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DANGERS

  • 1 sélection de huit aliments à éviter

    dont on ne soupçonnait pas forcément qu’ils cachaient autant de sucres.

    Mais, quel est l'aliment -soi-disant "protéiné"- qui, en réalité, contient bien souvent plus de glucides que de protéines?

    La réponse à la fin de l’article

    La bière

    C’est l’un des alcools dont il faut se méfier: un verre de 250 mL de bière à plus de 8 ° d’alcool apporte plus de 11 g de glucides!

    Les jus de fruits

    De nombreux jus de fruits sont très sucrés, notamment le nectar d’abricot (16 g de glucides pour une portion de 125 mL), le jus de pommes (13 g de glucides environ par portion) ou le jus de raisin (environ 18 g).

    Les soupes industrielles

    Vous pensiez que les soupes en brique sont un aliment sain à privilégier dans le cadre d’un régime? Pas toujours: une portion de 250 mL à 300 mL de soupe en brique apporte souvent plus de 11 g de glucides…

    Les lentilles cuisinées

    Bien que les légumineuses soient intéressantes pour leurs apports en protéines végétales, les lentilles cuisinées fournissent aussi leur lot de glucides: environ 24 g pour une portion de 150 g.

    Ce n’est guère mieux avec les haricots blancs ou rouges cuits qui apportent plus de 20 g de glucides.

    Le yaourt à la vanille

    Au rayon des yaourts, fuyez le yaourt à la vanille et préférez-lui un yaourt nature. Vous trouverez ainsi plus de 15 g de glucides dans un yaourt à la vanille, contre 5 à 9 g dans un yaourt nature.

    Les céréales du petit déjeuner

    Oui, hélas! les céréales apportent des glucides, (pas de grande surprise certes) mais certaines marques utilisent comme argument de vente que leur produit serait bon pour la ligne.

    Les corn flakes, les flocons de céréales, les mueslis, apportent généralement plus de 15 g de glucides par portion, voire 25 g pour le riz soufflé.

    Les barres de céréales

    Ces produits sont souvent riches en sucres et ne peuvent en aucun cas représenter un en-cas sain en cas de fringale. Une barre de céréales fournit généralement au moins 11 g de glucides en une seule portion.

    Les barres protéinées

    Comme leur nom ne semble pas l’indiquer, les barres protéinées du commerce sont elles aussi riches en sucres! Lisez bien la composition et le tableau des valeurs nutritionnelles, car en croyant avaler des protéines vous allez surtout manger des glucides.

    Ne vous faites pas avoir.

  • Aimez votre pays à haute voix, racontez-le,

    célébrez-le, servez-le, car le vent se lève…

    RL: Cher Guillaume Senet, avant d’entrer dans le vif du sujet, pourriez-vous vous présenter brièvement à nos lecteurs?

    Guillaume Senet: Je suis doctorant en droit, spécialisé dans les questions d’éthique publique. Ma thèse porte plus précisément sur les prises illégales d’intérêts, un sujet qui touche à la frontière entre le droit, la politique, et la responsabilité au service du bien commun. Depuis toujours, je suis passionné par l’histoire de France. Pas simplement pour la chronologie des faits, mais pour ce qu’elle dit de nous, pour la grandeur des figures qui l’ont forgée, et pour la beauté des œuvres qu’elle nous a laissées.

    Notre civilisation a porté en elle un souffle de génie: celui de Gutenberg et de l’imprimerie, de Léonard de Vinci et de l’harmonie des formes, de Vauban et de l’art militaire au service de la paix, de Colbert et du projet économique d’un État bâtisseur, mais aussi des bâtisseurs de cathédrales, des pionniers du chemin de fer, des ingénieurs de la Tour Eiffel, ou encore des esprits libres de l’Encyclopédie. Il y a dans notre histoire un trésor de savoir-faire, de foi, d’invention, d’équilibre, qu’il faut aujourd’hui redécouvrir.

    Mes études de droit m’ont permis d’approfondir cette passion à travers l’histoire des institutions, l’histoire du droit, des libertés publiques… autant de prismes qui donnent un éclairage singulier sur notre héritage. Le droit raconte l’évolution des mentalités, des rapports de force, des conceptions de la justice et de la société. Il révèle comment une nation se structure, se gouverne, et se pense elle-même.

