Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Miel et cannelle pour les frimas hivernaux

    Quand les remèdes naturels surpassent les produits pharmaceutiques

    Le miel est utilisé comme remède depuis des milliers d’années; il peut se montrer très efficace pour soigner le rhume, la toux en particulier, sans provoquer le moindre effet indésirable (seules quelques légères nausées ont parfois été signalées dans les études considérées). Il est notamment recommandé pour soulager la toux aiguë chez les enfants, pour qui les sirops antitussifs sont finalement peu efficaces, voire contre-indiqués chez les nourrissons. Le miel est bien souvent cité comme " remède de grand-mère" à l’approche de l’hiver. Consommé seul ou pour sucrer une infusion, il soulage efficacement les gorges irritées. Dans le cadre d’une étude clinique sur les infections des voies respiratoires supérieures, des chercheurs ont pu confirmer ces propriétés bienfaisantes. Mieux: pour soigner ces maladies, le miel s’avère être plus efficace que les traitements médicamenteux traditionnels.

    Facilement accessible et bon marché, notamment par rapport aux antibiotiques, le miel pourrait ainsi être un excellent moyen de contribuer aux efforts visant à ralentir l’antibio-résistance. Les auteurs de l’étude soulignent néanmoins que d’autres essais contrôlés par placebo sont nécessaires avant de l’envisager. En outre, il existe plusieurs types de miels, il pourrait donc être intéressant de comparer leur action respective face à l’infection.

    L’antibio-résistance est un problème majeur, mondial, tant pour la santé humaine que la santé animale. Préserver l’efficacité des antibiotiques est aujourd’hui un réel défi. Si l’on ne réduit pas la consommation de ces médicaments, l’antibio-résistance pourrait devenir d’ici 2050 l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Aujourd’hui, elle serait déjà responsable de près de 700’000 décès par an à l’échelle mondiale ; en France, elle est à l’origine de plus de 5500 décès par an.

    Les résultats de cette étude viennent d’être publiés dans la revue BMJ Evidence-based Medicine. Ses auteurs, trois chercheurs de l’Université d’Oxford, dressent le bilan de 14 essais cliniques, dont l’objectif était de tester l’efficacité de différents traitements pour soigner les infections des voies respiratoires supérieures (IVRS). Leur conclusion est assez surprenante.

    Une solution potentielle à l’antibio-résistance

    Le sujet de leur étude a été motivé par un constat inquiétant: aujourd’hui, les bactéries responsables d’infections chez l’Homme sont de plus en plus robustes. En effet, la prescription et la consommation abusive d’antibiotiques, que l’on observe depuis plusieurs années, leur a permis de développer au fil du temps une résistance à chacun de ces produits. Des bactéries " hautement résistantes " sont ainsi apparues dans les années 2000 et ne cessent de proliférer. Le phénomène est classé parmi les dix principaux risques auxquels la Grande-Bretagne est confrontée.

    Un comble lorsque l’on sait que dans bien des cas, ces antibiotiques sont tout bonnement inutiles. En effet, si l’infection est d’origine virale et non bactérienne, ces médicaments n’ont aucun effet. Dans le cas des IVRS, ce comportement inapproprié est très répandu. Pourtant, on sait que la grande majorité de ces infections sont causées par des virus. Mais, face aux demandes insistantes, certains médecins soucieux de préserver les relations avec leurs patients finissent par céder malgré les recommandations.

    C’est la raison pour laquelle les scientifiques cherchent aujourd’hui des remèdes alternatifs pour soulager les voies respiratoires. Dans ce contexte, les chercheurs britanniques ont analysé les résultats de plusieurs essais cliniques destinés à tester l’efficacité de divers traitements contre les IVRS. Quatorze essais cliniques, incluant plus de 1700 patients, ont été passés au crible.

    Les malades souffraient d’infections aiguës telles que la toux, le rhume et d’autres maladies de type grippal ; en revanche, bronchites et autres infections des voies inférieures étaient exclues du protocole. La plupart des remèdes conventionnels ont été testés: divers médicaments en vente libre (sans ordonnance) contre le rhume et la congestion nasale, des antibiotiques, mais aussi du miel.

    Plus précisément, parmi les 14 études, neuf utilisaient du miel pur, deux utilisaient du sirop Grintuss (un sirop antitussif contenant du miel et des complexes végétaux) et une utilisait du sirop Honitus (un autre sirop à base de miel et de plantes). Les deux autres études ont testé l’efficacité du miel combiné avec du café et du lait. Par ailleurs, neuf des études concernées étaient exclusivement pédiatriques.

