fire 5 à 6 mn. Salez et poivrez.

    Sur chaque escalope, disposez une tranche de jambon puis la purée de champignons. Roulez le tout et ficelez avec de la corde à rôtir; sinon avec de la barde de lard ou de la toilette (ou crépinette) de porc qui se maintient à la poêle.

    Coupez grossièrement le reste de l'oignon et faites frire; Faites revenir les paupiettes dans la poêle en fonte (ou fer); si vous avez trop de matière grasse, épongez avec cuillère à sauce ou papier absorbant. Rajoutez le vin et l'eau. Salez et poivrez, laissez cuire 45 min à couvert.

    Ajoutez la tête des champignons, puis laissez mijoter encore 20 min.

    Servez immédiatement.

    Cette recette n'est pas très calorique, env. 145 calories pour 100 g;

     

     

     

  • ALERTE! faites passer...

    Echange courriels avec mes copines dont l'une est médecin

     

    >> Bruxelles cautionne l'huile de moteur dans votre assiette

    >> Le groupe Saipol, maison mère des mayonnaises Lesieur, a reconnu avoir fabriqué de la mayonnaise avec de l’huile de tournesol coupée à l’huile de moteur.

    >> 

    >> L’information a été révélée par le Canard enchaîné, le 14 mai 2018.

    >> 

    >> Saipol s’approvisionne en effet en Ukraine. Ils se sont aperçus – trop tard- avoir utilisé 40 000 tonnes d’huile de tournesol coupées avec 280 tonnes d’huile de moteur.

    >> On parle donc d’une escroquerie d’ampleur… industrielle.

    >> 

    >> Mais le plus fort est la suite de l’affaire :

    >> Les produits restent en rayon

    >> 

    >> L’affaire est portée à la connaissance de la Répression des Fraudes dès le 21 avril 2018. Il faudra cinq jours pour que soit décidé d’enlever des produits des rayons. Mais une semaine plus tard (le 2 mai), on apprend que tous les produits qui contiennent moins de 10% d’huile de tournesol dénaturée peuvent rester en rayon. Ils continueront à être vendus aux consommateurs comme si de rien n’était, alors que les Autorités sont au courant !

    >> 

    >> C’est en effet une décision qui arrive de Bruxelles. Elle affirme que l’huile de moteur n’est " pas si dangereuses que ça ". Un homme de 60 kg en bonne santé pourrait selon la Commission européenne en ingurgiter jusqu’à 1,2 gramme par jour, "sans risque" !!

    >> 

    > mais c'est bien sur.... :-) et après avoir mangé cela, on part en courant en vrombissant?

    > ca dégoute d'être médecin, si à la base on donne n'importe quoi à manger aux gens ( je ne sais plus dans quel pays de l'est, on avait remplacé le sel de table, par du sel pour déneiger... cela coutait moins cher, donc il y avait un trafic , j'ai oublié les détails... mais bon, ce n'était pas bien " sain")

    > toute façon, je ne mange pas de mayo industrielle, le gout est bizarre, y a un truc qui ne va pas dedans. (cela sent le "pas normal trafiqué" et donc cela ne fait pas plaisir )

    > et je ne mange quasiment pas de plats préparés, je trouve des gouts pas normaux ou trop fades à pas mal de choses....j'ai été nourrie aux légumes du jardin de mon grand père.

     Ma réponse

    La mayo? c'est tellement facile à faire et tellement plus sain que c'est une honte d'achet de l'industrielle quand on aime ses enfants!!!

    Voici ma recette:

    Une cuillère à café de moutarde, un jaune d'œuf, de l'huile, sel (peut-être) et poivre

    un peu de tomates concentrée si vous voulez donner un peu de couleur (pour les enfants) et cela s'appelle “sauce Aurore“.

    Pas la peine de vous casser la tête d'avoir les ingrédients à température ambiante; je n'ai jamais observé cette info.

    Dans un bol, je met le jaune avec la moutarde et je bats durant trois minutes à la fourchette: c'est cela l'essentiel: bien, bien, bien mélanger la moutarde au jaune

    et on bat s'en s'arrêter, de façon normale avec la fourchette, en continue, s'en s'arrêter J'AI DIS!

    Au bout de trois à quatre minute, on rajoute 1 GOUTTE, très petite goutte d'huile (on stoppe) et l'on bat durant trois minutes à la fourchette, on rajoute une goutte de plus (on stoppe) et l'on bas

    durant trois minutes à la fourchette; on rajoute deux gouttes (on stoppe)  et on bats durant trois minutes à la fourchette s'en s'arrêter…

    on rajoute trois gouttes (on stoppe) on bats toujours et, petit à petit, on fait couler très, très doucement l'huile en battant à la fourchette; on s’interrompt de verser l'huile si l'on voit qu'elle ne s'amalgame pas avec la vitesse du fouettage….

    on verse l'huile et on bat à la hauteur de la quantité souhaitée de mayonnaise. Poivrez, salez, mettre du concentré de tomates, des herbes aromatique ou de l'ail pillé A LA FIN SEULEMENT.

    Ben, non, je ne fais pas ma mayo avec de la graisse de canard!!!

    Non mais, je vous jure!!!

  • Diététique et traitement médical

    Lorsqu’on suit un traitement médicamenteux, on pense aux effets secondaires de ces molécules mais -souvent- on ne pense pas le corps les absorbe.

    Quelques personnes savent que le jus de pamplemousse doit être évité pendant un traitement, ce n’est -toutefois- pas le seul aliment à avoir une mauvaise interaction avec les médicaments. En fonction du traitement que vous suivez, voici une liste d'aliments à éviter

    Le jus de pamplemousse

    Evitez la consommation de ce fruit -ainsi que son jus- lors de la prise de médicaments hypocholestérolémiants du type statines, d'anti-histaminiques, d'hypotenseurs, de pilule contraceptive, d'anti-acides, de sirops contre la toux ainsi que les traitements de la thyroïde.

    Les légumes à feuilles vertes

    Lors des traitements anticoagulants, il faut éviter la consommation d’aliments riches en vitamine K pour éviter l’effet inverse ainsi que des complications.

    Les aliments riches en tyramine

    Le chocolat, les fromages très affinés, les viandes fumées, séchées ou encore transformées, le soja fermenté et la bière pression sont des aliments à éviter, car riches en tyramine (un dérivé de l'acide aminé tyrosine qui agit en tant qu'agent libérateur de catécholamines) en cas de prise d'antidépresseurs de type inhibiteurs de la monoamine oxydase (ils peuvent alors augmenter de trop la pression artérielle), mais aussi avec les traitements pour limiter les symptômes de la maladie de Parkinson.

    L’alcool

    C’est bien connu, il faut éviter l’alcool lorsqu’on prend des médicaments, mais certains sont plus dangereux, notamment les antidépresseurs, les neuroleptiques ainsi que les antibiotiques.

    La caféine

    Le café, les sodas, et une forte consommation de thé sont à éviter lors de prise d'antibiotiques, surtout ceux qui sont utilisés contre les infections urinaires.

    Le lait

    Le lait limite l’absorption des antibiotiques de type tétracyclines à cause d'une forte teneur en ions calcium du lait et de l’antibiotique qui finissent en compétition dans l’organisme.

    En pratique:

    Il est recommandé de toujours demander au pharmacien les conseils adaptés à votre traitement.

    Sources:

    Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de la santé