    Ce parcours nourrit aujourd’hui un engagement plus large, culturel, intellectuel, collectif. J’essaie, à ma mesure, de participer à la transmission de cet héritage, non pas dans la nostalgie, mais avec le désir de bâtir du lien, de faire œuvre commune, de rendre visible ce qu’il y a encore de beau, de vrai et de grand dans notre pays.

    RL: Qu’est-ce qui vous a motivé à monter le spectacle historique Murmures de la Cité?

    Guillaume Senet: Ce qui m’a motivé à créer Murmures de la Cité, c’est d’abord une conviction simple: notre époque a besoin de récits partagés, de beauté vécue ensemble, et d’un enracinement joyeux. Nous avons besoin de renouer avec notre histoire, non pas de façon muséale ou figée, mais de manière vivante, incarnée, populaire. Murmures de la Cité est né de ce besoin de réconcilier les gens avec leur territoire, leur mémoire, leur culture, leur fierté aussi — au bon sens du terme.

    À travers le spectacle, j’ai voulu offrir un moment de cohésion, de souffle, de Transmission. Une fresque vivante, portée par des bénévoles de tous âges, qui montre que l’histoire n’est pas derrière nous, mais en nous.

    L’idée n’était pas simplement de faire revivre des épisodes du passé, mais de faire résonner des valeurs: le courage, la foi, la liberté, la paix, le sens du bien commun… Ces valeurs sont intemporelles, et elles parlent encore aux cœurs d’aujourd’hui. Enfin, il y a eu une envie très profonde de bâtir quelque chose ensemble, sur ce territoire, avec ses habitants, ses talents, ses ressources. Murmures de la Cité est un spectacle, oui, mais c’est aussi une aventure humaine, collective, enracinée et tournée vers l’avenir.

    Une manière, peut-être, de répondre au bruit ambiant par un murmure… mais un murmure qui touche, qui élève, et qui rassemble.

    RL: Malgré les attaques plus ignobles les unes que les autres, et injustifiées, de la part de ceux que nous n’hésiterons pas appeler les partisans de l’anti-France, le spectacle a été un franc succès et s’est joué à guichet fermé.

    Cela vous a-t-il encouragé à poursuivre l’aventure? Et si tel est le cas, pourriez-vous nous faire part d’éventuels projets ultérieurs?

    Guillaume Senet: Absolument. Le succès du spectacle Murmures de la Cité — malgré les attaques injustes, parfois ignobles, venues de ceux qui n’aiment ni notre histoire ni notre peuple — nous a profondément encouragés. Joué à guichets fermés, accueilli avec une ferveur incroyable par le public, ce spectacle a prouvé qu’il répondait à une soif réelle: celle de retrouver du sens, de la beauté, des racines communes. Il a réveillé des mémoires, redonné des couleurs au passé, et surtout, rassemblé dans une émotion partagée.

    C’est pourquoi nous ne comptons pas nous arrêter là. Dès les débuts de Murmures de la Cité, nous avons posé les bases de plusieurs projets complémentaires que nous souhaitons désormais développer pleinement.

    L’ACADÉMIE DE MURMURES DE LA CITE: TRANSMETTRE ET FAIRE GRANDIR

    Nous allons continuer à faire grandir l’Académie au service de la transmission. Elle propose des ateliers, des cycles de formation, des conférences, des moments de lien intergénérationnel. Elle vise à éveiller les intelligences, à nourrir les imaginaires, à transmettre l’histoire, la culture, les savoir-faire. Elle est ouverte à tous, sans distinction, avec cette ambition simple mais exigeante: former des esprits libres, enracinés, curieux, et tournés vers le bien commun.

    Et cette année, nous franchissons une étape décisive: plusieurs écoles, publiques et privées, nous ont sollicités pour intervenir dès septembre. Ce sera l’occasion de proposer des initiations pluridisciplinaires autour des arts du spectacle: équitation, escrime artistique, danse traditionnelle et contemporaine, théâtre, chant, mise en scène, gestuelle historique…

    C’est une chance unique pour de nombreux enfants qui n’ont pas accès à ces disciplines à la maison, ni même souvent dans leur environnement. Ce que nous voulons, c’est éveiller des vocations, révéler des talents, ouvrir des horizons. Dans un monde souvent sclérosé par l’uniformité, nous voulons redonner aux enfants le goût de l’enracinement joyeux, de l’effort noble, de l’expression belle.

