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occitanie - Page 4

  • Gratin de clémentines

    4 personnes

    3 œuf: 40 g de sucre; 40 g de poudre d'amande

    100 ml de crème fraîche liquide; 3 clémentines

    Beurre; 2 c. à soupe de cassonade

    Préchauffez le four à 210°C.

    Mélangez les œufs avec le sucre et la poudre d'amande. Incorporez la crème liquide et remuer.

    Épluchez les clémentines et les détailler en quartiers.

    Dans un moule généreusement beurré, déposez les quartiers de clémentines puis versez la pâte. Enfournez 15 à 20 minutes.

    Saupoudrez avec la cassonade et remettre au four position gril pendant 5 minutes. Dégustez tiède.

  • Coq au vin

    Quand vous achetez d'un coq, chez le boucher ou volailler, il s'agit pratiquement toujours d'une vieille poule de réforme (une poule qui ne pond presque plus d'œufs, et donc, elle ne devient plus rentable)

    La cuisson en marmite de fonte est longue, préférez l'autocuiseur, cuire durant 2 h

    Pour 6

    1,500 kg de coq, 80 cl de vin rouge; 1 oignon; 2 cl de cognac ou Armagnac

    2 carottes: 1 bouquet garni; 50 cl de fond de veau, herbes de Provence

    250 g de lardons de cansalade (poitrine salée du boucher, découpée en lardons)

    Huile d'olive ou graisse de canard, Sel, poivre

    On fais mariner longuement, à feu doux.

    Coupez le coq en plusieurs morceaux et les déposer dans le fond d'un plat. Ajoutez l'oignon haché et les carottes coupées en morceaux. Arrosez le tout de vin rouge de bourgogne, salez et poivrez. Parsemez d'herbes aromatiques. Laissez mijoter pendant une nuit à feu très doux.

    Le lendemain, égouttez la viande et réservez la marinade.

    Dans une cocotte déposez les morceaux de viande de cos et de l'huile, ajoutez les légumes, le bouquet garni et l'ail haché. Versez un peu de cognac pour que la viande s'imbibe. Ajoutez la marinade et laissez mijoter pendant environ 2h30.

    En fin de cuisson, faire dorer les lardons dans la cocotte à part dans de la graisse de canard et ajoutez à la préparation.

    Servez avec des pommes de terre robe des champs. Vous pouvez aussi ajouter une grosse boîte de champignons de paris pendant la dernière demi-heure de mijotage

  • Une nouvelle la taxe sur le sucre votée a l’assemblée Nationale

    Non contents de s’en prendre aux riches, les députés ont décidé de s’attaquer au porte-monnaie de l’ensemble des Français, y compris des plus modestes.

    Mercredi 29 octobre 2025, la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale a, en effet, adopté une taxe sur les produits alimentaires transformés contenant des sucres ajoutés.

    Le texte crée une "contribution" variable selon la teneur en sucres ajoutés, de 4 à 35 euros par quintal, prélevée à la première livraison en France (hors boissons déjà taxées), indexée chaque 1er janvier et affectée à la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM). Les entreprises réalisant moins de 10 millions d’euros (M€) de chiffre d’affaires seraient exclues du champ.

    Si elle était définitivement adoptée, cette nouvelle taxe serait un sale coup pour les entreprises qui ont eu à encaisser, ces dernières années, la hausse du prix des matières premières et de l’énergie, ainsi qu’une inflation normative.

    Cette "contribution" risque fort de comprimer les marges, freiner l’investissement et pénaliser l’innovation.

    Marie-Claude Stoffel, directrice de Nougat Chabert et Guillot, à Montélimar, estime que cela pourrait représenter entre 500 000 et 650 000 euros de surcoût pour son entreprise. LE NOUGAT, C’EST 69% DE SUCRE!

    Si les industriels répercutent tout ou partie de cette taxe sur les prix, ce sera aussi un coup dur pour les Français qui ont eu à subir une forte hausse des prix des produits alimentaires ces dernières années.

    Alors que 69% de nos compatriotes se disent pessimistes face à l’avenir, les députés n’ont pas d’autres idées que de taxer les produits "plaisir" à même de leur remonter le moral.

    Bien évidemment, en votant cette "contribution", les députés affirment vouloir "améliorer la santé des Français et financer des programmes de prévention".

    Il existe déjà une "taxe soda" sur les boissons sucrées dont nous attendons toujours qu’on nous démontre qu’elle a réussi à faire baisser la consommation.

