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sante - Page 24

  • Localisme, on vous vend la pénurie

    La France des années 2020 risque de ressembler beaucoup à celle de 1950 ou, pire, à la RDA des années 80…

    Émoi et allégresse dans la bobosphère française : on apprend par voie officielle que les supermarchés Carrefour vont se concentrer sur des produits français en ne proposant plus dans leurs étals que des fruits et des légumes de saison !

    Comme l’explique une presse déjà vibrante d’admiration pour la démarche entreprise, l’enseigne s’engage d’ici 2020 à proposer 95 % de produits récoltés en France en misant sur leur saisonnalité, quitte à relancer certaines productions locales.

    En pratique, on comprend bien que la chaîne de supermarchés veut se recentrer sur l’alimentaire : âprement concurrencée par Internet, elle est actuellement dans une phase économique particulièrement délicate et va devoir supprimer plusieurs milliers d’emplois. Il faut se rendre à l’évidence : il n’y a plus guère besoin d’aller en magasin pour acheter du matériel électroménager, technologique, d’ameublement ou de façon générale tout ce qui n’est pas alimentaire. Non seulement Internet permet d’obtenir ces produits à bon prix, mais en plus sont-ils livrés directement à domicile, ce que les enseignes de grandes surfaces traditionnelles ont bien tenté de faire avec un succès mitigé.

     

    Retourner sur le créneau alimentaire constitue donc une mesure logique dans le monde actuel. En revanche, on peut s’interroger sur la pertinence de l’enseigne à vouloir ainsi se concentrer sur le " tout français " et sur le retour forcené à des fruits et des légumes de saison.

    Dans un premier temps, on pourrait y voir une volonté louable de suivre sa clientèle : celle-ci semblant déclarer fièrement ne pas vouloir de fruits ou de légumes qui auraient voyagé depuis l’autre bout de la Terre, cette clientèle réclamant même des produits exclusivement locaux " pour aider nos agriculteurs et nos artisans du terroir ", s’adapter à cette demande semble une excellente idée.

    Il reste cependant difficile d’écarter complètement une volonté malheureusement déplacée de faire du pur virtue signaling, c’est-à-dire un affichage vertuel dans lequel il s’agit surtout de communiquer au maximum sur ses vertus réelles et supposées (s’affranchissant ainsi de l’une d’elles, l’humilité), sans comprendre que les efforts entrepris auront plusieurs effets de bord négatifs.

    Tout d’abord, cette réduction claire de l’offre et cette relocalisation des produits va inévitablement augmenter les prix au moins au début (et probablement ensuite aussi, si l’on s’en tient aux coûts de production actuels dans l’Hexagone). Tous les fruits et les légumes ne sont pas substituables les uns aux autres et on peut douter d’un franc enthousiasme à remplacer les fraises d’Espagne par les topinambours, même locaux, même de saison.

    Cette hausse des prix et cette baisse de l’offre pourront probablement être absorbées par une frange de la population dans laquelle on trouvera les classes moyennes et supérieures ainsi que les retraités (dont le niveau de vie moyen est supérieur au reste de la population) ; reste à savoir si cette hausse compensera le départ des classes moyennes et modestes vers les autres commerces qui n’auront pas les mêmes scrupules à placer de la poire sud-américaine en rayon en novembre.

    En outre, on peut aussi s’interroger sur la pertinence de réduire la variété dans les choix alimentaires ce qui historiquement s’est régulièrement traduit par des régimes moins variés et moins aptes à assurer une bonne santé. Là encore on se doute que le scorbut ne menace pas vraiment les populations concernées, mais la tendance générale semble déjà bien présente qui consiste à vouloir à tout prix calibrer les consommateurs plutôt que les produits, comme si devant l’échec des politiques agricoles de planification complète des productions, on avait subtilement orienté la planification des choix des individus.

