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Actualité - Page 6

  • Prix du cacao

    Les Français vont-ils devoir réduire leur consommation de chocolat?

    Entre janvier et octobre 2024, le prix du cacao a augmenté de 127%. Du jamais vu dans l’histoire du chocolat, qui porte bien son nom d’"or brun". A l’approche de Noël, les gourmands devront-ils freiner leurs achats?

    Par Bertille Vaur

    "Il semblerait que 90% des personnes aiment le chocolat, et que les 10% restants seraient des menteurs", s’exclame une moniale de l’abbaye de Bonneval au sein de laquelle du chocolat est fabriqué depuis 1878. Pourtant, les consommateurs de chocolat vont bientôt devoir choisir entre leur portefeuille et leur aliment favori.

    Depuis octobre 2023, le prix de la fève de cacao a augmenté de 143%. En quelques mois, la valeur de cette fève est passée de 2 500 euros la tonne, à plus de 12 000 euros. Une hausse considérable qui devrait bientôt se répercuter dans les grandes surfaces. Cette échéance s’explique par le délai entre la récolte, la transformation post-récolte (fermentation et séchage), l’exportation, la mise en stock, la transformation, la fabrication du chocolat puis la mise en rayon.

    Cultivé majoritairement en Afrique de l’Ouest, le cacao est consommé, en grande partie, en Europe et aux États-Unis. En 2023, les Français, qui en sont particulièrement friands, ont consommé 12,5kg de chocolat en moyenne par foyer. Mais, depuis 2013, un nouveau marché est apparu en Chine entraînant une hausse des prix pour répondre à la demande.

    Dereglement climatique, speculation: les raisons de la hausse du cacao

    Le dérèglement climatique explique cette envolée du coût de la fève de cacao. Alors que la Côte d’Ivoire et le Ghana se partagent plus de 60% du marché de matières premières, ces deux pays ont été victimes de conditions météorologiques très mauvaises qui ont eu un impact important sur la production de cacao. En juillet 2023, des pluies torrentielles se sont abattues sur la Côte d’Ivoire provoquant la chute des fleurs à peine formées et la diffusion de pourriture brune des cabosses du cacaoyer, une maladie causée par un champignon nocif. La longue période de sécheresse qui a suivi a aussi affecté le cacaoyer qui a besoin d’eau pour son développement et celui de ses fruits.

    La deuxième raison qui explique cette hausse des prix est la mauvaise anticipation des demandes. Le prix d’achat assez bas du cacao ces dernières années a incité de nombreux agriculteurs à diversifier leurs cultures. Ils ont réduit leur production de cacao pour se tourner vers les plantations de bananiers et la récolte d’huile de palme. En 2024, l’écart entre l’offre et la demande devrait atteindre un volume de 423 000 tonnes de cacao. Depuis quatre ans, la demande mondiale de chocolat dépasse l’offre. Les stocks mondiaux baissent significativement ce qui crée un déséquilibre sur le marché et beaucoup de spéculation.

    Diversifier les chocolats: une option choisie par les moniales de Bonneval

    Avant les consommateurs, la hausse des prix de la fève de cacao affecte d’abord les chocolatiers, qui craignent aussi une possible taxe sur les sucres. Au fond d’une vallée de l’Aveyron, au sein de l’une des plus anciennes chocolateries de France, les vingt-quatre moniales de l’abbaye de Bonneval, ont choisi de réorienter leur production sur certains chocolats pralinés pour faire face à cette hausse des prix. La chocolaterie est leur principal gagne-pain".

    ASTUCE: remplacez le chocolat par de la caroube, que l'on trouve dans les boutiques de diététiques –sous forme de poudre- produit qui a un fort goût de chocolat, est beaucoup moins cher et, qui plus est, est moins calorique!

  • Pain perdu aux clémentines

    Quand j'étais enfant, hélas, on ne fêtait pas Noël pour raison d'un drame familial... donc, pas de jouets pour nous... mais, on avait quand même une mandarine qui était, alors un fruit rare et cher pour une famille d'ouvriers, fauchée en permanence... cependant, nous pouvions faire -rarement- ce dessert

    nombre de personnes 4

    Pour le coulis:

    8 clémentines; 40 g de sucre

     Pour le pain perdu:

    1 baguette de pain rassise; 400 ml de lait, 2 œufs,  6 clémentines

    1 sachet de sucre vanillé, beurre

    Préparez le coulis: pressez le jus des clémentines avec la pulpe. Versez dans une casserole avec le sucre et laissez épaissir pendant une quinzaine de minutes (à feu doux pour que ça ne brûle pas).