    Résultat: la précieuse substance produite par les abeilles s’est avérée 36% plus efficace pour réduire le nombre de quintes de toux et aussi 44% plus efficace pour en diminuer la gravité. En outre, les patients traités avec du miel ont été rétablis plus rapidement: l’infection a duré en moyenne deux jours de moins qu’avec les autres traitements.

    Le miel semble donc doté de propriétés médicinales impressionnantes. Les chercheurs expliquent que ce pouvoir est dû au peroxyde d’hydrogène qu’il contient. Ce composé est en effet un très bon agent antibactérien; il est d’ailleurs couramment utilisé pour désinfecter les plaies cutanées superficielles. En outre, la consistance épaisse et visqueuse du miel est idéale pour tapisser le palais et la gorge, ce qui soulage rapidement les zones irritées.

    Source: BMJ Journals, Abuelgasim et al.

    Les STEC non O157 et la cannelle

    " Prévenir naturellement des maladies d’origine alimentaire avec la cannelle ", source communiqué de la Washington State University du 16 juillet 2014.

    En cherchant des moyens de prévenir certaines des maladies d’origine alimentaire les plus graves causées par des bactéries pathogènes, deux scientifiques de l’université d’État de Washington ont trouvé quelque chose de prometteur dans une épice commune en cuisine, la cannelle.

    Les résultats récents ont été publiés dans la revue Food Control suggèrent que l’huile de Cinnamomum cassia peut agir efficacement en tant qu’antibactérien naturel dans l’industrie alimentaire. Les résultats de l’étude s’ajoutent à un ensemble de connaissances qui aideront à améliorer la sécurité des aliments et à réduire ou d’éliminer les cas d’intoxication alimentaire et des décès connexes.

    Dans l’étude, l’huile essentielle a détruit plusieurs souches de Escherichia coli (E. coli) producteurs de shigatoxines connus par le Centers for Disease Control and Prevention étant des STEC non O157. L’étude portait sur six souches principales de STEC non O157, a déclaré la co-auteure, Lina Sheng, étudiante en troisième cycle à l’école en science des aliments.

    L’huile de Cinnamomum cassia est efficace à faibles concentrations, dit-elle, environ 10 gouttes diluées dans un litre d’eau ont détruit les bactéries en 24 heures.

    La hausse des préoccupations des additifs chimiques sur la santé a renforcé la demande pour les additifs alimentaires naturels, a déclaré la co-auteure Meijun Zhu, professeure à l’École en science des aliments.

    "Notre objectif est d’explorer les composés bioactifs naturels dérivés des plantes comme antimicrobien pour maîtriser les pathogènes d’origine alimentaire, afin d’assurer la sécurité des produits réfrigérés", a-t-elle dit.

    "L’huile peut être incorporée dans des films et des revêtements pour emballage de la viande et des produits réfrigérés ", a dit Sheng. " Elle peut également être ajoutée lors de l’étape de lavage de la viande, des fruits ou des légumes pour éliminer les micro-organismes".

    Cinnamon cassia est produite principalement en Indonésie et a une odeur plus forte que l’autre variété de cannelle commune de Ceylan.

    En plus de l’huile de Cinnamomum cassia, Sheng prévoit d’étudier une autre source naturelle pour détruire les bactéries. Elle et ses collègues étudieront le potentiel du pissenlit pour inhiber les bactéries liées à la mammite bovine, une infection des glandes mammaires des vaches laitières.

    Votre boisson vitalité pour l'hiver

    Même quantité d'eau en bouteille, de miel, de cannelle en poudre

    Mélangez le tout SANS FAIRE BOUILLIR

    Boire la valeur de deux à trois cuillères à soupe matin et soir (pendant les épidémies hivernales et… la covid) ou le matin uniquement les autres périodes de l'année.

    La cannelle fait baisser le taux de sucre dans le sang (je l'ai expérimenté moi-même, ayant subi 5  années et demi de perf. mensuelle de 500 mg de cortisone, mon taux de sucre était limite alors que depuis plus de 50 ans, j'évite le sucre au maximum).

    La cannelle contient du chrome qui donc, réduit le sucre dans le sang… en même temps, aide à lutter contre le surpoids.

    Assertions vérifiées sur moi. Comme la plupart des infos de ce blog.

  • Que penser des produits boostés?