    Et puis on ne pourra s’empêcher de noter que pour tous ces gens qui ont le cœur sur la main, il semble quelque peu étonnant de mépriser soudainement la fraise sud-américaine, au motif qu’elle pousserait tout plein de CO2 (forcément méchant) dans l’atmosphère. On oublie ainsi le fait qu’elle fait vivre un producteur ainsi qu’un transporteur puis un distributeur de fruits et légumes : si ces fats nous proposent un service aussi agressif à la bonne santé des petites plantes et des petits animaux, c’est parce qu’ils sont encore trop stupides pour comprendre que, dans dix-huit générations, ils seront peut-être fort marris d’avoir gaspillé tout cet air et généré toute cette pollution. Certes, ils n’atteindront même pas la troisième génération s’ils ne mangent pas à leur faim tout de suite mais là n’est pas la question ! Il faut penser aux petites plantes et aux petits animaux, oublier les autres êtres humains et prendre plutôt des topinambours à la chantilly.

    Bref : pour le moment, on se contentera d’observer ce qui est une intéressante expérience de marché libre. Les consommateurs trancheront et donneront une bonne idée de leur volonté d’accompagner ce changement ou non.

    Cependant, la démarche qui consiste à culpabiliser les consommateurs (sous couvert d’écologie) et qui vise à modifier leurs comportements n’est pas nouvelle, et elle a même tendance à s’accélérer, s’inscrire confortablement dans les esprits (on pourra d’ailleurs relire un précédent billet vieux de 13 ans pour mesurer le chemin parcouru) et passer gentiment du mode " proposition " au mode " imposition ".

    J’en veux pour preuve ce qui se passe de nos jours de façon de plus en plus fréquente lorsque des militants (végans ici) s’arrogent le droit de détruire les productions et le travail de certains sur la base de leurs convictions quasi-religieuses. Il suffit de voir le déluge permanent, et grotesque, d’informations catastrophistes visant à nous faire culpabiliser d’absolument tous les aspects de notre mode de vie pour comprendre que l’idée de Carrefour n’est qu’une étape supplémentaire vers un contrôle de plus en plus poussé de notre alimentation pour des raisons purement idéologiques. Magie de l’idéologie ainsi implantée : il n’y a même plus besoin de coercition affichée, le grégarisme des foules, la pression sociale et une information subtilement orientée suffisent.

    Du reste, si l’on pousse le raisonnement à son terme, revenus dans une France " auto-suffisante " sur le plan de son agriculture et moyennant quelques efforts supplémentaires pour se débarrasser enfin des vilains bienfaits de la mondialisation, on pourra aussi envisager des coupures volontaires d’électricité (pour sauver Gaïa), le remplacement des méchantes voitures (individuelles donc égoïstes) par des solex (évidemment électriques) et des voiturettes de golf, en passant par une alimentation au volume millimétriquement mesuré.

    Organisant ainsi son propre repli sur elle-même, la France des années 2020 risque de ressembler beaucoup à celle de 1950 ou, pire, à la RDA des années 80…

    h16free.com

     

  • Pourquoi?.....

    Pourquoi aimons-nous le café, la bière et/ou le vin? Quelle est l’origine de nos préférences en matière de boissons?

    Les goûts de chacun, amer ou sucré, en matière de boissons diffèrent, et il est important pour les scientifiques de comprendre ce qui détermine ces goûts afin d’offrir des solutions thérapeutiques plus efficaces dans la gestion des régimes alimentaires. Selon une récente étude génétique, les préférences concernant les boissons seraient moins une question de goût que d’effets provoqués par ces boissons.

    La généticienne Marilyn Cornelis a recherché des variations dans nos gènes du goût qui pourraient expliquer nos préférences en matière de boisson, car la compréhension de ces préférences pourrait indiquer des moyens d’intervenir dans le régime alimentaire des personnes.

    À la surprise de Cornelis, sa nouvelle étude a montré que les préférences gustatives pour les boissons amères ou sucrées ne sont pas basées sur des variations de nos gènes gustatifs, mais plutôt sur des gènes liés aux propriétés psychoactives de ces boissons.

    "La génétique qui sous-tend nos préférences est liée aux composants psychoactifs de ces boissons" déclare Cornelis, généticienne moléculaire à la Feinberg School of Medicine de la Northwestern University. "Les gens aiment ce que le café et l’alcool leur font ressentir. C’est pourquoi ils en boivent. Ce n’est pas leur goût".

    L’étude, publiée dans la revue Human Molecular Genetics, met en évidence des composantes comportementales basées sur la récompense qui sont importantes dans le choix des boissons et améliore la compréhension du lien entre la génétique et la consommation de boissons, ainsi que des obstacles potentiels à une intervention dans le régime alimentaire des personnes, selon Cornelis.