    Une étude Kantar, menée un an après l’instauration de cette taxe, avait montré que les adolescents n’avaient bu que 5 cl de boissons sucrées en moins par semaine, soit l’équivalent de trois calories!

    Cette taxe ne corrigera pas durablement les comportements alimentaires mais fragilisera la production française, l’emploi et l’investissement. Elle repose sur une base économique faible et une philosophie fiscale discutable.

    Elle ne doit surtout pas être votée en séance plénière.

    Philbert Carbon

  • Protéger nos églises et nos racines

    Il y a cinq ans, la France était frappée au cœur: le sacristain et deux fidèles étaient assassinés dans la basilique Notre-Dame de Nice.

    Ce drame n’était pas un fait divers: c’était un symbole.

    L’attaque d’un lieu de prière, d’un sanctuaire de paix, d’un témoin vivant de notre civilisation.

    Depuis lors, les violences, dégradations et profanations dans nos églises n'ont malheureusement pas cessé, et Toulouse n'est pas épargnée.

    En 2022, c’est à la cathédrale Saint-Étienne, au cœur même de notre ville, qu’un sacristain a été agressé par un individu qui avait également déposé un colis suspect près de l’autel.

    Plus récemment, en 2024, l’église de l’Immaculée - Conception, dans le quartier du Faubourg-Bonnefoy, a été vandalisée: autel renversé, objets sacrés détruits, statue de la Vierge voilée.

    Ces gestes ne sont pas anodins:

    ils visent ce que nous sommes, ce qui nous unit, ce qui nous dépasse.

    Toulouse, ville d’Art et d'Histoire, de foi et de culture, doit aujourd'hui regarder cette réalité en face: la sécurité de nos lieux de culte n'est plus garantie. Malgré les efforts déployés, la réponse reste insuffisante face à la répétition de ces actes.

    Protéger nos églises, ce n’est pas un réflexe religieux: c'est un devoir de civilisation.

    Chaque année, plus d’un millier d’actes antichrétiens sont recensés en France 1 165 en 2023 selon le ministère de l’Intérieur, soit trois par jour en moyenne.

    Ces profanations représentent plus de 80 % des atteintes contre les lieux de culte de notre pays. Ce n’est plus une exception, c’est un phénomène de fond.

    Quand on s'attaque à nos croix, à nos églises, à nos cimetières, c'est notre identité même qu'on profane et qu'on tente d'effacer. Même si la majorité de ces actes sont crapuleux, chaque profanation porte atteinte à notre mémoire collective.

    À l'heure où Éric Zemmour publie La messe n'est pas dite, rappelons-le: la France n'a pas encore renoncé à son âme.

    La transmission, la foi, le respect de nos racines chrétiennes font partie intégrante du ciment national. Les détruire ou les laisser s'effriter, c'est renoncer à ce que nous avons de plus précieux: notre héritage.

    À Toulouse, je veux que la ville protège ses églises, non par nostalgie, mais parce qu’elles sont les repères vivants de notre histoire.

    Voici mes propositions concrètes:

    PROTÉGER

    Installation de caméras de surveillance autour des lieux de culte.

    Élaboration d'un plan municipal de sécurisation des églises en concertation

    avec les paroisses et les associations de quartier.

    PRÉSERVER

    Lancement d’un fonds municipal dédié à la restauration des édifices religieux, en priorité pour les églises en péril, sans distinction de culte mais avec exigence de respect du patrimoine toulousain.

    Soutien aux associations œuvrant à la mise en valeur des traditions chrétiennes dans l’espace public (crèches, fêtes patronales, concerts sacrés).

    TRANSMETTRE

    Organisation chaque lundi de Pentecôte de la “Journée du clocher” à Toulouse, ouverte à tous, pour redécouvrir l’histoire spirituelle et artistique de nos quartiers.

    Intégration des églises dans les circuits culturels et scolaires de la ville: redonner aux jeunes générations le goût du patrimoine chrétien qui a façonné l'âme de Toulouse.

    Une ville qui ne protège plus ses églises ne protège plus sa mémoire, ni son avenir. Je veux au contraire défendre le lien vital entre foi, culture et sécurité.

    C’est par là que commence la Reconquête!