    LE COMPTOIR COOPÉRATIF: VALORISER LES TALENTS LOCAUX

    Nous voulons aussi continuer à faire vivre le Comptoir coopératif, qui valorise les artisans, producteurs, éditeurs et créateurs locaux. Ce comptoir n’est pas un simple commerce: c’est un lieu de rencontre, un espace de lien, une vitrine des richesses de notre territoire. C’est un engagement au service du bien commun, une manière de soutenir l’économie locale, de faire circuler la confiance, les idées et les talents. Là encore, il ne s’agit pas de " se servir ", mais de servir ensemble, humblement et concrètement.

    LE SPECTACLE RECONDUIT ET ENRICHI

    Et bien sûr, nous reconduirons le grand spectacle historique, avec la volonté de l’enrichir encore. Le public a été bouleversé, émerveillé, ému — nous avons reçu des centaines de témoignages bouleversants. Nous voulons aller plus loin: creuser l’écriture, approfondir la mise en scène, élargir la participation. Ce spectacle est un creuset: il rassemble, il donne à chacun sa place, quelle que soit son origine, son histoire, sa croyance. Il n’est pas seulement un divertissement: c’est un acte de mémoire, de création et de fraternité.

    UNE DYNAMIQUE CONSTRUCTIVE, JAMAIS CONTRE, TOUJOURS POUR

    Nous ne sommes pas dans la réaction. Nous ne voulons pas être “contre”, mais pour. Pour le territoire. Pour la culture. Pour les gens. Pour l’avenir. Nos projets sont enracinés dans une démarche positive, constructive, patiente et fidèle. C’est cette dynamique du “murmure” qui nous guide: douce mais ferme, modeste mais déterminée, paisible mais tenace.

    Nous croyons à ce que nous faisons parce que nous le faisons avec les autres et pour les autres. Nous avons vu des enfants, des parents, des anciens, des bénévoles, des artistes, des ouvriers, des commerçants, des croyants et des non-croyants vibrer à l’unisson. Et cela, aucun slogan haineux n’y peut rien.

    Murmures de la Cité, ce n’est pas un spectacle. C’est un souffle. Une œuvre collective. Une promesse de lumière dans un monde souvent trop gris. Une main tendue à la France qui dort encore, mais qui ne demande qu’à se réveiller.

    RL: Lors de l’université d’été de SophiaPolis, dont vous êtes l’animateur, des activistes enragés de gauche ont déposé une pancarte menaçante à l’entrée de ladite université. Pouvez-vous nous en dire plus?

    Guillaume Senet: Une pancarte a été découverte à l’entrée du site ce lundi, premier jour de l’Université d’été, affichée ostensiblement, puis trois ce jeudi. Elles émanent de la section locale de la CGT et reprennent les méthodes désormais bien connues de certains militants d’extrême gauche: slogans diffamatoires, menaces voilées et amalgames haineux. Sur cette pancarte, nous étions accusés — je cite — d’être des " R-HAINE ", Racistes, Contre les droits des femmes, Menteurs, Voleurs, Amis du capitalisme.

    Nous répondons simplement, point par point:

        Racistes? Nous sommes héritiers d’une civilisation qui a toujours su accueillir, intégrer, transmettre. Une civilisation façonnée par le droit romain, l’Évangile et le travail.

        Contre les droits des femmes? Nous sommes respectueux, profondément, de la dignité propre des femmes, de leur rôle irremplaçable dans la famille, la société, la culture.

        Menteurs? Nous sommes chercheurs de vérité, toujours prêts à débattre, à nous corriger, à dialoguer avec sérieux.

        Voleurs? Nous ne vivons pas d’argent public (qui est l’argent du contribuable, qui travaille, construit, risque et fait vivre le territoire).

        Amis du capitalisme? Nous sommes amis des entrepreneurs, des artisans, des commerçants, de tous ceux qui créent, bâtissent, risquent et font vivre les territoires.

    Mais revenons au théâtre militant du jeudi. Alors qu’un membre de notre équipe observait calmement leur petite performance, il s’est vu violemment injurier par l’un des syndicalistes, qui lui a lancé un très progressiste: "Ta gueule grosse pédale"

    Ah, la tolérance! Le respect! Les valeurs de la gauche inclusive! Homophobie? Sans aucun doute. Mais venant de ceux qui s’autoproclament champions des minorités, cela glisse sur leur conscience comme une pancarte sur une palissade.