    Le gène FTO ("Fat mass and obesity-associated protein") est un gène situé sur le chromosome 16 humain. Certaines variations génétiques de FTO sont liées à l’obésité.

    Les boissons sucrées sont liées à de nombreuses maladies et problèmes de santé. La consommation d’alcool est liée à plus de 200 maladies et représente environ 6% des décès dans le monde. Cornelis a découvert une variante d’un gène, appelé FTO, liée à la consommation de boissons sucrées.

    Les personnes qui montraient une variation du gène FTO --la même variante liée auparavant à un risque moins élevé d’obésité- ont étonnamment préféré les boissons sucrées.

    "C’est contre-intuitif. Le gène FTO est un gène mystérieux et nous ne savons pas exactement comment il est lié à l’obésité. Il joue probablement un rôle dans le comportement, ce qui serait lié à la gestion du poids" explique Cornelis.

    "À notre connaissance, il s’agit de la première étude d’association pangénomique de la consommation de boissons basée sur la perspective du goût" indique Victor Zhong, premier auteur de l’étude. "Il s’agit également de l’association la plus complète jamais réalisée à l’échelle du génome sur la consommation de boissons".

    Les boissons ont été classées dans un groupe de goût amer et un groupe de goût sucré. Amer inclus café, thé, jus de pamplemousse, bière, vin rouge et liqueur. Parmi les produits sucrés figuraient les boissons sucrées, les boissons édulcorées et les jus sans pamplemousse. Cette classification de goût a été préalablement validée.

    Les données sur la consommation de boissons ont été recueillies au moyen de rappels ou de questionnaires alimentaires sur 24 heures. Les scientifiques ont compté le nombre de portions de ces boissons amères et sucrées consommées par environ 336’000 personnes dans la biobanque britannique.

    Ils ont ensuite réalisé une étude d’association pangénomique de la consommation de boissons amères et de boissons sucrées. Enfin, ils ont cherché à reproduire leurs principales conclusions dans trois groupes américains.

    Source : Human Molecular Genetics

     

    Buvez rouge ou ambré, mais toujours avec modération!

  • Attention, risque de cancer avec… du thé brûlant.

     Voici les températures de consommation recommandées

    Des recherches ont permis de mettre en évidence, pour les boissons chaudes, la température à partir de laquelle les risques d’apparition d’un cancer de l’œsophage augmentent.

    La possibilité de contraction d’un cancer à cause de boissons trop chaudes avait déjà été décrite en 2016 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cependant, la température à risque n’avait jamais été exactement déterminée. Une équipe internationale de chercheurs s’est réunie dans l’objectif de la définir.

    "Beaucoup de gens aiment boire du thé, du café ou d’autres boissons chaudes", déclare Fahrad Islami, de l’American Cancer Society. "Cependant, selon notre rapport, boire du thé très chaud peut augmenter le risque de cancer de l’œsophage, il est donc conseillé d’attendre que les boissons chaudes se refroidissent un peu avant de boire".

    Dans les précédentes études sur le sujet, les participants étaient questionnés sur leur manière de boire du thé et comment ils le préfèrent. Mais ces interrogations n’étaient pas d’une grande précision (les affirmations des participants n’étaient pas toujours sûres). L’OMS s’était surtout fiée aux résultats des expériences effectuées sur des animaux, qui ont permis d’estimer une température limite d’environ 65°C.

    Mais pour améliorer les résultats, les chercheurs ont commencé leur étude en Iran, dans la province du Golestan. Ses habitants sont réputés pour consommer régulièrement du thé. Des scientifiques avaient déjà reporté un nombre important de cas de cancer de l’œsophage dans cette région, alors qu’elle possède l’un des taux les plus bas de tabagisme et d’alcoolisme du pays.

    Les collectes de données sur plus de 50’000 habitants de la province, comme la moyenne de consommation de thé par jour ou encore leur statut socioéconomique ainsi que d’autres habitudes comme la consommation d’alcool, avaient débuté en 2004. Ces mêmes volontaires étaient régulièrement contactés les années suivantes sur leur état de santé.