    Arthur COTTREL - candidat aux prochaines élections municipales

     

    Ceci explique cela????

    https://ripostelaique.com/une-jeunesse-dorigine-extra-europeenne-a-toulouse-une-diversite-enracinee-et-en-expansion.html

  • Joues de bœuf à la crème de moutarde

    300g de joues de bœuf; 70cl de crème fraîche

    1 cuillère à soupe de maïzena; 1 cuillère à café de noix de muscade

    1 œuf; 2 cuillères à soupe de moutarde

    Battre l'œuf en omelette et versez sur la crème fraîche dans une petite casserole; ajoutez la moutarde, le noix de muscade, rajoutez en tournant bien la cuillère maïzena.

    Remuez sans cesse sur feu doux et conservez au chaud

    Faites saisir les joues à la poêle, à feu vif trois à cinq minutes maximum (se consomment à peine cuites)

    Versez la sauce moutarde sur les joues de bœuf.

    Vous pouvez saupoudrer de persil frais, haché menu

    Poivrez et salez au goût

  • Il est temps de ressortir les plats mitonnés…

    Qui vous tiendront chaud durant la saison des frimas!

    Pieds et paquets à la provençale

    Recette pour 4 personnes

    Temps de cuisson en cocotte normale: 6 à 7 heures. C'est bien moins long cuit à l'autocuiseur!

    12 carrés de tripes d'agneau de 10 cm de côté

    150 g de fraise d'agneau*; 150 g de jambon

    300 g de petit salé;4 pieds d'agneau blanchis

    1 poireau; 2 carottes; 1 oignon

    2 gousses d'ail; 1 bouquet de persil; 50 cl de vin blanc

    1 litre de bouillon de volaille; 150 g d'olives noires

    1 clou de girofle; 1 bouquet garni; Sel et poivre;

    Avant de cuisiner la fraise de veau, il est essentiel de la blanchir afin d’éliminer les éventuelles impuretés et de réduire son goût prononcé. Pour ce faire, il suffit de plonger le morceau dans une casserole d’eau bouillante salée pendant quelques minutes, puis de le rafraîchir immédiatement dans un bain d’eau glacée. Ce procédé permet également de ramollir la texture du morceau et de le rendre plus agréable à déguster.

    Mixez ensemble le jambon, la fraise d'agneau, le persil et une gousse d'ail de façon à obtenir une farce homogène. Réservez.

    Déposez au centre de chaque carré de tripes une cuillère à soupe de farce, rabattez les côtés et ficelez chaque morceau en un petit paquet.

    Tapissez le fond d'une cocotte allant au four avec le petit salé coupé en petits dés, ajoutez le poireau et l'oignon coupés en anneaux puis faites revenir 2 minutes à feu vif.

    Ajoutez les carottes coupées en rondelles et les tomates épépinées.

    Versez le vin blanc et le bouillon, salez et poivrez.

    Ajoutez les olives puis les paquets et les pieds, le clou de girofle, une gousse d'ail écrasée et le bouquet garni.

    Luttez, (fermez) hermétiquement la cocotte avec une pâte composée de farine et d'eau.

    Laissez mijoter 6 à 7 heures au four à 140° C (thermostat 4-5) sans préchauffage.

    Servez les pieds et paquets à la provençale avec des pommes de terre vapeur.

    *La fraise de veau est un morceau de viande qui provient de l’intestin grêle de l’animal. Elle est souvent utilisée dans la préparation de plats traditionnels tels que l’andouillette et autres charcuteries. Bien que moins connue que d’autres pièces, elle offre une texture unique et une saveur délicate qui saura ravir les amateurs de bonne chère.

    La fraise de veau peut également être utilisée en cuisine pour réaliser des plats mijotés, des terrines ou encore des ragoûts.

  • Purée de foies de volaille tartinable

    pour 4 personnes :

    300 g de foies de volaille; 1 petit oignon jaune

    1 c. à soupe de câpres (rincées si au sel)

    80 ml de bouillon de volaille (ou vin blanc sec si toléré)

    50 g de beurre; 1 gousse d’ail; 2 c. à soupe d’huile d’olive

    1 branche de thym (ou 1/2 c. à café séché)

    Sel et poivre au goût

    Nettoyez les foies (enlevez les nerfs si besoin) et coupez-les en morceaux.

    Faites fondre le beurre dans une poêle, ajoutez l’oignon émincé et l’ail haché, laissez fondre 5 minutes à feu doux.

    Ajoutez les foies, faites revenir 5 à 7 minutes jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés à l’extérieur mais encore tendres à cœur.

    Ajoutez les câpres, le thym, versez le bouillon (ou le vin), laissez mijoter 2-3 minutes. Mixez le tout au robot avec l’huile d’olive. Rectifiez l’assaisonnement. Servez tiède, tartiné sur du bon pain ou des légumes grillés