    Le mieux est de consommer UNIQUEMENT ce que vous préparez. C'est ce que je fait depuis toujours, même quand je n'avais pas le temps parce que ouvrière des l'âge de 14 ans, puis indépendante, j'ai travaillé... énormément.

    Cela ne m'a pas empêchée d'être attrapée par une sale et merdique maladie mais, c'était inscrit dans mes gènes, je ne pouvais y échapper... tout de même, si je n'avais pas fait autant de sport et de nourriture non chimique, il y a belle lurette que je serais en fauteuil roulant, à l'instant de pas mal de malchanceuses qui  ont vu cette satanée maladie s'accrocher à leur dos!

    Mais, comme depuis... 1964 je m'intéresse à la nourriture, nutrition, etc... j'ai récupéré au fil du temps- pas mal d'infos que je peux vous indiquer ici afin de vous aider à y voir plus clair... la modernité n'est pas très souvent signe de meilleure santé... la preuve avec cette foutue covid!

    L’ajout de vitamines ou de minéraux est aberrant quand le produit est visiblement mauvais pour la santé, par exemple trop sucré. Attention donc aux précisions qui détournent l’attention des mauvaises qualités d’un produit, ou qui, pour consommer du magnésium, vous font avaler plus de calories.

    Même chose pour les produits ultra-transformés qui mettent en avant le fait qu'ils sont bio, comme par exemple des nuggets de poulet. Bio ou pas, ils doivent être considérés comme des aliments à ne consommer qu'occasionnellement.

    Vitamines et minéraux: oui, mais…

    Certains aliments enrichis en vitamines et ou minéraux peuvent être intéressants. Mais attention: très souvent, la présence de vitamines et minéraux ajoutés est le signe d'un produit médiocre, que l'industriel essaie de présenter sous un meilleur jour. Par ailleurs, il faut être vigilant avec les micronutriments qui sont ajoutés:

    -    vitamine D: les aliments enrichis en vitamine D en apportent des quantités infimes, qui ont peu d'intérêt pour la santé;

    -    fer: de nombreux aliments (notamment céréales du petit déjeuner) sont enrichis en fer. Ce fer est susceptible de réagir avec d’autres nutriments et d’endommager cellules et tissus. Mieux vaut donner à un enfant un aliment qui contient naturellement du fer comme la viande ou le poisson. Quant aux hommes mais aussi aux femmes ménopausées, le fer des aliments enrichis est inutile car les besoins sont faibles et couverts par l’alimentation normale.

    A éviter?

    Il y en a beaucoup. Certains colorants, comme le caramel de sulfite d’ammonium (E 150d) que l’on retrouve dans les sodas, les bières ou des plats préparés sont suspectés de favoriser des cancers.

    Il y a aussi les phosphates (antioxydant, acidifiant), utilisés dans les produits laitiers, les soupes, les sodas mais aussi en tant qu’agent de texture dans les produits fromagers, les pizzas, les charcuteries, les nuggets de poulet…

    Un excès de phosphore serait associé à un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires, osseuses et rénales.

    En revanche, certains ne présentent a priori aucun risque à l’instar de substances naturelles comme de l’acide ascorbique - vitamine C (antioxydant), ou l’acide lactique (conservateur).

  • Les médecins du monde entier parlent…

    Enfin de bonnes nouvelles du monde entier: les médecins parlent en Allemagne, en Espagne, aux États-Unis!

    " Face aux mesures gouvernementales “disproportionnées et nuisibles à la population”, à l’absence d’enquêtes indépendantes et au manque de transparence dans la gestion des informations épidémiologiques, un collectif d’enquête internationale regroupant 2 000 médecins et experts a été constitué à Stuttgart (en Allemagne), avec plus de 5 000 membres".

    Enfin! on n’y croyait plus! Certes des voix – y compris médicales – s’étaient élevées avec courage comme celle du Pr Perronne, de l’équipe de Marseille et certains généralistes comme le Dr Violaine Guérin, le Dr Martine Wonner et quelques autres, mais un large groupe comme ceux qui viennent d’émerger en cette fin juillet aura plus de mal à passer pour " complotiste " comme est désignée toute personne opposée ou au moins critique de la pensée unique officielle mondialiste sous les ordres de l’OMS, elle-même aux ordres et financée par le milliardaire Bill Gates dont la légitimité sanitaire ne tient qu’aux dollars qu’il fait ruisseler.