    Pour connaître leur température favorite, les chercheurs leur avaient fait siroter durant leur premier interview, une boisson à exactement 75 degrés. Si c’était trop chaud pour eux, ils baissaient à chaque fois la température de 5 °C, jusqu’à ce qu’elle leur convienne.

    Après l’analyse des données, ils en sont arrivés à la conclusion que les individus qui boivent moins que 700ml de thé (environ 3 tasses) à plus de 60°C, doublaient leurs chances de contracter un cancer de l’œsophage.

    Cependant, il faut prendre en compte que cette forme de cancer n’est pas des plus rares. En effet, elle est placée en huitième position, dans les formes les plus courantes. La prévalence est encore plus grande dans les pays à forte consommation de thé comme la Chine ou l’Iran, mais il ne faut pas négliger d’autres facteurs dans ces pays, comme le tabagisme ou la diète.

    Fort heureusement, les boissons à "seulement " 50°C sont déjà désagréables pour certains individus, il y a donc peu de chances que vous supportiez plusieurs gorgées d’une boisson à 10 degrés de plus.

    Les scientifiques n’ont toujours pas trouvé d’explication exacte quant à l’augmentation du risque de cancer. Mais ils pensent que des dégâts sur les cellules après le passage des boissons sur ces dernières, en seraient la cause.

    Certains thés sont réputés pour diminuer les risques de cancers, un bienfait qui, malgré le manque d’évidence, ne doit pas être oublié après les affirmations de cette étude. Pensez seulement à laisser refroidir un peu votre boisson si elle vous semble trop chaude.

    Source : International Journal of Cancer

    Vous trouverez du thé bio ici, dans le catalogue

    www.biotine-sep.com

    Personnellement, j'ai horreur des boissons bouillantes: la preuve, en hiver, je bois mon café tiède et en été, je le bois froid.

    Pour les autres boissons, je ne les mets JAMAIS au frigo lorsque je veux les boire; je les sors de trois à quatre heures avant… sauf la bière que je ne bois qu'en été, lorsque la température est de plus de 35° dehors….

    Je suis toujours abasourdie lorsque je vois dans des films ou feuilletons des personnes qui ouvrent la porte de leur réfrigérateur et “s'enfilent“ de l'eau ou du lait glacé!

    Les boissons froides, c'est prouvé mais je n'ais pas les références, causent un choc thermiques sur les dents qui, à la longue, abîment vos dents…

    Et glaçant l'estomac, elles peuvent causer des problèmes digestifs et des douleurs intestinales. Il faut, vraiment, qu'il fasse canicule pour boire très froid, croyez-moi!

    Bien sûr, comme je ne cesse de l'indiquer, c'est plus cher, mais il faut boire des boissons en bouteilles (hélas, plastique) si vous voulez ne pas avaler les molécules pharmaceutiques de l'eau du robinet qui, à l'heure actuelle, est impossible de traiter dans les eaux usées. Enfin, si, il existe un système qui est beaucoup trop onéreux et qui utilise une place importante: il s'agit de plantes dépolluantes à installer dans des bassins de décantation et que l'on doit décanter des jours et des jours et faire passer par de très nombreux bassins successifs. Trop cher.

    Par contre, un autre rappel: ne jamais boire l'eau de bouteilles, même si le bouchon est d'origine, qui aurait été embouteillées plus de neuf mois. De plus, n'utilisez pas cette même bouteille pour y remettre de l'eau plus d'une semaine; votre flore buccale vous dira merci.

    Donc, vous comprenez que si vous avez un herpes labial, vous ne devez pas boire à la bouteille mais dans un verre que vous laverez très soigneusement, avant utilisation.

     

     

  • Le café (bis répétita)

    Je vous ai largement indiqué qu'il faut faire son café

    1) avec de l'eau en bouteille

    2) dans une cafetière, à l'ancienne, intérieur émail pour éviter les produits chimiques qui de dégagent et passe dans votre boisson préférée (sans sucre) en circulant à travers les tuyaux de plastique d'une machine à café, aussi sophistiquée que vous l'ayez!

    Le café filtre contient plus de caféine que les autres manières de faire votre café.

    C'est une graine extraite d’un fruit appelé cerise en raison de sa couleur rouge. Il provient d’un arbre appelé “caféier“ dont la hauteur varie de 2 à 12 m et qui a besoin de chaleur et d’humidité pour se développer.

    Il existe deux grandes variétés de café.

    L’arabica qui est cultivé à haute altitude en Amérique centrale, en Amérique du sud (Brésil, Colombie, Equateur, Venezuela), en Afrique de l'est.

    Il possède une faible teneur en caféine (0.8-1.4%) et donne un café au goût fin et parfumé.

    Le robusta qui peut être cultivé à basse altitude. Il est principalement produit dans les pays d’Afrique centrale et de l'ouest (Côte d’Ivoire, Cameroun, Ouganda) et en Indonésie.

    Sa teneur en caféine (2-3%) est le double de celle de l’arabica et donne un café au goût moins raffiné et plus âcre.

    Je connais des personnes qui m'ont dit ne pas aimer le café: j'ai expliqué que le café des bars est un arabica, en général, et fortement dosé.

    Le café des ménages doit être un mélange de Robusta et d'Arabica, c'est le moins cher, pour commencer… il est moins amer et acre qu'on ne le croit généralement. On fait le café filtre en mettant une grosse cuillère à soupe bombée par tasse de café + une grosse cuiller à soupe bombée aussi “pour la cafetière“. Vous disposez ici d'un café assez fort et sain si vous l'avez fait à la cafetière à main.

    Oui bon, vous pouvez utiliser une cafetière à piston EN VERRE et INOX.

    Je bois du café depuis mes 10-12 ans. Nous habitions à maximum deux km à vol d'oiseau de l'entreprise de torréfaction toulousaine “éléphant noir“. Quand le vent changeait vers nous, nous sentions le brûlé, signe qu'il allait bientôt pleuvoir. La brûlerie était à Lalande, quartier Nord de Toulouse. Elle n'existe plus, dommage. C'était la marque de mes parents, ce fut la mienne jusqu'au moment de la disparition des paquets jaunes et noirs dans les commerces.

    Si vous n'avez plus de café à boire, parce qu'il faut bien 20 mn à plus pour qu'il passe tranquillement, il vous faut un petit truc que je vends sur mon site internet

     

     On pense que c'est minuscule: en fait, il s'adapte à la largeur des mugs et tasses de café: vous faites chauffer un peu d'eau de bouteille dans une casserole inox, vous déposez deux cuillères rases de café dans le filtre.

    Quand l'eau bout à 88° (et oui!) vous versez très petitement un peu d'eau sur le filtre. Je dis bien très petitement, car plus vous ferez “pisser“ comme on disait à l'ancienne, le café dans le filtre, plus vous aurez du marc de café. (a moins que vous vouliez vous faire une voyance… voir en bas, je vous dis comment faire). Dans votre grande cafetière de famille, bien sûr, il ne faut pas faire pisser l'eau mais attendre tranquillement que le café goutte doucement, tout seul. Si vous faites trop fort, vous allez déchirer votre filtre papier (papier brun, bien sûr) et pouah, du marc dans le café ou le café au lait du petit déjeuner… à moins que vous vouliez vous faire un  voyance….qxxxxzzziii

     Les grains de café verts lavés et emballés dans des sacs de jute sont expédiés dans les pays consommateurs où ils sont torréfiés c’est-à-dire grillés ce qui développe leurs arômes et leur donne leur couleur foncée. La torréfaction est l’étape la plus importante de la fabrication car d’elle dépend la qualité du café.

    Le café dans nos supermarchés est composé soit d’une seule variété soit d’un mélange (tel que j'achète, voir plus haut). Notez que ce qui différencie le café d’une marque de distributeur d’un café de marque nationale; c’est la constance du mélange et donc de la saveur de votre café tout au long de l’année. Autrefois conditionnés en grains, le café est désormais vendu (en grande surface) moulu pour plus de praticité et sous vide afin de conserver un maximum d’arômes. Il arrive fréquemment qu’avant ouverture un paquet ou l’opercule d’une boîte soit légèrement bombé. N’ayez pas d’a priori négatif, c’est au contraire un signe de qualité.

    Pour lire votre avenir dans du marc, vous devez avoir un peu de liquide dans le fond de la tasse qui permet de ré-initialiser le marc ... quand vous avez votre marc bien étalé dans le fond, vous regardez, en long, large et travers les grains qui se sont disposés en dessins plus ou moins visibles ou en tâches.

    Là, laissez courir votre imagination: si le dessin forme un chien et si vous êtes facteur ou factrice, ouië!

    Mais, après-tout, c'est peut-être votre toutou: attendez vous à quelque chose venant de lui..

    si vous voyez un petit rectangle, cela peut annoncer un courrier..;

    bref, si le fond de café ne vous dis rien ou plus rien, secouez la tasse en faisant rouler le marc avec le peu de café qu'il y a au fond et recommencer à "voir".

    Heu.. vous voyez juste pour les jours suivants...

    Si vous voulez une vraie consultation de voyance avec des dates précises, des détails et pas de bla-bla-bla, c'est au 05 61 83 88 66.

    Je suis toujours là...pas en retraite encore.

  • Fabriquez un film alimentaire lavable

    Ingrédients:

    Trois rectangles de tissu (propre et sec) de la taille de votre plaque de four

    Pépites de cire d’abeille (à acheter en boutique biologique ou en magasin de bricolage)

    Sur votre plaque de four, appliquez trois rectangles de tissu empilés – les deux premiers protègent la plaque de la cire.

    Sur le tissu du dessus, saupoudrez des pépites de cire d’abeille.

    Appliquez-en suffisamment pour qu’une fois fondue la cire recouvre toute la surface du tissu.

    Passez la plaque au four à 85 °C, puis retirez-la lorsque vous observez que toutes les pépites ont fondu. Laissez sécher le tissu à plat quelques minutes pour que la cire durcisse.

    Utilisez ce film alimentaire pour emballer vos sandwichs ou vos denrées achetées au rayon frais à la découpe ou au marché.

    Lavez votre film alimentaire à l’éponge savonneuse.

    Vous enveloppez vos produits côté tissu, bien sûr...

    D'autres infos          http://www.tradi-cuisine.com/dossiers

  • Engraissez vos neurones!

    Bien manger, c’est bon pour votre corps, mais aussi pour votre cerveau. Le nourrir correctement est donc primordial pour votre santé, mentale comme physique.

    Heureux comme un neurone bien nourri… Ses carburants: sucre et graisse. Le rêve… même si on ne coupera pas à la mention "avec modération".

    Oui, (bien) manger, c’est aussi (bien) alimenter son cerveau. "Il ne faut pas oublier qu’il consomme 20% de l’énergie du corps. Le nourrir correctement est primordial pour notre santé mentale et physique", confie Bénédicte Salthun-Lassalle, docteur en neurosciences et auteur du très pédagogique livre "Assiette au top = cerveau heureux" (Prat Editions, 17,95 euros).

    Au menu, pour le combler, il lui faudra des protéines, des lipides, des glucides, du fer. Les sucres lents, que l’on trouve dans les pâtes, les légumes secs, les pommes, sont d’une grande aide pour la concentration. "Ces glucides fournissent au cerveau de l’énergie pour des efforts mentaux prolongés", pointe-t-elle. Mais ils ne sont pas suffisants pour lui en procurer suffisamment.

    "Mangez du fer“ encourage alors la chercheuse qui relève que, preuve de son importance, une carence se traduit par un teint pâle, de la fatigue, des troubles de la mémoire. Du fer: dans les lentilles, le boudin…

    Dites oui au chocolat: Ne vous privez pas de chocolat et ne faîtes pas la guerre au café.

    Autres apports capitaux: les acides aminés. Bien qu’ils soient nécessaires au fonctionnement cérébral, notre corps ne sait pas tous les produire. Il faut aller les chercher dans l’alimentation. Où? Par exemple dans le fromage, les cacahuètes, les produits laitiers, le poisson, la viande.

    Et le bouillon d'os, c'est-à-dire, la gélatine dont vous trouvez la recette en cherchant dans la boîte à outil “rechercher“….

    N'oubliez pas: le trop et le peu.....

     

     

  • Ménopause: prendre soin de ses cheveux et éviter la chute

    A la ménopause, certaines femmes assistent, souvent impuissantes, à la chute de leurs cheveux... Plus sensibles aux régulations hormonales qui régulent le cycle de vie du cheveu, ces femmes subissent de plein fouet les déséquilibres hormonaux qui s'opèrent au cours de la ménopause.

