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OCCITANIE - Page 76

  • Boulettes de pois chiche

    Pour 20 à 25 boulettes

     500 g de pois chiches secs; 1 C. à café de bicarbonate de soude

    1 oignon; 4 gousses d’ail

    1/2 bouquet de coriandre; 1/2 bouquet de persil plat

    Sel, Huile de friture (huile de pépins de raisin)

    Faire tremper les pois chiches 24 heures dans de l’eau froide avec le bicarbonate.

    Le lendemain, bien égoutter les pois chiches et les sécher jusqu'à ce qu'ils soient totalement secs.

    Placez les pois chiches dans la cuve d'un robot mixeur avec l’oignon et les gousses d’ail pelées et coupées en morceaux, les herbes lavées et effeuillées et le sel. Mixer sans pour autant obtenir une purée.

    Former des boules en pressant bien; Faire chauffer l’huile de friture à 180° puis plongez les boulettes le temps qu’elles soient bien dorées. Comptez 3 à 4 minutes.

    Égouttez du papier absorbant.

    Il est possible de les cuire au four pour une version allégée mais elles seront beaucoup moins croustillantes et moelleuses. Dans ce cas, arroser les d'un filet d'huile d'olive et faire cuire 20 à 25 minutes à four préchauffé à 180°, en retournant à mi-cuisson, jusqu’à ce que qu'elles soient dorées.

    Servir avec une sauce tomate maison

    En été, avec les amis, à l'apéro, faites des boulettes plus petites...

    Pour un reste de chichoulet.... (voir la recette avec la boîte à outil "rechercher").

  • Purée à la cansalade et aux oignons

    J'adore cette purée maison!

    Pour 2 personnes

    3 pommes de terre; 10cl de lait; 80g de lardons de cansalade

    Sel selon le goût; 1 oignon jaune, 50 g de graisse de canard

    Faites cuire les pommes de terre à la casserole, puis retirez la peau et écrasez en purée dans un saladier. Versez le lait, mettez le sel, mélangez.

    Dans une poêle, avec de la graisse de canard, faire revenir l’oignon coupé en petits cubes et faites revenir les lardons de cansalade à bien brun.

    Versez ensuite sur la purée sans trop mettre de graisse. Terminez avec du persil haché ou une lichette d'huile de noix ou de noisette pour les oméga-3 et le goût.

    Je sers avec de la viande grillée et une salade amère

  • Les signes précoces d’un AVC

    Un mois avant qu’il ne se produise, un AVC peut se manifester précocement par une paralysie ou un engourdissement du visage et des membres (notamment du bras), qui touche uniquement une seule partie du corps. Une impossibilité à sourire peut également aussi indiquer un futur infarctus cérébral. Autre signe alarmant : un trouble la parole, soit en raison d’une difficulté à articuler ou à trouver ses mots, soit à cause de l’utilisation de mots incompréhensibles ou de difficultés à comprendre ce que l’on entend.

    Les patients peuvent aussi avoir du mal à comprendre leur interlocuteur. Avant l’arrivée d’une attaque, on peut également faire face à un problème de vision (une perte de la vue d’un œil ou une vision double) et une perte soudaine de l’équilibre et de la coordination avec une instabilité à marcher. Quelques semaines avant un AVC, il est également possible d’être essoufflé sans aucune raison et de souffrir d’un mal de tête intense, brutal et inhabituel, d’après l’Assurance maladie.

    Consulter un professionnel de santé

    Si ces signes se présentent, il est conseillé de contacter et de consulter un professionnel de santé afin de prévenir l’apparition d’un accident vasculaire cérébral.

  • Consommer une bière par jour serait très bénéfique au microbiote intestinal

     

    Notre microbiote intestinal se compose de milliards de bactéries, de virus, de parasites et autres champignons. Ces micro-organismes jouent non seulement un rôle dans les fonctions digestives et métaboliques, mais sont également impliqués dans le fonctionnement des systèmes immunitaire et neurologique. C’est pourquoi une altération du microbiote (ce que l’on appelle une « dysbiose intestinale ») est parfois à l’origine de certaines maladies inflammatoires ou auto-immunes, telles que les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI).

    Le microbiote, en tant que potentielle cible thérapeutique, fait donc aujourd’hui l’objet de nombreuses recherches. L’objectif étant d’aider les patients à retrouver un microbiote équilibré et fonctionnel. De précédents travaux de recherche ont montré que lorsque des hommes et des femmes consommaient de la bière blonde sans alcool pendant 30 jours, la diversité de leurs micro-organismes intestinaux augmentait. À partir de ce constat, une équipe de l’Université nouvelle de Lisbonne a souhaité examiner les effets de la consommation de bière sur le microbiote.

    La bière est principalement composée d’eau, mais elle est également riche en nutriments (glucides, acides aminés, minéraux, vitamines et polyphénols), issus d’un processus de brassage et de fermentation en plusieurs étapes. Les fleurs de houblon, utilisées comme agent amer et aromatisant, contiennent des composés phénoliques, qui ont différentes activités biologiques antioxydantes, anticarcinogènes, anti-inflammatoires, œstrogéniques et antivirales. Toutefois, il est particulièrement difficile de déterminer la quantité précise de bière nécessaire pour obtenir ces bienfaits sans augmenter par ailleurs les risques liés à la consommation d’alcool.

    Cette nouvelle étude suggère ainsi qu’une consommation modérée de bière peut avoir des effets bénéfiques sur le microbiote intestinal. Mais l’équipe souligne que ces effets sont indépendants de l’alcool — la bière sans alcool entraînant les mêmes résultats. Par conséquent, les scientifiques rappellent qu’il vaut mieux opter pour la version sans alcool si l’on souhaite prendre soin de son microbiote. « Nous espérons que les gens réaliseront que la consommation modérée de bière dans le cadre d’une alimentation équilibrée peut être utilisée comme une stratégie pour améliorer leur microbiote. En particulier via le choix responsable de la bière sans alcool », a déclaré à Inverse, Ana Faria, auteure correspondante de l’étude.

    La consommation d’alcool est généralement associée à de nombreux risques pour la santé (hépatites, hypertension artérielle, maladies cardiaques, etc.). Plusieurs travaux de recherche, dont une récente étude génétique à grande échelle, ont même établi un lien de causalité direct entre l’alcool et plusieurs types de cancers. Certains scientifiques demeurent sceptiques quant aux résultats obtenus par Faria et ses collègues et estiment nécessaire de réaliser cette étude sur un échantillon beaucoup plus large, incluant des centaines ou des milliers d’individus.

    Source : C. Marques et al., Journal of Agricultural and Food Chemistry

    Bien connu: deux verres, ça va….