    Initiative initiale en Allemagne

    Ce collectif a été lancé fin mai à Stuttgart et a décidé d’un collectif d’enquête internationale. Il a regroupé initialement 2 000 médecins et experts a été constitué à Stuttgart (en Allemagne), avec plus de 5 000 membres actuellement. Il se dénomme: ACU (commission d’enquête extraparlementaire Corona), cette commission d’enquête indépendante se veut internationale et citoyenne.

    "Face aux mesures gouvernementales “disproportionnées et nuisibles à la population”, à l’absence d’enquêtes indépendantes et au manque de transparence dans la gestion des informations épidémiologiques et scientifiques, l’ACU veut faire la lumière sur la réalité de l’épidémie, en faisant appel à la contribution citoyenne, et aux experts indépendants du monde entier".

    Ce collectif enfin rassemblé a été éminemment choqué par l’attitude invraisemblable des médias internationaux tout au long de cette crise pendant laquelle la vérité médicale a semblé à mille lieux de l’intérêt des journalistes autorisés.

    HONTEUSE INTERDICTION DE LA CHLOROQUINE

    La polémique autour de la chloroquine et son invraisemblable interdiction, son classement comme substance vénéneuse fin janvier quand sont apparus les premiers cas européens a particulièrement frappé tous les esprits puisqu’elle est de fait à l’origine de la multiplication des décès dans les pays comme la France ou la Belgique qui ont appliqué la politique du pire.

    Transformer le traitement par chloroquine en bataille politique anti-Trump ou anti-Bolsonaro s’est retourné contre les peuples. En France on peut encore lire aujourd’hui par certains trolls tweetos (en général à neuf abonnés) que le Pr Raoult est un affreux d’extrême droite et qu’on ne le soutiendra jamais car il ment comme tous les mecs de droite. Sacrifier les patients pour les bagarres de bas niveau politique est vraiment navrant. La chloroquine marche comme le prouvent de nombreuses études internationales y compris randomisées et surtout le taux extrêmement faible de décès de Français en zone sud qui a bénéficié du traitement Raoult de Marseille à Nice.

    Le collectif allemand est outré également contre le cinéma des masques " jugés inutiles sauf pour le personnel soignant, mais qui devient subitement obligatoire dès lors que des milliards y ont été investis et qu’ils sont disponibles dans les magasins".

    Les autres points faisant polémique seront étudiés par cette commission d’enquête indépendante, en particulier contre l’interdiction du traitement par Artemisia alors que cet antipaludéen comme la chloroquine semble très efficace dans les pays qui l’utilisent et son prix de revient est encore très inférieur à la chloroquine. Cela a valu à l’OMS la rupture avec plusieurs pays africains.

    La polémique sur les vrais chiffres des malades et des morts dus au Covid-19

    Il est évident que les vrais chiffres de mortalité du Covid ont été très gonflés dans la plupart des pays et le sont encore. Mourir à l’hôpital en France aujourd’hui est encore mourir de Covid, même si vous avez eu un accident de voiture. L’absence générale d’autopsie rendra très difficile l’établissement de la vérité, mais on aura tout de même des surprises.

    La maltraitance et l’assassinat des vieux nous a révoltés depuis fin mars mais les Français et les médecins pour la plupart ont courbé l’échine. Comme quoi inculquer la peur au peuple est terriblement efficace, d’autant qu’on ne sait pas comme éteindre cette peur car les arguments rationnels ne touchent pas ceux qui ont été devenus membres de la secte Covid.

    Le décret autorisant l’euthanasie des pensionnaires des Ehpad contaminés par le Covid-19, ou suspectés de l’être a été une phase tragique de notre histoire. Dès fin mars les services ont refusé l’hospitalisation des personnes âgées de plus de 75 ans (parfois moins) uniquement sur des critères d’âge et non pas d’évaluation individuelle de la possibilité de bénéficier de la réanimation. Le Samu a refusé de les transporter à l’hôpital et injonction a été donnée aux médecins et personnel des Ehpad de les laisser sous Doliprane sans même donner les antibiotiques prescrits pendant les épidémies de grippe précédentes.

    Et au moindre doute sur aggravation respiratoire, Covid ou pas Covid, injection de Rivotril pour induire une mort douce non demandée. Meurtre et non euthanasie, en l’absence des proches; pas de témoin, c’est mieux pour un assassinat prémédité sur injonction du pouvoir et refus aux proches de voir le cadavre de la personne décédée. Pas d’autopsie. Incinération le plus souvent possible. Ces pratiques niées par les gouvernants ont bel et bien eu lieu et les consignes données par la société de soins palliatifs en témoignent sur le net. Elles seront examinées à la loupe par la commission dite ACU.