    Épluchez les autres clémentines et récupérer les suprêmes. Réservez.

    Coupez la baguette en tranches d'environ 2 cm.

    Battre les œufs avec le lait et le sucre vanillé. Trempez les tranches de pain dans ce mélange et faire dorer dans une poêle avec du beurre pendant quelques minutes sur les deux faces.

    Servir le pain perdu immédiatement avec les suprêmes de clémentines et le coulis de clémentines.

  • Poires pochées au vin rouge et épices

    Un grand classique de notre cuisine française….

    Pour 6

    6 belles poires, 1 l de vin rouge du Sus-Ouest; 150 g de sucre

    1 bâton de cannelle; 1 c. à café de mélange 4 épices

    1 c. à soupe d'écorces d'orange séchées (bien sûr, tout le monde sait faire des pelures sèches d'orange BIO)

    1 gousse de vanille ou de la poudre de vanille, la vraie!

    1 citron jaune bio

    Lavez et épluchez les poires, sans enlever la queue.

    Dans une grande casserole, versez le vin rouge, le sucre, les épices (cannelle, 4 épices, écorces d'orange et gousse de vanille fendue en deux) ainsi que tous les zestes du citron.

    Portez à petite ébullition et plongez les poires.

    Laissez cuire à feu doux pendant 30 à 40 minutes puis laissez refroidir (vous pouvez les laisser refroidir dans le vin pour qu'elles soient encore plus parfumées).

    Déguster froid.

  • CHAQUE ANNÉE, le Conseil Départemental de Haute-Garonne

    accorde:

        100.000€ chaque année à SOS MEDITERRANEE, association qui aide des migrants illégaux à passer en Europe;

        10.000€ chaque année à la LIGUE DES DROITS DE L'HOMME, association immigrationniste qui agit en justice contre l’Etat dans le domaine des frontières et qui se comporte en censeur politique;

        10.000€ en moyenne chaque année à FRANCE SOLIDARITÉ, une association qui aide les migrants illégaux à réclamer des droits en France et à y faire venir leur famille;

        10.000€ en moyenne chaque année à AVOCATS SANS FRONTIÈRES, une association qui aide les migrants illégaux à réclamer des droits en Europe;

        25.000€ chaque année à FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT, une fédération d’associations anti-nucléaire, anti-bassines, pro-éoliennes, qui se place aux cotés des écolo-terroristes en particulier chez nous sur le chantier de l’A69;

        Ainsi que des dizaines d’autres milliers d’euros chaque année à des associations pro-migrants, wokistes ou anti-démocratiques, petites et grandes.

    Généreux avec nos et vos sous??? et cela, pendant qu'on nous demande à serrer notre ceinture!

    Oui, c'est pareil dans votre département…. Cherchez et vous trouverez les délibérations ou bien, demandez –et exigez- à votre conseiller…

  • Quels aliments accélèrent le vieillissement de la peau?

    Notre patrimoine génétique, mais aussi le tabagisme, la pollution, le soleil ou encore le stress, sont en partie responsables du vieillissement prématuré de la peau. Mais ils ne sont pas les seuls. Pour prévenir le vieillissement cutané, d’autres paramètres sont à prendre compte. Et parmi eux, l’alimentation: sucre, sel, caféine, acides gras saturés, quels impacts sur notre peau ?

    LE SUCRE FAIT VIEILLIR !

    Manger trop de sucres peut être mauvais pour notre peau. En effet, des chercheurs ont mis en avant un phénomène appelé "glycation": certains types de sucres, notamment le glucose et le fructose se fixent sur les protéines présentes dans notre corps, ce qui entraîne une réaction chimique. Ces protéines transformées vont avoir des effets néfastes sur les fibres de collagène et d’élastine : elles vont s’agglomérer entre elles et devenir dures.

    De ce fait, la peau va perdre de son élasticité, de sa tonicité et va laisser apparaître des rides. De plus ces protéines vont aussi produire des radicaux libres ayant un impact direct sur la production d’acide hyaluronique, d’élastine et de collagène, précieuses molécules de jeunesse. Résultat, la peau est terne et le teint brouillé.

    LE SEL

    Le sel est, lui aussi, responsable du vieillissement cutané prématuré. En effet, un excès de sodium entraîne des pertes d’eau importantes dans notre peau. Celle-ci se déshydrate donc plus vite, devient sèche, terne : les signes de l’âge deviennent alors plus visibles. Pour réduire votre consommation de sel, remplacez-le par des herbes aromatiques.

