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  • Bon pour tout et tous: fruits de mer

    Vous allez en apprendre de belles sur les fruits de mer... cette note, je l'ai réalisé avec des bouts de plusieurs articles et c'est tellement étonnant que je vous en fait part!

    Les fruits de mer renforcent la mémoire

    Consommer des fruits de mer régulièrement intervient directement dans la concentration, la mémoire et l’activité intellectuelle puisque ces derniers contiennent une proportion modérée de manganèse, que notre corps ne fabrique pas par lui-même et qu’il est nécessaire d’ingérer de manière externe afin que nos neurones ait le meilleur rendement possible.

    Les vitamines, les minéraux et les graisses que contiennent les fruits de mer aident le cerveau à atteindre un développement optimal, c’est pourquoi le fait d’en consommer vous permettra d’améliorer votre agilité mentale, mais aussi votre capacité de mémoire.

     L’amélioration des niveaux de concentration, de mémoire et d’activité intellectuelle sont quelques exemples des nombreux bienfaits qu’il y a à consommer des fruits de mer pour votre cerveau.

    Ils améliorent votre estime de vous-même

    La quantité de tryptophane que présentent les fruits de mer en font un aliment qui ne peut manquer à votre régime alimentaire, car ils favorisent la bonne humeur, et par conséquent votre capacité à affronter la vie.

    Le tryptophane est l’un des 8 aminoacides essentiels au régime alimentaire humain. Il s’agit du précurseur métabolique de la sérotonine. Cette hormone transmet des signaux parmi les cellules nerveuses et cela a un impact direct sur votre humeur. D’un autre côté, si votre indice de masse corporelle est haut et que vous souhaitez le baisser, la consommation de fruits de mer peut vous aider: ces derniers présentent un faible contenu en graisses, c’est pourquoi il s’agit de l’un des aliments idéaux si vous voulez faire un régime.

    Ils favorisent le développement neurologique

    Dans le cadre d’une étude menée à bien à l’Université d’Amsterdam auprès de femmes enceintes, il a été prouvé que les nourrissons et les enfants en bas âge jouissaient d’un meilleur développement neurologique lorsque les mères consommaient des fruits de mer avant et pendant la grossesse.

    Ils diminuent la fatigue intellectuelle

    Tous les crustacés sont riches en zinc, qui est un minéral aidant le cerveau à être alerte et à baisser les niveaux de stress et d’anxiété.

    Même si les fruits de mer sont faciles à digérer car peu caloriques, il a été prouvé qu’ils peuvent vous apporter l’énergie nécessaire pouvant vous permettre de réaliser vos activités quotidiennes. En effet, il s’agit d’une excellente option pour ceux qui font de l’exercice, aussi bien cérébral que physique.

    Ils améliorent l’humeur

    Les psychologues et les neuro-psychologues recommandent une consommation régulière de vitamine B12 afin de nous protéger face à la dépression. L’administration de suppléments de cette vitamine équivaut à la consommation de 50g de fruits de mer par semaine.

    Un des avantages qu’il y a à consommer des fruits de mer pour votre cerveau, c’est la quantité de vitamine B12 que nous apporterons alors à notre organisme.

    Ils ont un fort pouvoir antioxydant

    Les fruits de mer présentent un fort pouvoir antioxydant car ils contiennent du sélénium: un des nutriments dont le corps a besoin pour éviter l’oxydation.

    L’oxygène est un élément indispensable la vie. Sans lui, nous ne pourrions vivre. Or, si nous ne contrôlons pas notre alimentation, nous serons plus à même de tomber malade et de connaître un vieillissement anticipé. Les antioxydants, tels que le sélénium, nous aident à prévenir les altérations de l’organisme, ralentissant ainsi les réactions produites par l’oxydation.

    Ils protègent face à Alzheimer

    Une étude récente publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) a mis au jour que la consommation régulière de fruits de mer réduit le risque de souffrir de la maladie d’Alzheimer de 47%.

    Les auteurs de l’étude ont réalisé les autopsies des cerveaux des 286 participants décédés après avoir suivi certaines habitudes alimentaires pendant des années dans le cadre d’une étude sur la mémoire et la vieillesse. Alzheimer n’avait été diagnostiqué chez aucun de ces participants avant qu’ils ne fassent part de cette étude. Or, ceux qui mangeaient des fruits de mer régulièrement présentaient un bien moindre risque de développer cette pathologie neurologique dégénérative.

    Un autre des avantages de la consommation de fruits de mer pour votre cerveau réside donc dans la réduction du risque de souffrir de la maladie d’Alzheimer.

    Nous pouvons affirmer qu’un régime riche et varié, où abondent les fruits et les légumes frais, les hydrates de carbone (céréales, pain, pâtes ou riz complet), les produits laitiers, le poisson, et où les fruits de mer font partie intégrante de notre routine nutritionnelle, nous apporte de grands bénéfices à moyen et long terme.

    Pour que le cerveau fonctionne de façon optimale, il est nécessaire de le nourrir correctement. Ainsi, en fonction de ce que nous ingérons, une série de processus métaboliques se produiront et transformeront ces nutriments en combustible pour notre esprit.

    Vite, n'attendez pas, à votre prochain marché, filez au rayons poissonnerie!

  • Croquettes de légumes

    ou pour récupérer un restant de légumes

    Ingrédients :

    2 cuillères à soupe de fromage râpé fin, 250g de haricots rouges ou blancs déjà cuits

    1 pomme de terre, 1 poivron

    1 demi courgette; 3 œufs

    1 cuillère à café de cumin (facultatif) ou de persil haché

    Râpez la courgette, le poivron et la pomme de terre. Hachez le poireau.

    Ecrasez les haricots; Mélangez tous les légumes.

    Ajoutez le fromage râpé. Mélangez.

    Ajoutez les oeufs et le cumin.

    A l’aide d’une cuillère à soupe, formez vos galettes sur une poêle huilée. Retournez pour faire dorer des deux côtés.

    Vous pouvez utiliser n'importe quel légume

  • Poêlée de châtaignes et choux de Bruxelles

    Je préfère acheter des petits choux, ils sont tendres et pas besoin de les couper en deux, cela -donc- présente mieux.

    Idée: remplacez les châtaignes par des cèpes

     

    En hiver, j'aime beaucoup cette poêlée, pour accompagner de la saucisse de Toulouse grillée

    Pour 4

    500 g de choux de Bruxelles

    1 pot en verre de châtaignes sous vide

    100 g de cansalade, 20 g de graisse de canard

    1 c. à café de fond de veau en poudre (facultatif)

    1 c. à café de sucre roux; sel

    Commencez par couper les pieds des choux de Bruxelles. Si nécessaire, retirez les premières feuilles flétries. Rincez-les ensuite à grande eau et faire tremper dix minutes avec une cuillère de bicarbonate de soude.

    Portez une grande casserole d’eau à ébullition et faites-y blanchir les choux de Bruxelles pendant 5 minutes. Égouttez-les.

    Faites bouillir à nouveau un grand volume d’eau salée. Plongez-y les choux pendant 15 minutes. Égouttez-les.

    Entretemps, chauffez 20 g de graisse de canard dans une poêle. Ajoutez le sucre et les châtaignes. Faites revenir à feu vif pendant environ 10 minutes pour les faire dorer.

    Faites dorer les lardons de cansalade à bien bruns, dans une autre poêle sans ajouter de matière grasse pendant 7 ou 8 minutes. Déposez-les ensuite sur du papier absorbant pour retirer l’excès de gras.

    Ajoutez les choux de Bruxelles ainsi que les lardons lorsque les châtaignes sont dorées. Ajoutez éventuellement le fond de veau en poudre et mélangez.

    Laissez cuire pendant 2 ou 3 minutes. Servez aussitôt.

  • Achetez votre foie gras d'avance..

    sinon, vous risquez d'en chercher longtemps!

    Ce bilan fait le point au 8 février 2022 sur les nouveaux foyers de grippe aviaire hautement pathogènes (GAHP) à virus A(H5) signalés dans les élevages de volailles depuis le bilan publié le 17 janvier 2022 (nouvelles 18678 et 18679). Il repose essentiellement sur les signalements faits à l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE).

    Tous les foyers signalés à l’OIE depuis le 17 janvier 2022, à l'exception d'un épisode identifié à Taïwan impliquant un virus A(H5N2), sont liés à un virus de type A(H5N1). En Europe, 12 pays ont émis au moins un signalement concernant un foyer de GAHP à virus A(H5N1). Il s’agit de l’Allemagne, de la Bulgarie, de l’Espagne, de la France, de la Hongrie, de l’Italie, de la Moldavie, des Pays-Bas, de la Pologne, de la République Tchèque, du Royaume Uni et de la Russie. Au cours des dernières semaines, la France est le pays qui a fait le plus grand nombre de signalement (91 nouveaux foyers).

    En Afrique des foyers ont été signalés en Afrique du Sud, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, au Niger, au Nigeria et au Togo, l’épizootie semblant particulièrement active au Nigeria avec 28 nouveaux foyers notifiés. L’Asie est également concernée avec quelques foyers signalés en Israël, en Corée du Sud, au Japon, au Népal et à Taïwan. Enfin, un foyer de GAHP à virus A(H5N1) a été signalé dans la région des Amériques pour la première fois, au Canada.

    FRANCE

    En France, l'épisode de GAHP à virus A(H5N1) identifié le 21 novembre 2021 (voir les nouvelles 18511 et 18593) se poursuit avec 91 nouveaux foyers signalés à l'OIE le 28 janvier 2022 (signalement OIE 47911) (À la date du 9 février 2022, la France compte 350 foyers d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) en élevage, 30 cas en faune sauvage et 14 cas en basse-cours, les information détaillées concernant l'épizootie en cours étant accessible sur le site du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation).

    EN NOUVELLE AQUITAINE,

        62 foyers ont été identifiés dans le département des Landes

            19 foyers (17 élevages de canards et 2 de poulets de chair) ont été identifiés dans l'arrondissement de Dax entre le 9 et le 22 janvier 2022 à Baigts (1 foyer), Bastennes (1 foyer), Bergouey (3 foyers), Caupenne (1 foyer), Doazit (1 foyer), Donazcq (2 foyers), Gamarde-les-Bains (1 foyer), Gaujacq (2 foyers), Gibret (1 foer), Maylis (2 foyers), Meilhan (1 foyer), Misson (1 foyer), Mugron (1 foyer), Saint-Geours-de Marenne (1 foyer). Ces foyers représentaient 52 136 volailles.

            43 foyers (29 élevages de canard, 7 de poulets de chair, 3 élevages pluri-espèces avec palmipède, 2 de poules pondeuses, un d'oies, un de pintades) ont été identifiés entre les 6 et 23 janvier 2022 dans l'arrondissement de Mont de Marsan, à Aire-sur-l'Adour (1 foyer), Bahus-Soubiran (2 foyers), Bats (1 foyer), Benquet (1 foyer), Bordere-et-Lamensans (1 foyer), Castandet (1 foyer), Castenau-Tursan (1 foyer), Cazeres-sur-l'Adour (2 foyers), Classun (3 foyers), Coudures (2 foyers), Duhort-Bachen (1 foyer), Eugénie-les-Bains (1 foyer), Eyres-Moncube (2 foyers), Hagetmau (1 foyer), Hontanx (2 foyers), Labastide-d'Armagnac (1 foyer), Larrivière-Saint-Savin (1 foyer), Maurrin (1 foyer), Miramont-Sensacq (1 foyer), Momuy (1 foyer), Montaut (2 foyers), Mongaillard (4 foyers), Montsue (2 foyers), Peyre (1 foyer), Philondenx (1 foyer), Renung (1 foyer), Saint-Cricq-Chalosse (1 foyer), Saint Gein (1 foyer), Saint-Loubouer (1 foyer), Sorbets (1 foyer), Vignau (1 foyer). Ces foyers représentent 264 168 volailles.

        19 ont été identifiés dans le département des PYRENEES-ATLANTIQUES entre 8 et le 23 janvier 2022

            9 foyers (8 élevages de canard et un de poules pondeuses) ont été identifiés dans l'arrondissement d'OLORON-SAINTE-MARIE à Bastanes (1 foyer), Bugnein (1 foyer), Castetnau-Camblong (4 foyers), Geus-d'Oloron (1 foyer), Montfort (1 foyer) et Orriule (1 foyer). Ces foyers représentent 67 710 volailles.

            8 foyers (6 élevages de canards, un de poules pondeuses, un de poulets de chair) ont été identifiés dans l'arrondissement de PAU à Arroses (1 foyer), Baliracq-Maumusson (1 foyer), Carrere (1 foyer), Garlin (3 foyers), Piets-Plasence-Moustrou (1 foyer) et Sevignacq (1 foyer). Ces foyers représentent 44 036 volailles.

    EN OCCITANIE, 10 foyers ont été identifiés entre e 9 et le 23 janvier 2022 :

        8 foyers ont été identifiés dans le département du Gers

            Un foyer a été identifié à Castillon-Debats, arrondissement d'Auch le 23 janvier dans un élevage de 4 800 canards

            4 foyers (élevages de canards, d'oies, de poules pondeuses et de pintades) ont été identifiés dans l'arrondissement de Condom à Houga (2 foyers), Magnan (1 foyer) et Terraube (1 foyer). Ces foyers représentent 14 300 volailles.

            3 foyers (élevages de canards) ont été identifiés dans l'arrondissement de Mirande à Fusteraouau, Lelin-Lapujolle et Tarsac. Ces foyers représentent 6 850 volailles.

        2 foyers ont été identifiés le 17 janvier dans des élevages de canards du département des Hautes-Pyrénées dans l'arrondissement de Tarbes à Madiran et à Siarrouy. Ces foyers représentent 4 000 volailles.

    Le diagnostic a été confirmé par RT PCR par l'Anses - Laboratoire de Ploufragan-Plouzané-Niort - site de Ploufragan Laboratoire national.

    Source: wahis.oie.int

     

    LA MALADIE

    Le virus de la grippe aviaire hautement pathogène A(H5N1) ou d’autres sous-types de virus grippaux non humains (par exemple H7, H9).

    Récemment : émergence du virus A(H7N9).

    TRANSMISSION

    L’infection humaine à virus de la grippe aviaire hautement pathogène A(H5N1) résulte de la transmission du virus de l’oiseau à l’homme, éventuellement de l’environnement à l’homme et très rarement de la transmission limitée et éphémère du virus d’homme à homme. Les contacts directs avec des volailles infectées ou des surfaces et des objets contaminés par leurs déjections est le principal mode de transmission à l’homme. Le risque est maximum lors de l’abattage et du plumage des volailles, de la découpe de la viande et de sa préparation en vue de sa consommation. Rien ne prouve que la viande de volaille ou les produits avicoles cuits correctement peuvent être une source d’infection.

    NATURE DE LA MALADIE

    Les symptômes initiaux sont généralement de la fièvre et un syndrome grippal (mauvais état général, myalgies, toux, maux de gorge). Une diarrhée et d’autres symptômes gastro-intestinaux peuvent également survenir. La maladie évolue en quelques jours et presque tous les malades développent une pneumonie clinique avec infiltrations diffuses à la radiographie thoracique. La production d’expectorations est variable et elles sont parfois teintées de sang. On observe une défaillance multiviscérale, un syndrome septique et parfois une encéphalopathie. La létalité* est élevée (environ 60%) chez les sujets hospitalisés atteints d’infection à H5N1 confirmée, le décès résultant le plus souvent d’une insuffisance respiratoire due à une pneumonie évolutive et à un syndrome de détresse respiratoire aiguë.

    En France, la vaccination anti-A(H5N1) est recommandée essentiellement chez les sujets exposés de part leur profession (Avis du Haut Conseil de la santé publique du 05/09/2008). Il existe des vaccins humains contre la grippe aviaire A(H5N1) autorisés au niveau européen.

    Il faut rappeler que le vaccin contre la grippe saisonnière n’a pas d’efficacité pour prévenir la grippe aviaire à virus H5N1.

    *La létalité: le risque de décès soit plus du double de la grippe dite espagnole!