    Ajoutons que leurs affiches ont été agrafées à coups de très grosses agrafes directement sur des arbres, des végétaux. Oui, un arbre, à côté d’une haie… Une véritable agression contre la biodiversité.

    Faut-il parler ici de violence végétale, de saccage vert, de non-respect du droit des végétaux? Et pourquoi pas de violation de domicile chlorophyllien? Qui plus est, sur une propriété privée. Non seulement c’est une dégradation, mais c’est une atteinte directe à la flore locale. Viol du droit des végétaux? Agression contre un bosquet innocent? À ce stade, même le chêne du coin demande réparation.

    Mais la question n’est pas seulement celle du grotesque. Elle est aussi politique. Ce n’est pas un geste isolé de militants perdus, c’est une stratégie assumée d’intimidation. Il faut appeler les choses par leur nom: ces pancartes ne manifestent pas un simple désaccord, elles relèvent d’une tentative d’intimidation politique. Elles signifient: "Nous savons où vous êtes. Nous pouvons venir".

    Et elle s’inscrit dans un climat où certains élus, proches de ces mouvances, se sont permis de diffuser publiquement les noms, adresses et photos de domiciles particuliers, privés, sur des sites municipaux officiels. Certains élus locaux, qui devraient incarner la République, se sont faits délateurs, préférant la stigmatisation à la contradiction, la menace à l’échange. Ces méthodes relèvent d’un autre temps, celui de la surveillance idéologique, de la mise à l’index, des listes noires.

    Et ils ont l’audace de se prétendre antifascistes… quand ils en reprennent toutes les méthodes. Mais qu’ils sachent une chose: ils ne nous intimideront pas. Nous ne nous arrêterons ni de penser, ni de transmettre, ni d’aimer la France, ni d’en parler. Car s’il y a une haine dans cette histoire, elle n’est pas de notre côté. Et pendant qu’ils scandent des slogans, nous, nous créons du beau. Pendant qu’ils insultent, nous élevons. Pendant qu’ils abîment, nous bâtissons. Et cela, ils ne le supportent pas.

    RL: Cette même gauche vous a salis vous et toute l’équipe de Murmures de la Cité sans discontinuer, allant même jusqu’à vous accuser de complaisance avec le IIIe Reich, notamment les journaux L’Humanité et La Montagne. Pour avoir assisté à Murmures de la Cité le 13 juillet, en présence de monsieur le maire de Moulins, je peux affirmer que c’est un mensonge éhonté qui relève de la diffamation pure et simple. Envisagez-vous des poursuites judiciaires à ce propos?

    Guillaume Senet: Il est des calomnies qui salissent ceux qui les profèrent bien plus que ceux qu’elles visent.

    Oui, nous avons été diffamés, accusés des pires ignominies par une certaine presse militante — L’Humanité, La Montagne, La semaine de l’Allier, et d’autres relais politiques ou syndicaux proches de l’extrême gauche.

    Accusés de complaisance avec le IIIᵉ Reich, sans aucun fondement, sans aucune enquête sérieuse, sans jamais nous avoir interrogés, en mentant sur la réalité des représentations. Ce sont des accusations aussi graves qu’infamantes, qui relèvent d’une pure entreprise de démolition.

    Mais au fond, que nous reproche-t-on? De faire aimer la France? De mettre en lumière son histoire, sa grandeur, son âme? D’associer les habitants d’un territoire, de tous âges, de toutes origines sociales, dans un projet populaire et culturel? Ce spectacle, rappelons-le, a rassemblé plus de 2 000 spectateurs, affichant complet chaque soir, dans une ambiance profondément fraternelle avec plusieurs centaines de bénévoles. Il a été vu, approuvé et même chaleureusement salué par monsieur le maire de Moulins, présent le 13 juillet, et par de nombreux élus.

    Nous avons évidemment saisi un avocat, et envisageons des poursuites judiciaires pour diffamation. Il est temps de mettre fin à cette logique du mensonge et de la peur. Non pas par vengeance ou par agitation médiatique, mais par devoir de vérité et de justice. Nous devons cela non seulement à l’équipe de Murmures de la Cité, composée de bénévoles admirables, courageux, dévoués… mais aussi au public, à nos partenaires, et plus largement à tous ceux qui défendent la liberté de créer, de penser, de raconter. Nous ne céderons pas. Pas un pouce. Nous continuerons à agir, à transmettre, à bâtir. C’est notre manière à nous de répondre: non pas par la haine, mais par l’espérance. Non pas en s’abaissant au niveau de l’insulte, mais en nous élevant par l’honneur du service.