    L’ALCOOL

    Sans surprise, l’alcool est également mauvais pour notre peau, surtout lorsque celle-ci est déjà mature. En effet, l’alcool déshydrate l’épiderme, ce qui accélère considérablement la formation des rides. De plus, les boissons alcoolisées dilatent les vaisseaux sanguins, entraînant alors des rougeurs sur la peau. Ce phénomène de vieillissement cutané est amplifié lorsque l’alcool est associé à la cigarette.

    Pour limiter les effets du temps sur votre peau, privilégiez avant tout une alimentation saine et équilibrée. Consommez régulièrement des fruits et légumes de saison, des oeufs, des poissons gras riches en oméga 3 ou encore des fruits à coque. Pensez également aux fruits de mer, aux céréales complètes, aux légumineuses.

    Limitez votre consommation de matières grasses et privilégiez les huiles végétales comme l’huile d’olive ou l’huile de noix, de soja, de pépins de raisin.

    Enfin, n’oubliez pas également de boire beaucoup d’eau, au mois 1,5 litre par jour afin de lutter contre la sécheresse cutanée.

  • La soupe aux pois cassés bien crémeuse

    Marre des soupes de supermarchés? En boîte cartonnée, dont le carton est recouvert d'une pellicule de plastique dont le chimique passe DANS la soupe (et l'encre du carton, au plomb aussi, soi-dit en passant)

    Temps de trempage: 12 heures (une nuit) le trempage est facultatif mais, au moins, lavez les pois cassés.

    Pour 6 personnes

    250 g de pois cassés; 4 pommes de terre, 1/2 crottin de fromage de brebis frais

    1 oignon, 3 gousses d’ail; 2 branches de céleri

    4 tranches de poitrine salée (facultatif)

    1.5 litre d’eau en bouteille, 1 cuillère à soupe d’huile d’olive

    2 feuilles de sauge facultatif, 1 branche de thym

    Sel, poivre du moulin

    La veille, lavez les pois cassés en les mettant dans un saladier rempli d’eau froide. Bien remuer.

    Le lendemain, épluchez l’oignon et le hacher. De même, peler l’ail et l’écraser grossièrement. Lavez et épluchez les pommes de terre et le céleri.

    Dans une cocotte, faire chauffer l’huile et laisser brunir l’oignon à feu moyen en surveillant. Ajoutez l’ail et poursuivre la cuisson 5 minutes. Égouttez les pois cassés et les verser dans la cocotte. Ajoutez les pommes de terre et le céleri. Couvrir d’eau, et mettre le thym et les feuilles de sauge.

    Porter à ébullition, salez et laissez cuire à feu doux, comptez au moins 1 heure.

    De temps à autres, écumez régulièrement

    Pendant ce temps – pour ceux qui aiment ça, dans une poêle, faire revenir les tranches de poitrine salé (cansalade) à feu moyen et en surveillant. Égouttez les tranches et les couper en fines lanières à ajouter à la soupe.

    Lorsque la soupe est cuite, retirer le thym, puis mixer la soupe en ajoutant le fromage de brebis. Rajoutez un peu d’eau si besoin

    Au moment de servir, parsemez avec les lanières de cansalade et des pluches de céleri.

  • Magret de canard aux choux de Bruxelles et châtaignes

    Une recette bien de chez nous, à noter pour la fin d'année

    Pour 4 pers.

    300 g de châtaignes cuites au naturel (en bocal ou sous vide)

    3 magrets de canard; 1 kg de choux de Bruxelles

    80 g de beurre; 1 c. à soupe de bon vinaigre

    2 c. à café de quatre-épices ou autres épices à votre goût

    4 brins de cerfeuil, Sel et poivre.

    Retirez les premières feuilles et les trognons des choux de Bruxelles. Faites-les blanchir 5 mn clans une casserole d’eau bouillante.

    Egouttez-les, puis changez l’eau et faites-les cuire pendant 10 mn à l’eau bouillante salée. Egouttez-les.

    Dans une cocotte, avec de la graisse des magrets, mettez les châtaignes et les choux de Bruxelles à revenir 10 à 12 mn à feu doux. Salez et poivrez.

    Incisez la peau des magrets, faites-les cuire 5 mn côté peau dans une poêle à blanc. Retournez-les et faites cuire 3 mn. Gardez le gras de cuisson, saupoudrez les magrets du quatre-épices. Prolongez la cuisson 2 à 3 mn sur chaque face. Réservez.

    Versez le vinaigre dans la poêle à la place des magrets et faites déglacer en grattant les sucs de cuisson. Tranchez les magrets, puis nappez-les de sauce. Servez avec les légumes et le cerfeuil effeuillé.