    Secs, poreux, ternes... Vos cheveux aussi sont victimes de votre ménopause. Pas de panique, des solutions existent.

    Chaque jour, nous perdons entre 50 et 80 cheveux. Rien d'anormal à cela. Ces cheveux sont ensuite remplacés par de nouveaux. La durée de vie d'un cheveu est d'environ 5 ans, et chaque follicule peut donner naissance à une trentaine de pousses.

    Comment la ménopause agit sur les cheveux? Les bouleversements hormonaux qui caractérisent cette étape de la vie des femmes peuvent entraîner de multiples troubles, appelés troubles climatériques, dont les plus connus sont les bouffées de chaleur, la sudation nocturne et la sécheresse vaginale.

    Les cheveux, sensibles aux hormones, ne sont pas épargnés. La chute des estrogènes, dont l'un des effets est d'accroître la phase anagène et d'épargner le "stock" de cheveux, n'assure plus aussi efficacement leur renouvellement. Parallèlement, le taux d'androgènes, les hormones masculines, ne baisse pas aussi brutalement ; ces dernières deviennent hyperactives, accélérant la phase de croissance du follicule pileux, sans laisser le temps à celui-ci de fabriquer une kératine de qualité. Les cycles pilaires s'enchaînent trop rapidement, produisant un cheveu moins robuste que le précédent.

    Résultat: les cheveux deviennent de plus en plus fins et tombent. La ménopause ne fait qu'accentuer et accélérer un phénomène naturel. À terme, le capital des cycles pilaires étant épuisé, le follicule, précocement vieilli, devient totalement improductif.

    Rassurez-vous cependant, comme pour les autres symptômes de la ménopause, seule une partie des femmes sont touchées, environ 30 % en ce qui concerne les cheveux. Et pour les autres, il existe des solutions.

    Une alimentation équilibrée est nécessaire.

    Certaines vitamines sont connues pour leur effet bénéfique sur le cheveu. C'est particulièrement le cas de la vitamine B, contenue dans la levure de bière, qui favorise la croissance et la vigueur des cheveux.

    Vous trouverez des gélules de levure de bière revivifiable ici: www.biotine-sep, dans l'onglet “Catalogue“ et Gélules

    Revivifiable veut dire que la levure est vivante… j'en ai utilisé un jour pour faire gonfler un gâteau.

    Les vitamines C et E, le fer, certains oligoéléments comme le zinc ou encore les acides aminés soufrés favorisent, quant à eux, la synthèse de la kératine, constituant essentiel du cheveu. Une alimentation variée et équilibrée permet normalement d'assurer des apports suffisants; si ce n'est pas le cas, des compléments alimentaires peuvent pallier les éventuelles carences. Deux cures par an, au printemps et à l'automne, sont généralement conseillées.

    Conseils: vous devez désormais prendre tout particulièrement soin de votre chevelure et suivre ces recommandations :

    Pas de shampooings trop fréquents: ils affaiblissent le bulbe en supprimant les sécrétions de sébum qui nourrissent le cheveu (et les pointes lors du brossage). Et choisissez un shampooing doux.

    Limitez les produits agressifs, notamment les colorations, et préférez des produits naturels à base de plantes. Shampooing nature sur mon site: www.biotine-sep.com dans l'onglet “Catalogue“ et “Beauté“

    Ajoutez quelques gouttes d'H.E. d'ylang-ylang, que vous trouverez sur mon site. www.biotine-sep dans l'onglet “Catalogue“ et “H.E."

    Après le shampooing, rincez abondamment et appliquez sur votre chevelure un masque hydratant. Voir mes huiles de beauté sur mon site: www.biotine-sep.com, dans l'onglet “Catalogue“ et “Huiles de beauté“.

    Protégez les pointes en y étalant une ou deux gouttes d'un gel de vitamines.

    Utilisez le sèche-cheveux avec modération et limitez les brushings à un par semaine après avoir protégé les pointes par un gel de vitamines ou un cataplasme avec de l'AMLA que vous trouvez dans la catégorie Superaliment de mon site www.biotine-sep.com

    En vacances, avant toute exposition solaire, enduisez votre chevelure d'une crème protectrice spécifique que vous rincerez le soir.

    Evitez les brosses en métal qui arrachent les cheveux, les élastiques, les matériels chauffants...