    RL: Vous êtes un catholique pratiquant. Aussi, les attaques que vous subissez, ainsi que vos collaborateurs, ne relèveraient-elles pas d’une certaine christianophobie?

    Guillaume Senet: Oui, il y a dans les attaques que nous subissons une forme évidente de christianophobie.

    Il faut avoir le courage de nommer les choses. Lorsqu’un projet culturel met en scène l’histoire de France dans sa profondeur spirituelle et catholique, qu’il évoque ses saints, ses rois bâtisseurs, ses cathédrales, ses traditions populaires, et qu’il est immédiatement taxé de “fasciste”, de “réactionnaire” ou d’“ennemi de la République”, il ne s’agit plus simplement de désaccord idéologique: il s’agit d’un rejet profond de tout ce qui touche à l’héritage chrétien de notre civilisation.

    Je suis catholique pratiquant, et je n’en fais pas mystère. Il n’est pas question ici de prosélytisme, mais d’enracinement. Le christianisme a façonné notre pays: son droit, son art, sa langue, sa vision de la dignité humaine. L’ignorer ou le mépriser revient à nier la France elle-même. Il y a aujourd’hui, dans certains milieux militants, une volonté délibérée de gommer cette mémoire, d’effacer toute trace du christianisme dans l’espace public — sauf à en faire une caricature ou un repoussoir.

    C’est une forme moderne de christianophobie culturelle. Et ce rejet ne touche pas que moi. Il s’abat sur toute une équipe bénévole, composée de croyants, d’agnostiques, de pratiquants d’autres confessions, tous unis par un même amour du patrimoine et un même désir de servir. Cela en dit long sur le sectarisme de certains de nos détracteurs.

    Mais nous ne nous laisserons pas intimider. La foi n’est pas une faiblesse. Elle est une force tranquille. Et elle nous pousse à continuer, non pas contre les autres, mais pour quelque chose de plus grand: la beauté, la vérité, la transmission.

    Nous croyons que l’art, la culture, la mémoire et la foi peuvent encore réconcilier, élever, guérir. Alors oui, il y a dans ces attaques un fond de christianophobie, mais cela ne nous arrêtera pas. Cela nous rappelle simplement pourquoi nous faisons ce que nous faisons.

     RL: Murmures de la Cité est un message d’espoir pour tous les amoureux de l’Histoire de France réelle et ils se sont sentis moins seuls grâce à ce merveilleux spectacle. Quel serait votre message à tous ces amoureux d’une France, non pas morte mais endormie, pour la réveiller précisément?

    Guillaume Senet: À vous, qui êtes venus de loin, parfois de très loin, pour assister à Murmures de la Cité. À vous, qui avez pleuré, qui avez chanté, qui avez prié, qui avez compris. À vous, qui avez vu danser devant vous la France charnelle, celle des paysans et des saints, des soldats et des bâtisseurs, des enfants et des mères. À vous, qui en sortant du spectacle, n’avez pas dit: c’était beau, mais: c’était vrai. À vous, nous voulons aujourd’hui dire merci. Et plus encore: nous vous passons le flambeau.

    Car la France n’est pas morte. Elle dort, peut-être. Elle souffre, c’est certain. Mais il suffit d’un chant, d’un flambeau, d’une veillée, d’un récit partagé, pour qu’elle se redresse. La France, ce n’est pas un territoire: c’est une âme. Et les âmes, parfois, se réveillent par une simple étincelle.

    Cette étincelle, nous avons tenté de l’offrir. À vous de l’emporter maintenant dans vos villages, vos écoles, vos familles, vos combats. À vous de rallumer les clochers, les mémoires, les feux de joie, les histoires du soir. Murmures de la Cité n’était pas une parenthèse enchantée. C’était un signal. Un acte de résistance joyeuse. Un appel au réveil des âmes.

    Alors à tous les amoureux de cette France invisible mais toujours vivante, nous disons: n’ayez pas peur. N’ayez pas honte. Aimez votre pays à haute voix. Racontez-le. Célébrez-le. Servez-le. Car le vent se lève.