    Celle-ci compte aussi analyser le scandale absolu des essais vaccinaux imposés à l’Afrique contre financement politique, et bien sûr la tentative de mise sur le marché à toute vitesse hors des procédures habituelles que tentent d’imposer les firmes avec la collaboration honteuse de l’Union européenne.

    Ce collectif veut mettre en place " un projet de participation intergénérationnel par des citoyens pour des citoyens ". Chacun peut soutenir le projet avec ses connaissances, son expérience et ses contributions sous forme de conférences et d’entretiens.

    Les informations seront diffusées au niveau international en plusieurs langues. L’ACU a mis en place une plateforme internationale accessible à tous, via l’adresse:

    www.acu2020.org

    et invite les citoyens de tous pays à contribuer.

    Écoutez la conférence de presse de 3 experts de l’ACU, notamment les Drs. Schöning, Schiffmann, Haditsch qui invitent experts et témoins à recueillir des preuves publiques qui seront mises en ligne quasiment en flux direct, sur le site internet multilingue de l’ACU, pour garantir la transparence du contenu de la plateforme.

    https://youtu.be/vTlhSgU3ims

    L’ACU est financée exclusivement par des dons. Pour contacter la commission, tout citoyen est invité à adresser un courriel à: kontakt(@)aerzte-fuer-aufklaerung.de

    (d’après le résumé en français de Kouadio KOUAMÉ)

    Voir aussi:

    http://www.cielvoile.fr

     

    Et les médecins américains se mettent à parler en faveur de la chloroquine

    Résistons! nous verrons la prochaine fois la résistance des médecins américains qui se met en place et fait peur à Big Pharma et alliés qui sont allés jusqu’à supprimer la vidéo de la conférence de presse vue 33 millions de fois. YouTube, Facebook et Google ont supprimé les liens mais la vidéo continue à circuler. On ne peut pas faire taire le peuple même si certains d’entre eux acceptent le masque de la honte et de la soumission.

    " VIDÉO CENSURÉE par Google, Facebook etc. des médecins américains sur l’HCQ. Ci-joint le lien de la vidéo. “Le chèque de Big Pharma ou la menace du retrait de recettes publicitaires sur-le-champ a dû produire son effet” dit un internaute mais il nous donne un nouveau lien:

    ici:

     

    "La liberté sera toujours plus forte, conclut-il "

    Troisième volet, les médecins espagnols se réunissent et parlent aussi

    COMPLETA Rueda de prensa MÉDICOS POR LA VERDAD

     

    Nous en reparlerons.

    En attendant, des médecins suisses, italiens se rallient à ces collectifs. Espérons que les médecins français relèveront la tête et ne seront pas les derniers à faire éclater la vérité sur cette vaste mystification. Répétons une nouvelle fois que l’épidémie est terminée et que comme d’autres peuples, les Bulgares, les Serbes, il faut se battre pour retrouver une vie normale, seule capable de limiter les dégâts en particulier psychiques que la prolongation des mesures liberticides aggrave jour après jour.

    Pour info: 1.300.000 personnes à Berlin le 1 août 2020 et non 20.000 comme disent les médias… Enlevez vos masques!!! Et déposez plainte à l’IGPN dès que vous avez une amende. (les moutons masqués seront bientôt des esclaves).

     L'auteur

    Nicole Delépine

    Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses communications dans les congrès internationaux.

    Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation internationale de son équipe médicochirurgicale associant la chimiothérapie de pointe individualisée et la chirurgie conservatrice mise au point et développée par le Dr Gérard Delépine depuis les années 80 est considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles.

    Cette renommée internationale a permis à cette petite équipe créatrice et indépendante de résister au long des décennies aux représentants de la pensée unique et de la médecine purement normative qui ont tenté de la faire disparaitre à plusieurs reprises.

    Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents, des interventions répétées des élus de la région parisienne et autres, des reportages multiples de journalistes, du soutien de nombreux médecins français et étrangers que cette équipe a pu résister à ses détracteurs. Elle publie régulièrement des tribunes dans différents médias. Elle a publié quatre livres chez Michalon: Neuf petits lits au fond du couloir 2000 Ma liberté de soigner 2006 La face cachée des médicaments 2011 Le cancer un fléau qui rapporte 2013

     

    Source: