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  • ÉPHÉMÉRIDE

    Photo: Hôtel d'Assézat - Toulouse

    Saint Aymard

    Saint Aymard faisait partie d’un groupe d’inquisiteurs, dans lequel il était simple appariteur, qui fut massacré à Avignonet, près de Toulouse, par des albigeois en 1242.

     

    Dicton: “À la Saint-Aymard, récolte encore au hasard“.

  • Faites du vinaigre de pommes

    Trop facile!

    Il se réalise facilement à la maison avec un peu patience!

    Préparation: 20 min

    Fermentation: 5 semaines

    Ingrédients pour 1 L:

    • 300 g de pommes
    • 200 g de sucre de canne (moins la pomme est sucrée plus il faut du sucre)
    • 1 L d’eau

    Préparation

    Bien laver les pommes. Les couper en petits dés et les écraser à la main ou au mixeur. Les disposer dans un bocal avec le sucre de canne et l’eau. Ne pas remplir complètement le bocal, laisser deux gros centimètres. Mélanger. Fermer le bocal à l’aide d’un linge ou d’une gaze et conserver à l’abri de la lumière dans un endroit chaud pendant 15 jours.

     Mélanger la préparation de temps en temps durant ces deux semaines. Une mère de vinaigre peut se former.

     Passer au tamis la préparation pour récupérer le liquide. Conserver ce liquide dans une bouteille en verre bien propre, fermée elle aussi à l’aide d’un tissu et d’un élastique pour que l’air puisse pénétrer. Laisser fermenter le vinaigre 3 semaines.

    Pour changer du vinaigre maison rouge....

  • ... et c'est pareil, partout en France

    Toulouse. Vaccins Covid-19 : les déclarations d’effets indésirables explosent

    25 mai 2021 - 17:28

    En raison de l’utilisation de vaccins contre la Covid-19, le Centre régional de pharmacovigilance de Toulouse, qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments, enregistre, depuis janvier, cinq fois plus de déclarations qu’en temps normal.

    4000 signalements pour les quatre premiers mois de l’année 2021… C’est du jamais vu au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Toulouse, qui recueille les déclarations d’effets indésirables des médicaments, avant de faire remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM).

    “La hausse est considérable, c’est cinq fois plus que l’an passé à la même période. Nous sommes déjà submergés en temps normal. Là, autant dire que nous le sommes encore plus et à moyens constants”, ironise le professeur Jean-Louis Montastruc, directeur du CRPV et membre de l’Académie nationale de médecine.

    Toutes les déclarations enregistrées

    D’ordinaire, la structure rattachée au CHU de Toulouse enregistre en effet 2100 déclarations par an en moyenne. Dont une infime partie liée aux vaccins classiques. C’est bien évidemment la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui est à l’origine de cette spectaculaire hausse. Et même si bon nombre de déclarations concernent des effets indésirables déjà connus, comme d’éventuelles douleurs musculaires, toutes sont prises en compte.

    “Que ce soit les patients ou les professionnels de santé, tout le monde peut signaler des effets indésirables et c’est une très bonne chose que ce chiffre augmente. Ce suivi après la commercialisation permet de mieux préciser encore le rapport bénéfice-risque d’un médicament ou d’un vaccin”, explique le professeur Montastruc.

    Des effets “graves” pour un tiers des déclarations

    Car le Centre régional de pharmacovigilance ne fait pas qu’enregistrer les signalements. Il a aussi la lourde tâche d’authentifier chacun d’entre eux. Étant donné l’afflux depuis le début de l’année, priorité est toutefois donnée aux effets graves et inattendus qui représentent, selon le directeur du CRPV, environ un tiers des déclarations à l’heure actuelle.

    “Ce qui est très difficile dans cette période où l’ensemble de la population se fait vacciner, c’est de faire la part des choses entre les événements qui seraient survenus sans vaccin et ceux dus à l’injection d’une ou deux doses. Des accidents vasculaires cérébraux, par exemple, cela arrive tous les jours”, illustre-t-il.

    De véritables enquêtes pour confirmer ou non le rôle des vaccins dans les effets indésirables

    Pour cela, le CRPV mène donc de véritables enquêtes dites d’imputabilité qui prennent parfois plusieurs heures. “Avec des analyses cliniques ou pharmacologiques et en étudiant la chronologie des événements, nous parvenons toujours à identifier si une déclaration d’effet indésirable est liée au vaccin ou non”, assure Jean-Louis Montastruc.

    Hémophilie, hypertension, paralysie faciale…et bien sûr thromboses

    Parmi les signalements graves, le CRPV a ainsi dû mener des investigations sur des cas d’hémophilie, d’attaques cardiaques, d’hypertension artérielle ou encore de paralysie faciale. “La grande nouveauté spécifique à la campagne de vaccination, ce sont bien sûr les cas de thromboses veineuses qui ont beaucoup fait parler”, ajoute l’expert en pharmacologie.

    Hormis ces cas précis imputés au vaccin AstraZeneca, les déclarations traitées par le centre régional de pharmacovigilance de Toulouse ne font pas état d’un vaccin plus propice à générer des effets secondaires qu’un autre.

    Étant le plus prescrit, le vaccin Pfizer est à l’origine d’une grande majorité des signalements enregistrés, loin devant l’AstraZeneca, puis le Moderna et enfin le Janssen, dernier de des vaccins autorisés en France.

     

    Source:

  • Des aliments à consommer pour perdre du poids -2

    Les poivrons pour faire fondre les réserves de gras, parmi les meilleurs aliments brûle-graisses

    Teneur en vitamine C: 117 mg

    Portion: 130 grammes de poivrons crus

    Le poivron contient de la capsaïcine, qui lui donne son petit goût piquant, en plus d’être riche en fibres, en antioxydants et en vitamine C. Selon certaines études, cette molécule de capsaïcine aurait un effet sur la sensation de satiété et augmenterait la dépense énergétique de base (les calories) en empêchant l’assimilation des graisses. En outre, ce petit piment doux stimule le métabolisme et s’avère un aliment brûle-graisses efficace.

    L’université Laval à Québec a réalisé une étude démontrant que les hommes qui mangeaient quotidiennement des poivrons rouges à l’heure des collations et des repas brûlaient plus de calories par jour qu’un homme n’en consommant pas.

    Une étude japonaise publiée dans le British Journal of Nutrition a également constaté une augmentation postprandiale (sensation de satiété après les repas) chez les personnes ayant consommé des poivrons rouges.

    Si vous n’aimez pas le poivron, n’hésitez pas à consommer l’un de ces autres aliments riches en vitamine C.

    Les fraises, un aliment savoureux pour brûler les graisses

    Teneur en vitamine C: 85 mg

    Portion: 130 grammes

    Le fruit favori des petits et des grands possède une forte teneur en manganèse et en oligo-élément. Ces derniers stimulent le fonctionnement de la glande thyroïde qui a une action brûle-graisses importante sur l’organisme. La fraise est aussi considérée comme un aliment diurétique qui favorise la perte de poids et l’élimination des graisses, grâce à la présence de potassium et de certains tanins.

    D’après plusieurs études scientifiques japonaises, toutes ces molécules auraient un pouvoir lipolytique (dissolution les graisses) avéré similaire au principe actif des piments  et des poivrons.

    Selon le Dr Alan Hirsch, M.D, le simple fait de respirer l’arôme de la fraise en pratiquant un exercice léger, augmenterait le taux du métabolisme et favoriserait la perte de poids. L’odeur de la fraise favoriserait notamment la production augmentant la performance musculaire.