    La France n’est pas une faute.

    La France n’est pas un accident.

    La France est une promesse. Et elle tient parole.

     (Propos recueillis par Charles Demassieux)

  • La vérité sur le loi Duplomb

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2025/07/24/un-chercheur-de-l-inserm-sur-la-loi-duplomb-6556464.html

  • Comment nettoyer une casserole brûlée?

    La 1er chose à savoir, c'est qu'il ne faut jamais mettre du javel dans une casserole –ou poêle- inox!

    Une casserole brûlée peut sembler irrécupérable, mais avec les bonnes techniques et astuces, il est possible de lui redonner son éclat d’origine. Découvrez ces méthodes simples et économiques vous permettront de sauver vos ustensiles de cuisine préférés.

    AGIR RAPIDEMENT POUR SAUVER VOTRE CASSEROLE BRULEE

    La 2e chose à savoir, agir très vite! Plus vous attendez, plus les résidus carbonisés seront difficiles à éliminer. Voici quelques étapes cruciales à suivre:

        Éteignez immédiatement le feu dès que vous constatez que la casserole est brûlée.

        Laissez refroidir légèrement la casserole pour éviter tout risque de brûlure.

        Retirez délicatement les aliments non brûlés, si possible.

        Évitez de gratter la surface avec des ustensiles abrasifs qui pourraient l’endommager.

    Une fois ces précautions prises, vous pouvez passer à l’étape du nettoyage proprement dit. Il existe plusieurs méthodes efficaces pour récupérer une casserole brûlée, en fonction des ingrédients dont vous disposez chez vous.

    Avant de vous lancer dans le nettoyage, il est capital de noter que certaines de ces techniques peuvent être utilisées pour d’autres ustensiles de cuisine. Par exemple, si vous souhaitez réinventer ses plats avec la plancha, ces astuces peuvent également s’appliquer pour nettoyer une plancha encrassée.

    LE BICARBONATE DE SOUDE: L’ALLIE MIRACLE CONTRE LES CASSEROLES BRULEES

    Le bicarbonate de soude est un produit polyvalent, efficace pour de nombreuses tâches ménagères, y compris le nettoyage des casseroles brûlées. Voici comment l’utiliser:

        Saupoudrez généreusement le fond de la casserole avec du bicarbonate de soude.

        Ajoutez de l’eau chaude jusqu’à recouvrir complètement la zone brûlée.

        Portez le mélange à ébullition et laissez bouillir pendant quelques minutes.

        Retirez la casserole du feu et laissez agir pendant 30 minutes à plusieurs heures.

        Frottez doucement avec une éponge non abrasive pour éliminer les résidus.

        Rincez abondamment à l’eau claire.

    Cette méthode est particulièrement efficace pour nettoyer les casseroles en acier inoxydable ou en aluminium. Le bicarbonate de soude agit comme un abrasif doux qui aide à décoller les résidus sans rayer la surface.

    Si vous utilisez régulièrement votre casserole pour préparer des fritures, il est central de choisir une huile de friture adaptée pour éviter les brûlures et faciliter le nettoyage.

    Comment nettoyer une casserole brûlée: 5 astuces efficaces pour retrouver une casserole comme neuve

    LE VINAIGRE BLANC: UN NETTOYANT NATUREL PUISSANT

    Le vinaigre blanc est un autre ingrédient miracle pour récupérer une casserole carbonisée. Son acidité aide à dissoudre les dépôts brûlés. Voici comment l’utiliser:

        Versez un fond de vinaigre blanc dans la casserole brûlée.

        Ajoutez de l’eau jusqu’à couvrir complétement la zone affectée.

        Portez le mélange à ébullition et laissez chauffer à feu doux pendant 2-3 minutes.

        Retirez du feu et laissez refroidir.

        Frottez délicatement avec une éponge pour éliminer les résidus.

        Rincez soigneusement à l’eau claire.

    Pour une action encore plus efficace, vous pouvez combiner le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude:

        Versez un mélange de vinaigre blanc et d’eau dans la casserole.

        Portez à ébullition.

        Ajoutez du bicarbonate de soude (attention, ça mousse!).

        Laissez agir 15-30 minutes avant de frotter.

    Cette méthode est particulièrement efficace pour éliminer les taches tenaces et les odeurs désagréables qui peuvent persister après une brûlure.

    Méthode                                      Temps d’action                 Efficacité

    Bicarbonate de soude                 30 min – plusieurs heures           Très efficace

    Vinaigre blanc                              2-3 minutes Efficace

    Combo vinaigre + bicarbonate    15-30 minutes         Très efficace

    AUTRES ASTUCES POUR RECUPERER UNE CASSEROLE BIEN TACHEE

    Si les méthodes précédentes n’ont pas suffi, voici d’autres astuces pour nettoyer une casserole brûlée:

        Le sel fin: Recouvrez le fond de la casserole de sel fin, ajoutez de l’eau chaude, faites bouillir 10 minutes, laissez agir plusieurs heures, puis frottez.

        L’acide citrique: Versez 2-3 cuillères d’acide citrique ou de jus de citron, ajoutez de l’eau bouillante, laissez agir quelques minutes, puis frottez.

        La cendre de bois: Frottez la zone brûlée avec de la cendre de bois humidifiée, puis rincez abondamment.

        Les coquilles d’œufs pilées: Utilisez-les comme un abrasif doux pour gratter délicatement les résidus.

    Pour les casseroles en fonte, vous pouvez utiliser des cristaux de soude, mais attention à bien les manipuler avec des gants car ils sont corrosifs.

    N’oubliez pas que la prévention est la meilleure solution. Surveillez attentivement vos cuissons et utilisez des ustensiles adaptés. 

    En appliquant ces astuces, vous pourrez sauver la plupart de vos casseroles brûlées. N’hésitez pas à répéter l’opération si nécessaire, et souvenez-vous que la patience est souvent la clé du succès pour retrouver une casserole comme neuve.

  • L'EMPLUME  DICTATEUR

    Notre-Dame de Paris: malgré la polémique et l’opposition de la Commission du patrimoine… des vitraux de Viollet-le-Duc, épargnés par l’incendie, vont bien être remplacés par des “contemporains”, conformément à la volonté d’Emmanuel Macron

    La commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA), opposée au projet de vitraux contemporains pour la cathédrale Notre-Dame de Paris, a “pris acte” de la volonté de l’exécutif de poursuivre le projet mais ne l’a pas “validé”, a clarifié le ministère de la Culture auprès de l’AFP samedi. (…)

    BFMTV

  • Adieu blanquette? Pas pour moi!!!

    PHOTO; ma blanquette, dans ma famille, on fait cuire le riz dans le bouillon de la blanquette pour plus d'arôme!

    quand les Français mangent moins français

    Coq au vin, bœuf bourguignon… La place de la gastronomie traditionnelle se réduit dans nos assiettes, au profit des burgers et autres kebabs. À qui la faute?

    Bœuf bourguignon, coq au vin, ratatouille, quiche lorraine… Ces incontournables de la gastronomie française sont-ils voués à disparaître de nos assiettes?

    En France, la cuisine traditionnelle qui, dans l’imaginaire collectif, est héritée de nos grands-mères et partagée en famille séduit de moins en moins.

    Un exemple emblématique: la blanquette de veau. Dans La France sous nos yeux (Seuil, 2021), les auteurs Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely montrent que les amateurs de ce ragoût mijoté à la sauce blanche se font moins nombreux.

    Seuls 28? des jeunes nés entre 1996 et 2002 apprécient encore ce classique de la gastronomie française. C’est 12 points de moins que chez les personnes nées avant 1956 (40?).

    Ces mutations inquiètent l’essayiste Pierre Valentin, qui alerte sur un possible risque de "déculturation culinaire". Mangera-t-on encore français dans vingt ans, et saura-t-on encore cuisiner nos propres plats?

    Les chiffres de l’Ifop invitent au doute. "Quand vous avez grandi dans un pays avec une couche yankee, que vous aimez la pizza et le kebab, que vous êtes attirés par la mode asiatique, il reste moins de place pour la blanquette, le bourguignon et la quiche lorraine", note Jérôme Fourquet, qui estime que cet appétit pour la cuisine étrangère devraient suivre ces jeunes générations "toute leur vie".

    S’éloigner de la cuisine française, c’est délaisser des pratiques alimentaires spécifiques, d’ailleurs classées au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’Unesco, comme c’est le cas du "repas gastronomique à la française". (…)

    Le Point

     

    PERSO

    Je cuisine une blanquette toutes les trois semaines de mi-septembre à mi-juin, (période que j'appelle d'hiver)

    Je cuisine un cassoulet au moins une fois par an et je fais un "presque cassoulet tous les mois durant la même époque.

    Je fais du confit de canard aux lentilles toutes les trois semaines de mi-septembre à mi-juin et DU confit de canard grillé au moins une à deux fois par semaine en dehors de ces dates, que j'appelle l'été "de la cuisine"

    Je cuisine de la saucisse de Toulouse 1 fois, toutes les semaines d'hiver et au moins une fois ou deux par mois "l'été".

    Je fais un bouillon d'os au moins toutes les trois semaines en "hiver"…

    Je rajoute des lardons de cansalade, partout où c'est possible: petits pois, sauces tomate… En fait, les lardons de poitrine salée (toujours achetés chez le boucher et pas les ragougnasses des industriels sous plastiques), je m'en sers le plus souvent comme sel du plat…

    Nous avons de la purée maison, des frites à la friteuse sans huile, du jambon blanc toutes les semaines été comme hiver.

    A toutes les fêtes et jours fériés, et pour nos anniversaires, c'est foie gras!

    Et bien sûr, le reste du temps, en hiver, une fois par semaine, le Tourin Toulousain, des légumes, du poisson etc….

    Et des tas de salades de crudités l'été!

    NON, je n'oublie pas notre cuisine française, cela ne risque pas!

  • ALERTE!

    La "Grande Muette" prévient une nouvelle fois le gouvernement

    Une vingtaine de généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.

    Souvenons-nous, le 22 avril 2014 "Boulevard Voltaire" publiait un de mes articles: "La Grande muette grogne de plus en plus fort".

    Au plus haut niveau de l’Etat on n’a pas voulu l’entendre grogner.

    Les réactions ne se sont pas faites attendre: Les généraux chefs d’état-major des trois armées, Terre, Air et Mer, plus une vingtaine d’autres officiers généraux, avaient menacé de démissionner.

    Même le Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ami de longue date de François Hollande, avait proposé de remettre son portefeuille au Président de la république.

    Il s’agissait là de la goutte d’eau qui allait faire déborder la coupe.

    **Nous envoyons allègrement nos jeunes soldats dans des pays étrangers risquer leur peau dans des guérillas sans fin prévisibles. Le but est de sauver des vies au nom de la liberté et de la lutte contre le terrorisme mais avec des armes désuètes et du matériel obsolète. Comme nous sommes les seuls à le faire alors pour le moins donnons-leur les moyens de se défendre face à un ennemi insaisissable.

    Prenez bien garde de ne pas aller trop loin!

    **Que l’on se souvienne que le 8 janvier 1961 le 1er REP (Régiment étranger de parachutistes) se mettait en grève et refusait de partir en opération après la mort de 11 paras en estimant qu’ils étaient morts pour rien. L’Algérie allait devenir indépendante selon la volonté de De gaulle, et ils obéissaient ainsi aux paroles de l’aumônier, le père Delarue: "Vous êtes tombés au moment où, s’il faut en croire les discours, nous ne savons plus, ici, pourquoi nous mourrons!".

    EN 2014, L’EUROPE N’ÉTAIT PAS EN GUERRE… LA FRANCE NON PLUS.

    Ce n’est plus le cas en 2025.

    La "Grande muette" parle de nouveau alors prenez garde car le tonnerre gronde.

    20 généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.

    **L’heure est grave. La France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.

    Le constat est accablant: c’est la guerre raciale. Que veulent ces partisans haineux et fanatiques.

    Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture. Il ne peut, et ne doit, exister aucune ville, aucun quartier, où les lois de la République ne s’appliquent pas.

    Des individus encagoulés saccagent des commerces et menacent les forces de l’ordre "qui ne font qu’appliquer les directives données, par vous, gouvernants.

    Nous ne pouvons être, devant de tels agissants des spectateurs passifs. "Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part".

    Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

    Et cela provoquera, au final, une explosion et l’intervention de nos camarades d’active pour la sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.

    La guerre civile mettra un terme à ce chaos et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers ".

    Le message est clair: l’extrême gauche veut le chaos et "si elle le provoque"  elle pourrait comptabiliser ses pertes.

    Manuel Gomez